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08/09/2009

Les impacts mondiaux du réchauffement en Arctique dépassent les prévisions

Le réchauffement en Arctique constitue une bombe à retardement car la fonte des glaces risque de provoquer un relargage de gaz à effet de serre et une montée des eaux menaçant un quart de la population mondiale. C'est ce que nous apprend le nouveau rapport du WWF.

Le rapport « Les rétroactions du climat en Arctique : implications mondiales » publié hier, souligne les conséquences mondiales désastreuses du réchauffement de l’Arctique qui s’avèrent bien plus graves que les prévisions précédentes. Ce rapport inédit rédigé par des scientifiques leaders dans le domaine, fait le point sur les connaissances actuelles sur le réchauffement de l’Arctique.

« Leurs conclusions dressent un tableau vraiment inquiétant » explique le Dr Martin Sommerkorn, conseiller scientifique sur le changement climatique pour le programme Arctique du WWF. « Ce que révèle ce rapport, c’est que le réchauffement de l’Arctique constitue bien plus qu’un problème local, c’est un problème mondial. En clair, si nous ne maintenons pas l’Arctique à des températures assez basses, des populations des quatre coins du monde en subiront les effets.»

L’Arctique en état de fièvre

Le rapport montre clairement que de nombreuses rétroactions liées aux bouleversements du climat de l’Arctique rendront le dérèglement climatique mondial bien plus grave que ce que nous indiquaient les projections les plus récentes, notamment celle du dernier rapport du GIEC en 2007.

La fonte spectaculaire des glaces de mer - qui est deux fois plus rapide que la moyenne mondiale - influencera radicalement la circulation atmosphérique et les conditions météorologiques en Arctique et dans le monde. Cela pourrait changer radicalement le climat (températures et précipitations) en Europe et en Amérique du Nord, affectant ainsi l’agriculture, les forêts et les réserves d’eau.

Le dégel des sols et zones humides : une bombe à retardement dont le compte à rebours est déjà amorcé

.../... extrait lire la suite en cliquant sur planète

06/09/2009

Planète Stocker la chaleur du soleil

EXTRAIT

Reportage

Une serre de 2 000 mètres carrés dans un paysage verdoyant, à quelques kilomètres à peine du centre de Tournai. C’est là que nous reçoit Daniel Gélin. Un nom qui évoque de prime abord celui d’un acteur mais dont on se souviendra peut-être un jour comme celui de l’homme qui a inventé un système permettant de stocker la chaleur du soleil à l’intérieur de la terre.

..../...

Le principe est simple. A l’aide d’un ventilateur et de gaines de plastiques isolées, l’air de la serre est envoyé dans le sol jusqu’à 12 mètres de profondeur, permettant depuis la mise en place du système en mars dernier, de faire passer la température du sol de 10 à 23 degrés. "Pour le moment, c’est l’été. On envoie donc de l’air chaud qui réchauffe le sol. Mais en hiver, on enverra de l’air froid. Celui-ci se réchauffera au contact de la terre et ressortira chaud à l’intérieur de la serre."

C’est la technique du puits canadien, appliquée à une serre.

.../...Ça représente un rendement supérieur à 100 ! En comparaison, les pompes à chaleur ont un rendement optimum de 5 Pour une plus grande complexité de fabrication et d’installation "

Ce système de Daniel Gélin, qui en est encore au stade expérimental, ne fonctionne pour le moment que sur une partie de la serre. .../..

Grégoire Comhaire 03/09/2009

Pour lire tout l'article source libre belgique

05/09/2009

Ne ratez pas le rendez-vous pour l'action climat le 12 septembre 2009 à 13 h 45

Tous à Vélo pour défendre le climat samedi 12  septembre après-midi de Kehl à Strasbourg !

  • 13h45  : Rassemblement sur la Marktplatz à Kehl
  • 14h15 : départ vers Strasbourg via la passerelle Mimram et le jardin des deux rives
  • 14h50 : Halte sur la passerelle Mimram
  • 15h15 : Arrêt place Kléber
  • 16h-16h30 : remise d'un mémorandum à des députés européens au parlement européen

 

Dans moins de 100 jours aura lieu la conférence internationale de Copenhague, dont les conclusions seront déterminantes pour l'avenir climatique de la planète.

D'ici là, les citoyens du monde entier se mobiliseront pour peser sur les résultats de cette conférence.. Il faut impérativement parvenir à une division par deux des émissions mondiales de gaz à effet de serre d'ici à 2050 pour sauver le climat, et il est impératif que les pays s'engagent sur des objectifs chiffrés à cet égard.

Dans le fossé Rhénan, un collectif d'associations françaises et allemandes * organise une  mobilisation citoyenne sur ce thème le samedi 12  septembre prochain de 13h45 à 16h30. Il y aura des prises de parole, des déguisements, des tracts et de la musique...

Nous comptons sur votre présence. Merci de diffuser ce message le plus largement possible autour de vous.

* Bürgerinitiative für Umweltschutz Kehl, Objectif Climat, Alsace Nature, CADR 67, GREENPEACE, ADIR, groupe VELAÜCH.

02/09/2009

Des biberons sans bisphénol A dans les crèches

Le numéro 216 du magazine "Dijon Notre Ville" (page 21) informe que les crèches dijonnaise proscrivent les biberons en plastique contenant du Bisphénol A:

"Le bisphénol A est une substance chimique qui sert à la fabrication du plastique et se libère à la chaleur, pouvant entraîner des dysfonctionnements thyroïdiens. C’est pourquoi les crèches municipales proscrivent les biberons en plastique contenant du bisphénol A. Elles utilisent des biberons en verre pour les boissons chaudes et des biberons en plastique sans bisphénol A pour les froides.....
Extraits mardi 1 septembre 2009 lire la suite en cliquant sur dijon-ecolo

 

01/09/2009

Toulouse dans la bonne direction : Des classes vertes de la crèche à la fac

Dans les assiettes ou les bâtiments, la notion de développement durable s'invite au sein des établissements scolaires et universitaires.

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Du bio dans les cantines L'opération repas bio à la cantine centrale se poursuit et s'amplifie pour 25 000 petits Toulousains. Après avoir remplacé les huiles hydrogénées par des huiles végétales et les traditionnelles portions de fromage emballées par des tomes du cru découpées sur place, et testé le riz au lait « maison », l'objectif est de

proposer « un équivalent repas bio par semaine ». « Une fois l'entrée, une fois le dessert et une autre le plat de résistance », explique Elisabeth Belaubre (Verts), l'adjointe à la Santé, qui s'attaque à un nouveau chantier : « Remplacer les barquettes en plastique par des plats en inox ». A Toulouse, manger bio n'est pas forcément plus cher pour les parents, puisque la gratuité de la restauration scolaire vient d'être étendue à 26 % des familles, contre 5 % auparavant.

Les lycéens seront aussi au régime bio une fois par semaine. La région a décidé de participer au financement d'un repas hebdomadaire sous le label AB ou certifiés d'origine Midi-Pyrénées, soit 115 000 repas. Elle a débloqué une enveloppe de 800 000 euros cette année pour y parvenir, et 2,6 millions d'euros l'an prochain.

..../....

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Bisphénol A non grata La commune de Saint-Jean a déjà pris un arrêté pour l'interdire dans ses crèches. Le bisphénol A, matière contestée contenue dans le plastique, disparaît progressivement des structures petite enfance. D'ici à février 2010, la ville de Toulouse aura échangé l'ensemble de ses biberons. A Colomiers, les 550 enfants de moins de 3 ans sont déjà au régime sans BPA, et au nom du principe de précaution, le réchauffage au micro-ondes comme la stérilisation à froid ont également été supprimés.

extraits aticle du 01.09.09 lire la suite sur  20 minutes

31/08/2009

"Le virus H1N1 voyage à une vitesse incroyable" LE MONDE | 29.08.09 |

Loin des stéréopypes il y a à méditer et à prendre sans psychoses les mesures préventives..

Extraits

Selon le bilan global publié vendredi 28 août par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la grippe A (H1N1) a tué "au moins 2 185 personnes". Le nombre d'individus infectés s'élevait à cette date, au minimum, à 209 438, dans plus de 177 pays. Le H1N1 est devenu le virus de grippe dominant dans le monde. Il supplante celui de la grippe saisonnière.

..../....

Le virus 2009 A(H1N1) est totalement différent. Il est nouveau, et quasiment personne n'est immunisé contre lui. Il se répand très facilement, mais ne provoque pas de maladie sévère chez la plupart des gens. Ces éléments ne cadrent pas avec les plans préparés, et imposent de les adapter. Rien d'étonnant, donc, à ce que des gens se demandent pourquoi la pandémie actuelle ne correspond pas à ce à quoi ils s'attendaient, et trouvent que l'on en fait beaucoup. Mais je ne suis pas d'accord avec ce point de vue.

Quelles menaces fait peser la pandémie actuelle ?

Tout d'abord, ce virus voyage à une vitesse incroyable, inédite. En six semaines, il parcourt la même distance que d'autres virus en six mois ! Le nombre de personnes infectées est aussi sans précédent. Jusqu'à 30 % des habitants des pays à forte densité de population risquent d'être infectés. Sans plans de préparation, nous serions incapables d'avoir une réponse organisée. C'est une sorte de retour sur investissement.

60 % des décès surviennent chez des personnes ayant des problèmes de santé sous-jacents. Ce qui signifie que 40 % des décès concernent des jeunes adultes - en bonne santé - qui meurent en cinq à sept jours d'une pneumonie virale. C'est le fait le plus préoccupant. Soigner ces patients est très lourd et difficile.

.../...

Disposerons-nous à temps et en quantité suffisante de ces vaccins ?

Pas dans les prochains mois. Avant la mise en place du plan contre le virus de la grippe aviaire H5N1, la capacité annuelle de production mondiale de vaccins antigrippaux était de 450 millions de doses, et essentiellement dans les pays développés. Elle est passée à 900 millions de doses. Même si cela reste insuffisant, cela n'était jamais arrivé pour les pandémies précédentes.

SUITE SUR LE MONDE

15:24 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : h1n1 |  Facebook |

30/08/2009

Taxe carbone : l’exemple suisse

Faut-il créer un impôt nouveau en période de récession ? Si le principe de taxe carbone est largement admis, la question de sa compensation, intégrale ou pas, constitue une véritable usine à gaz. La neutralité fiscale du dispositif est loin d’être acquise ce qui amène l’UFC-Que Choisir à parler de hold-up fiscal . Dans ces débats byzantins, la lumière pourrait venir des Etats européens dans lesquels la taxe est déjà en vigueur. C’est le cas en Suisse depuis mai 2000.

Rassurons-nous. Même au pays de Guillaume Tell l’introduction de la taxe carbone a donné lieu à d’interminables palabres. Pragmatiques, nos voisins Helvètes ont fait le choix d’un champ d’application réduit au départ. A ce jour, la taxe ne couvre que les combustibles (mazout, gaz, charbon) et n’a toujours pas été étendue aux carburants.

Elle n’est pas considérée comme un impôt mais comme un simple dispositif technique de prélèvement puis de redistribution aux ménages sous la forme d’une déduction opérée sur leurs primes d’assurance maladie. Comme le rappelle le quotidien Genèvois Le Temps, “selon le type de construction, le mode de chauffage et le nombre d’habitants, la facture finale est allégée ou péjorée. Globalement, les familles nombreuses sont avantagées, de même que les habitations répondant aux normes environnementales les plus sévères“. Côté entreprises, celles qui s’engagent volontairement dans un programme de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre conformes aux objectifs climatiques sont exonérées.

Voici quelques pistes utiles qui font réfléchir

extraits  ....

source lire la suite sur naturavox

29/08/2009

Calendrier du jardinier : quand planter vos légumes et semences

Quels légumes pour quelles saisons ?

source arehn.asso.fr

Légumes
Printemps
Eté
Automne
Hiver
Ail
Artichaut
Asperge
Aubergine
Bette
Betterave rouge
Brocoli
Carotte
Céleri à côtes
Céleri-rave
Champignons

Chicorées
Chou de Bruxelles


Chou pommé
Chou-fleur
Concombre
Courgettes
Cornichon
Cresson
Echalote
Endive


Epinard
Fenouil
Fève
Haricot en grains
Haricot vert
Laitue
Mâche

Navet
Oignon
Oseille
Pâtisson
Petit pois
Pissenlit

Poireau

Poivron
Pomme de terre
Radis
Potiron

Rhubarbe
Tomate

28/08/2009

Le Canada contraint Facebook à mieux protéger la vie privée

Extraits LEMONDE.FR avec AFP | 28.08.09


Les 250 millions de membres revendiqués par Facebook vont bénéficier de l'aboutissement de négociations entre le Canada et le réseau social visant à mieux protéger la vie privée de ses usagers. La commissaire canadienne à la protection de la vie privée, Jennifer Stoddart, a en effet obtenu, après un an d'enquête, que le site Internet de socialisation procède à plusieurs modifications, dont celle de supprimer toutes les données personnelles des utilisateurs lorsque ceux-ci clôturent leur compte. Jusqu'à présent, ces renseignements étaient conservées indéfiniment, ce qui est contraire à la loi canadienne. Dans un souci de clarification, le réseau social s'engage à informer ses membres que la désactivation de leur compte n'implique pas la suppression de leurs données personnelles. Pour l'obtenir, le compte doit être liquidé définitivement.

Les autres modifications visent à interdire l'utilisation de données personnelles stockées sur Facebook pour la confection de jeux ou de quiz, à moins que les membres concernés l'acceptent explicitement. De même, Facebook doit demander aux membres de ne pas mettre sur le site d'adresses électroniques de non-membres sans leur consentement, et informer les usagers que les pages personnelles des personnes mortes seront préservées pour que leurs amis puissent s'exprimer et leur rendre hommage.

"CONTRÔLE COMPLET"

La mise en œuvre de ces modifications prendra jusqu'à un an et bénéficiera au monde entier, a dit la commissaire.

 

 

27/08/2009

élevage inrensif = virus :Au Chili, deuxième producteur mondial de saumon, l'"or rose" se tarit LE MONDE | 25.08.09

extraits

Quellon (Chili), envoyée spéciale

A 1 000 km au sud de Santiago du Chili, Quellon, dans l'archipel de Chiloé, est devenu une ville fantôme. Les rues sont vides, sauf pour quelques pêcheurs désoeuvrés. "Nous sommes durement touchés par la fermeture de nombreuses fermes aquacoles, car l'industrie salmonicole faisait vivre une grande partie de la population", se lamente le maire, Ivan Haro. Ce port était l'épicentre de la ruée vers "l'or rose", dès les années 1980. Aujourd'hui, 60 % des habitants sont au chômage, et il est au bord de l'explosion sociale.

Deuxième producteur mondial de saumon, le Chili doit abandonner son ambition de détrôner la Norvège. Une épidémie du virus AIS (anémie infectieuse du saumon), apparue en juillet 2007, ne cesse de s'étendre, faisant des ravages. Ce virus, détecté à l'origine en Norvège dès 1984, entraîne une forte mortalité dans les élevages.

....

L'épidémie dévoile les abus de l'élevage intensif et le manque de régulation de la part du gouvernement. "C'est un nouveau Far West, mais sans shérif", lance Juan Carlos Cardenas, directeur du Centre pour le développement durable (Ecoceanos). Cette ONG dénonce les méfaits irréparables sur l'environnement, en raison notamment des déchets organiques rejetés par les saumons. "L'aquaculture est une industrie très polluante, explique M. Cardenas, car elle utilise beaucoup de produits chimiques et d'antibiotiques."

Au mois de juillet, l'ONG Oceana a contraint le gouvernement chilien à révéler que la salmoniculture avait utilisé 385 tonnes d'antibiotiques en 2007, soit 600 fois plus que la Norvège, pour une production quasiment identique cette année-là. "Nous ne sommes pas opposés à l'activité même, mais à la façon dont elle se déroule", précise M. Cardenas. Il réclame un meilleur contrôle des conditions sanitaires. Il est convaincu que le virus AIS a été introduit dans des algues importées de Norvège.

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26/08/2009

Solaire : ca plonge dans la surproduction

À la surprise générale, l’industrie du solaire que ce soit la fabrication de panneaux photovoltaïques ou de silicium pur qui en est la matière première, vient d’entrer en crise avec l’annonce par le premier producteur mondial de panneaux, l’allemand Q-Cells d’une perte spectaculaire de 700 millions d’euros( incluant des éléments exceptionnels, je vous rassure) soit le double ( !!) de son chiffre d’affaires au premier semestre de 2009.Hors éléments exceptionnels, c’est tout de même 37 % de baisse de ses revenus.

Même genre d’annonce, mais en moins sévère pour l’autre allemand Solarworld qui annonce une baisse de chiffre d’affaires de 6pct et un recul de son résultat d’exploitation de 30 %.

Coté du silicium pur qui lui est entre les mains de l’industrie chinoise, le groupe LDK Solar annonce une perte de 217 millions de dollars au second trimestre contre un bénéfice l’année dernière de 148 millions de dollars.

Que s’est-il passé pour qu’une industrie que tout le monde voyait florissante et sous pression d’une demande croissante bascule dans le rouge aussi brutalement et fortement ? Comme d’habitude une combinaison de facteurs défavorables qui se conjuguent au moment où la demande chute elle-même brutalement. Ce que l’on appelle un effet ciseau.

La crise financière, toujours elle, a empêché de pouvoir monter le financement de nombreux projets. Le marché immobilier espagnol, le plus dynamique en Europe, s’est totalement effondré alors qu’il comportait l’utilisation de nombreux panneaux photovoltaïques pour 3000MW de capacité. Le gouvernement espagnol dans le même temps a imposé une limitation de la puissance installée à 400 MW seulement chaque année. En Allemagne, un pays déjà fortement équipé en photovoltaïque, ce sont les subventions qui ont été réduites. Résultat : les prix des panneaux à la vente ont chuté de 20 %.

commentaire utile à lire

Solaire : ca plonge dans la surproduction
par Deneb (IP:xxx.x66.180.73) le 25 août 2009 � 10H58

La production des panneaux photovoltaiques se passera bientôt du silicium. En effet, on a decouvert des propriétés miraculeuses des nanotubes de carbone, qui le silicium. Mais on en parle très peu, parce que les petroliers s’opposent toujours à toute recherche mettant en danger leur monopole energetique.

extraits  voir la suite en cliquant sur natura

 

25/08/2009

Algues vertes: les associations interpellent François Fillon

ENVIRONNEMENT - Cinq jours après la visite du Premier ministre sur la plage de Saint-Michel en Grèves, où un cheval a été victime début juillet des émanations toxiques des algues vertes, des associations écologiques bretonnes ont exprimé leur "grosse colère".

“Le Premier ministre a annoncé un “plan d’actions” mais n’a surtout pas voulu remettre en cause le système productiviste agricole actuel qui est à l’origine de la pollution des eaux, dénonce Denis Baulier, ancien président du réseau Cohérences. C’est toujours le même discours. On fait appel à la dépense publique mais on ne touche pas au système”.
Avec d’autres responsables d’associations (1), Denis Baulier a voulu réaffirmer mardi matin, lors d’une conférence de presse, qu’une autre agriculture est possible, moins favorable aux nitrates qui vont nourrir les algues vertes.
“Pour reconquérir la qualité de l’eau, il ne faut pas plus de dépenses publiques mais au contraire faire des économies sur chaque exploitation agricole en substituant au maïs l’herbe et la luzerne”, préconise le militant écologiste.
Aliment principal des animaux en élevages intensifs, le maïs présente en effet de gros inconvénients: il ne développe pas de racines assez profondes pour aller “pomper” les nitrates enfouis dans le sol et nécessite des engrais qui contribuent encore davantage à la pollution. Pauvre en protéines, il oblige en outre les agriculteurs a importer des quantités de soja “phénoménales” pour complèter l’alimentation des animaux. Autant de handicaps qui disparaitraient, explique Denis Baulier, en ayant recours aux prairies et aux champs de luzernes, plante pérenne aux racines profondes.
“Les seuls obstacles à cette solution sont les lobbys du machinisme agricole et des produits phytosanitaires qui font pression depuis des décennies sur les chambres d’agricultures et défendent le statu quo car ils ont tout à perdre et que les enjeux financiers sont énormes, souligne Denis Baulier

Extraits du 25/08/09 + d'infos cliquez sur libération

24/08/2009

OGM : condamnation définitive pour deux anciens dirigeants de Monsanto

La Cour de cassation a rejeté le 30 juin 2009 les pourvois formés par deux anciens PDG d'Asgrow France, une filiale du semencier américain Monsanto, rendant ainsi définitive leurs amendes de 5.000 et 10.000 euros pour "mise sur le marché d'OGM sans autorisation". Cette décision (C. Crim, 30 juin 2009, n° 3588) confirme l’arrêt rendu le 8 novembre 2007 par la cour d'appel de Montpellier qui avait condamné les deux dirigeants pour ce chef, mais les avait relaxés pour "mise en vente de produits agricoles falsifiés, corrompus ou toxiques", "tromperie" et "publicité mensongère". C’est à la suite d’analyses effectuées sur des lots de semence de soja américain importés par la société ASGROW France que la présence d'OGM avait été révélée (Lots positifs au promoteur CaMV
35 S et au gène de résistance spécifique au Roundup Ready). Malgré le retour de premiers lots renvoyés par une société ayant détecté la présence d’OGM, la société ASGROW avait continué la commercialisation des sacs importés sans les autorisations requises pour commercialiser des OGM . FNE qui s'était constituée partie civile dans cette affaire a vu reconnaître son préjudice.

source FNE

23/08/2009

Se connecter gratuitement à Internet hors de chez soi LE MONDE | 21.08.09

Extraits

Rien n'est plus frustrant quand on est accro à Internet que de ne plus avoir accès à ses mails ou à ses sites préférés hors de chez soi. Certes, les téléphones 3G pouvant se connecter à la Toile permettent de calmer les drogués de l'Internet. Mais ces appareils ne remplacent pas totalement un ordinateur.

Que faire quand on est en déplacement et que l'on veut se connecter ? La clé 3G qui se connecte à la prise USB d'un ordinateur est une solution facile à mettre en oeuvre, mais qui peut se révéler onéreuse à l'usage. Et le réseau 3G n'est pas accessible partout en France.

.......

Il est pourtant possible de se connecter à un réseau Wi-Fi sans avoir à débourser le moindre centime. Tandis que certains lieux publics ont été équipés d'accès gratuits à Internet, quelques cafés et restaurants offrent à leurs clients des connexions gratuites. Mais l'accès à ces bornes dépend souvent du bon vouloir du propriétaire, sans compter les éventuels problèmes techniques que rencontrent souvent ces équipements.

D'autres solutions, beaucoup moins connues, permettent aussi de rester connecté presque partout en France. Les "box" installées chez les particuliers sont désormais autant de "hotspots" accessibles, à condition d'avoir souscrit un abonnement chez le même opérateur.

UN ACCÈS PARTAGÉ

Depuis la fin mai, les abonnés de Free peuvent ainsi avoir accès à 3 millions de Freebox version 5. Il faut toutefois avoir au préalable obtenu un code d'identification à partir de la box installée à son domicile, et la puissance du signal est très variable. Un service similaire est disponible chez SFR depuis plus longtemps.

.....

De son côté, SFR ouvre gratuitement ses hotspots (y compris les Neufbox) aux clients Illimythics 3G + full Internet. L'opérateur propose aussi des connexions Wi-Fi gratuites aux abonnés Neufbox sur de nombreux hotspots déployés dans des lieux publics.

Joël Morio

00:17 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

22/08/2009

Quest-ce qu'un AMAP

Le fonctionnement

Une AMAP naît en général de la rencontre d'un groupe de consommateurs et d'un producteur prêts à entrer dans la démarche. Ils établissent entre eux un contrat pour une (on distingue en général 2 saisons de production : printemps / été et automne / hiver), selon les modalités suivantes :

Ensemble, ils définissent la diversité et la quantité de denrées à produire pour la saison. Ces denrées peuvent être aussi bien des fruits, des légumes, des oeufs, du fromage, de la viande...
La diversité est très importante car elle permet aux partenaires de l'AMAP de consommer une grande variété d'aliments, d'étendre la durée de la saison, et de limiter les risques dus aux aléas climatiques et aux éventuels problèmes sanitaires.

Pendant la saison, et ce de manière périodique (ex. une fois par semaine), le producteur met les produits frais (ex. les fruits et légumes sont récoltés le matin même de la distribution) à disposition des partenaires qui constituent leur panier. Le contenu de ce dernier dépend des produits arrivés à maturité. Il est possible, dans une certaine mesure, d'échanger les produits entre eux selon ses préférences.
Contrairement à la grande distribution, les consommateurs en AMAP accordent moins d'importance à la standardisation des aliments ; tout ce qui est produit est consommé (alors que dans l'autre cas, ce peut être jusqu'à 60 % de la récolte qui reste au champ). Ce principe est d'une part est très valorisant pour le producteur, et d'autre part il permet de diminuer le prix des denrées en reportant les coûts sur la totalité de la production.

Le groupe de consommateurs et l'agriculteur se mettent également d'accord sur les méthodes agronomiques à employer. Ces dernières s'inspirent de la charte de l'agriculture paysanne et du cahier des charges de l'agriculture biologique (les producteurs possèdent souvent le logo AB). En effet, les participants à l'AMAP recherchent des aliments sains, produits dans le respect de l'Homme, de la biodiversité et du rythme de la Nature.
Les AMAP participent ainsi à la lutte contre les pollutions et les risques de l'agriculture industrielle et favorise une gestion responsable et partagée des biens communs.

Derniers points de discussion préparatoire au lancement de l'AMAP : le prix du panier, le lieu et l'heure de la distribution périodique.

Le prix du panier est fixé de manière équitable : il permet au producteur de couvrir ses frais de production et de dégager un revenu décent, tout en étant abordable par le consommateur.
Il est en général proche de celui d'un panier composé de la même manière en grande surface, tout en ayant une qualité nutritionnelle et gustative supérieure (dégagé du soucis de rendement et de vente, le producteur recherche la satisfaction des consommateurs en privilégiant les variétés végétales -ou races animales- de terroir ou anciennes reconnues pour leur qualité gustative).
Un tel prix est rendu possible du fait de l'absence de gâchis au niveau des produits, de l'absence d'intermédiaires entre le producteur et les consommateurs, et d'un emballage minimum voir absent.
Afin de permettre la participation de tous à l'AMAP, et notamment des consommateurs à faible revenu, différentes possibilités de règlement existent, par exemple la mensualisation des encaissements des chèques ou la réduction du prix du panier en échange d'une aide à la distribution.
En achetant leur part de production à l'avance, les consommateurs garantissent un revenu au paysan. L'AMAP participe ainsi au maintien d'une agriculture de proximité et à la gestion de la pression foncière.

Quant au lieu de distribution, il peut s'agir soit de la ferme elle-même si les partenaires de l'AMAP vivent dans un périmètre proche de celle-ci, soit d'un point de chute situé en ville (maisons de quartier, magasin d'alimentation spécialisée, cour d'immeuble,...).

L'horaire, enfin, est fixé de manière à convenir au plus grand nombre. Afin de permettre au producteur de se concentrer au mieux sur la qualité de son travail, un comité de bénévoles est formé parmi les consommateurs partenaires de l'AMAP. Il comprend en général un coordinateur, un trésorier, un responsable de la communication interne, un responsable animation et un coordinateur bénévole.

Les membres du comité sont renouvelables à chaque saison de production.

De par ce partenariat de proximité entre producteur et consommateurs, les AMAP favorisent le dialogue social entre ville et campagne, facilitent la coexistence entre les loisirs de plein air et les activités productives, et l'usage multiple des espaces agricoles.

source réseau national AMAP

Les engagements des consommateurs

En adhérant à une AMAP, le consommateur prend les responsabilités suivantes :

  • S’engager en payant se part de la récolte à l’avance, en comprenant que cela inclut le partage des risques et des bénéfices avec la ferme, pour la saison à venir.
  • Venir chercher son panier au jour et à l’heure dits. Prévenir s’il ne peut prendre son panier (retard, vacances, etc.) et convenir d’un arrangement selon les possibilités qui ont été définies au début de la saison.
  • Communiquer en toute franchise et liberté ses bonnes remarques, ses questions ou ses insatisfactions directement auprès de son producteur et du coordinateur, pour qu’ils puissent examiner ensemble si des explications ou des améliorations sont possibles.
  • Partager ses idées et ses initiatives avec la ferme et les autres partenaires afin d’améliorer le fonctionnement du projet.

Les engagements des producteurs

En devenant partenaire d'une AMAP, le producteur prend les responsabilités suivantes :

  • Produire une diversité de légumes et d’autres éléments, si possible, pour composer des paniers variés.
  • Livrer les produits au jour et à l’heure dits.
  • Aviser ses partenaires en cas de problèmes exceptionnels qui affecteraient la livraison ou toute activité : problème climatique grave, maladie, etc.
  • Être ouvert pour expliquer le travail de la ferme à ses partenaires.
  • Prendre en compte les remarques et les besoins de ses partenaires. Dans le cas où il ne peut satisfaire à une demande, en expliquer les raisons. Effectuer une évaluation à la fin de la saison.

Les garanties

Un des objectifs d'Alliance étant de promouvoir et pérenniser les AMAP en France, elle souhaite garantir une transparence de la démarche auprès de ses partenaires.
Ainsi, une première charte des AMAP a été adoptée par Alliance Provence qui a déposé la marque AMAP. Des modifications y seront apportées au fur et à mesure de l'expérience acquise.
Elle permettra d'identifier clairement les AMAP parmi les autres initiatives contribuant également à un développement durable de la société.
La charte donnera accès aux AMAP signataires aux avantages du réseau qu'Alliance est en train de mettre en place : utilisation du nom AMAP, appui technique à la création et au suivi, coordonnées diffusables sur les outils de communication...

Pourquoi participer : producteurs

Selon une source faisant la synthèse d'études et d'observations réalisées en Amérique de Nord, il ressort que les paysans participent à une CSA pour 2 raisons principales :

  • la sécurité financière procurée par l'achat à l'avance des produits par les consommateurs ;
  • la valorisation sociale : travailler pour un groupe de personnes que le paysan connaît, et avec qui il peut échanger régulièrement et au delà de l'aspect commercial.

Pourquoi participer : consommateurs

Selon des sondages auprès des consommateurs en CSA, il ressort 2 raisons principales pour lesquelles ceux-ci y participent :
santé/bien-être : consommer des produits frais, de saison, bio , diversifiés, retrouver un certain lien avec la nature et les produits d'antan (qu'il estime, de plus, plus savoureux ) ;
action citoyenne : soutenir directement un agriculteur local, développer les liens ville-campagne.
La raison économique (produits de qualité à un prix abordable) ne semble pas faire partie des raisons principales.

Une AMAP conviendra donc à un consommateur si ce dernier :

  • est conscient des relations entre alimentation et santé ;
  • a le souhait de renouer avec la nature (côté éducatif, pour les enfants notamment) ;
  • a le sentiment d'appartenir à un groupe et perçoit la ferme comme une seconde maison ;
  • peut accepter les contraintes de fonctionnement (engagement sur 6 mois ou 1 an, soir et heure de livraison fixes, produits choisis à l'avance).

Concernant le dernier point, et en particulier le fait de choisir les produits avant la saison mais pas pendant les distributions, plusieurs consommateurs nous ont confiés qu'ils voyaient en fait cela comme un avantage :
ils n'ont plus à réfléchir à leurs achats chaque semaine !
De plus, l'AMAP leurs permet parfois de découvrir agréablement de nouveaux produits.

L'AMAP au regard du développement durable

Voici les avantages du développement des AMAP pour la société :

  • apprécier les bénéfices environnementaux d'une nourriture qui n'a pas parcouru des centaines de kilomètres, avec moins d'emballages, issus d'une agriculture bénéfique pour la biodiversité, protégeant les sols et l'eau, moins polluante et moins énergivore ;
  • rendre possible (ou favoriser) le retour des particularités alimentaires locales et régionales ;
  • améliorer l'économie locale par une augmentation des emplois (en 2002 pour les 17 AMAP provençales, 12 postes sont passés de saisonnier à permanent afin de pouvoir fournir de produits en quantité et diversité suffisante pour toute l'année), plus de processus locaux, de consommation locale, et circulation de l'argent dans la communauté ;
  • bénéficier de l'amélioration des liens sociaux, de la responsabilité sociale, du sens de la communauté et de la confiance.

Les avantages des AMAP peuvent aussi se regrouper selon les 3 axes du développement durable :
écologiquement sain, socialement équitable, et économiquement viable.

source réseau national AMAP pour retrouver votre AMAP de proximité...

 

 

 

 

 

 

 


21/08/2009

Les boissons glacées à base de café ou de chocolat sont à consommer avec modération

Extraits

Attention aux calories ! Le World Cancer Research Fund-UK, (WCRF), Fonds mondial de recherche contre le cancer au Royaume-Uni, vient de lancer une mise en garde contre les boissons glacées à base de café ou de chocolat, vendues dans certaines chaînes de distribution, comme Starbucks, Caffè Nero ou Costa Coffee. Le réseau mondial du WCRF se veut, depuis sa création en 1982, le pionnier en matière de recherche et d'information sur le lien entre alimentation, nutrition, activité physique d'une part et prévention du cancer d'autre part.

Sa branche britannique épingle notamment le Frappuccino Mocha Dark Berry, une boisson à base de glace, de sucre, de moka, de chocolat, de fruits rouges et de crème fouettée, vendue par Starbucks, une enseigne également présente sur le territoire français. Le plus grand format de 592 ml ("Venti"), vendu au prix de 5,30 euros, contient en effet 561 calories, soit plus du quart de la ration quotidienne d'une femme adulte (2 000 calories). Si l'on retire la couche de crème, le breuvage recèle encore 457 calories. Quant au format le plus petit (355 ml), il apporte à lui seul 369 calories. Ces données sont disponibles sur le site Web anglais de Starbucks (starbucks.co.uk).

RISQUES D'OBÉSITÉ

Rachel Thomson, la directrice scientifique de l'organisation britannique, s'inquiète de ce que l'on puisse trouver dans une simple boisson "la quantité de calories que l'on peut attendre d'un repas du soir". "Consommées de manière occasionnelle, ces boissons ne peuvent pas faire de mal", indique-t-elle, dans un communiqué. "Mais, consommées régulièrement, elles peuvent augmenter les risques d'obésité qui, à leur tour, peuvent accroître les risques de développer un cancer, une maladie du coeur ou un diabète ", prévient-elle. Le réseau du WCRF estime en effet que, "pour prévenir le cancer, maintenir un poids optimal" est l'une des choses les plus importantes à faire, l'établissement de recherche rappelant également l'importance de s'abstenir de fumer. Il conseille de boire de l'eau pour se désaltérer et d'éviter les boissons sucrées.

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plus de détails

Sur le Web : wcrf-uk.org


LE MONDE | 11.08.09 Rafaële Rivais

Commentaire : le bon sens ...revenez au basique fruits et légumes et supprimez tous les produits de l'agro-alimentaire (les subprimes ALIMENTAIRES)...

 

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19/08/2009

La colocation séduit de plus en plus les seniors

Venu du nord de l'Europe, le partage d'un appartement entre seniors commence à se développer en France, notamment par l'intermédiaire d'associations ou de sites Internet. Antidote à la solitude, réponse à la baisse du pouvoir d'achat, alternative à la maison de retraite, cette formule a de nombreux atouts.

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Le concept en est encore à ses débuts, mais Pierre Lelal, qui vient de créer Partage-senior.net, y croit. Pour cet enseignant en activité, qui revendique plus de 1 000 contacts, la montée en puissance du papy-boom ouvre de belles perspectives. "La France compte à ce jour plus de 13 millions de personnes âgées de plus de 60 ans dont un quart vivent seules suite à un divorce, au décès du conjoint ou à l'éloignement de la cellule familiale. Cette tendance va croître, avec de plus en plus de "jeunes vieux" en bonne santé qui espèrent bien profiter de l'allongement de l'espérance de vie." Dix projets seraient en gestation en métropole, quinze en outre-mer et une dizaine à l'étranger. "On peut tout imaginer. C'est un peu sans fin. On m'a même demandé : "Pourquoi ne montez-vous pas un projet de vie sur un voilier pour des seniors qui ont envie de faire le tour du monde ?""

extraits LE MONDE | 11.08.09

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18/08/2009

Un guide de l'Institut océanographique indique comment agir face aux méduses

Pour ceux qui se baignent danger

Extrait :

Dans un ouvrage de vulgarisation, les experts de l'établissement océanographique parisien livrent les clés pour mieux connaître les cnidaires et adopter les bons réflexes en cas de piqûre. L'été 2009 sera-t-il un été à méduses ? En mai, des méduses urticantes Pelagia noctiluca ont été repérées au large de la Corse, puis « cet immense banc a dérivé avec les courants et les vents, et il arrive en ordre dispersé sur les côtes », observe Jacqueline Goy, attachée scientifique à l'Institut océanographique de Paris. Il n'y a pas d' « alerte », mais une « surveillance attentive », précise la scientifique, grande spécialiste française de ces espèces.

Article publié le 08 Août 2009
Par Rafaële Rivais
Source : LE MONDE

+ d'infos sur Institut océanographique

Commentaire : autre solution porter une tenue en néoprène....

 

 

00:57 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : méduses |  Facebook |

17/08/2009

Le répulsif antimoustique le plus utilisé a des effets neurotoxiques indésirables

Extrait :

Le DEET perturbe les échanges entre cellules nerveuses de mammifères. Le répulsif le plus utilisé au monde dans les produits contre les piqûres d'insectes, le « DEET », présente, in vitro, une toxicité pour le système nerveux des mammifères. Dans une étude publiée mercredi 5 août sur le site de la revue BioMed Central Biology, une équipe internationale menée par les Français Vincent Corbel (Institut de recherche pour le développement, Montpellier) et Bruno Lapied (université d'Angers) démontre pour la première fois que le DEET inhibe une enzyme clé dans l'échange d'information entre les cellules nerveuses, l'acétylcholinestérase.

Article publié le 06 Août 2009
Par Paul Benkimoun
Source : LE MONDE

Commentaire : avant un achat anti-mustiques,  vérifiez le détails des étiquettes car le traitement est plus dangereux que la piquûre....

16/08/2009

OGM : condamnation définitive pour deux anciens dirigeants de Monsanto

La Cour de cassation a rejeté le 30 juin 2009 les pourvois formés par deux anciens PDG d'Asgrow France, une filiale du semencier américain Monsanto, rendant ainsi définitive leurs amendes de 5.000 et 10.000 euros pour "mise sur le marché d'OGM sans autorisation". Cette décision (C. Crim, 30 juin 2009, n° 3588) confirme l’arrêt rendu le 8 novembre 2007 par la cour d'appel de Montpellier qui avait condamné les deux dirigeants pour ce chef, mais les avait relaxés pour "mise en vente de produits agricoles falsifiés, corrompus ou toxiques", "tromperie" et "publicité mensongère". C’est à la suite d’analyses effectuées sur des lots de semence de soja américain importés par la société ASGROW France que la présence d'OGM avait été révélée (Lots positifs au promoteur CaMV
35 S et au gène de résistance spécifique au Roundup Ready). Malgré le retour de premiers lots renvoyés par une société ayant détecté la présence d’OGM, la société ASGROW avait continué la commercialisation des sacs importés sans les autorisations requises pour commercialiser des OGM . FNE qui s'était constituée partie civile dans cette affaire a vu reconnaître son préjudice.

source FNE