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28/04/2009

Hortefeux annonce une proposition de loi sur le travail du dimanche

Le ministre du travail, Brice Hortefeux, a annoncé, dimanche 26 avril, qu'une nouvelle proposition de loi sur le travail du dimanche "sera déposée dans les toutes prochaines semaines" et "débattue en juillet" par le Parlement. M. Hortefeux a jugé nécessaire qu'il soit possible de faire ses courses "dans tous les commerces de détail" dans "les zones touristiques et thermales", ainsi que dans certaines "grandes agglomérations", citant celles de Paris, Marseille et Lille.

En revanche, dans les autres zones, a-t-il souligné, "je n'ai pas évoqué l'augmentation du nombre de dimanches" durant lesquels les commerces peuvent être ouverts. Il faut permettre "aux salariés qui le souhaitent dans des zones bien définies, de pouvoir effectivement travailler volontairement", a martelé le ministre.

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extraits Le Monde 26.04.09

C'est proprement scandaleux d'obliger les salariés à devenir des esclaves. Faites-nous part de votre avis..

EMMANUEL R.

Déjà qu'on nous a retiré le lundi de Pentecote, quand vais-je pouvoir m'occuper des p'tits vieux de ma famille ?

Pierre H.

Monsieur Hortefeux veut être le ministre du travail le dimanche, pas le ministre du chômage. C'est son choix, nos concitoyens le partagent-ils? Que doit faire le ministre du travail: poursuivre la fuite en avant, en regardant les problèmes par le petit bout de la lorgnette et en refusant de protéger les Français, ou bien s'attaquer de front et courageusement au chômage.

Crapaud

Ca s'améliore. A part un zozo qui confond travail le dimanche et travail 24/24, ça a l'air d'être enregistré ;) A part les grenouilles de bénitier et les socialistes anti-NS, je ne vois pas qui ça va gêner.

mireille u.

Ma fille, divorcée, 3 enfants, diplômes inutiles et boulôt pourri cherche en vain un job lui permettant d'être avec eux le dimanche. Elle en crève. Dans notre société de surveillance et de fichages, les parents isolés qui sont loin de leurs enfants les jours fériés sont harcelés par les écoles et les services sociaux: bourreaux d'enfants!. Pour aller jusqu'au bout de cette logique destructrice, pourquoi ne pas supprimer la famille? Appartements communautaires? Orphelinats? Foyers? Au choix.

De mon maroquin

Fausse solution,à un faux problème!D'ailleurs ce n'est pas une proposition,c'est pire que de l'acharnement thérapeuthique!Tout en faisant diversion,ce énième projet tente de satisfaire une vieille lubie d'un certain Patronnat qui veut généraliser ce qui doit rester l'exception!Même les Médecins Généralistes comme tant d'autres, se sont organisés pour ne plus travailler le Dimanche!Pourquoi donc attiser inutilement la tension sociale,pour masquer la recrudescence phénoménale du chômage?

Sisyphe

@ Anne-Laure C. -> vous avez raison, faisons travailler les autres pour que vous puissiez vous "amuser" le dimanche dans les commerces ...

Sisyphe

On tire les salaires vers le bas, on précarise les salariés, on les pase à des 3/5 de temps, ils n'ont plus les moyens de financer les études de leurs enfants et après on leur propose de travailler le dimanche. L'argument : les salariés ont envie de travailler le dimanche. Quelle blague : oh oui je suis caissier et plutôt que de m'embêter le dimanche quelle joie que de travailler. Faisons comme les USA ... la crise actuelle est le signe d'un modèle exceptionnel et à suivre !

REMI M.

De toute manière les précaires (nous les étudiants par exemple) travaillons déjà le dimanche... Alors les discussions de bobos et cathos bien pensant sur les bénéfices du dimanche me font bien rire... Je veux pouvoir travailler plus le dimanche et être payer plus... Voilà..

parisienne

Ce gouvernement vit dans un autre monde, et agit guidé uniquement par une idéologie rétrograde et contraire au bien du plus grand nombre. Soyez Bolloré, ou soyez corvéable à merci! Vivement 2012!

SPARTACUS

il n'a rien d'autre à faire c'est encore de la politique spectacle typeNS ,en tant queministre del'immigration il devrait verifier si les cowboys de Wall Street qui possedent des usines chez nous et qui licencient sont en regle et leur envoyer les mobiles commeà Sangatte

 


HENRI C. :
c’est un changement de société que l’on nous propose
c’est aller beaucoup trop loin, c’est le seul jour de la semaine où les français peuvent se rencontrer et faire la fête ou jouer au sport
ne touchez pas au repos dominical, sinon c’est tuer les rapports sociaux

Metz va se doter d'une centrale à biomasse qui va permettre de réduire les émissions de CO2 de 57.000 tonnes par an, ce qui correspond à l’équivalent de CO2 émis par 14.000 véhicules parcourant 20.000 km/an

ECO-TERRE - La ville de Metz va se doter, d'ici 2012, d'une centrale à biomasse permettant d'alimenter le réseau de chauffage urbain et de produire de l'électricité. L'équipement, dont le coût est estimé à près de 45 millions d'euros, "devra permettre de réduire les émissions de CO2 de 57.000 tonnes par an, ce qui correspond à l’équivalent de CO2 émis par 14.000 véhicules parcourant 20.000 km/an", assure la ville.

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T.C.
voir le reste  en cliquant sur suite

 

27/04/2009

Les Français accros aux cabines de bronzage en ignorent les risques LE MONDE

Avec les premiers rayons de soleil et la perspective des vacances en bord de mer, nombre de Français se précipitent dans les cabines de bronzage qui pullulent dans les villes, pour, pensent-ils, "préparer leur peau pour l'été". Ils seraient plus de 8 millions dont 45 % d'hommes à faire régulièrement des UV, sans en connaître forcément les méfaits.

Selon l'Institut national du cancer (INCA), les cabines de bronzage non seulement ne préparent pas la peau en vue d'une exposition prolongée au soleil, mais les rayons ultraviolets artificiels n'ont aucun effet bénéfique pour la santé. Depuis 1997, la législation française concernant les UV interdit ainsi de "faire référence à un effet bénéfique pour la santé" dans toute forme de publicité. La direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a cependant récemment pointé quelques "publicités marquantes" vantant les effets bénéfiques des ultraviolets artificiels.

Ainsi, un institut de beauté en Midi-Pyrénées affirmait : "Si vous avez de l'acné, du psoriasis, l'UV radiation peut avoir un effet positif." Dans l'Aube, un autre centre avançait l'idée selon laquelle "aujourd'hui, il est scientifiquement prouvé que l'utilisation des cabines de bronzage prépare la peau avant une exposition au soleil". La vice-présidente du Syndicat national des dermatologues-vénérologues de France, le docteur Claudine Blanchet-Bardon, rappelle que les UV, mal utilisés, peuvent être dangereux. "Avec le "soleil en boîte", les UV arrivent de manière très brutale et peuvent être trente fois supérieurs à ceux disponibles sous nos tropiques. La peau est donc agressée mais en rien préparée", explique la spécialiste.

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Pour dépister les pathologies, la Journée nationale du cancer de la peau, organisée par le Syndicat national des dermatologues-vénérologues, aura lieu cette année le 28 mai. Le docteur Blanchet-Bardon déplore que, pour certains, être bronzé soit "un signe de santé sociale". Les dermatologues sont pourtant formels : il n'est absolument pas nécessaire d'aller en cabine de bronzage pour produire de la vitamine D : la lumière du jour suffit amplement. Et même si les UV sont moins dangereux pour les clients à peaux mates, ce ne sont pas ces derniers qui s'y exposent le plus. Les peaux claires sont fragiles et si des centres d'UV se vantent de posséder un logiciel qui définirait le "phototype" du client, la plupart d'entre eux n'ont pas un personnel qualifié pour attribuer à quiconque un "phototype".

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Louise Audibert 25.04.09

Commentaires
Ne pas hésitez à consulter un dermatologue et évitez le soleil en plein midi. Le soleil est à consommer avec modération sans compter une accélération du vieillissement de la peau et une baisse de la vue....

00:50 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : uv, bronzage, danger |  Facebook |

25/04/2009

Les crèches parisiennes écartent le bisphénol A LE MONDE

a Ville de Paris a pris la décision de ne plus acheter de biberons avec du bisphénol A (BPA) pour ses crèches - qui en utilisent 35 000. "Nous avons pris la décision de n'acheter que des biberons sans BPA, au nom du principe de précaution", a indiqué au Monde Jean-Marie Le Guen, député PS et adjoint à la santé de la Mairie de Paris. "Nous ne voulons pas prendre de risques", renchérit Denis Baupin, adjoint au maire de Paris chargé de l'environnement.

Le bisphénol A est une substance chimique utilisée pour la composition de certaines matières plastiques - le polycarbonate pour les biberons, le polyépoxy dans les boîtes de conserves, cannettes, etc. "72 boîtes de conserve ont été étudiées au Canada, toutes étaient contaminées au bisphénol A", assure André Cicolella, porte-parole du Réseau environnement santé (RES).

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alors que Fin mars, la ministre de la santé Roselyne Bachelot avait pourtant déclaré que des études fiables prouvaient l'innocuité des biberons fabriqués avec du BPA. La ministre se fondait sur l'avis de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) publié fin 2008.

extraits 21.04.09

 

Bravo pour cette initiative

 

24/04/2009

Enquête A l'intérieur, l'air que l'on respire est encore plus pollué LE MONDE

eintures, colles, cosmétiques, désodorisants, produits ménagers, cigarettes, etc. : la liste des produits nocifs à l'intérieur d'une habitation est longue. Tant et si bien que l'air y est souvent plus pollué qu'à l'extérieur.

L'affaire n'est pas anecdotique : il est admis qu'une personne passe 80 % à 90 % de son temps sous un toit. "A la différence de la pollution de l'air extérieur, celle de l'air intérieur est restée plutôt méconnue", assure André Cicolella, porte-parole du Réseau environnement santé. Il participait, durant le week-end du 18 avril, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhônes), à un congrès intitulé Un autre regard sur le cancer, organisé par l'association Ressource, fondée par le cancérologue Jean-Loup Mouysset.

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Quelques exemples de pollutions parmi d'autres : la fumée d'une cigarette contient plus de 4 000 substances (benzène, monoxyde de carbone, ammoniac, etc.) ; les matériaux de construction des bâtiments peuvent émettre du radon ; les composés organiques volatils (COV), qui proviennent des appareils de chauffage, du mobilier ou des tissus d'ameublement (colles, teintures, peintures, plastiques), peuvent être cancérogènes ; les pesticides à usage domestique, utilisés comme protecteurs des bois, antimoustiques, etc. ; ou encore certains désodorisants, parfums d'intérieur, cosmétiques, etc., contiennent des polluants. L'"effet cocktail", lorsque l'organisme accumule plusieurs produits chimiques qui, pris individuellement, sont inférieurs aux seuils autorisés, crée également des inquiétudes.

"En attendant les études, on doit trouver les moyens d'éliminer les expositions inutiles", alerte le docteur Annie Sasco, directrice de l'équipe d'épidémiologie pour la prévention du cancer à l'université Bordeaux-II. "Il existe des alternatives saines aux produits dangereux : peintures sans solvants, meubles sans substances toxiques", rappelle Anne Barre, présidente de la branche française de Women in Europe for a Common Future.


Conseils pratiques

Aérer dix minutes par jour, hiver comme été, et encore plus en cas de bricolage, de nettoyage, de cuisine, de bain...

Eviter les parfums d'intérieur, les sprays, l'encens, les bougies.

Privilégier les produits d'entretien et les matériaux de construction naturels.

Vérifier le niveau de composés organiques volatils (COV) avant d'acheter un meuble.

S'abstenir de fumer à l'intérieur.

Sur le Web : prevention-maison.fr ; artac.info ; www.air-interieur.org ; www.afsset.fr ; www.inpes.sante.fr ; projetnesting.fr

extraits 21.04.09 Pascal Santi

Pour aller + loin :

L’utilisation de plantes dépolluantes (ficus, lierre, cactus, chrysanthème, aloe vera, philodendron, gerbera, fougère d'intérieur,etc, …) reste néanmoins le moyen le plus facile et le moins onéreux pour améliorer la qualité de son air intérieur. Malheureusement ces plantes ne constituent pas une solution miracle aux problèmes de pollution intérieur.

Alors n’attendons pas que les industriels arrêtent d’empoisonner nos maisons par soucis éthique (un jour peut être…), travaillons sur ce qui est à notre portée, c’est tout d’abord de chez soi qu’il est possible d’agir en réponse aux problèmes environnementaux actuels !


Donc lisez attentivement les notices et renseignez vous dans les magasins spécialisés en bio...

22/04/2009

Climat Le réchauffement réduit déjà le puits de carbone des forêts

On a l'habitude de considérer que seule la déforestation agit sur la capacité des forêts à stocker des gaz à effet de serre. Or, le changement climatique, en agissant notamment sur la fréquence des sécheresses et sur les ressources hydriques, perturbe déjà les écosystèmes forestiers. Dans un rapport publié jeudi 16 avril, l'Union internationale des instituts de recherche forestière (IUFRO) estime qu'au-delà d'une hausse des températures de 2,5 °C, les forêts pourraient libérer de grandes quantités de carbone et inverser ainsi leur rôle. « Au lieu de freiner le réchauffement, elles pourraient l'accélérer », avertissent les chercheurs en appelant les gouvernements à agir pour limiter ce phénomène.

21/04/2009

Le solaire photovoltaïque guette la technologie qui le rendra compétitif Un marché mondial de 24 milliards d'euros

Réduire les coûts et augmenter les performances. Tel est le cahier des charges que s'efforcent de remplir les équipes de recherche travaillant, aux Etats-Unis, au Japon ou en Europe, sur l'énergie solaire photovoltaïque. Malgré sa croissance soutenue, cette filière assure aujourd'hui moins de 1 % de la production d'électricité mondiale. Et cela malgré les aides publiques qui, par le jeu de tarifs préférentiels de rachat du kilowattheure solaire, encouragent son développement.

« Pour que l'énergie solaire pénètre massivement les foyers et contribue dans une plus large part à alimenter les réseaux électriques, le prix de production du watt photovoltaïque doit encore être divisé par deux ou trois », estime Jean-Pierre Joly, directeur de l'Institut national de l'énergie solaire (INES). Créé en 2006, près de Chambéry, par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) et l'université de Savoie, l'INES est le plus important centre de recherche français - et un des premiers européens - sur l'énergie solaire. Il regroupe aujourd'hui 150 chercheurs ou ingénieurs, qu'une centaine d'autres devraient rejoindre d'ici à 2011.

La cherté des systèmes photovoltaïques, qui transforment la lumière du jour en courant électrique, résulte, en grande partie, du coût du silicium dont sont composées 90 % des cellules actuelles. Entre début 2007 et fin 2008, le cours de ce matériau semi-conducteur est passé de 40 euros à plus de 120 euros le kilo. Il a chuté depuis, mais reste prohibitif.

Première solution : utiliser du silicium moins pur que celui employé jusqu'à présent, qui est de même qualité que celui requis pour la micro-électronique.....Ce procédé, qui doit être bientôt industrialisé, « devrait faire baisser les coûts des systèmes photovoltaïques d'environ 25 % », annonce le CEA.

Autre piste : les cellules à couches minces. Constituées de films très fins (d'un micron d'épaisseur seulement) de silicium amorphe (non cristallin) ou d'alliages semi-conducteurs, elles n'ont encore qu'un rendement médiocre, inférieur à 10 %.

Dernière voie explorée : des cellules solaires organiques, faites de semi-conducteurs à base de polymères, comme le plastique. D'un faible coût de production, elles s'adaptent à des supports flexibles et pourraient s'intégrer à de nombreux objets mobiles, comme les téléphones portables, ou encore à des fibres textiles. Mais leurs performances sont basses (5 %) et leur longévité réduite.

extrait le monde du 18.04/09

Commentaires : Malgré les aides fiscales annoncées, ne vous lancez pas tête baissée dans l'achat du photovoltaïque car c'est encore trop cher et nous partageans totalment l'avis de Jean-Pierre Joly, directeur de l'Institut national de l'énergie solaire (INES)ci-dessus.

20/04/2009

Les Etats-Unis reconnaissent la dangerosité des gaz à effet de serre

co2.jpgCe n'est encore qu'une conclusion "provisoire", en attendant une consultation publique et une conclusion finale, mais elle fait d'ores et déjà grand bruit. Vendredi 17 avril, l'Agence américaine de l'environnement (EPA) a reconnu le caractère dangereux de six gaz à effet de serre : CO2, méthane, oxyde nitreux, hydrofluorocarbone, hydrocarbure fluoré et hexafluorure de soufre.

L'EPA reconnaît notamment que "les gaz à effet de serre contribuent à une pollution de l'air qui peut mettre en danger la santé et le bien-être publics". Ce constat constitue une avancée significative aux Etats-Unis, où l'administration de George Bush a longtemps contesté la réalité des risques liés aux émissions de gaz à effet de serre, ainsi que les origines humaines du réchauffement climatique. "Ces concentrations élevées (de gaz à effet de serre) sont, sans ambiguïté, le résultat d'émissions humaines et sont très probablement la cause de l'augmentation observée des températures moyennes et d'autres changements climatiques", estime l'EPA.

lire la suite dans LE MONDE su 18.04.09

Commentaire : Il est bien tard alors que la situation s'est encore détériorée... A quand des mesures par les +gros pollueurs individuels du MONDE, à savoir les Américains...?

Etes-vous sûr de pouvoir vraiment consommer BIO ?

Si vous voulez être sûr de consommer BIO, les plus fiables car un contrôle sur la base d'un cahier des charges très rigoureux  est réalisé sur les exploitations en permanence, choisissez le logo suivant exclusivement :

Ab-logo.gif

 

 

 

 

 

 

Méfiez-vous des slogans qui font référence au bio sans jamais en apporter la preuve.... sur les pubs de certains distributeurs et grandes marques.

Pour aller + loin

Le contrôle des produits de l’agriculture biologique
Zoom
Pour être commercialisé comme issu de l’agriculture biologique, tout produit doit avoir été contrôlé et certifié par un organisme de contrôle agréé par les pouvoirs publics.

A ce jour, les six organismes de contrôle agréés en France sont Aclave, Agrocert, Ecocert, Qualité France, SGS et Ulase.

Tout opérateur (agriculteur, préparateur, distributeur ou importateur) doit également déclarer son activité chaque année auprès des pouvoirs publics. Depuis 2003, cette notification se fait via l’Agence BIO.

Le ou les contrôle(s) annuel(s) (qui peuvent aller jusqu'à 4 ou 5 pour certains préparateurs) portent sur l’ensemble du système de production : parcelles agricoles, lieux de stockage, transformation, comptabilité matière, conformité des recettes et produits correspondants, garanties données par les fournisseurs, étiquettes…

Des prélèvements pour analyse peuvent être effectués afin de vérifier la non utilisation de produits interdits (pesticides, OGM…).

Un certificat est délivré par l’organisme certificateur pour les produits jugés conformes à la réglementation en vigueur au vu des résultats des contrôles.

 

 

 

19/04/2009

site anti-piège à touristes

Pour vos vancances dans les plus grandes villes sortez des chemins battus  des guides touristiques.

Bon il est en anglais mais ilest plein de ressources et ouvre de nouvelles perspectives aux visiteurs.

Cesont les gens du cru qui vont vous offrir les meilleurs tuyaux pour découvrir les 20 grandes villes d'europe

A vous de joueren cliquant sur spottedbylocals

 

 

17/04/2009

Trop tôt pour sortir les plantes !

Pour les amateurs de plantes

Si cela sent le printemps, attention aux gelées.... notamment à la campagne et aux banlieues exposées au vent.

quelques conseils :

  • En dehors du des lauriers-roses, tout doit rester à l'abri. la possibilité de mettre les plantes dehors en ayant un oeil sur la météo
  • pas de taille,nirempotage avant les saintes glaces à la mi-mai

 

16/04/2009

Chronique Musique et alcool à l'UMP Lycées, par Sandrine Blanchard LE MONDE

Extraits édition du 15.04.09

Les jeunes de l'UMP sont des rebelles. Même s'ils sont lycéens, ils peuvent boire de l'alcool avec la bénédiction... de leur parti. Peu importe que l'Assemblée nationale ait adopté le 18 mars l'interdiction de vente d'alcool aux moins de 18 ans et la prohibition des open bars. Peu importe que Roselyne Bachelot, ministre de la santé, ait déclaré : "Pas d'alcool pour les mineurs, c'est clair, c'est simple." Vendredi 27 mars, on oubliait tout. Ce jour-là, "Toute l'équipe de l'UMP Lycées" invitait ses ouailles et leurs amis (à partir de 16 ans) à "une soirée exceptionnelle" à Paris. Attention, "tenue correcte exigée". Au programme : "des surprises, de nombreuses personnalités politiques", des cotillons, de la musique avec DJ et... de l'alcool.

Mieux : le slogan aurait pu être "Buvez jeunes gens, buvez, et adhérez !" Ainsi, avec la carte de l'UMP, l'entrée de la fête était à 20 euros avec "trois consommations alcoolisées" ; si le jeune adhérait sur place, le prix était identique, mais le nombre de boissons alcoolisées tombait à deux, et s'il n'adhérait pas, il payait toujours 20 euros mais n'avait droit qu'à un verre gratuit. Et le site Internet de l'UMP Lycées de préciser : "Pour toute adhésion, une conso offerte". Bref, plus les lycéens sont proches du parti, et plus ils peuvent boire pour oublier la loi Bachelot !

....

C'est vrai ça, pourquoi pas un UMP Lycées tour sponsorisé par un alcoolier avec Roselyne Bachelot en guest-star ! Pas la peine de faire des affiches pour annoncer la tournée, puisque la publicité pour l'alcool sur Internet a été autorisée par l'Assemblée au détour d'un amendement soutenu par le gouvernement.

Commentaires : quels hypocrites, c'est tout simplement scandaleux de voir cela et très peu responsable...

Nous attendons vos commentaires SANS FAIRE DE POLITIQUE

15:52 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : alcool, jeunes, ump |  Facebook |

Le G20 a tué le Grenelle Sous la pression de la Chine, la cause écologiste a été remisée à plus tard... à la reprise.

Rnvironnement économique

par Eric Le Boucher 09.04/09

Le grand vainqueur du sommet de Londres a été Hu Jintao, le président chinois. Les caméras se sont arrêtées sur Barak Obama qui était attendu sur tous les fronts pour sa première sortie internationale : l'économie à Londres, l'ordre mondial à Strasbourg, les armes nucléaire à Prague et, enfin, l'islam et la Turquie.

G20.jpg

A Londres, le président américain n'a pourtant rien obtenu, comme l'a souligné la presse américaine. Il réclamait une relance plus forte des Européens mais Mme Merkel a refusé, suivie aveuglément par M. Sarkozy. Barak Obama a du, en revanche, accepter de signer des engagements, certes encore vagues, sur la régulation du système financier mondial. Ce sujet voulu par les Européens, n'était pas considéré comme prioritaire par Washington et il ne figurait d'ailleurs pas à l'ordre du jour la veille de la rencontre, le mercredi 1er avril, comme l'a révélé Christine Lagarde, la ministre française de l'économie sur RTL dimanche 5 avril.

Hu Jintao, lui, n'est pas du genre à céder. La liste de ses victoires obtenues à Londres est grande.
D'abord le Tibet. Nicolas Sarkozy a du manger son chapeau, à nouveau, devant le président Chinois et s'engager à ne jamais soutenir l'indépendance de cette région chinoise. On peut papier qu'il n'en a pas fini avec cet indigeste dossier... Mais il n'est pas le seul. Pour la première fois, la Grande-Bretagne a dû reconnaître que le Tibet faisait partie de la Chine et qu'il était «contrôlé» par Pékin. Ce n'est pas encore admettre la «souveraineté» chinoise, mais M.Hu peut être content.

Ensuite, la liste des paradis fiscaux. Il a suffit que la Chine énonce de très vagues promesses de donner des informations à l'OCDE pour que les places off-shore de Macao et HongKong soient retirées de la fameuse liste «grise», celle des pays qui disent coopérer mais dont on attend des preuves. Et dès le lendemain, pour que l'on mesure bien la faible portée de cet engagement, Pékin faisait savoir qu'elle s'interrogeait sur la légitimité d'une organisation, l'OCDE, dont elle ne fait pas partie. C'est dire que nous sommes dans l'hypocrisie diplomatico-économique la plus complète. M.Hu peut être content.

Ensuite le protectionnisme.....................................................

Lire la suite sur : http://www.slate.fr/story/3387/le-g20-tu%C3%A9-le-grenelle

Commentaires : les illusions perdues sont là maintenant. Tout le reste n'est que rideau de fumée pour attraper les bobos, les gogos, et les bien-pensants

15/04/2009

A son tour, l'Allemagne suspend le maïs transgénique de Monsanto

Une très bonne nouvelle

Extrait du Monde du 14.04.09

Après l'Autriche, la France, la Grèce, la Hongrie et le Luxembourg, l'Allemagne a annoncé, mardi 14 avril, qu'elle suspendait la culture du maïs génétiquement modifié MON810 de Monsanto, rejoignant ainsi cinq autres pays européens, contre l'avis de la Commission européenne.

La ministre de l'agriculture, Ilse Aigner, a justifié cette décision par la possibilité que cette semence OGM, fabriquée par le géant agro-industriel américain Monsanto, puisse présenter des dangers pour l'environnement. "Ce n'est pas une décision politique. Elle a été prise dans l'intérêt de l'environnement (...) nous avons mené une étude rigoureuse pour peser le pour et le contre", a-t-elle argumenté au cours d'une conférence de presse.

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Pour en savoir plus:

- Le Spiegel Online rappelle que cette décision est également très politique. Le CSU, l'allié bavarois du CDU, était en effet fermement opposé au MON810, contrairement à son grand frère conservateur. A quelques mois des élections européennes et législatives en Allemagne, les arguments des Bavarois en faveur d'une interdiction soutenue par la majorité des Allemands semblent donc l'avoir emporté.

- Pour le Tageszeitung, cette interdiction est une nouvelle défaite pour la Commission européenne, qui milite pour la levée de toutes les interdictions de MON810 au sein de l'UE.

G 20 : les paradis fiscaux restent bien protégés


Le Sommet de Londres ne résoud pas le problème que posent les paradis fiscaux aux pays pauvres.

CCFD-Terre solidaire - 3 avril 2009

 

Pour le CCFD-Terre Solidaire, qui demande de longue date une liste exhaustive des paradis fiscaux, les listes de l’OCDE publiées à l’issue du G20 relèvent plus du compromis diplomatique que de l’évaluation objective. Pour Antoine Malafosse, délégué général du CCFD-Terre Solidaire, « cet exercice ne résout en rien le fléau que représentent les paradis fiscaux pour les pays pauvres, qui sont les grands oubliés de ce G20 ».

L’OCDE a publié hier soir, à l’issue du G20, 4 listes de territoires : noire, gris foncé, gris clair et blanche[1]. Pour le CCFD-Terre Solidaire, le principe même de dresser plusieurs listes est bienvenu, car les paradis fiscaux n’ont pas tous la même dangerosité. Ces différentes listes peuvent encourager chaque territoire à améliorer ses pratiques pourvu qu’elles s’accompagnent de mesures graduelles de sanction. Mais les listes publiées hier présentent plusieurs problèmes :

· Les pays pauvres laissés pour compte

Pour figurer sur la liste blanche de l’OCDE, qui regroupe 30 pays riches, il suffit de signer des conventions fiscales d’échange d’information avec 12 pays. Autrement dit, une fois que la France, l’Allemagne et les principaux pays riches auront obtenu les informations qu’ils veulent, les paradis fiscaux seront considérés comme fréquentables ! Les pays en développement, qui voient chaque année 900 milliards de dollars s’envoler illicitement vers les paradis fiscaux, peuvent toujours attendre.

· Une liste blanche trop remplie

Les tractations ont duré toute la journée hier. Pour Jean Merckaert, spécialiste des paradis fiscaux au CCFD-Terre Solidaire, « Cette liste est le fruit d’un compromis diplomatique, car chaque pays du G20 a veillé à protéger ses dépendances. C’est toujours mieux que les 3 noms qui restaient sur l’ancienne liste de l’OCDE, mais le fait de mettre Jersey, la Barbade ou l’île Maurice sur la liste blanche et d’épargner Hong-Kong, la City de Londres ou l’Etat du Delaware aux Etats-Unis enlève toute crédibilité à l’exercice ».

· Une approche tronquée des paradis fiscaux

Il existe des paradis fiscaux, des paradis judiciaires et des paradis règlementaires. Chaque catégorie a fait l’objet d’une liste, par le passé, par des institutions distinctes (respectivement, l’OCDE, le GAFI et le Forum de stabilité financière). Or, ces différents cercles se regroupent largement et les ministres des Finances du G20 avaient ouvert la porte à une approche globale du problème. Pour Jean Merckaert, « en confiant la liste à l’OCDE, le G20 reconduit une approche tronquée des paradis fiscaux. On leur demande de coopérer avec le fisc étranger, mais pas avec la justice ! »

· Les critères de l’OCDE sont incomplets

Les critères de coopération fiscale de l’OCDE sont incomplets. Ils focalisent sur le secret bancaire, qui est un vrai problème, mais oublient que l’opacité peut prendre d’autres formes (trusts, fondations…). Ils exigent l’échange d’information « à la demande », et non de façon automatique (comme le prévoit la directive européenne sur l’épargne). Ce modèle est peu efficace : liée aux Etats-Unis par ce type de convention depuis 2005, Jersey n’a accepté de renseigner l’administration fiscale américaine que dans 4 cas, qui étaient déjà de notoriété publique.


[1] Cf. http://www.oecd.org/dataoecd/38/14/.... Dans les nuances de gris, l’OCDE différencie les « paradis fiscaux » des « autres places financières ».

Source : http://www.ccfd.asso.fr/ewb_pages/d...

00:52 Publié dans éthique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : g20, parais fiscaux |  Facebook |

14/04/2009

L’aspartame : une drogue qui vous tue en douceur

aspartame

Depuis son apparition, voilà plus de quarante ans, on sait que l’aspartame est un poison et une drogue dure. Les toutes premières études sur des singes, menées en 1969 par le Dr Harry Waisman, ont révélé sans équivoque sa nocivité. Plusieurs autres études ont depuis corroboré ce fait. En 1980, sur 196 animaux soumis à l’aspartame, 96 sont morts de tumeur cérébrale. En 2004, on démontre que l’ingestion d’aspartame peut provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau, même chez des personnes ne souffrant pas de phénylcétonurie (les personnes atteintes de cette maladie génétique, systématiquement recherchée à la naissance, ne peuvent métaboliser la phénylalanine). En excès, ces niveaux peuvent amener une décroissance du niveau de sérotonine, conduisant à des désordres émotionnels tels que la dépression. Mais pas seulement. Scléroses en plaques, crises d’épilepsie, tumeurs du cerveau… et pas moins de 2 621 effets secondaires (dont œdèmes, céphalées, convulsions…) sont rapportés à la suite de 7 000 plaintes de consommateurs en 1994 aux États-Unis.

Malgré tout cela, et sous la pression des lobbies, l’aspartame a tout de même été approuvé par la FDA et par les autorités de contrôle sanitaire des 90 pays dans lesquels il sévit aujourd’hui. Autorisé en 1988 en France, il est codé E 951 dans la classification européenne des additifs alimentaires. Comment une telle chose a-t-elle été possible ?

Chronique d’un crime contre l’humanité

Durant seize ans, le comité de la FDA (Food and Drug Administration) américaine s’est refusé à autoriser l’usage de ce produit dans l’alimentation humaine en raison des études démontrant sa nocivité. Le 8 mars 1977, la compagnie Searle qui a inventé l’aspartame (Searle a depuis été rachetée par Monsanto, la tristement célèbre multinationale qui a mis au point de nombreuses plantes transgéniques) embauche Donald Rumsfeld comme président. La communauté scientifique continue de refuser d’accepter l’additif comme propre à la consommation. Le 21 janvier 1981, Ronald Reagan devient président des États-Unis et fait entrer son ami Donald Rumsfeld dans le gouvernement. Rumsfeld fait limoger les gêneurs de la FDA qui s’opposent encore à l’emploi public de l’aspartame. Searle présente à nouveau son dossier à la FDA qui l’examine d’un œil très favorable en dépit d’un dossier accablant. Et à l’automne 1983, les premières canettes de boissons contenant de l’aspartame sont en vente.

Une drogue dure 100 % chimique

L’aspartame est composé de phénylalanine (50 %), d’acide aspartique (40 %) et d’ester de méthyle (10 %) qui se transforme rapidement en alcool méthylique après ingestion. Suite à leur dégradation métabolique, ces molécules se transforment en plusieurs sous-produits neurotoxiques, dont le formaldéhyde (ou méthanal, ou aldéhyde formique) qui entraînent la mort des cellules synaptiques (terminaisons qui transmettent l’influx nerveux dans le cerveau) par sur-stimulation, un peu comme le fait la cocaïne, et induisent une grave dépendance avec phénomène de sevrage intense pour les grands consommateurs d’aspartame qui tentent d’arrêter d’en consommer.

Chauffé, l’aspartame devient un poison mortel

Mais c’est lorsque les aliments contenant de l’aspartame sont exposés à une température supérieure à 30 °C (durant l’entreposage, le transport ou lors de la cuisson), que ce poison déploie tous ses effets toxiques. On parle alors de la maladie de l’aspartame, en partie la cause sous-jacente du mystère des problèmes de santé des soldats américains durant la guerre du Golfe. La langue qui brûle et d’autres troubles répertoriés dans plus de soixante cas ont été directement reliés à la consommation de produits à l’aspartame. En effet, plusieurs milliers de palettes de boissons « diet » avaient été envoyées aux troupes stationnées dans le Golfe et ont été stockées durant des semaines sur des palettes sous le soleil d’Arabie. Or, comme nous l’avons vu plus haut, à partir de 30 °C, l’aspartame libère du méthanol. Les hommes et les femmes envoyés dans le Golfe en buvaient toute la journée. Tous leurs symptômes sont identiques à ceux de l’empoisonnement à l’aspartame.


L’hypoglycémie, un effet pervers de l’aspartame

Les édulcorants de synthèse sont des substances chimiques au pouvoir sucrant artificiel totalement dépourvues de valeur énergétique. Or l’organisme ne supporte pas un taux de sucre insuffisant dans le sang. Pour lutter contre cette hypoglycémie, aggravée par l’absence de vrais sucres, il va mettre en place des systèmes de défense pour avertir qu’il est en danger, qu’il a un besoin urgent de sucre et qu’il sera bientôt en panne d’énergie et émettre des signaux ambigus de faim et de satiété.

L’aspartame ne fait pas maigrir, bien au contraire

La consommation d’aspartame est surtout motivée, chez les personnes qui cherchent à perdre du poids, par le fait que son utilisation n’apporte aucune calorie. Or, comme tous les édulcorants intenses, l’aspartame entretient le goût du sucré, ce qui va d’une part favoriser l’obésité et d’autre part engendrer une production d’insuline qui peut favoriser le stockage de graisses. Il n’existe par conséquent absolument aucune raison d’ingérer de l’aspartame dans le cadre d’un régime amincissant. Ce n’est pas un produit diététique. Bien au contraire, il provoque un besoin maladif de glucides et vous fera tôt ou tard grossir. De plus, le formaldéhyde issu de sa dégradation se stocke dans les cellules graisseuses, particulièrement dans les hanches et les cuisses.

 

Diabétiques : l’éviter absolument

Évidemment, plus la consommation d’aspartame est importante et prolongée, plus les effets sont graves. Cependant certaines personnes sont plus prédisposées à ces effets. Il y a entre autres de grands risques de malformations congénitales pour les bébés dont les mères consomment des produits contenant de l’aspartame alors qu’elles sont enceintes car les sous-produits de la décomposition de l’aspartame peuvent franchir la barrière placentaire ainsi que celle protectrice du cerveau. Les jeunes enfants sont aussi sérieusement exposés à des problèmes d’allergies, d’urticaire, de tumeurs au cerveau. Quant aux diabétiques, ils doivent absolument l’éviter, car comme pour bien d’autres maladies de dégénérescence, il accélère le développement du diabète et provoque des complications métaboliques, neurologiques et autres. Ce substitut a un effet des plus pervers, puisqu’il va stimuler la libération d’insuline. La simple perception d’une saveur sucrée suffit en effet aux hormones du tube digestif pour enclencher l’amorce de l’insuline. Pour résumer, l’aspartame conduit chez les diabétiques à une accélération des diabètes cliniques, rend difficile le contrôle du diabète chez les diabétiques insulino-dépendants et aggrave les complications du diabète telles que la rétinopathie, les cataractes… Précisons que le stévioside extrait naturel de la stevia, une plante d’Amérique du Sud, apparaît comme la meilleure solution pour les diabétiques car il n’apporte aucune calorie et aide à métaboliser les sucres. Découverte en 1915 au Paraguay, son pouvoir sucrant est 250 fois supérieur à celui du saccharose. De plus, la stévia est non calorique, non métabolisable, non fermentable et n’entraîne aucun effet glycémiant.

 

 

L’aspartame a fait des émules

Les petits camarades de l’aspartame sont eux aussi loin d’être des enfants de chœur. Sachez qu’il existe deux types d’édulcorants. Les édulcorants intenses : aspartame (E 951), acesulfame de potassium (E 950), cyclamates (E 952), saccharine (E 954), thaumatine (E 957). Ces édulcorants portent la mention « contient de la phénylalanine », un avertissement destiné aux personnes atteintes de phénylcétonurie (incapacité de transformer la phénylalanine, une des composantes principales de l’aspartame). Et les polyols (ou sucres-alcools), présents à l’état naturel dans le règne végétal. Ce sont des hydrates de carbone obtenus par hydrogénation de sucres sélectionnés. Ces succédanés du sucre hautement raffinés portent les doux noms de sorbitol (E 420), mannitol (E 421), xylitol (E 967), maltitol (E 965), isomalt (E 953), ou encore lactitol (E 966). Ils sont pour la plupart environ deux fois moins sucrés que le saccharose. Non cariogènes, ils peuvent toutefois provoquer diarrhées et flatulences. Mention spéciale pour le xylitol : obtenu industriellement à partir de l’écorce de bouleau, il possède la rare propriété de protéger les dents contre les caries. Le xylitol possède le même pouvoir sucrant et la même saveur que le saccharose (sucre blanc). En revanche, son apport calorique est inférieur (avec 2,4 kcal par grammes contre 4 kcal). Bonbons, chewing-gums, pastilles contre le mal de gorge et dentifrices sont les principaux produits qui font usage du xylitol. On en trouve dans les magasins bio. Les Nouveaux Robinsons et Biocoop ont néanmoins retiré de leurs rayons une bonne partie des produits en contenant.

Commentaires (34)

Tous les jours on apprend que telle ou telle substance est néfaste pour la santé. Ca devient difficile de choisir les produits dans cette jungle chimique! L'aspartame, la saccharine, le cyclamate, ça fait des années que je n'en consomme plus (ou accidentellement car il y en a un peu partout...). Alors qu'auparavant, j'en utilisais pendant les régimes amaigrissants. Jusqu'au jour où j'ai appris que c'était pire que le sucre! Je me suis donc habituée à prendre du café sans sucre et le thé avec très peu. Pendant très longtemps, j'ai cherché la fameuse plante Stevia, avec sa grande capacité édulcorante et sans calories, puis l'ai retrouvée sous forme de poudre chez Satoriz. Hélas, elle a un goût de réglisse ce qui n'est pas très commode. Dans les articles, on ne parle pas de cette particularité, j'aimerais bien savoir si c'est toujours le cas.
Il y a aussi des polémiques autour de la Stevia, surtout de la part des producteurs d'édulcorants chimiques... évidemment.

Du courage pour votre boulot.
Merci de me communiquer les articles chocs assez souvent.
JGT.

Je suis diabétique insulinodépendant et je ne consomme que du stevia ou tout simplement du sucre en très petite quantité avec une correction insulinique lorsque nécessaire
Malheureusement j'ai appris dernièrement que les compagnies multinationales de l'agrobusiness se sonr accaparées d'un maximum de terres arables au Paraguay, seul endroit où pousse la plante qui produit la stevia.
J'avais remarqué que de nombreuses personnes ignoraient les effets nocifs de l'aspartame.
Merci d'aider à diffuser cette info.

Je lis avec intéret votre article qui corrobore à 100% une émission passée hier soir 10/04(trés tard comme d'habitude)sur une chaine de canalsat.
Il est certain que seul le FRIC a empêché l'interdiction de mise sur le marché de ce produit, 2 sociétés américaines comme par hasard ont tout fait, mais vraiment tout pour contester les expertises faites prouvant la toxicité de ce produit.
En ce qui me concerne, je comprends mieux les impressions de brulure dans la bouche et terminée cette "mer..".
Diffusez, diffusez, refusez, refusez même si vos medecins vous disent qu'il n'y a pas de problème(d'ailleurs en prennent-ils).

Les responsables de santé au plus haut échelon sont soit des incapables soit des assasins s'ils laissent ces produits sur le marché !! Mais peut être qu'il y a des intéréts financiers en jeu !! sûrement.

Hélas, j'avais déjà entendu parler de l'aspartame. Mes parents en prenaient régulièrement (sur les conseils de leur médecin). Ma mère qui était diabétique a effectivement eu une rhétinopathie, ... puis une insuffisance rénale et d'autres complications encore ! Mais voilà, les copains de Reagan, n'est-ce pas ?

Chauffé, l’aspartame devient un poison mortel.
l'aspartame est dangereux à tous les coups , notre corps ayant une température de 37 degrés et plus.
cris.

Lors de ma grossesse en 1983,je ne devais consommer aucun autre sucre que naturel et encore en faisant attention.J'avais entendu parler de l'aspartame par d'autres futures mères qui en consommaient avant leur grossesse.Ma gynécologue,allopathe pourtant,m'a déconseillé fermement d'en prendre,expliquant que la médecine n'avait -à cette date- aucune certitude favorable concernant ce produit et surtout quelles seraient les conséquences pour le bébé et pour sa mère.J'ai suivi ses conseils et je l'en remercie encore aujourd'hui.

il faut arrêter la consommation de ce poison qui est une vraie drogue et apprendre à utiliser d'autres sucres naturels comme le fructose en poudre (possible pour un diabétique,à voir avec votre médecin),le sirop d'agave,de malt,que l'on trouve en boutiques diététiques ou bio...ou se passer tout simplement petit à petit du sucre en diminuant la quantité au fur et à mesure..rien d'insurmontable,votre qualité de vie s'en ressentira!!

bonjour, je suis diabétique non insulino-dépendante, j'ai consommée comme beaucoup de l'aspartame, mais depuis 2004 je consomme du stévia...il n'y a rien de mieux que le stévia...le reste c'est tout de la m... je regarde les aliments que je consomme, et là ben, c'est effarant, car partout, partout, il y a de ce fichu produit... et attention...pour ceux et celles qui perdent du poids, même les produits Weigth Watchers en contiennent, de plus la Société le met en vente et surtout en valeur...bizarre vous ne trouvez pas ???
merci pour votre article...je le fais diffuser à toutes mes amies...
marion

Je souffre, surtout la nuit, d'une sécheresse sévère de la bouche et aucun produit pharmaceutique ne m'a soulagé. Pour éviter de sucer des bonbons au sucre qui nuisent aux dents, toute la nuit je suce des Werther's contenant des édulcorants : isomalt et acésulfame-k....j'en prends 5 ou 6 par nuit....
Je voudrais savoir si c'est dangereux car je m'inquiète...
J'aimerais avoir une réponse à ce sujet.
Merci.

Bonjour, nous sommes depuis longtemps "bordés " de partout : assurances, défense du consommateur, qui endorment notre mefiance et là ! les pays les plus au top en matière de recherche pour la santé nous font, depuis une vingtaine d'années, l'éloge d'un poison mortel ! Que dire... Hélène

Bonjour, Dans le paragraphe "L'Aspartam a fait des émules" il est dit que tous les édulcorants portent la mention "contient de la phénylalanine". Cela n'est pas vrai. C'est une erreur. C'est seulement le cas de l'aspartam. Je voudrais savoir si les autres édulcorants contiennent aussi ce poison car j'ai un doute maintenant! Merci Susana

Je peux vous dire que j'ai subi ce poison aspartame pendant de nombreuses années et que j'ai failli en mourir.
Vous pouvez trouver mon témoignage à cette adresse
http://www.fibrochat.net/categorie,poison-aspartame,11456...
J'essaye de mettre en garde le plus de personnes possible. Même si ce n'est pas prouvé pour manipulations financières des recherches, seul notre propre vécu avec l'aspartame ne peut être remis en cause et exclus. Nous sommes un cobaye impartial. Vous pouvez me joindre à chantalchat@orange.fr
Faites très attention, il y en a partout même dans nos médicaments et dans les médicaments pour bébé. Amicalement.
chantalchat

Pour la question sur un produit de substitution, un article sur les sucres naturels sera mis en ligne la semaine prochaine sur le site.

Votre article est édifiant... si la FDA ne fait rien alors agissons au niveau européen et diffusez le à l'AFSSAPS et au Ministre de la Santé, DGCCRF, 60 millions de consommateurs. Il faut les harceler afin que le sujet soit étudié plus intensément! Il faut médiatiser à fond le sujet, puisqu'il n'y a plus que ce mode qui fonctionne... ce qui est fort dommage d'ailleurs.
Il faut prendre conscience VITE!

Bravo pour cet article ! Atteinte d'une "fibromyaglie" je suis convaincue que je suis intoxiquée par l'alimentation et les médicaments que j'ai pris et prends depuis des années ! Comment faire pour s'en sortir ? S'il y a possibilité d'être informée par une news letter ? ou une association ? Cordialement, Margaux

Bonjour,
Je viens de prendre connaissance de votre message d'alerte sur l'aspartame, je n'en consomme pas mais je connais des gens autour de moi qui sont "butés" même en leur mettant les preuves sous le nez ! Mais je diffuserai quand même vos informations.
Merci
Hélène

Bonjour,
Je vais moi aussi diffuser ce message autour de moi parce que je trouve ça vraiment très grave. Si on voulait une preuve de plus que l'on tuait à petit feu en voilà une preuve flagrante. Le profit toujours le profit... L'être humain n'est plus qu'une marchandise dont certains se servent pour s'enrichir.

Le coca light et le coca zero contiennent de l'aspartame.

Je suis effarée de lire ça et outrée quand on sait que toutes les pharmacies de France vendent des médicaments, supposés soigner, contenant ce genre de poison qui a l'effet inverse.
Tous les sirops pour enfants en contiennent ! Quelle honte !

Petite expérience perso :
Il y a quelques années, j'ai arrêté de fumer et remplacé les cigarettes par des chewing-gum, sans sucre bien sûr ! Ma consommation avec le temps est devenue exagérée ! Souffrant depuis 3 ans de problèmes intestinaux, j'ai pris pendant toutes ces années du Débridat 3 fois par jour. Recemment, j'ai été obligée pendant 1 semaine d'arrêter ma consommation de chewing-gum et j'ai constaté très rapidement la cessation de tous problèmes intestinaux. Je n'ai pas fait le rapprochement, mais mon médecin l'a fait au hasard d'une discussion... Donc je suis en cours de sevrage de chewing gum et j'ai arrêté le Débridat !!! Faut croire que les intérêts des trusts pharmaceutiques passent avant notre santé et l'équilibre de la sécurité sociale ???

Bonsoir,
Oui l'aspartame est un poison et malheureusement beaucoup de gens croient que s'ils prennent cette saleté à la place du sucre, ils vont maigrir ou du moins, ils ne vont pas grossir. Le sucre blanc raffiné et l'aspartame et autre saccharine sont des poisons dans notre assiette. Je le dis autour de moi mais les gens pensent toujours que puisque c'est en vente ça ne peut pas être dangereux : GROSSE ERREUR.

De nombreux médicaments, vendus en pharmacie, contiennent de l'aspartame, y compris des sirops pour enfants. C'est choquant !
Aux caisses des supermarchés, difficile de trouver des petits bonbons ou des chewing-gums au vrai sucre. Tous ou presque sont à l'aspartame.
Ce produit a ENVAHI les produits que nous consommons couramment.
Remarque : quelques rares fabricants (exemple Weight Watchers) vendent quelques desserts garantis "sans aspartame", ceci est à encourager.
Sinon, je rejoins Jacques et Chantale en disant qu'il faut diffuser, diffuser, et encore diffuser, à nos familles et connaissances.
Francine

Bonsoir,
Maintenant l'animal de laboratoire c'est l'homme. L'argent pue et tue. Dans l'espoir que ceux qui inventent et manipulent ces nouvelles "armes" chimiques s'autodétruisent.
Ce produit n'est pas toujours clairement mentionné sur les étiquettes: "c'est pour mieux l'avaler mon enfant!"
Même en diffusant cette information, on n'arrêtera pas ce business. Il y a encore de bonnes choses à découvrir qui vont nous rendre malade!
Sincères salutations.

Merci pour cet article sur l'aspartame, durant des années, j'ai utilisé des sucrettes avec mon café dans une entreprise c'était servi avec. J'ai durant toutes les années passées dans ce milieu ressenti de forts maux de tête et du jour où j ai quitté cette entreprise, plus jamais ressenti ces maux de tête. Mais en 2001, j'ai fait une surdité. Brusque hospitalisation d'urgence, oxygène, cortisone, etc. J'ai 58 ans et depuis cet incident, je ressens des douleurs dans la tête. Je dois bientôt passer un irm pour en savoir plus. Il faut arrêter ce produit toxique je pense à mes 5 petits enfants qui d'une manière ou d'une autre en consomme. Merci pour votre super article, je vais le difuser tres largement. JE NE COMPRENDS QU'IL Y EN A MEME DANS LES MEDICAMENTS. SYLVIE

Mais alors, que préconisez- vous pour remplacer l'aspartame ? J'ai l'habitude, et depuis de très nombreuses années, d'en consommer et là, vous me faites peur ! Existe-t'il un produit de substitution ? Merci.

Complètement déconcertant puisque prescrit aux diabétiques ? Jacqueline

Bonjour, je suis diabétique insulino dépendant depuis 1 an et je prends de l'aspartame depuis 1 an. Je ne peux pas boire de café non sucrés ni de yaourt nature sans aspartame. Pourriez-vous me dire par quoi il faudrait le remplacer si on peut car moi c'est le medecin qui me conseille cette merde. Merci.

Rappelons également que l'aspartame fait partie de la même famille que le glutamate : la famille des exitotoxines qui engendre les conséquences que vous mentionnez ci-dessus. Les vidéos utubes du Dr Russel Blaylock , neurochirurgien expert dans le domaines et auteur "Exitotoxines, the taste that kills".

Bonjour ,
je suis diabétique depuis deux ans et je consomme beaucoup d'aspartame (café,sodas,yaourt et bien d'autre chose), je sais que plusieurs études existent aussi pour dire le contraire de ce que vous avancez ici. Ma diététicienne et mon diabétologue me conseille même de consommer de l'édulcorant pour remplacer le sucre, je connais plusieurs personne qui boivent depuis plus de 10 ans des sodas light (avec aspartame) personne ne ressent d'effet secondaire, je ne dis pas que c'est bon pour la santé mais arrêtons de condamner et de faire le procès de tout dramatiser et penser aux diabétiques qui en consomme beaucoup.
Eddy

Bonjour à vous tous. Je consomme modérément de l'aspartame car à petite dose il ne serait pas dangereux. Mais votre article m'a convaincu de ne plus en prendre. D'autant plus que je cultive la "stévia" dans mon petit jardin. Merci pour votre article. Gérard (abonné à Plantes et santé).

Bravo et merci de rappeler les méfaits dus à la consommation d'aspartame. Mais que doit-on faire pour que la production et la commercialisation de ce poison soit interdite sous toutes ces formes? Puisqu'il est la cause de tant de maux, il faut le déclarer hors la loi : la cause étant alors supprimée, il ne serait plus nécessaire d'en traiter les effets, ce qui serait profitable autant pour les humains que pour la sécurité dite sociale...
Vous avez dit...??? Et les fabricants d'aspartame...???

Bonjour,
Merci de nous alerter sur ce produit, j'ai diffusé ce message largement à mes connaissances.
Salutations.
Chantale

source : http://www.quelle-sante.com/article/aspartame-drogue-sucr...

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13/04/2009

Sommet de l’Otan : Manifestation indésirable jeudi 9 avril 2009, par Michel Soudais

À Strasbourg, le droit de manifester a été bafoué. La police et les casseurs ont éclipsé les raisons qui ont poussé des milliers de pacifistes à braver l’état de siège pour dire « non à l’Otan ».

manif sommet otan 0409.jpg

Les images peuvent être trompeuses. Elles n’en façonnent pas moins les esprits. Gageons donc que le citoyen ordinaire n’aura retenu d’un long week-end de protestation contre l’Otan que les dégradations et violences. Les dégâts matériels sont certes impressionnants et de nature à frapper les esprits – pourquoi incendier l’unique pharmacie d’un quartier populaire ? Mais ils ne résument pas l’ensemble des manifestations organisées durant cinq jours par une coordination (...)

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source : http://www.politis.fr/article6646.html

12/04/2009

Vers une production massive et économique d'hydrogène

Second prototype de production d'hydrogène fonctionnant à 650°C et sous 100 bars. Les zooms montrent l'extérieur du cœur de la cellule électrochimique ainsi que les passages métal-céramique.
Second prototype de production d'hydrogène fonctionnant à 650°C et sous
100 bars. Les zooms montrent l'extérieur du cœur de la cellule
électrochimique ainsi que les passages métal-céramique.

crédit : © AREVA NP/ IEM

Le recours à l'hydrogène comme vecteur énergétique propre est l'une des solutions pour répondre aux actuels défis énergétiques. Afin de produire ce carburant du futur, l'électrolyse de l'eau figure parmi les filières "écologiques" les plus prometteuses. Principal écueil : son rendement. Soucieux d'optimiser cette technique, des chercheurs de quatre laboratoires du CNRS (1), en collaboration avec les entreprises AREVA NP et SCT, sont parvenus, pour la première fois, à produire de l'hydrogène en quantité notable par une nouvelle méthode.

Leur technologie innovante, protégée par un brevet aujourd'hui rendu public, pourrait dans un avenir proche être développée à grande échelle et permettre d'obtenir de l'hydrogène, à moindre coût et surtout, sans émission de gaz à effet de serre.
Plus énergétique que le pétrole ou le gaz naturel, non polluant et non toxique, l'hydrogène pourrait progressivement suppléer les énergies fossiles et répondre à l'essentiel de nos besoins énergétiques. Problème : si l'atome d'hydrogène, lié à l'oxygène, est très abondant sous forme d'eau, les molécules d'hydrogène, elles, ne se trouvent pas à l'état pur. Le défi auquel s'attèlent les chercheurs est donc de produire de l'hydrogène, sans dégagement de dioxyde de carbone. Pour cela, l'électrolyse de l'eau, c'est-à-dire sa décomposition en hydrogène (H) et oxygène (O), est l'une des solutions envisagées. Aujourd'hui maîtrisée, cette technique présente toutefois des inconvénients majeurs : son rendement ne dépasse pas 80 %, son coût de production est trop élevé et certains matériaux utilisés polluants ou même dangereux.
Comment pallier ces défauts ? Pour y parvenir, plusieurs spécialistes ont, depuis 2004, réuni leurs expertises dans le cadre d'un programme de recherche sur la production massive d'hydrogène propre : quatre équipes de recherche se sont ainsi associées aux entreprises AREVA NP, filiale du groupe AREVA, et SCT, l'un des leaders mondiaux dans l'association métal – céramique.

Pour obtenir de l'hydrogène par électrolyse de l'eau avec un meilleur rendement, il faut chauffer : deux voies sont alors possibles. La première plus "traditionnelle" utilise la conduction par ions O2- tandis que la seconde s'appuie sur la circulation des protons (ions H+). Principal avantage de la voie protonique : elle requiert des températures plus faibles, de l'ordre de 600°C. À de telles températures, une bonne conductivité des protons peut être envisagée, tout en utilisant des matériaux peu onéreux et fiables. C'est pourquoi les scientifiques ont choisi d'explorer et d'optimiser cette voie.

Leur travail s'est déroulé en deux étapes : ils ont tout d'abord conçu un dispositif pour étudier in situ les matériaux constituant l'électrolyseur puis, ils ont mis au point deux électrolyseurs instrumentés, c'est-à-dire comportant entre autres, des capteurs de température, de pression, de mesure de l'intensité du courant produite. Les scientifiques ont ainsi pu déterminer avec précision les conditions requises pour obtenir de l'hydrogène en grande quantité et de façon fiable. L'une de leurs idées novatrices a été d'effectuer l'électrolyse sous pression (entre 50 et 100 bars). Et elle s'est révélée efficace… En effet, les principaux paramètres des électrolyseurs s'en sont trouvés améliorés : les premiers essais effectués permettent d'atteindre des quantités d'hydrogène notables, avec un niveau de courant bien supérieur à ce qui avait été fait précédemment par leurs concurrents étrangers travaillant sur la filière protonique. De plus, cette nouvelle technologie abaisse de près de 200°C la température de fonctionnement par rapport à la solution par conduction par ions O2-. Un dernier atout : en permettant l'usage d'alliages commerciaux, elle diminue le coût de l'hydrogène produit.Ce résultat, prometteur et capital pour l'avenir économique de la filière hydrogène, laisse espérer le développement de technologies rentables et économiques. Même si avant de produire de l'hydrogène massivement et à bas coût, des efforts sont encore nécessaires. Un travail de perfectionnement du dispositif est d'ores et déjà envisagé.

source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1952_produc...

Commentaire : nous approchons  à grands pas du seuil où l'hydrogène sera une solition véritablement alternative notamment dans les transports et le chauffage et permettra une baisse notable du CO2

11/04/2009

Earth Hour 2009 : le bilan

Merci de votre participation

Près de 4000 villes dans 88 pays se sont mobilisées pour l’édition 2009 d’Earth Hour. 375 monuments symboliques comme le Christ de Rio, la Tour Eiffel, les Pyramides de Gizeh, l’Acropole d’Athènes, l’Alhambra de Grenade, Big Ben, le Louvre et bien d’autres ont été plongés dans l’obscurité pendant une heure.


earth-hour-2009-la-tour-eiffel-eteinte.jpg En France, pas moins de 200 villes ont éteint leurs monuments. A Paris, en présence de Jean-Louis Borloo, ministre d’Etat de l’Ecologie, de l’Energie, du développement Durable et de l’aménagement du territoire ainsi que de Chantal Jouanno, Secrétaire d’Etat en charge de l’Ecologie, de Denis Baupin et Jean-Bernard Bros, adjoints au maire de Paris respectivement en charge du Développement durable et du tourisme, Serge Orru, DG du WWF-France et Jim Leape, DG du WWF-International ont symboliquement éteint la Tour Eiffel, ainsi que 230 autres monuments parisiens comme l’Arc de Triomphe, Notre-Dame de Paris, Le Sacré Cœur, le Panthéon, l’Hôtel des Invalides, les fontaines de la Concorde, etc.

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Pour sa part, Jim Leape, DG du WWF-International a mis l’accent sur le fait que « l’objectif d’Earth Hour est de montrer le degré de conscience de l’opinion mondiale sur la question climatique. Devant le succès mondial, le message est clair : Nous attendons des décideurs qu’ils prennent leur responsabilité afin d’obtenir à Copenhague un accord ambitieux qui puisse permettre de protéger notre planète ».

A l’échelle du territoire national, Earth Hour 2009 a représenté une économie 1 % de la consommation d’électricité métropolitaine soit 800 mégawatts ou 13 millions d’ampoules de 60 Watts arrêtées simultanément. Cela équivaut à la consommation journalière d’une ville comme Lyon qui compte plus d’un million d’habitants.

Dimanche 29 mars, à Bonn où la communauté internationale a lancé le cycle de négociations sur le climat qui vise à parvenir à un accord à Copenhague, Yvo de Boer, chef de la mission Climat de l’ONU, a exhorté les délégations des 190 pays à prendre en considération « la voix de la planète » qui s’est exprimée la veille lors de cet événement historique. Le matin même, Ban Ki Moon, avait décrit Earth Hour comme la plus grande manifestation en faveur de la lutte contre les dérèglements climatiques.

Extraits article 06/04/2009

source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1947_earth_hour_2009_bilan.php

10/04/2009

Les bons réflexes pour recycler ses appareils électroménagers LE MONDE extraits 07.04.09

""Que faire de ses appareils électriques et électroménagers usagés ? A l'heure où se termine la semaine du développement durable, et bien que les enjeux environnementaux préoccupent le grand public, le taux de recyclage de ces produits n'est que de 30 % environ. Il reste donc du chemin à faire. Appareils électroménagers (petits et gros), téléphonie, informatique, vidéo, jouets... la liste des objets recyclables est longue.

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Comment faire avec votre ancien appareil ? Trois solutions existent. Premièrement, vous pouvez le faire reprendre par le distributeur. Il a l'obligation de le faire gratuitement en cas de rachat d'un appareil neuf. Deuxièmement, il est possible de le déposer dans une déchetterie - elles sont gérées par les collectivités locales. Enfin, vous pouvez donner votre réfrigérateur, machine à laver, etc., à une association, qui les répare lorsqu'ils peuvent encore servir, ou récupère les pièces détachées. Il s'agit d'organismes tels qu'Emmaüs ou Envie.

Surtout, il faut éviter d'abandonner son appareil sur le trottoir ou de le mettre à la poubelle. Certains objets, comme les écrans de télévision, contiennent des substances potentiellement dangereuses.""

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sites pour en savoir + Sur le Web :
- collectons.org
- emmaus-france.org
- envie.org