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07/11/2010

Enquête Comment gérer sa "e-réputation" extraits LEMONDE | 01.11.10

Googler" quelqu'un : cet anglicisme n'est pas encore passé dans le langage courant. Il résume néanmoins une pratique répandue chez les chasseurs de têtes. Un candidat postule pour un emploi : le recruteur va faire une recherche de son nom sur Google puis recueillir, en quelques clics, une multitude d'informations. "Google est devenu le prolongement naturel de la pensée du recruteur", affirme Emmanuel Dupont, associé du cabinet BeeTwin, spécialisé dans la recherche de cadres....

Ne pas se tromper de réseau. "En France, pour être recruté, il faut avoir un profil visible sur les deux grands réseaux professionnels LinkedIn et Viadeo....

Faire attention à ses amis. Les réseaux sociaux sont une façon d'afficher quels sont vos "amis", personnels ou professionnels. Des informations, là aussi, décortiquées par les recruteurs. "Lorsque nous recherchons un candidat, nous regardons s'il risque d'être sur ou sous-dimensionné, explique Sophie Wigniolle, spécialisée dans la recherche haut de gamme. Un indice intéressant est alors le positionnement de son réseau. A-t-il ou non un bon niveau de contact ?" Autre sujet d'attention, le nombre d'amis affichés : "Je suis dubitatif lorsque je vois un profil avec 500 ou 800 contacts. Cela sonne creux", analyse Emmanuel Dupont. "Il faut être vigilant et ne pas aller à la chasse aux amis, abonde Johann Van Nieuwenhuyse. Limiter son profil Facebook à une communauté précise, que l'on connaît...

Eviter d'exposer sa vie privée. Une charte, déposée par l'association Acompetenceegale.com a été signée en 2007 par 46 cabinets pour s'engager notamment à ne pas regarder des informations relatives à la vie privée sur des sites comme Facebook ou Myspace. "Cela n'empêche pas nos clients entreprises d'aller y faire un tour, précise Antoine Lecoq, signataire de la charte. Je donnerai comme conseil général de ne rien mettre de privé en ligne." Une recommandation partagée par tous les recruteurs.....Pour Morgan Van Haeck, du même cabinet : "Il faut plutôt se faire photographier de manière sobre, bien fixer ses paramètres de confidentialité sur Facebook pour que les photos privées ne soient accessibles qu'aux vrais amis."

Commentaire : quelques évidences qui sont rappelées à bon escient pour tous les candidats à un emploi...

13/06/2010

Fontself personnalise les messages sur Internet par une écriture manuscrite

Franz Hoffman et Marc Escher, cofondateurs de Fontself. (Bertrnad Rey)

Franz Hoffman et Marc Escher, cofondateurs de Fontself. (Bertrnad Rey)

La start-up lausannoise, soutenue financièrement par Index Ventures Seed Fund, a lancé il y a un mois une série d’applications en ligne, disponibles sur Facebook, Yahoo! Mail ou MySpace

Meubles design et ambiance décontractée dans ce vaste bureau aux hauts plafonds, aménagé aux Ateliers de la Ville de Renens. La jeune équipe de Fontself se déplace, pour certains, en planche à roulettes à travers les bureaux de l’ancienne usine de collants Iril. L’influence de l’Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL) est indéniable. Le graphiste et designer Franz Hoffman, cofondateur de Fontself, est d’ailleurs issu de cette école.

En 2008, il a créé avec l’informaticien Marc Escher la start-up Fontself qui compte aujourd’hui huit collaborateurs. «Nous voulions redonner une identité aux personnes qui rédigent un blog, envoient un e-mail ou participent à un réseau social», explique Franz Hoffman. Et selon lui, cette identité passe par une écriture personnalisée.

Après deux ans de développement, Fontself a lancé il y a un mois une série d’applications en ligne, disponibles sur Facebook, Yahoo! Mail, MySpace ainsi que Blogger – la plate-forme de blogs de Google – ou Netlog – un réseau social pour adolescents. Les internautes ont la possibilité d’y utiliser gratuitement un catalogue de près de trente alphabets réalisés par des graphistes et illustrateurs. «Ils peuvent dès lors envoyer des messages uniques, comme s’ils avaient été écrits à la main, souligne Franz Hoffman. Ces polices de caractères exotiques et colorées annoncent une nouvelle génération de typographies qui répond au besoin grandissant de personnalisation dans les communications sur la Toile.»

extraits letemps 08.06.2010

28/08/2009

Le Canada contraint Facebook à mieux protéger la vie privée

Extraits LEMONDE.FR avec AFP | 28.08.09


Les 250 millions de membres revendiqués par Facebook vont bénéficier de l'aboutissement de négociations entre le Canada et le réseau social visant à mieux protéger la vie privée de ses usagers. La commissaire canadienne à la protection de la vie privée, Jennifer Stoddart, a en effet obtenu, après un an d'enquête, que le site Internet de socialisation procède à plusieurs modifications, dont celle de supprimer toutes les données personnelles des utilisateurs lorsque ceux-ci clôturent leur compte. Jusqu'à présent, ces renseignements étaient conservées indéfiniment, ce qui est contraire à la loi canadienne. Dans un souci de clarification, le réseau social s'engage à informer ses membres que la désactivation de leur compte n'implique pas la suppression de leurs données personnelles. Pour l'obtenir, le compte doit être liquidé définitivement.

Les autres modifications visent à interdire l'utilisation de données personnelles stockées sur Facebook pour la confection de jeux ou de quiz, à moins que les membres concernés l'acceptent explicitement. De même, Facebook doit demander aux membres de ne pas mettre sur le site d'adresses électroniques de non-membres sans leur consentement, et informer les usagers que les pages personnelles des personnes mortes seront préservées pour que leurs amis puissent s'exprimer et leur rendre hommage.

"CONTRÔLE COMPLET"

La mise en œuvre de ces modifications prendra jusqu'à un an et bénéficiera au monde entier, a dit la commissaire.

 

 

17/02/2009

FACEBOOK, attention danger suite 2

Danger sur Fesse bouque suite 2

Ne jouez surtout pas à renseigner le profil de vos contacts sur Face Book, le jeu vous conduit à de la délation.

Ce matin, un mail est parvenu dans ma boîte. Une amie à qui je n’avais pas envoyé de mail depuis près de 3 mois m’invite à voir le message en question sur « fesse bouque ». Je clique forcément confiant et en toute sécurité pour arriver sur le message en question. Elle me lance une boule de neige. Ludique une seconde, puis franchement, rien de particulier. Puis, un autre message de sa part figure dans ma boîte fesse bouque, elle aurait parlé de moi. L’application, après m’avoir informé que cette amie pouvait parler de moi en mon absence m’invite à chercher de quoi il était question. Pour cela, il m’a fallu commenter le profil de certains de mes contacts. En commentant, je gagne 5$ virtuels qui additionnés me permettent pour un montant de 20$ de découvrir l’identité d’un commentateur de mon profil. Je commence à répondre à une question anodine : Est-ce que vous inviteriez Sandrine chez vous ? Oui. Est-ce que Jean aime le sport ? Oui. Est-ce que Sandra aime la bière ? Non. Est-ce que Pierre chanterait à tue-tête dans son salon ? Heu…. Oui. De question en question, je me rends compte d’une chose horrible soudainement, je suis en train de renseigner le profile de mes contacts. Bien entendu, j’ai vite arrêté mais j’ai voulu voir quelle était la nature des questions suivantes. Aussi, me propose-t-on pour Raphaël : Est-ce qu’il a déjà eu une dette de moins de 100 $ envers un ami qu’il n’aurait pas remboursée ? Là, nous sommes dans la délation la pire qui soit. Avant, lorsque j’arrivais dans un réseau social, je renseignais mon profile, je conservais certaines informations personnelles pour éviter les spam notamment. Puis, certains réseaux ont mis une fonction en avant qui est la recommandation. Nous sommes sur des critères positifs et en soi, ce n’est pas choquant. Mais souligner un souci d’argent, des défauts, des détails intimes à caractère personnel, c’est passer une ligne dangereuse.En allant plus en avant, on me demandait si une telle amait draguer dans les transports en communs.

.....

lire la suite en cliquant sur

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=51319

et les commentaires laissés sont édifiants

quittez et supprimez tout avant de partir même si c'est indélébile ou alors écrivez que de l'insignifiant

11/02/2009

FACEBOOK, attention danger

Environement humain (suite)

Commentaires : C'est une drogue dont on a du mal à se défaire et toutes les informations personnelles sont inscrites à vie..... Eloignez-vous de ce produit au plus vite et surtout ne mettez RIEN SUR VOS PROCHES SANS LEUR ACCORD (enfants en particulier)

et ce n'est pas l'accord signé ce jour qui change quoi que ce soit :

""Dix-sept sites de socialisation en ligne actifs en Europe, dont Facebook et MySpace, ont signé un accord, mardi 10 février, visant à limiter les risques pour les mineurs, a annoncé la Commission européenne.

Les sites signataires sont Dailymotion, Facebook, Google/YouTube, Microsoft Europe, MySpace, Yahoo! Europe, Netlog, Arto, Bebo, Giovani.it, Hyves, Nasza-klaza.pl, One.it, Skyrock, StudiVZ, Sulake/Habbo Hotel et zap.lu.""......

extrait le Monde du 10/02/09

  • Facebook non merci, par Alexis Altazin

J'ai tenu un site Web perso (ca ne s'appelait pas encore un blog) depuis 1996. Avec l'arrivée de Google, du tout-gratuit-si-on-peut-t-inonder-de-pub-ciblée, je me suis rendu compte de ce que l'on pouvait faire avec les informations publiques. Oui, lorsque j'allais rencontrer de nouveaux partenaires de travail, ça m'est arrivé de les "googler" – je faisais une recherche sur eux. Histoire de les connaître et de briser la glace. Quand on voit tout ce qu'on peut trouver de public (et je ne parle pas de ce que des hackers peuvent trouver avec leurs outils warez) sur tout un chacun, je préfère garder mes données pour moi, utiliser un site de partage limité et sécurisé, et que je contrôle seul. Alors Facebook, je connais le concept mais j'évite. Qui sait, mon prochain employeur n'apprécie pas forcement certains de mes péchés de jeunesse, ou ne voudra simplement pas prendre le risque. Mieux vaut un casier jud... – pardon Facebook – vierge que d'avoir à s'expliquer sur tel ou tel détail.

  • Un outil qui peut être dangereux, par François Coste

Ma compagne et moi avons récemment mis fin à notre relation et si nous ne l'avons caché à personne nous ne voulions pas que nos amis et notre famille l'apprennent via Facebook. Nous souhaitions modifier les informations personnelles qui indiquaient que nous étions en couple, mais discrètement. Pendant deux jours, j'ai parcouru les forums afin de savoir comment changer ce statut sans lancer une alerte générale. J'ai suivi les explications et recommandations que j'avais glanées mais en pure perte : notre rupture a ainsi été publique malgré nous, et nous avons ressenti une réelle intrusion dans notre vie privée.
Par exemple, on peut ne pas avoir envie d'informer l'ensemble de ses collègues qu'on traverse une crise personnelle majeure. Il devrait être plus simple de modifier ses informations personnelles une fois que l'on a pris conscience de ce problème. Malheureusement, la manière dont Facebook est conçu incite à publier ce type d'informations tout en rendant certaines manipulations qui permettraient de les protéger par la suite très complexes (il faut par exemple vraiment savoir où se rendre dans les options pour ne pas retrouver son profil en résultat de recherches Google). Je ne vois plus Facebook avec le même regard aujourd'hui.

  • Fonctionnellement génial, inintéressant dans l'utilisation que chacun en fait, par Stéphane Aboab

Voilà, comme tout, cela va finir par lasser. Pendant une longue période c'est sympa de savoir qu'un tel s'est gratté le nez ou qu'un autre a mis son pull rouge, mais bon les informations finissent par être d'un banal déconcertant. En effet, on est à la limite entre le blog et la messagerie instantanée. Le blog permet de figer un témoignage, la messagerie instantanée permet d'exprimer immédiatement les futilités du moment. Donc, si on s'amuse à figer des futilités, cela devient d'un navrant.
Car oui, même si vous avez 100, 200, 300 "amis", 95 % des informations diffusées par chacun d'entre nous et à découvrir sont des banalités de tous les jours.
Facebook n'a d'intérêt que pour le partage des médias (existait déjà, ex. Google Picasa), rester en contact avec une personne éloignée pour suivre son aventure et lui poser des questions (existait déjà, ex. les blogs, les e-mails), discuter en live avec ses amis (existait déjà, ex. MSN), etc... Cependant, regrouper toutes ces facettes dans un même outil reste LE point fort de Facebook. Mais bon, mis à part quelques albums photos, la plupart des gens n'ont finalement pas grand-chose d'intéressant à raconter. Mais est-ce vraiment le but de Facebook : être intelligent, source de débat, intéressant ? Pas sûr...

  • Adieu Facebook ,! par Thierry Milherou

Facebook est une vaste fumisterie, j'y ai adhéré trois mois avant de me rendre compte que cela ne m'apportait absolument rien. Comme beaucoup d'autres, il m'a suffit de deux minutes pour organiser mon "suicide numérique" et décrocher de ce site chronophage, et cela ne me manque aucunement. Si on mettait bout à bout toutes les minutes perdues par les millions d'utilisateurs, on aurait un capital temps qui permettrait sûrement de lancer de grands projets ! A cela s'ajoute une ergonomie désastreuse, un site moche, à l'affichage mal conçu, et où l'on se perd en gadgets et notifications abrutissantes. J'ai du mal à comprendre le succès et l'engouement suscités. Je suis peut-être déjà trop vieux.

  • Facebook en toc, par Papillon

Je me suis inscrite sur Facebook et me suis rapidement désinscrite. Facebook n'est pas un moyen de communication mais un réseau dont il faut absolument faire partie : je suis fondue dans la masse et je ne vois jamais les gens que je prétends connaître mais c'est pas grave. Facebook c'est le règne de l'apparence. Ci-dessous, un texte de Paul Hervé Parsy sur l'artiste poète humaniste, vivant même mort, l'excellent Robert Filliou :

"A l'heure où les réseaux électrotechniciens voudraient faire croire à l'arrivée d'un nouvel âge de la communication entre les hommes, comment ne pas penser au rêve de l'Eternal Network que Robert Filliou voulait peu à peu tisser sur la planète Terre, dont l'horizon se serait aboli dans une fusion poétique de l'Orient et de l'Occident. Mais les principaux outils auxquels il recourait étaient tout simplement l'Imagination et l'Innocence, et cela ne l'empêchait pas de dire bonjour à son voisin, surtout à son voisin. Aujourd'hui, crispé sur sa machine, rivé à ses écrans, l'homme n'en finit pas de dresser des murs de silence, pour mieux oublier sa solitude, troublée par la pauvre lueur des scintillements cathodiques."

 

extrait LEMONDE.FR | 06.02.09

10/02/2009

«Big Brother»: les Lords anglais tirent l'alarme"

""Laurent Bonelli, maître de conférences en science politique à l'université de Nanterre, est l'auteur de La France a peur. Une histoire sociale de l'insécurité (La Découverte, 2008) et codirecteur, avec Didier Bigo et Thomas Deltombe, d'Au nom du 11 septembre... Les démocraties à l'épreuve de l'antiterrorisme (La Découverte, 2008). Comment la notion de sécurité s'est-elle imposée dans le débat politique français au risque de supplanter la défense des libertés ?

Le contraste est assez saisissant entre la situation actuelle, où l'on bat des records d'incarcérations et du nombre de personnes placées sous la main de la justice, et le consensus qui existait durant les années 1950-1970. A cette époque, on considérait que la délinquance était surtout liée à "des ratés de socialisation" que les progrès sociaux et économiques finiraient par résorber. Droite, gauche, acteurs de ce domaine croyaient à la réinsertion.....

Quel rôle l'antiterrorisme a-t-il joué sur la notion de sécurité ?

On ne peut pas séparer l'antiterrorisme des lois sécuritaires, même s'il a des dynamiques propres. Là encore, il existe une continuité parfaite entre les différentes lois qui l'organisent, de celle de 1986, centralisant la justice antiterroriste et créant une police spécialisée, à celle de 2006, où l'application des peines est à son tour concentrée au tribunal de grande instance de Paris. La prochaine étape devrait être celle de la spécialisation des présidents de cour d'assises. Les attentats du 11 septembre 2001 n'ont pas changé grand-chose en France dans ce dispositif. Nous avions déjà trouvé une troisième voie, que l'ancien directeur de la direction de la surveillance du territoire, Pierre Bousquet de Florian, appelait la "neutralisation judiciaire préventive".....

Va-t-on vers une société de fichage généralisé ?

Nous sommes dans une logique d'extension du contrôle. Je ne crois pas en une montée en puissance d'un Big Brother. Ce n'est pas parce qu'il y a des technologies de surveillance qu'on va tout savoir. Ce n'est pas parce qu'on collecte un maximum d'informations qu'on peut toutes les traiter. Néanmoins, cela peut avoir de lourdes conséquences. Le STIC (principal fichier de police) peut ainsi priver des jeunes sans qualification de trouver un emploi dans la sécurité privée, alors même qu'ils sont reconnus innocents par la justice.

De manière plus générale, il n'existe pas de débat contradictoire sur la sécurité souhaitable dans notre société. La majorité des mesures sont prises dans l'urgence, quand ce n'est pas dans le secret, comme le fichier Edvige, qui a bien failli ne même pas être débattu au Parlement. Or dans ce mouvement, ce sont surtout les libertés des groupes marginaux qui sont sacrifiées. Même en matière de petite délinquance, si la justice rapide s'appliquait à tous les groupes sociaux, personne ne le supporterait.""
Propos recueillis par Isabelle Mandraud et Alain Salles
Extraits le monde 04.02.09

De même cela pose problème en Grande Bretagne , car ce pays est encore plus enfoncé dans le dispositif

""Si rien n'est fait… Si la Grande-Bretagne continue sur cette voie sans un vaste débat public, elle se prépare, selon les Lords, un avenir sombre. Au menu, « perte d'autonomie et de dignité personnelle », « stigmatisation et exclusion » et « climat de peur et de suspicion ».
Un rapport de la Chambre des Lords de Grande-Bretagne, championne du monde de la vidéo-surveillance et du recueil d'ADN, pointe les dangers et dérives de ces techniques.
«Big Brother»: les Lords anglais tirent l'alarme""
Laurent Suply le Figaro 06/02/09

Enfin ne pas nous leurrer sur Facebook, fluck et autres réseaux sociaux  du même calibre : tout ce que vous avez indiqué est conservé à vie et nous suivra jusqu'à votre dernier souffle.. et au-delà.

Alors prudence, car vous ne pourrez plus rien annuler....

 

exemple de fausse bonne idée et de précaution qui s'avèrent pas sécurisante du tout sur Facebook :

""extraits récents du 04/01/09

''La première chose à laquelle il faut faire bien attention, c'est de mettre votre profil en mode privé. Si vous ne le faites pas, vous risquez de mettre alors toutes vos informations, vos photos et votre liste d'amis accessibles à tous les membres de Facebook. Ensuite, un autre point important pour éviter de rendre accessible votre profil à n'importe qui, est d'accepter uniquement les gens que vous connaissez sur votre liste d'amis. Si une personne inconnue vous envoie une invitation pour vous ajouter sur sa liste d'amis, deux possibilités s'offrent à vous: soit vous refusez tout simplement, soit vous lui faites parvenir un courriel pour lui demander qui elle est.

Il ne faut pas avoir peur de Facebook et du Web en général. Si vous prenez d'abord toutes les précautions mises à votre disposition, vous ne risquez rien du tout. Voilà, vous pouvez maintenant recommencer vos recherches d'amis, afin de renouer contact avec eux''....

autre réponse plus sérieuse

''De plus, certains internautes ont cherché à enquêter un peu sur Facebook et disent avoir réussi à retirer assez d'informations personnelles sur certains utilisateurs peu attentifs pour réaliser un vol d'identité. Facebook, face à ces attaques, a essayé de corriger le tir en augmentant la sécurité des données... Mais, il faut admettre que vous ne savez pas trop où sont stockées toutes les informations et photos que vous mettez de vous, et quelle utilisation pourrait un jour en être faite.

L'autre danger de Facebook réside dans les multiples applications qui sont disponibles pour enrichir votre profil. Certaines de ces applications sont soupçonnées de faire entrer des programmes malveillants sur votre ordinateur. Bref, si l'utilisation de Facebook peut vous rendre de grands services, il convient de l'utiliser avec prudence!

Vos amis, il vaut mieux les rencontrer en réel non et ne pas vous mettre tout nu dans la toile car nous allez prendre froid dans le dos.''

 

02:05 Publié dans éthique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : facebook, fluck |  Facebook |

11/01/2009

Sur Facebook, les mafiosi sont sympas

On vous l'avait bien dit. Danger .....de Facebook et autre réseaux sociaux sont vampirisés par des réseaux mafieux et autres de très mauvaise fréquentation.

Un conseil  désincrivez-vous rapidement et essayez...d'effacer vos traces cela ne va être coton..

"Peut-on impunément encenser les parrains de Cosa Nostra sicilienne sur Facebook, le site de socialisation ? Apparemment oui. Les dirigeants du network de Palo Alto, en Californie, ont fait savoir que la censure ne faisait pas partie de leur politique. En l'occurrence, ils ne feront rien contre les groupes de fans de mafieux tels que Toto Riina et Bernardo Provenzano qui se sont manifestés à travers le site et provoqué un tollé en Italie pour avoir qualifié les parrains, entre autres, d'"hommes d'honneur", d'"incompris" et d'"innocents" dont "il faut baiser la main".

Problème : la tolérance du site semble être à géométrie variable. Ces mêmes dirigeants de Facebook viennent en effet de retirer les "profils" mis en ligne sur le site par des mamans les montrant alors qu'elles allaitent leurs enfants. Ces images seraient "obscènes". Une double morale qui a mis en colère les internautes. Et même si nombre d'experts se sont évertués à expliquer le paradoxe américain où un mamelon peut se révéler troublant pour le sentiment commun tout autant que la liberté d'expression rester toujours sacrée, la révolte couve en ligne......

suite sur http://abonnes.lemonde.fr/archives/article/2009/01/07/sur...