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18/02/2011

Algues vertes et ampoules durables interdites de métro

L'affiche de France nature environnement sur les algues vertes.

Voilà l'affiche que vous ne verrez pas sur les murs du métro parisien. Copiez-la, faites circuler. A l'heure où écrit le matinaute, la régie publicitaire Metrobus n'a pas encore daigné expliquer pourquoi trois des six visuels proposés par France nature environnement, pourtant autorisés par la justice, n'ont pas été placardés sur les murs du métro. Elle a dû craindre que les voyageurs ne soient choqués.

En effet. Il est très choquant que l'on rappelle aux voyageurs du métro parisien que l'Etat, capitulant devant les paysans bretons, a laissé depuis des années proliférer sur les plages bretonnes des algues vertes, dont les émanations peuvent être mortelles (si vous voulez tout savoir sur les algues vertes, prenez votre masque à gaz, et regardez l'émission d'Arrêt sur images – accessible aux abonnés).

Les partisans de la censure auront leurs arguments (je ne pense pas seulement au ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, qui estimait ce mercredi matin, sur France Inter, cette campagne scandaleuse). Certains de ces arguments sont d'ailleurs recevables.

Les algues vertes sont issues des nitrates, dégagés par l'élevage porcin intensif. C'est très mal, l'élevage porcin intensif. Tout le monde est très contre. Mais les mêmes qui y sont opposés (et auraient été scandalisés par les algues vertes si l'affiche litigieuse avait été effectivement placardée dans le métro), sont très heureux de payer les côtes de porc dans l'échine, au supermarché, à un prix modique, sans se demander pourquoi ce prix est si modique.

Les images-choc sont nécessaires, mais elles ne sont pas suffisantes (puissante, cette phrase, non ? ) Elles n'expliquent rien. Indignons-nous, oui, mais après ? (pour reprendre les termes d'un débat récent). Après, il faut réfléchir. Plonger dans les causes.

« L'obsolescence programmée »

Mardi soir, je suis tombé par hasard sur un documentaire d'Arte, consacré à « l'obsolescence programmée ». En français : les fortunes dépensées par les industriels, pour que les objets durent le moins longtemps possible, et que tourne sans fin la grande roue de la consommation et de la croissance. Je connaissais le principe, comme tout le monde, mais pas son nom.

Vous le saviez, vous, que les Allemands de l'Est avaient inventé une ampoule qui dure vingt-cinq ans, que les industriels de l'Ouest ont cessé de produire, après la chute du mur ?

Dans ce documentaire, on apprenait aussi des choses tout à fait subversives sur la batterie en carton pâte de l'iPod (planquez vos ados, ça les démoraliserait). Des choses que la presse unanime, qui glorifie unanimement le Dieu Steve Jobs, ne nous dit jamais (et que j'ose à peine répéter.

Ne ratez pas ce doc, qui va être rediffusé). Des choses à ne pas placarder sur les murs du métro. D'ailleurs ça tombe bien, elles ne le sont pas. Elles non plus.

Illustration : l'affiche de France nature environnement sur les algues vertes.source Rue 89

05:24 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : algues vertes |  Facebook |

25/07/2010

La deuxième vie des algues vertes

Nuisibles quand elles recouvrent les plages, les algues vertes peuvent être valorisées. Si l'épandage sur les champs reste le principal débouché, d'autres filières se développent.

Pas moins de 60 000 m3 d'algues vertes ont été ramassées en Bretagne l'an dernier. Une plaie pour les collectivités chargées d'en débarrasser leurs littoraux, un handicap pour l'industrie du tourisme, dont la clientèle fuit les plages. Mais que deviennent ces tonnes de végétaux une fois retirées des plages ? Plusieurs options existent pour tirer bénéfice de cette envahissante matière première.

 

Un engrais efficace

L'épandage constitue le principal débouché des ulva lactuca le procédé concernerait 80% de la «laitue verte» ramassée. Cette technique qui consiste à déposer des algues fraîches, riches en azote, sur des parcelles agricoles pour servir d'engrais est avantageuse car efficace et peu coûteuse aucun traitement particulier n'est requis. Le procédé a toutefois ses contraintes : le transfert de la plage au champ doit être rapide, pour conserver à l'algue sa fraîcheur. Pour la même raison, la destination ne doit pas être trop éloignée du lieu de ramassage. A La Lieue de Grève dans les Côtes d'Armor, «les camions ne rayonnent pas au-delà de 25 km», explique Gwenaëlle Briant, coordinatrice des bassins versants de la Lieue de Grève.

L'agriculteur bénéficiaire de l'épandage est en outre tenu de signer une convention stipulant qu'il s'engage à tenir compte de l'apport azoté que représentent les algues dans son bilan de fertilisation, pour respecter le pH du sol, précise Gwenaëlle Briant. Pour la même raison, une même parcelle ne peut être couverte d'algues qu'une fois tous les cinq ans.

L'autre débouché majeur pour les ulves consiste à les mélanger à d'autres végétaux verts pour produire du compost. Plus coûteuse elle nécessite pour les collectivités locales de faire appel à des prestataires extérieurs - cette solution est particulièrement prisée à la fin du printemps, lorsque l'épandage est impossible dans les champs couverts de cultures. Elle a toutefois l'avantage de donner une valeur économique à une matière première gratuite. Et contrairement à l'épandage, le compost peut être utilisé par tous et sans contraintes.

 

Un produit difficile à exploiter

Intéressantes du point de vue de leur composition, les algues sont toutefois difficiles à utiliser au niveau industriel, car leur production est irrégulière et imprévisible. Et les contraintes pour les transformer ne sont pas minces. Il faut les traiter dans les 3-4 jours après qu'elles se sont échouées sur la plage pour éviter qu'elles ne pourrissent. Humides, elles sont difficilement transportables car elles contiennent énormément d'eau. Asséchées, elles sont beaucoup plus maniables mais il faut pour cela disposer d'un combustible peu cher à proximité. «C'est faisable si vous disposez d'une station d'épuration qui dégage des gaz, par exemple», souligne Yannick Lerat, responsable de la plateforme analyses et gestion des connaissances au Centre d'étude et de valorisation des algues (Ceva). Il faut en outre les débarrasser du sable qu'elles contiennent quand on les ramasse sur la plage - un processus assez délicat. Mais une fois réduite en farine ou en galettes, l'ulve voit sa valeur exploser : 2000 à 3000 euros la tonne.

Une fois «stabilisée», la matière est éligible pour un certain nombre de transformations industrielles, souligne Yannick Lerat. «Les algues vertes peuvent intervenir dans la fabrication de nombreux produits. Cosmétiques, produits chimiques, matériaux comme le carton ou les plastiques, nourriture pour les animaux, voire pour les hommes».

Autre piste envisageable, la production d'énergie. «Le processus de méthanisation, au cours duquel les algues dégagent du gaz, et donc produisent de l'énergie, au contact de bactéries, est déjà utilisé dans des projets pilotes au Japon. Le problème, c'est que son rendement n'est pas fantastique et qu'il émet du souffre, corrosif pour les installations », explique Yannick Lerat. La fabrication de bioéthanol, un carburant à base d'algues vertes, fait aussi l'objet de plusieurs recherches en France. «Pour l'instant, le rendement n'est qu'à 10 ou 20%. Il faudrait pouvoir monter à 50%», relève le spécialiste.....sourceextraits  le figaro 240910

commentaire : fraudrait enfin penser à faire du préventif

14/02/2010

12/02/2010 Algues vertes: Europe Ecologie annonce une requête à Bruxelles

ENVIRONNEMENT - Europe Ecologie prépare une requête auprès de Bruxelles pour contraindre l'Etat français à respecter ses obligations en matière de lutte contre les nitrates, à l'origine de la prolifération des algues vertes en Bretagne, a annoncé jeudi Guy Hascoët, tête de liste dans la région. Lire la suite...

 

"Nous préparons une requête devant la Commission européenne pour lui demander d'obliger l'Etat français à respecter ses obligations, a-t-il indiqué. Nous espérons être en mesure d'introduire cette requête avant le 14 mars" (date du premier tour des régionales). Guy Hascoët a regretté que le plan interministériel de lutte contre les algues vertes présenté la semaine dernière ne remettait en rien en cause le système de “co-gestion” de la politique agricole entre l’Etat et les tenants d’un modèle productiviste basé sur l’élevage intensif, considéré comme la principale cause du fléau. “C’est un plan dont la plume a été tenue par le président de la FNSEA”, a t-il dénoncé. "Cela fait 40 ans que l'Etat français s'assoit sur la loi" en ne respectant pas les directives européennes sur la qualité de l’eau, a ajouté Guy Hascoët.

source et extraits libération

(avec AFP)

13/02/2010

Algues vertes. Pas de révolution !

Le plan de lutte de l'Etat contre les algues vertes apporte de réelles solutions curatives à court terme. Mais, au final, la question de fond reste posée: quelle agriculture pour la Bretagne?...La prééminence du curatif et la part belle faite au volontariat nourrissent ce scepticisme.

Efficace mais...

«C'est vrai qu'on ne verra plus de cheval mort, ni d'algues vertes, cet été, sur les plages. D'un point de vue sanitaire et sécurité, c'est parfait. Mais valoriser des algues vertes et transformer du lisier en méthane ne résoudra pas le problème. Où sont les signaux forts sur la direction à prendre pour l'agriculture bretonne ? Comment continuer à aider une agriculture intensive qui ne cesse de perdre des paysans, de crise en crise et qui ne dégage que peu de valeur ajoutée?», interroge Jean-François Piquot (Eau et Rivières).

Pari incertain

Gilles Huet, également d'Eau et Rivières, hésite, par ailleurs à parier sur la réussite de contrats d'objectifs et d'appels à projets, «ce qu'on n'a pas réussi à faire depuis 25 ans. Que penser, aussi, d'un État qui remet sa responsabilité de réglementer à deux ou trois ans si ça ne marche pas?». Thierry Burlot, président du syndicat du Smitom de Launay Lantic, n'approuve pas «cet accompagnement du produire plus». Par ailleurs, à l'instar d'Yvette Doré, maire d'Hillion, il dénonce l'insuffisance de la participation de l'État dans le financement des plates-formes de compostage d'algues vertes: «80% de l'investissment, c'est 700.000 EUR, plus 600.000 EUR de fonctionnement par an à la charge de nos territoires. Qui paiera?».

«Pollueur payeur?»

«C'est à ceux qui créent un dommage de payer», estime Denis Baulier (collectif Urgence Marées Vertes) qui fustige ce plan «hors la loi», qui ne s'appuie pas sur le critère de la qualité du produit. «Un bon plan», estime, au contraire, Jacques Jaouen, président de la Chambre régionale d'Agriculture. Olivier Allain, président de la Chambre des Côtes-d'Armor, lui, se félicite que, dans ce dossier, «le pragmatisme et le bons sens aient prévalu sur les directives». S'ils sont satisfaits que le principe de l'expérimentation sur deux bassins ait été retenu, les agriculteurs auraient souhaité partir sur la méthanisation dès2010. Ils restent également prudents quant à certaines mesures: «20% de zones humides, cela pourrait remettre en cause les plans d'épandage». Et, à terme, l'avenir de certaines exploitations. En tout cas, pas question de remettre en cause le système intensif, ni la possibilité d'extension des élevages: «Question de survie». Ce à quoi s'oppose, aussi, Bruno Le Maire.

Tournant manqué?

«Mais on peut produire moins et gagner bien sa vie», assurent YannYobé (Agriculteurs biolo....

Extraits et source letelegramme

02/12/2009

Algues vertes: condamnation de l’Etat confirmée en appel

JUSTICE - La cour administrative d’appel de Nantes a confirmé la condamnation prononcée en octobre 2007 par le tribunal de Rennes qui avait reconnu la responsabilité de l’Etat dans la prolifération des algues vertes sur le littoral breton. Lors de l’audience en appel, le rapporteur public avait relevé une “pratique générale défaillante des préfets” alors qu’ils avaient “obligation d’agir”.

Lors du premier procès, le tribunal, soulignant la responsabilité des nitrates d’origine agricole dans le phénomène des marées vertes, avait également souligné les carences de l’Etat dans l’application des règlementations nationales et européennes. Dans son jugement, la cour d’appel de Nantes a sensiblement augmenté les indemnités accordées aux associations écologistes.

“Cette décision est une victoire historique pour les associations et une date clef pour le littoral breton, a réagi Jean-François Piquot, porte-parole d’Eau et Rivières dans un communiqué. L’Etat est mis face à ses responsabilités, il doit cesser de tergiverser”.

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PHA

Commentaires

Tout le monde sait d'où vient cette pollution.
Et pourtant on augmente la cause en autorisant des extensions légales et en laissant faire les illégales. Un éleveur de porcs autorisé pour 4.000 têtes en a couramment 6.000 !
Amis bretons buvez de l'eau minérale !

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Rédigé par: meduse r | 01/12/2009 à 12:38

habitant proche de la baie de saint-brieuc, je suis complètement concerné par les algues vertes, effectivement il faut stopper les extensions d'élevages et revenir rapidement à des cultures adaptées à notre région, terres de prairies et d'élevage. La condamnation de l'état est justifiée, les engagements pris ne sont pas tenus.

Rédigé par: lanoë | 01/12/2009 à 13:09

Je trouve ça quand même un peu fort de ne dénoncer que les préfets là ou le coupable est clairement l'agriculteur...

On est face à un double problème, d'un coté les algues vertes et les risques qu'elles impliquent..
De l'autre, les agriculteurs et leurs sempiternelles grèves, leurs blocages et saccages divers et variés dès qu'on touche à leurs habitudes..

Délicat

Rédigé par: xplisite | 01/12/2009 à 15:59

Bon sang, mais c'est quoi ça? Qu'un préfet hésite à faire fermer une exploitation, je peux le comprendre. Mais qu'il en autorise de nouvelles, dans la situation où nous sommes, ça devient intolérable!

Rédigé par: Lacuzon | 01/12/2009 à 16:30

source 01/12/2009 extrait libération

08/10/2009

Haltes aux Marées Vertes et Bleues : soutenez ces actions

Courriel  internautes : Cyber @ction 330  S-EAU-S



Le collectif Haltes aux Marées Vertes et Bleues  réuni le 7 octobre à Hillion se réjouit du succès de la manifestation qui le renforce dans son action.


Au lendemain de la superbe manifestation d'Hillion le 27 septembre, était signé le contrat de bassin versant du Gouessant, en présence de nombreux élus et des services préfectoraux. L’objectif que se fixe ce programme est en déphasage complet avec celui que s’assigne le Premier Ministre pour mettre fin aux marées vertes. En effet il ne vise qu'à la potabilité de l'eau, et se satisferait donc d'un taux de nitrate annuel de 49 mg/l, très au-dessus des exigences de 10 mg/l maximum pour éradiquer les marées vertes.

Comment mieux dire l'irresponsabilité de décideurs qui laissent filer une pollution dont l'impact sanitaire n'est plus à démontrer.

Quel camouflet pour les milliers de manifestants qui sont venir dire à Hillion : ça suffit.

Depuis 20 ans on nous balade avec des promesses de lendemains qui chantent et les extensions d'élevage continuent.

Nous devons exiger de nos responsables qu'ils mettent leurs actes en conformité leurs actes avec leurs discours. (dernier discours en date : celui de Chantal Jouanno, Secrétaire d'Etat à l'Ecologie le 12 septembre sur France Culture : "Il n'y aura plus aucune extension d'élevage, sous quelque forme que ce soit").

Pour le Collectif Haltes aux Marées Vertes et Bleues

Alain Uguen Association Cyber @cteurs

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C'EST FACILE : A VOUS DE SUIVRE LES 6 ETAPES SUIVANTES :

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Vérifiez que les 2 adresses apparaissent bien

rajouter
Gérard Mével Vice-président du Conseil régional chargé de la Qualité de Vie, de l'Eau, des Espaces Naturels et des Paysages gerard.mevel@region-bretagne.fr
Loic Cauret Président du Pays de Saint Brieuc contact@pays-de-saintbrieuc.org
Loic Raoult Vice Président du Conseil Général chargé de l'agenda 21 groupe.socialiste@cg22.fr
Yvette Doré Maire d'Hillion contact@mairie-hillion.fr

6- Envoyez le message

Par cette action, vous ferez connaître votre opinion au Préfet des Côtes d'Armor, aux élus signataires du Contrat de Bassin Versant et à Cyber @cteurs pour nous permettre d'évaluer l'impact de cette action.

25/08/2009

Algues vertes: les associations interpellent François Fillon

ENVIRONNEMENT - Cinq jours après la visite du Premier ministre sur la plage de Saint-Michel en Grèves, où un cheval a été victime début juillet des émanations toxiques des algues vertes, des associations écologiques bretonnes ont exprimé leur "grosse colère".

“Le Premier ministre a annoncé un “plan d’actions” mais n’a surtout pas voulu remettre en cause le système productiviste agricole actuel qui est à l’origine de la pollution des eaux, dénonce Denis Baulier, ancien président du réseau Cohérences. C’est toujours le même discours. On fait appel à la dépense publique mais on ne touche pas au système”.
Avec d’autres responsables d’associations (1), Denis Baulier a voulu réaffirmer mardi matin, lors d’une conférence de presse, qu’une autre agriculture est possible, moins favorable aux nitrates qui vont nourrir les algues vertes.
“Pour reconquérir la qualité de l’eau, il ne faut pas plus de dépenses publiques mais au contraire faire des économies sur chaque exploitation agricole en substituant au maïs l’herbe et la luzerne”, préconise le militant écologiste.
Aliment principal des animaux en élevages intensifs, le maïs présente en effet de gros inconvénients: il ne développe pas de racines assez profondes pour aller “pomper” les nitrates enfouis dans le sol et nécessite des engrais qui contribuent encore davantage à la pollution. Pauvre en protéines, il oblige en outre les agriculteurs a importer des quantités de soja “phénoménales” pour complèter l’alimentation des animaux. Autant de handicaps qui disparaitraient, explique Denis Baulier, en ayant recours aux prairies et aux champs de luzernes, plante pérenne aux racines profondes.
“Les seuls obstacles à cette solution sont les lobbys du machinisme agricole et des produits phytosanitaires qui font pression depuis des décennies sur les chambres d’agricultures et défendent le statu quo car ils ont tout à perdre et que les enjeux financiers sont énormes, souligne Denis Baulier

Extraits du 25/08/09 + d'infos cliquez sur libération