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19/06/2017

FAMILY AIR une pétition à signer pour réduire la pollution sur Strasbourg

FAMILY AIR est un collectif regroupant des parents, des enseignants, des personnels de la petite enfance soucieux de la qualité de l’air que nous respirons. L’hiver a été ponctué de pics de pollution et nous souhaitons des mesures concrètes et efficaces.  

Les pics de pollution sont  trop nombreux dans notre région et la pollution de fond, la plus nocive, respirée tous les jours, est trop élevée. Les enfants en sont les premières victimes : troubles respiratoires, augmentation des naissances prématurées, maladies cardiovasculaires. Un collectif de 120 médecins strasbourgeois a lancé l’alerte en 2015.

Les effets négatifs de la pollution ne s’arrêtent pas aux alertes hivernales. Une étude allemande précise la relation entre l'exposition aux polluants atmosphériques et l'augmentation du risque d’asthme chez les enfants. La pollution atmosphérique accroît les effets allergènes des pollens, favorise les troubles ORL et contribue à l'allongement de la période de pollinisation.

Nous aimons notre ville et nous voulons pouvoir y vivre dans de meilleures conditions.

ATMO Grand Est  (agence chargée de la mesure de la qualité de l’air en Alsace) atteste d’une amélioration de la qualité de l’air. Or la pollution n’est pas mesurée dans son intégralité. Les particules ultrafines, les plus nocives, sont exclues des mesures. Nous demandons qu’ATMO Grand Est puisse se doter des outils adaptés.

Cet hiver, la vallée de l'Arve, qui mène au Mont-Blanc,  en Haute-Savoie, a connu un pic de pollution d'une durée exceptionnelle de 30 jours. Les habitants ont dénoncé l’inertie des autorités. L’Etat et la région ont réagi conjointement. Un plan ambitieux est mis en place. Nous pensons que la vallée du Rhin doit réagir !

Le collectif FAMILY AIR propose des solutions pour une amélioration rapide de la qualité de l’air dans notre ville. voir le lien ci-dessous :

https://www.change.org/p/alerte-allergies-et-pollution-%C...

14/02/2014

Conseil municipal du lundi 17 février 2014

 

Conseil municipal du lundi 17 février 2014
 
Le Conseil municipal de la Ville de Strasbourg aura lieu le lundi 17 février. Il fera l'objet d'une diffusion en direct sur notre site internet.
Points principaux concernant la Robertsau
 
point 6 : Mise à disposition des locaux du Kaysersguet situé à la Robertsau à l'association centre d'Information des Institutions Européennes
 
point 20 :  Vente à la République Populaire de Chine de terrains rue de la Carpe Haute  Robertsau en vue de la construction d'un nouveau Consulat
Publié le 13/02/2014

Le Conseil municipal de la Ville de Strasbourg aura lieu le 17 février à partir de 15h00 en la Salle des Conseils du Centre Administratif. Il fera l'objet d'une diffusion en direct sur notre site internet.

> Télécharger l'ordre du jour complet au format PDF.

15/05/2010

Kaysersguet : le « lieu d'Europe » ?

Klaus Schumann, ancien directeur général des affaires politiques au Conseil de l'Europe, entre à son tour dans le débat sur le devenir de la villa Kaysersguet et de l'implantation d'un « lieu d'Europe ».

Les Robertsauviens s'inquiètent du devenir du Kaysersguet, belle maison de maître du début du XIXe siècle, propriété municipale à l'angle de la rue Boecklin et de l'allée Kastner.
En mai 2009, lors d'une visite dans le quartier, le maire promet une large concertation en vue d'un projet permettant une utilisation régulière de la villa par les habitants de la Robertsau. Le collectif « Kartier Nord » avait en effet souhaité un projet alliant culture et convivialité pour les quelque 26 000 habitants du quartier qui - selon leurs dires - ne disposeraient pas d'équipement culturel digne de la Robertsau. On a alors évoqué un café avec un théâtre, ou des locaux pour l'école de musique qui doit quitter le collège.
Parallèlement, et depuis de nombreuses années, des associations, des élus, des citoyens souhaitent la création d'une véritable vitrine de l'Europe à Strasbourg, ouverte aux millions de visiteurs annuels de la capitale alsacienne. Strasbourg est devenue capitale européenne grâce à la présence et l'action des multiples institutions européennes.
En référence au projet « Eurodom » porté, il y a une dizaine d'années déjà, par « Strasbourg- Promotion-Evénements », un comité de soutien « Pour un lieu d'Europe à Strasbourg » s'est engagé en faveur de la création d'un lieu d'accueil, de mémoire, de connaissance et d'émergence d'une identité européenne. Ce serait en effet un point d'attraction pour Strasbourg et la région créant ainsi une nouvelle dynamique économique et touristique.

L'Europe « de » et « à » Strasbourg

Le comité de soutien a fait des nombreuses enquêtes auprès des citoyens quant au contenu, au nom et à la localisation du futur lieu d'Europe.
Au conseil municipal du 26 avril 2010 le maire a présenté une communication écrite sur les orientations stratégiques européennes et internationales de Strasbourg. Cette communication souligne la forte dimension européenne de la ville qui mérite d'être plus solidement inscrite dans son paysage urbain. Ceci nécessite un lieu de découverte de l'Europe qui présentera son histoire et qui fera connaître l'action européenne en associant les citoyens et les institutions européennes, le Pôle universitaire et le Pôle européen d'administration publique. La communication parle d'une « Maison de l'Europe » qui a pour mission de doter Strasbourg d'un espace permettant aux citoyens strasbourgeois, touristes et visiteurs de découvrir l'Europe « de » et « à » Strasbourg.
La veille de la réunion du conseil municipal, les DNA annoncent que le maire a décidé que le Kaysersguet deviendra la Maison de l'Europe et que cette décision sur sa localisation est ferme et définitive.
Le lundi suivant, au conseil municipal, l'ensemble des élus accueille très favorablement le principe et la nécessité de créer à Strasbourg un lieu fédérateur qui donnerait visibilité et crédibilité à son statut de capitale européenne. Mais il n'y a pas unanimité sur la localisation et de la dimension nécessaire d'un tel site qui doit être un véritable pôle d'attraction pour des centaines de milliers de visiteurs annuels de la ville.

Le danger d'une « maisonnette de l'Europe »

Il est évident que le Kaysersguet ne répond pas aux exigences symboliques et spatiales d'un lieu d'Europe pour Strasbourg. Il est aussi évident que les Robertsauviens souhaitent que cette villa trouve une affectation au service des citoyens et des visiteurs du quartier européen. Des propositions dans ce sens ont été faites lors du débat au conseil municipal notamment par Robert Grossmann (reprise dans les DNA du 4 mai). Un tel centre pourrait s'ouvrir régulièrement à des manifestations littéraires pour l'ensemble des pays membres du Conseil de l'Europe. Au lieu de vouloir opposer Kaysersguet - lieu d'Europe, il faut prendre en considération leur complémentarité.
Le danger est de faire du Kaysersguet une « Maisonnette de l'Europe », qui ne répondrait pas aux exigences d'une véritable stratégie européenne et internationale pour Strasbourg
, surtout si on tient compte de la remarque du maire : « Ce que l'on dépense ici, on ne pourra pas le dépenser ailleurs », disait-il en 2009.
Mais les budgets à mobiliser sont aussi une fonction des ambitions et des buts qu'on souhaite d'atteindre. Et la création d'un lieu d'attraction dédié à l'Europe n'a rien de budgétairement irréaliste. Avec la création du « Vaisseau », le conseil général a prouvé qu'un lieu de découverte des sciences et des techniques pouvait connaître un véritable succès populaire attirant des centaines de milliers de visiteurs, bien au-delà de la région et des frontières. Strasbourg mérite un « Vaisseau européen », et c'est un projet dont les études sont financées par le contrat triennal 2009-2012 « Strasbourg Capitale Européenne » dont les partenaires sont la Ville, la CUS, le conseil général, la Région et l'État.
La question n'est pas de trouver « à tout prix » une solution pour le Kaysersguet, mais de rendre le rayonnement européen de Strasbourg plus lisible, attirant et accessible au plus grand nombre possible de citoyens européens.

source dna du 15.05.10

30/01/2010

au cinéma l’Odyssée à Strasbourg le mardi 2 février 2010, à 18h Entrée gratuite: conférence-projection « les milieux aquatiques d'Alsace

A l’occasion de la journée mondiale des zones humides, la Région Alsace, la Ville de Strasbourg, la DREAL Alsace et Alsace Nature vous invitent à

une conférence-projection au cinéma l’Odyssée à Strasbourg
le mardi 2 février 2010, à 18h.

Serge Dumont, plongeur et naturaliste alsacien, commentera en direct ses images tournées dans les milieux aquatiques d’Alsace.
En immersion totale, découvrez la plaine d’Alsace comme vous ne l’avez jamais vue !

Venez nombreux assister à la conférence-projection
« les milieux aquatiques d'Alsace : une biodiversité à découvrir ! ».

La conférence-projection est tout public : pour petits et grands, pour novices et initiés !
Entrée gratuite.

13/05/2009

Strasbourg : le vélo partagé est urgent

Pour que Strasbourg garde un vélo d'avance, la municipalité va continuer à développer le réseau de pistes cyclables, les arceaux, et engager une « bataille culturelle » en faveur de la bicyclette. Sur le très attendu dossier du vélo en libre service, en revanche, aucune avancée notable.

« Faire du vélo un instrument du quotidien ». C'est ce que voudrait Roland Ries, maire de Strasbourg, qui présentait hier les lignes blanches de la politique du vélo PS-Verts, avec Alain Jund, adjoint chargé de l'urbanisme.
S'il existe « une même orientation [en faveur du vélo] au-delà de l'alternance politique » (Ries) qui fait que Strasbourg reste « largement en tête » du peloton des villes cyclables de France (le vélo y représente 10% des déplacements, contre 2 à 3% à Paris, Lyon ou Bordeaux), la capitale alsacienne doit « regarder ailleurs », outre-Rhin notamment, afin de « changer de braquet » (Jund). Pas mois de 25% des déplacements se font à bicyclette à Karlsruhe, voire 27% à Fribourg.

Trouver un concept
made in Strasbourg

Et pour passer à la vitesse supérieure, l'objectif étant d'atteindre les 20% à Strasbourg, son maire entend « développer les infrastructures qui sécurisent [l'usage du vélo] » à l'instar des pistes cyclables (DNA du 22 avril), « lutter contre le vol » en favorisant le stationnement sécurisé ou gardé, notamment dans des parkings (DNA du 13 décembre), et livrer une « bataille culturelle » pour que le biclou devienne « un instrument de déplacement à égalité de dignité avec les autres », comprenez la voiture.

extraits dna

Mar 12 mai 2009

+ de détails voir

http://www.dna.fr/local/strasbourg/20090512_DNA004168.html

25/09/2008

Atteinte à la diversité des médias en Alsace

 

 

Rectification SCOOP Cette opération daterait après retour de plusieurs personne de plus de 6 mois. Donc rectification : reste que le problème de la concentration des médias en Alsace interpelle.

Atteinte à la diversité des médias en Alsace

Nous venons d'apprendre le rachat du quotidien les Dernières Nouvelles par le Groupe du Crédit Mutuel Europe.

Cela confirme aussi, après le rachat du quotidien l'Alsace par ce même groupe il y a quelques années, d'un risque grave quant à l'emprise et une main-mise sur le contenu rédactionnel des 2 seuls quotidiens traditionnels existants en Alsace.

Toutes les chartes visant à protéger la rédactiion des journalistes et de leur indépendance sont souvent bafouées dans les faits. De nombreux exemples récents dans la presse nationale l'ont malheureusement largement démontré.

 

 

10/08/2008

Enfin du nouveau à la Robertsau

Voilà enfin la mise en route effective de ce que nous demandons depuis plus de 2 ans....

Merci à celles et à ceux  qui ont soutenu notre démarche en signant la pétition (180 signatures) et nos actions rpétées auprès de l'Adjoint au Maire ainsi qu'au niveau du Conseil de quartier.

200800809.Rue Lejeune.jpg

09/07/2008

Strasbourg-Robertsau : projet d'urbanisation secteur Sainte-Anne

zonestanne robertsau.jpgCette réunion met en évidence d'une part, l'insuffisance de la concertation avec les riverains et, d'autre part, le manque de vision globale sur l'agglomération avec ce simple projet d'urbanisation localisé.

Ici, on construit d'abord .....et on doit plus s'étonner qu'ensuite la problématique des déplacements va revenir comme un boom-rang sur un secteur déjà totalement saturé.....

La situation sera totalement bloquée.

L'expérimentation  interdiction de tourner à gauche dans la rue du Général Lejeune en venant du nord (ici c'est un grave problème de sécurité des riverains qui est traité) restera largement insuffisante pour traiter les vrais problèmes de fond.

A quand donc un plan global d'urbanisme et de déplacement ?... Il ne faut jamais désespérer.

Donnons à  la nouvelle municipalité un peu de temps pour prendre ces problèmes à bras le corps

 

Strasbourg
Robertsau / Urbanisation derrière Sainte-Anne

Nexity 2, le retour
La nouvelle municipalité, après avoir bataillé dans l'opposition pour plus de transparence sur le projet, vient de valider l'urbanisation d'un terrain derrière la clinique Sainte-Anne.

« Je dois vous dire que ce soir, c'est le genre de réunions que nous ne souhaitons plus avoir », a démarré l'adjointe de quartier Nicole Dreyer, lundi, au foyer Saint-Louis. « A savoir que nous arrivons devant vous avec un projet ficelé ». « On appelle cela un coup parti » a renchéri le premier adjoint Robert Herrmann. En clair, la nouvelle équipe renvoie la responsabilité de l'affaire sur l'ancien « tandem » au pouvoir.
Les précautions oratoires étant épuisées, il a fallu entrer dans le vif du sujet pour les riverains, à savoir que l'urbanisation se fera, avec la société Nexity - pressentie déjà par l'ancienne municipalité -comme aménageur. « Il était de notre obligation de poursuivre ce projet », a précisé Philippe Bies, vice-président de la CUS en charge du logement. « Mais nous l'avons accommodé à nos propres orientations ».

Demande de
moratoire


Le lotissement continue de répondre à certaines normes de développement durable et « permet » d'élargir la voie Philippe-Thys, qui deviendra l'entrée principale de la clinique Sainte-Anne d'ici la fin de l'année. De nouvelles conditions ont été fixées par la ville. Tout d'abord, une densification du bâti : on passe de 200 à 250 logements.
Deuxième changement : la part de logements sociaux imposée aux futurs promoteurs monte de 20 à 35% (soit 87 appartements). Le prix de cession aux bailleurs descend, lui, à 150 € HT le m². Cette deuxième modification affirme une ville « solidaire », selon les termes du premier adjoint.
A l'ADIR (association de défense des intérêts de la Robertsau), on ne trouve pas la démarche plus pertinente qu'avant mars 2008. « C'est un projet de 20 hectares et on ne nous en présente que 4 », a attaqué Jean-Daniel Braun. « La circulation et la voirie n'ont pas été étudiées. Il s'agit là d'un dossier d'intérêt privé au détriment de l'intérêt général ».
Et de poursuivre : « Si on étudie les observations du préfet concernant le premier arrêté de lotissement, on peut remettre en cause la promesse de vente des terrains ». Et d'exiger un moratoire, en attendant un projet d'urbanisme global pour le quartier. « Nous avons besoin de logements, de manière urgente dans cette ville », a martelé à nouveau Robert Herrmann en réponse.
« La révision du PLU (plan local d'urbanisme) fera l'objet d'ateliers urbains », rassure le premier adjoint. « Le nouveau PLH (plan local de l'habitat) amènera des concertations », enchaîne Philippe Bies. « Ces documents d'orientation organiseront l'avenir de notre agglomération. Mais en attendant, on ne pourra pas arrêter le développement de la ville ».

« Le monde à l'envers »

Pour ce qui est de la taille du projet, un technicien de la CUS, informe : « Nous ne faisons que 4 hectares parce que les 20 n'étaient pas réalisables sans une voie routière nord-sud supplémentaire ». Ce ne sont pas les riverains qui diront le contraire. Les problèmes de circulation au carrefour de la Papeterie, qui sera impacté par les nouveaux logements mais aussi par le retournement de l'entrée principale de Sainte-Anne, ils les vivent au quotidien. « On nous fait d'abord les équipements, ensuite les routes, c'est le monde à l'envers », s'énerve une dame.
Un intervenant s'inquiète de la santé de ses petits-enfants qui fréquentent l'école de la Niederau, « à deux pas du carrefour le plus pollué de Strasbourg ». Personne ne contredit Jean-Daniel Braun lorsqu'il évoque 25 000 véhicules par jour à ce carrefour de la Papeterie : « Or, les spécialistes considèrent qu'une deux fois une voie est saturée à partir de 8500... ».
C'est entendu. Robert Herrmann promet qu'on reverra de manière plus fine la circulation dans le secteur. Nicole Dreyer a annoncé qu'en août, serait testée une interdiction de tourner à gauche dans la rue du Général Lejeune en venant du nord.
« A quand les nouveaux immeubles ? », demande une dame. « Oh, une année pour aller au tribunal administratif, une autre pour faire appel... », égrène ironique, Jean-Daniel Braun. La modification du plan d'occupation des sols sur le secteur a fait l'objet d'un recours par l'ADIR et l'affaire est pendante. Philippe Bies veut croire qu'on pourra en discuter encore avec les intéressés. « Les premiers bâtiments devraient être construits d'ici 2011 ».

Marie-Sophie Kormann
Édition dna du Mer 9 juil. 2008