Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/01/2014

Objectif réduction des Gaz à effet de serre : Bruxelles propose de réduire les émissions de 40% d'ici à 2030

A l'issue d'un intense débat, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a proposé, mercredi 22 janvier, aux 28 Etats membres de l'Union européenne (UE), de réduire de 40 % leurs émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030 et de pousser la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique à 27 %.

Ce dernier chiffre, « contraignant » au niveau européen, ne serait assorti d'aucune obligation nationale, contrairement à l'actuel paquet énergie-climat qui encadre la politique climatique jusqu'en 2020. Ce plan, adopté en 2009, contraint l'UE à diminuer ses émissions de 20 % par rapport à 1990, à porter la part des renouvelables à 20 % et à améliorer son efficacité énergétique de 20 %.

M. Barroso a qualifié ce nouveau compromis d'« ambitieux et réalisable ». Il permettra, selon lui, de réduire la dépendance énergétique du Vieux Continent et de préserver la compétitivité des entreprises, tout en donnant à l'Europe sa « part équitable » dans la lutte contre le changement climatique.

Il doit maintenant être validé par le Parlement et les gouvernements, ce qui est loin d'être une formalité tant les divisions demeurent grandes entre les pays. Et le temps est compté.

Les négociations internationales menées dans le cadre de la Convention des Nations unies sur les changements climatiques doivent aboutir au premier accord mondial engageant tous les grands pays émetteurs lors de la Conférence de Paris, en décembre 2015....extraits lemonde

05/06/2010

L’UE émet moins de CO2

4,9 milliards de tonnes d’équivalent CO2 ont été émis en 2008 dans l’UE selon l’Agence européenne pour l’environnement, soit 99 millions de tonnes de moins qu’en 2007. Alors que l’UE s’est engagée à réduire en 2020 ses émissions de gaz à effet de serre de 20 %...

Bonne nouvelle

26/03/2010

Observez en temps réel les émissions de CO2 de la planète !

La planète respire. Vous pouvez maintenant la voir en temps réel grâce au site en cliquant ici

21/01/2010

Compte rendu Un mois après Copenhague, les Vingt-Sept restent divisés sur le climat

En ce qui concerne le climat, l'Union européenne (UE) est dans le bourbier : la réunion des ministres de l'environnement à Séville, vendredi 15 et samedi 16 janvier, a montré que, pour leur première réunion après la conférence sur le climat de Copenhague en décembre 2009, les responsables étaient incertains et hésitants.....

A Séville, les ministres ont surtout discuté de l'offre de réduction des émissions de gaz à effet de serre que pourrait faire l'Europe. Faut-il rester à l'objectif de réduction de 20 % en 2020, ou pousser à 30 %, pour tenter de débloquer les négociations dans la perspective de la réunion au Mexique, en décembre ?...

Les pays européens devront cependant, pour se conformer à "l'accord de Copenhague", présenter, le 31 janvier, le chiffre de leurs engagements de réduction des émissions.....l'accord de Copenhague, qui n'a été signé que par 26 pays, n'a pas de valeur juridique. Il ne précise pas la façon dont ces plans doivent être présentés.

....l'ONU reste le seul cadre formel dans lequel se poursuit la discussion internationale.

Hervé Kempf Extraits LE MONDE | 18.01.10 |

Commentaire : le point de vue d'Hervé KEMPF est pertinent. Il reste en effet beaucoup de points obscurs sachant que seulement 26 pays ont signé un accord flou à minima sur les 186 pays présents... Si les Européens signent pour une réduction de 30%, quelles mesures  seront prises pour éviter que nos entreprises situées dans l'Union Européenne ne soieent pas plus pénalisées par rapport aux pays peu regardants en la matière ?

 

 

17/12/2009

Comment limiter facilement sa consommation d’énergie pendant l’hiver ?

RAPPEL des bons gestes
Alors que les premiers grands froids de l’hiver sont arrivés ce week-end, l’ADEME rappelle les gestes malins à adopter pour limiter ses dépenses énergétiques et donc économiser de l’argent, tout en restant au chaud ! En effet, en période de grand froid, la consommation électrique des ménages français atteint des niveaux très élevés. De fortes consommations sur des périodes prolongées peuvent aboutir à des coupures ponctuelles de courant dans les zones les plus fragilisées. Pour répondre à cette forte demande, des moyens complémentaires de production d’électricité (centrales thermiques utilisant des énergies fossiles) peuvent être activés par les différents producteurs français. Ces moyens de pointe sont le plus souvent fortement émetteurs de CO2 ; il est donc indispensable de modérer avec encore plus d’attention notre consommation d’énergie durant ces périodes.

Au quotidien

- Garder un œil sur la température intérieure : 19°C dans les pièces à vivre, 16°C à 17°C dans les chambres, c’est bon pour la santé, le porte-monnaie et l’environnement. Passer de 20°C à 19°C, c’est réduire sa consommation d’énergie de 7%. Et en cas d’absence prolongée, mais aussi lorsque l’on est absent dans la journée, il est important de baisser le chauffage. Il est inutile de pousser les convecteurs électriques au maximum lors de l’allumage : ils ne chaufferont pas la pièce plus vite.

- Empêcher la chaleur de s’échapper : Fermer les volets la nuit et le matin avant de partir de chez soi empêche le froid d’entrer et permet ainsi de réduire sa consommation de chauffage. Il est toutefois indispensable d’aérer son logement : il suffit pour cela d’ouvrir les fenêtres 5 minutes par jour et de penser à éteindre les radiateurs à ces moments-là.

- Limiter sa consommation d’électricité : Pour limiter sa consommation d’énergie, il faut également penser à la consommation des appareils électriques : l’utilisation des lave-linge, sèche-linge et lave-vaisselle en dehors des périodes de pics de consommation, l’extinction des lumières inutiles ou encore la mise hors tension plutôt qu’en veille des équipements (Hi-Fi, ordinateurs…) permettent de faire des économies non négligeables. Le widget de l’ADEME rappelle au quotidien les gestes et astuces pour économiser l’énergie et maîtriser ses dépenses. Exemple de conseil : « Pour éviter les pertes d’énergie, réglez la flamme de votre brûleur à gaz pour qu’elle ne dépasse pas de la casserole ». Le widget est téléchargeable sur www.faisonsvite.fr/Widget.

En plus des petits gestes quotidiens, il est possible d’agir à plus long terme pour limiter sa consommation d’énergie.

- Bien isoler son logement : Pour limiter ses dépenses énergétiques, il est avant tout important de conserver la chaleur à l’intérieur du bâtiment, grâce à l’isolation. En isolant le toit ou les murs (10 à 20 % d’énergie épargnée), les planchers bas (5 à 10 %), en optant pour des fenêtres à double vitrage (un double vitrage à isolation renforcée améliore votre confort et permet des économies de chauffage de l’ordre de 10 %) et en veillant à l’étanchéité du bâti.

- Entretenir son chauffage, la clé pour maîtriser sa consommation d’énergie. Une chaudière régulièrement entretenue permet de réduire sa consommation énergétique de 8 à 12%. L’entretien, obligatoire tous les ans, est également indispensable pour la sécurité des habitants et permet de réduire le risque de panne et d’accroître la durée de vie du matériel. Si la chaudière a plus de 20 ans, le plus écologique et économique est de la remplacer ! En changeant son ancienne chaudière par un modèle « basse température », on économise de 25 % à 34% de consommation et si on opte pour une chaudière à condensation, on peut gagner de 30 à 40%.

- Réguler son chauffage. Pour maintenir une température constante dans une pièce, on peut poser un robinet thermostatique sur les radiateurs ou un installer un système de régulation (qui commande le chauffage en fonction d’une température choisie) ou une horloge de programmation (qui réduit automatiquement la température la nuit ou quand la maison est vide). On peut ainsi réduire sa consommation d’énergie jusqu’à 10% !

mardi 15 décembre 2009 source cdurable

- Plus d’astuces pour économiser l’énergie

09/12/2009

Reportage Des vélos aux éoliennes, la capitale du Danemark soigne son image de "ville verte"

Le canal de Nyhaven, à Copenhague.AFP/ADRIAN DENNIS

Le canal de Nyhaven, à Copenhague.

.....Copenhague ne part pas de rien. La cité de la Petite Sirène a déjà réduit ses émissions de CO2 de 20 % ces dix dernières années. 37 % des habitants vont travailler ou étudier chaque jour à bicyclette - on compte 560 000 vélos pour 519 000 habitants ! -, près de 15 % de l'électricité est produite par des éoliennes et 98 % des immeubles sont connectés à un efficace réseau de chauffage urbain. Résultat : "Un habitant de Copenhague émet moins de 5 tonnes de CO2 par an, contre 10 tonnes pour un Danois moyen, 20 tonnes pour un Américain", se félicite M. Bondam.

Pour atteindre son médiatique objectif, la ville vise d'abord une réduction supplémentaire des rejets de CO2 de 20 % d'ici à 2015. Comment ? En portant la part des cyclistes à 50 %, en améliorant l'isolation des bâtiments, en développant l'offre de transports en commun... mais surtout en faisant massivement passer sa production d'énergie du côté des sources renouvelables, alors que 73 % de l'électricité de la ville est aujourd'hui produite par du charbon, du gaz naturel ou du pétrole.

Grégoire Allix

21/11/2009

La crise relance le thème de la décroissance

Jusqu'alors cantonnées à des économistes en marge ou d'écologistes radicaux, les théories des décroissants (remise en cause de l'accumulation matérielle comme source d'épanouissement et de la croissance économique à tout prix) progressent. Des Verts à la gauche radicale, elles font des adeptes.

Il y a deux ans à peine, la thématique effrayait. Parler de sobriété économique était synonyme de limitation du progrès, un nouveau jansénisme triste. On raillait ceux qui voulaient revenir à la bougie comme on avait moqué les premiers écologistes et leur lait de brebis bio. Même les Verts se méfiaient du mot, le jugeant trop « raide ». A l'automne 2006, Yves Cochet, alors candidat à la candidature pour la présidentielle, avait perdu la primaire interne ; son discours ouvertement décroissant avait fait peur à ses camarades.

Depuis, la crise a sévi, la récession est là. La critique d'un système économique fondé sur la seule croissance des biens et de la consommation est générale. L'opinion n'y croit plus et d'aucuns découvrent la théorie de la tempérance. Selon un sondage IFOP- Sud-Ouest (réalisé les 8 et 9 octobre auprès de 955 personnes), 27 % des Français se disent « prêts à changer en profondeur leur mode de vie et à restreindre leur consommation de manière significative ». 53 %, en revanche, concèdent n'être prêts qu'à « des efforts limités ».

« On sent la montée en puissance de comportements écocitoyens et d'une consommation plus sobre mais ce n'est pas encore la décroissance », tempère Jérome Fourquet, directeur de l'IFOP. « Plutôt que de décroissance, il s'agit d'une autre croissance. Les Français ont envie d'un mode de consommation en harmonie entre ce qu'ils estiment bénéfique pour la société et ce dont ils ont besoin », complète Jean-Daniel Lévy, directeur de CSA-opinions. Le succès des Associations pour le maintien d'une agriculture paysanne (AMAP, un réseau d'achat du producteur au consommateur) le confirme....

Extrait paru dans l'édition du Monde du 15.11.09

04/10/2009

Bientôt une taxe carbone européenne contre le réchauffement climatique ?

L’amendement proposé à la directive de 2003 sur la taxation de l’énergie obligerait les Etats membres à lever une taxe CO2 sur les carburants afin de réduire leurs émissions.

La Commission reconnaît que le cadre politique de l’UE a radicalement changé depuis l’adoption des législations existantes, qu’elle souhaite mettre en phase avec les ambitieux objectifs climatiques de l’Union.

La proposition est à l’agenda de la Commission depuis l’an dernier mais elle est restée bloquée dans des consultations internes, selon des sources se confiant à EurActiv. L’exécutif de l’UE se préoccupe de nouveau de cette question après que la présidence suédoise de l’UE ait pesé dans cette direction. De plus, la Commission espère que cela pourrait donner à l’UE un levier pour s’assurer d’un résultat ambitieux lors des négociations climatiques des Nations Unies en décembre.

Ce nouvel élément lié au CO2 est destiné à compléter une taxe générale sur la consommation énergétique permettant aux Etats membres de collecter des revenus. Cette dimension supplémentaire créerait des taxes CO2 nationales qui pourraient être fixées à un niveau plus important – mais pas moins important – que les niveaux spécifiés par l’exécutif européen.

Le projet suggère qu’un impôt minimum de 0,01 euro par kilogramme de CO2 pourrait être ajouté au prix de combustibles comme le gazoil, le kérosène ou le gaz naturel. Les carburants pour moteurs seraient taxés 0,01 euro ou 0,03 euro par kg/CO2, selon l’endroit où ils sont utilisés.

L’exécutif européen se réserve le droit de proposer des taux plus élevés dans l’hypothèse où l’UE déciderait d’augmenter son objectif de réduction d’émissions, actuellement de 20 % en dessous des niveaux de 1990 pour 2020. L’UE s’est engagée à aller jusqu’à 30 % si les autres pays industrialisés l’accompagnent dans le cadre d’un nouveau traité climatique qui doit être négocié en décembre.

Les Etats membres devront appliquer ces taxes CO2 à partir de 2013, selon le projet de document.

Une taxe principalement pour le transport et l’agriculture

lire la suite en cliquant sur planeteinfo

02/10/2009

Autoroutes : limitation de vitesse à 110 km/h participez au sondage

Trés bonne mesure A ETENDRE A LA FRANCE ENTIERE, voire A promouvoir au niveau EUROPEEN.

Sans compter la réduction des émissions à effet de serre de 6%, signalons une diminution notable des accidents de la route de ...20% alors que le gain en temps est minime. Toute mesure est bonne à prendre surtout si elle ne coûte rien. Nous ne sommes donc en désaccord sur ce point avec la secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Chantal Jouanno.

Participez   en cliquant sur sondage

Plusieurs membres du gouvernement, dont la secrétaire d’Etat à l’Ecologie Chantel Jouanno, ont écarté hier la possibilité de généraliser, à court terme, la limitation de vitesse à 110 km/h aujourd’hui appliquée sur certains tronçons d’autoroutes, telle l’A31. « Ce n’est pas une mauvaise idée mais ce n’est pas LA mesure majeure qui nous permettra de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Ce n’est pas la plus importante», a notamment expliqué Jouanno.
source lerépublicainlorrain

Depuis 7 heures ce matin, les automobilistes lorrains doivent lever le pied. Dans la moitié des autoroutes de cette région, la vitesse maximale autorisée est ramenée à 110 km/h à titre d'expérimentation. La mesure «n’est pas une mauvaise idée» pour la secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Chantal Jouanno, «mais ce n’est pas la priorité. Ce qu'il faut c'est réduire globalement la vitesse», a-t-elle déclaré sur RMC.

Selon elle, passer de 130 à 110 km/heure permet cependant de limiter les émissions de gaz à effet de serre (responsables du réchauffement climatique) de 6%

source 20minutes

30/08/2009

Taxe carbone : l’exemple suisse

Faut-il créer un impôt nouveau en période de récession ? Si le principe de taxe carbone est largement admis, la question de sa compensation, intégrale ou pas, constitue une véritable usine à gaz. La neutralité fiscale du dispositif est loin d’être acquise ce qui amène l’UFC-Que Choisir à parler de hold-up fiscal . Dans ces débats byzantins, la lumière pourrait venir des Etats européens dans lesquels la taxe est déjà en vigueur. C’est le cas en Suisse depuis mai 2000.

Rassurons-nous. Même au pays de Guillaume Tell l’introduction de la taxe carbone a donné lieu à d’interminables palabres. Pragmatiques, nos voisins Helvètes ont fait le choix d’un champ d’application réduit au départ. A ce jour, la taxe ne couvre que les combustibles (mazout, gaz, charbon) et n’a toujours pas été étendue aux carburants.

Elle n’est pas considérée comme un impôt mais comme un simple dispositif technique de prélèvement puis de redistribution aux ménages sous la forme d’une déduction opérée sur leurs primes d’assurance maladie. Comme le rappelle le quotidien Genèvois Le Temps, “selon le type de construction, le mode de chauffage et le nombre d’habitants, la facture finale est allégée ou péjorée. Globalement, les familles nombreuses sont avantagées, de même que les habitations répondant aux normes environnementales les plus sévères“. Côté entreprises, celles qui s’engagent volontairement dans un programme de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre conformes aux objectifs climatiques sont exonérées.

Voici quelques pistes utiles qui font réfléchir

extraits  ....

source lire la suite sur naturavox

18/07/2009

Non aux méga-camions

Trop gros, dangereux et polluants
Mobilisons-nous contre les méga-camions


Un méga-camion, aussi appelé gigaliner, c’est un véhicule de plus de 25 mètres de long, un monstre pesant jusqu’à 60T. Autant dire un éléphant dans un jeu de quilles. Pourtant, leur expérimentation sur les routes vient d’être annoncée par le Ministère des Transports, juste au moment où les Français sont sur les routes des vacances.

3 raisons de dire NON aux méga-camions


1. Ils sont dangereux


Leur présence sur les routes augmentera le risque d’accidents graves. Dépasser un méga camion de plus de 25 mètres est loin d’être une partie de plaisir pour le conducteur. S’ils se déplacent en convoi exceptionnel, nos routes déjà embouteillées seront totalement bloquées.  

2. Ils coûtent chers

Pour qu’ils puissent circuler, d’énormes aménagements routiers seront nécessaires : agrandissements des carrefours, aménagement des bretelles d’accès, etc. L’Etat a d’autres priorités en période de crise !

3. Ils sont polluants

L’arrivée des mégas camions, ce sera encore plus de camions sur les routes comme le précisent de nombreuses études. Et donc toujours plus de CO2 dans l’atmosphère ! A l’heure des négociations en vue d’engagements internationaux sur le climat à Copenhague, la France roule en marche arrière !


Nous demandons l’abandon de toute expérimentation des méga-camions et la mise en place de mesures efficaces en faveur des autres modes de transports. Cette pétition sera envoyée au Ministre chargé de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer.

Si vous aussi êtes contre ces méga-camions cliquez sur le lien ci-dessous

source fne.asso



22/04/2009

Climat Le réchauffement réduit déjà le puits de carbone des forêts

On a l'habitude de considérer que seule la déforestation agit sur la capacité des forêts à stocker des gaz à effet de serre. Or, le changement climatique, en agissant notamment sur la fréquence des sécheresses et sur les ressources hydriques, perturbe déjà les écosystèmes forestiers. Dans un rapport publié jeudi 16 avril, l'Union internationale des instituts de recherche forestière (IUFRO) estime qu'au-delà d'une hausse des températures de 2,5 °C, les forêts pourraient libérer de grandes quantités de carbone et inverser ainsi leur rôle. « Au lieu de freiner le réchauffement, elles pourraient l'accélérer », avertissent les chercheurs en appelant les gouvernements à agir pour limiter ce phénomène.

28/11/2008

NIVEAU RECORD de gaz à effet de SERRE en 2007

Climat petit entrefilet dand l'actualité mais gravissime L'effet de serre dû à ce gaz sur le réchauffement climatique A ENCORE AUGMENTE DE 1% en 2007 sur 2006 et de près de 25% par rapport à 1990...

Mis à jour le 25 novembre 2008

Bulletin de l’OMM sur les gaz à effet de serre en 2007: les taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère atteignent de nouveaux records 
(état au 25 novembre 2008)

 

 

Les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère

à l’origine du réchauffement climatique continuent à augmenter.

En 2007, la teneur globale en dioxyde de carbone a totalisé

des niveaux record encore jamais atteints. Ces tout derniers

chiffres, publiés aujourd’hui dans le Bulletin sur les gaz à

effet de serre de l’Organisation météorologique mondiale

(OMM), traduisent la progression des émissions de gaz à

effet de serre depuis la Révolution industrielle.

cover

Plus de détail en français cliquer sur

communiqué N° 4 Novembre 2008 french ci dessous

WMO Press Releases:
English - French - Russian - Spanish