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08/08/2010

Jardin, balconnières : combattez naturellement les insectes !

En agriculture, l’utilisation abusive et systématique des traitements chimiques a fini par appauvrir les sols et développer des résistances chez les nuisibles. Ainsi, depuis les années 1950, le nombre d’espèces d’insectes capables de survivre aux insecticides est passé d’une dizaine à environ 450 ! Pour le jardinage, préférez donc la lutte biologique.

Combattez naturellement les insectes !
Introduire des coccinelles dans votre potager, c'est le protéger contre les pucerons sans porter atteinte à l'environnement ! Crédit photo : © NeptuneTech - Fotolia.com

Alternative écologique aux traitements chimiques, la lutte biologique consiste à introduire un prédateur pour qu’il dévore les nuisibles. La coccinelle se régalera par exemple des pucerons. Attention tout de même à l’espèce que vous choisissez, histoire de ne pas déstabiliser le milieu naturel. Longtemps, l’espèce vendue fut d’origine asiatique, et cette dernière menace aujourd’hui la coccinelle européenne.

De la même façon, ne cherchez pas à faire fuir les hérissons, les oiseaux, les musaraignes, ou les reptiles. Certes, ils mangeront un peu de vos plantations. Mais ils vous débarrasseront aussi des insectes, des larves ou des limaces. Vous pouvez même favorisez leur venue grâce à de petits aménagements simples : nichoirs, petite marre, tas de branchage,… Ou en plantant des fleurs riches en pollen et en nectar dont certains insectes prédateurs (coccinelles, carapes, punaises,…) raffolent.

source développement durable

Commentaire : en + vous faites des économies et vous favorisez la biodiversité sous réserve de bien prendre des éspèces indigènes

01/05/2010

Binez votre jardin pour économiser de l’eau !

Les besoins en eau augmentent plus vite que la population de la planète : depuis 1990, elle a été multipliée par trois, quand la consommation mondiale d’eau l’a été par sept ! Alors lorsque vous prenez du plaisir dans votre jardin, pensez à économiser l’or bleu !
Binez votre jardin pour économiser de l’eau !
Biner son jardin vaut deux arrosages, selon l’adage ! Crédit photo : © OSCAR - Fotolia.com

Un arrosage du jardin représente environ 200 litres d’eau (l’équivalent d’un bain) : un véritable luxe. Mais il existe un moyen très efficace de réduire cette quantité : le binage. Biner son jardin vaut deux arrosages, selon l’adage !

Cette opération consiste à casser la croûte superficielle pour éviter la remontée de l’eau par capillarité et son évaporation à la surface du sol. De plus, vous empêcherez de la sorte aux racines de s’étouffer, histoire que la plante croisse normalement. Vous bloquerez aussi la croissance des ivraies.

source Yann Cohignac site developpementdurabl

22/04/2010

Louez ou échangez des jouets pour vos enfants

Communiqué :

En tant que parents nous aimons varier les jouets de notre enfant pour favoriser son éveil et surtout pour lui faire plaisir.
Acheter régulièrement des nouveaux jouets et les revendre quand l'enfant s'en est lassé prend du temps et finit par coûter cher.
C'est pour faciliter la vie aux parents modernes mais économes que nous avons imaginé et créé notre service de location.
Avec notre service de location, vous pouvez gratuitement échanger les jouets quand votre enfant s'en est lassé. Les jouets qui ne servent plus n'encombrent pas votre maison et vous disposez toujours de jouets adaptés à l'âge de votre enfant.

voir le site en cliquant ici

09/11/2009

Initiative originale hier à Achenheim, une commune de la périphérie de Strasbourg : des habitants ont donné le surplus de leurs jardins pour garnir les espaces verts de la commune

Ecologique et solidaire
Hisbiscus, houx, épicéas, les plants déposés à la salle polyvalente ou devant les portes par les habitants d'Achenheim étaient variés, à défaut d'être très nombreux. Cette opération était la première : « C'est une démarche écologique et solidaire, un geste de participation. Il s'agit d'éviter de jeter et de récupérer ces plants pour agrémenter nos espaces verts », soulignait Jean-Jacques Fritz, maire d'Achenheim, en accompagnant le tracteur et sa remorque, ainsi que les deux agents municipaux qui ont procédé au ramassage.
Un acte de politique environnementale qui donne le coup d'envoi à d'autres opérations....

extraits 08/11/09 des Dernières nouvelles alsace

Commentaire : un exemple à suivre car il fait daire des économies à la collectivité entière...

29/08/2009

Calendrier du jardinier : quand planter vos légumes et semences

Quels légumes pour quelles saisons ?

source arehn.asso.fr

Légumes
Printemps
Eté
Automne
Hiver
Ail
Artichaut
Asperge
Aubergine
Bette
Betterave rouge
Brocoli
Carotte
Céleri à côtes
Céleri-rave
Champignons

Chicorées
Chou de Bruxelles


Chou pommé
Chou-fleur
Concombre
Courgettes
Cornichon
Cresson
Echalote
Endive


Epinard
Fenouil
Fève
Haricot en grains
Haricot vert
Laitue
Mâche

Navet
Oignon
Oseille
Pâtisson
Petit pois
Pissenlit

Poireau

Poivron
Pomme de terre
Radis
Potiron

Rhubarbe
Tomate

15/08/2009

Chalet Tournesol

Dans la série « habitats insolites » : la maison Tournesol, à Chauffayer, dans les Alpes du Sud. Une maison d'hôte en forme de soucoupe volante, tout en bois, qui tourne avec le soleil. « Un sysstème automatique permet de suivre la courbe du soleil, explique Patrick Marsilli, concepteur de Domespace. On peut à tout moment rectifier ou arrêter la rotatio n. » Autre solution possible, le pilotage électronique. A l'intérieur de la maison, la rotation est imperceptible. Seul le paysage évolue.

Un système astucieux, mis au point en 1988, qui permet l'hiver de profiter au maximum du soleil et de se protéger du vent. « En hiver, nous faisons tourner la maison toutes les quinze minutes pour garder les baies vitrées orientées au sud, déclare Isabelle Mascart, propriétaire de la maison Tournesol....

extraits du monde 05/08/09

Martine Picouët

 


13/03/2009

Retenons toutes les leçons du New Deal

Comme la crise de 1929, la crise actuelle a deux faces. La face émergée, c'est évidemment la crise financière. Des exigences de rentabilité incompatibles avec l'économie réelle, entretenues par la multiplication d'innovations financières, se sont effondrées comme des châteaux de cartes, lorsque les anticipations des marchés se sont retournées.

Mais il y a aussi l'autre face : la pression constante sur les salaires résultant de ces exigences de rentabilité a profondément creusé les inégalités entre les revenus salariaux et les revenus du capital. L'économie américaine a continué à croître dans les années 2000, alors même que le salaire médian stagnait, grâce à une demande alimentée par l'endettement des ménages les plus modestes. Cette situation s'est retrouvée de façon moins marquée dans tous les pays européens, y compris en France. Comme à la veille de la crise de 1929, la mondialisation libérale a conduit à une formidable accumulation de la richesse au sein d'une petite minorité de la population.

Si, contrairement à la crise de 1929, les gouvernements ont su éteindre transitoirement l'incendie financier et éviter des faillites bancaires par une injection massive de fonds publics, ils n'ont pas pris la dimension des changements profonds qu'il faudrait introduire dans la régulation mondiale pour répondre réellement à ce qui est la première grande crise de la mondialisation libérale.

Après la crise de 1929, Roosevelt prit des mesures radicales, séparant en 1933 les banques d'affaires des banques de dépôt et introduisant une régulation stricte de ces dernières, avec une conviction forte : les banques qui détiennent des dépôts exercent en quelque sorte une mission de service public. Elles ne doivent pas faire courir de risques au système des paiements en spéculant sur les marchés financiers. Elles doivent donc être soumises à une régulation stricte et, en contrepartie, l'Etat garantit qu'elles ne tomberont pas en faillite.

Avec le New Deal, il a jeté les bases de l'Etat-providence moderne dans un pays où cette culture de la protection sociale était totalement étrangère. C'est cette généralisation à l'Europe des politiques publiques, conjuguée au développement de l'Etat-providence et à une économie financière fortement régulée qui a contribué à la longue période de prospérité de l'après-guerre, lorsque prévalait le système de Bretton Woods.

Mais il est un autre domaine où Roosevelt bouleversa profondément et durablement les règles : les inégalités. A la veille de son arrivée à la Maison Blanche, le taux marginal de l'impôt sur les revenus les plus élevés n'était que de 25 %. Il le fera passer à 63 %, et il atteindra 91 % en 1941. Pendant un demi-siècle, les Etats-Unis vivront avec un taux marginal d'imposition sur les très hauts revenus proches de 80 %. Cette fiscalité dissuasive sur les très hauts revenus conduira à une forte réduction des inégalités avant impôts (et a fortiori après) ; situation que l'on retrouvera dans presque tous les pays industrialisés dans l'après-guerre.

La dérive des hautes rémunérations n'a pas de justification économique. Elle contribue au contraire à la perte de confiance dans le système économique. Qui peut croire que le travail d'un salarié dont la rémunération moyenne est de 1,6 smic, d'un cadre moyen ou d'un patron de PME, dont la rémunération moyenne est de 3 smic, a 100 ou 200 fois moins de valeur que le travail d'un patron du CAC 40 qui, en cumulant stock-options et bonus, touche plus de 300 smic par an ! Dans la période des « trente glorieuses », où les chefs des grandes entreprises et des banques se préoccupaient d'abord de leur métier de patron, les écarts de rémunération étaient dix fois plus faibles et l'économie s'en portait bien !

Dans ces trois domaines, régulation, action publique, inégalités, l'efficacité économique est très éloignée du credo libéral qui a conduit l'économie mondiale dans le mur. On comprend mieux les difficultés que rencontre Nicolas Sarkozy pour répondre efficacement à la crise. Les valeurs sur lesquelles il a fait campagne et dont témoigne le paquet fiscal de l'été 2007, dernier avatar de « l'économie du ruissellement », sont aux antipodes des politiques qu'il faudrait conduire aujourd'hui. Contraint par l'ampleur de la crise à imiter des politiques qu'il bannissait de son vocabulaire, il est aussi mal armé pour mettre en oeuvre une vraie politique de relance que pour contribuer aux nécessaires réformes de l'économie mondiale.

L'Amérique a tourné la page de George Bush et ouvre une autre époque avec les premières mesures de Barack Obama. Empêtrée dans une idéologie dépassée, la France de Nicolas Sarkozy risque d'être longtemps hors jeu.

Pierre-Alain Muet édition le Monde du 10.03.09

Conclusion : la coordination des politiques économiques des Etats membres de l'Union Européenne est un impératif non suffisant. Il faut déstructurer les banques en séparant les activités de spéculation des banques de leur activités de dépôt, d'une part, et de leurs activités d'assurances, d'autre part. Les agences de notation doivent être strictement contr^lées par un office d'audit du gouvernement pour éviter les fausses notations, car rémunérées par les audités à qui elles attribuents justement la note...

18/09/2008

Edito environnement économique

Les USA se réveillent avec une gueule de bois après avoir fait marché la planche à billets et prété via leurs banques aux particuliers des sommes supérieures à leurs capacité de remboursemnt.

Ce phénomène n'existe pas en Europe. N'empêche, lorsque vous souscrivez sur les conseils de vos banquers des sicav monétaires (panier de produits dont on ne connait pas le détail de la composition) qui soit disant rapportent 5 à 6 %, vous prenez un porduit financier masqué qui contient probablement des ingrédients dangereux dont vous seuls supportez les risques. Le banquier se rémunère en prenant une commission.

Conclusion : seuls les produits réglementés sont aujourd'hui garantis par l'Etat.

Comme le Prix Nobel d'Economie, M. Stiglitz, gardons-nous tout de même de verser dans le pessimisme entretenu par les médias car cette crise boursière devrait être moins grave que celle de 1929 même s'il se prémunir d'"un excès de confiance".