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21/11/2009

La crise relance le thème de la décroissance

Jusqu'alors cantonnées à des économistes en marge ou d'écologistes radicaux, les théories des décroissants (remise en cause de l'accumulation matérielle comme source d'épanouissement et de la croissance économique à tout prix) progressent. Des Verts à la gauche radicale, elles font des adeptes.

Il y a deux ans à peine, la thématique effrayait. Parler de sobriété économique était synonyme de limitation du progrès, un nouveau jansénisme triste. On raillait ceux qui voulaient revenir à la bougie comme on avait moqué les premiers écologistes et leur lait de brebis bio. Même les Verts se méfiaient du mot, le jugeant trop « raide ». A l'automne 2006, Yves Cochet, alors candidat à la candidature pour la présidentielle, avait perdu la primaire interne ; son discours ouvertement décroissant avait fait peur à ses camarades.

Depuis, la crise a sévi, la récession est là. La critique d'un système économique fondé sur la seule croissance des biens et de la consommation est générale. L'opinion n'y croit plus et d'aucuns découvrent la théorie de la tempérance. Selon un sondage IFOP- Sud-Ouest (réalisé les 8 et 9 octobre auprès de 955 personnes), 27 % des Français se disent « prêts à changer en profondeur leur mode de vie et à restreindre leur consommation de manière significative ». 53 %, en revanche, concèdent n'être prêts qu'à « des efforts limités ».

« On sent la montée en puissance de comportements écocitoyens et d'une consommation plus sobre mais ce n'est pas encore la décroissance », tempère Jérome Fourquet, directeur de l'IFOP. « Plutôt que de décroissance, il s'agit d'une autre croissance. Les Français ont envie d'un mode de consommation en harmonie entre ce qu'ils estiment bénéfique pour la société et ce dont ils ont besoin », complète Jean-Daniel Lévy, directeur de CSA-opinions. Le succès des Associations pour le maintien d'une agriculture paysanne (AMAP, un réseau d'achat du producteur au consommateur) le confirme....

Extrait paru dans l'édition du Monde du 15.11.09

20/11/2009

Voiture : la révolution des usages

L'automobile n'a jamais été aussi présente dans notre société, et pourtant sa place n'a jamais été autant remise en cause qu'aujourd'hui. Ainsi, 86 % des kilomètres parcourus le sont en voiture et 80 % des ménages possèdent un véhicule. Mais, dans le même temps, on observe une prise de distance par rapport à l'automobile. Un mouvement inédit, qui frappe par sa rapidité et son ampleur. Trois chocs successifs ont servi de révélateur à cette évolution, qui oblige à repenser l'usage de la voiture d'une manière radicale.

  • Le choc pétrolier de 2008 a porté la première estocade.....
  • Choc environnemental ensuite. La montée de la conscience écologique face au réchauffement climatique...
  • Choc économique enfin. La crise financière et ses conséquences sur l'emploi ont d'inévitables répercussions sur le pouvoir d'achat....

...Mais si la voiture restera dans les années qui viennent vraisemblablement un mode de transport incontournable, elle doit en même temps opérer une double révolution. Technologique, afin de s'abstraire de la dépendance du pétrole, mais surtout pratique, sur son mode d'utilisation. Un seul chiffre doit faire réfléchir à l'absurdité à laquelle le modèle actuel a abouti. En Ile-de-France une voiture est immobile 80 % du temps. Objet de liberté après la seconde guerre mondiale, l'automobile est de plus en plus vécue comme une contrainte.

La densité du paysage urbain et celle du parc automobile ont conduit à mettre en place des péages à l'entrée des centres-villes, à rendre de plus en plus compliqué le stationnement. A force d'être utilisée en toutes circonstances, la voiture a fini par perdre sa praticité, et son usage doit être réinventé.

Pour cela l'automobile doit retrouver de la flexibilité pour répondre aux contraintes économiques et aux attentes sociétales. L'une des solutions passe par l'évolution de la notion de propriété. Aujourd'hui la voiture se résume à un bien patrimonial, au travers duquel s'exprime une partie du statut social. Demain, elle devra se partager : d'objet elle deviendra service. Des expériences d'autopartage comme Zipcar, qui existe déjà dans une soixantaine de villes, ou Autolib', qui s'apprête à voir le jour à Paris, ouvrent la voie à une nouvelle ère automobile.

Stéphane Lauer

extrait LE MONDE | 17.11.09

19/11/2009

Edito du Monde Covoiturage

...constat : A force de devenir incontournable, la voiture a elle-même créé les conditions de sa remise en cause. L'exemple de l'Ile-de-France est éloquent : les déplacements quotidiens effectués en voiture y ont explosé de 60 % en dix ans, pendant que la population n'augmentait que de 12 %. Jusqu'à présent, la réponse a été de construire plus de routes, plus de ponts, plus de contournements d'agglomération pour accompagner la tendance.....

pistes de progrès : l'automobile doit changer de nature : d'objet statutaire, elle doit se muer en instrument de service.

Cela suppose une évolution de la notion de propriété : à quoi bon posséder, assurer et entretenir une voiture si celle-ci reste 80 % de son temps immobile ? Aujourd'hui, il y a en moyenne deux voitures par foyer. Sans doute faut-il se dire qu'il y aura une voiture pour plusieurs foyers. Le covoiturage, l'auto-partage, les voitures en libre service se banalisent un peu partout dans le monde. Parallèlement, il faut organiser une meilleure articulation entre voiture et transports collectifs. Les obstacles économiques et culturels restent nombreux. Il revient aux pouvoirs publics de donner l'impulsion nécessaire pour que ces nouvelles solutions se développent.

un avis utile :

Progressivement, on s'achemine vers ce que recommandait naguère André Gorz, et qu'on pouvait juger gentiment utopique : des transports collectifs dans les villes et entre les villes, et des garages municipaux pour le prêt de véhicules utilitaires individuels (pour les déménagements, par exemple). Encore un effort, et on y parviendra !

extraits LE MONDE | 17.11.09

Commentaire : les moyens informatiques (GPS, informatique embarquée ,etc.) existent pour optimiser nos déplacement tout en réduisant ,otre empreinte humaine sur notre terre.

18/11/2009

Une énième étude met en cause le bisphénol A


la molécule de BPA bisphénol A

Depuis 1995, les études se suivent et se ressemblent sur les dangers du bisphénol A (BPA), un monomère entrant dans la fabrication de polymères, en l’occurrence un plastique dur et transparent, le polycarbonate..........

Selon une nouvelle étude portant sur des sujets adultes, le BPA serait également dangereuse pour les adultes qui y seraient exposés. Conduite en Chine sur des ouvriers travaillant dans une usine où le BPA est utilisé en grande quantité, cette étude vient d’être publiée dans la revue Human Reproduction.

Ces ouvriers, expliquent les chercheurs chinois, ont quatre fois plus de risques de souffrir de troubles de l’érection et sept fois plus d’avoir des problèmes d’éjaculation – en comparaison d’ouvriers employés d’une usine n’en utilisant pas.Cette étude serait ainsi la première à faire le lien entre “une exposition au BPA sur le lieu de travail et un dysfonctionnement sexuel chez l’homme”.

Les taux de BPA auxquels étaient exposés les ouvriers étudiés étaient très élevés. ......

Pionnier, le Canada a été le premier pays à bannir, en 2008, les produits contenant du BPA. Quid de la France ? Dans un rapport de 2008, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation (AFSSA) ne s’est pas inquiétée outre mesure, suscitant les moqueries du Canard. L’Agence ne voit pas de risques pour les bébés :

“Lorsque le contenu des biberons en polycarbonate est chauffé via un traitement au four à micro-ondes en conditions réalistes (durée de chauffage inférieure à 10 minutes), les quantités de Bisphenol A transférable à l’aliment restent très inférieures à la valeur maximale de 50 μg de Bisphenol A par litre retenue par l’AESA pour son calcul d’exposition conservateur.”

L’Agence a toutefois promis de relancer les investigations à ce sujet.

Une proposition de loi visant à proscrire “la fabrication, l’importation, l’offre, la détention en vue de la vente ou de la distribution à titre gratuit, la mise en vente, la vente ou la distribution à titre gratuit de plastiques alimentaires contenant du Bisphénol A” a été déposée au début de l’été au Sénat par le socialiste Yvon Collin, mais n’a pas été, à notre connaissance, soumise au vote.

extraits et cliquer pour + de détails sur sciences.blog.lemonde

16/11/2009

Slow life, Décroissance, Écologie, Coopération, Slow Food, Slow money ... La vie meilleure, mode d’emploi : changer de modèle face à la crise Un hors-série de Courrier International vendredi 13 novembre 2009 Posté par David Naulin

La vie meilleure, mode d’emploi : changer de modèle face à la crise

Un hors-série de Courrier International

vendredi 13 novembre 2009

 

Préserver la planète pour les générations suivantes, partager les ressources, choisir au quotidien de n’être “ni maître ni esclave”, comme le suggérait le poète Khalil Gibran, c’est possible. C’est ce dont témoignent une multitude d’initiatives individuelles et collectives menées aux quatre coins du monde, dont la presse internationale se fait l’écho. Le nouveau hors-série de Courrier International démontre brillamment que partout des femmes et des hommes réinventent leur vie, transforment leur quartier, renoncent à la voiture ou en restreignent l’usage, consomment autrement, travaillent moins et différemment. Et pas seulement parce qu’ils y sont contraints par la récession. Cette “crise de plus” s’accompagne d’une prise de conscience. La parole, les idées, semblent libérées, comme le montrent des intellectuels tels que l’Américain Amitai Etzioni ou le Philippin Walden Bello.

lire la suite en cliquant cdurable

 

14/11/2009

La Norvège veut lutter contre la pollution piscicole

...Tout au long de la côte, l'élevage de poissons est devenu la plus importante source de pollution à cause des rejets de nourriture. L'Agence veut renforcer les contraintes dans les zones à risque, mais rendre la réglementation plus simple dans les zones où la situation reste satisfaisante. Dans ces dernières, où sont situées 90 % des fermes, les règles seront assouplies.

"Mais dans les eaux de mauvaise qualité, où sont aujourd'hui installées 1 % des fermes, il sera interdit d'agrandir ou d'installer de nouvelles fermes. Et dans les eaux où la qualité de l'eau est incertaine, concernant 9 % des fermes, les conditions seront beaucoup plus strictes", souligne Ellen Hambro, directrice de SFT. L'Agence s'appuie sur la directive sur l'eau adoptée par l'UE en 2000 pour renforcer les règles.

SFT avait tiré la sonnette d'alarme en mars 2008, indiquant que les rejets de nitrates et de phosphates des fermes piscicoles avaient respectivement augmenté de 20 % et 55 % depuis 2000, alors que la pisciculture s'est développée en moyenne de 10 % par an et a doublé en dix ans....

Mauvaise réputation

La pisciculture n'a pas toujours bonne réputation. Si ses partisans affirment que c'est l'une des réponses indispensables au développement de la population mondiale, les critiques sont nombreuses : emploi d'antibiotiques ou de pigments pour colorer les saumons

Le gouvernement norvégien, qui a lancé en avril 2009 une stratégie pour une pisciculture durable, encourage toutefois son développement afin, entre autres, de consolider l'emploi dans les régions du Nord. L'organisation écologiste Bellona réclame une croissance zéro des concessions et un contrôle accru des conditions d'élevage.

 

Extraits LE MONDE 12.11.09

13/11/2009

La dégradation des tourbières aggrave le réchauffement

3,8 millions de km2 de zones humides dans le monde

Superficie. La superficie mondiale des zones humides telles que les tourbières représente 3,8 millions de km2. Les pays les plus largement dotés sont la Russie (1 176 280 km2 pour la partie asiatique et 199 410 km2 pour la partie européenne), le Canada (1 133 926 km2) et l'Indonésie (265 500 km2).

Emissions. L'assèchement des zones humides dans le monde aurait provoqué des émissions de 1,3 milliard de tonnes de CO2 en 2008. Les principaux émetteurs de gaz sont l'Indonésie (500 millions de tonnes de CO2), la Russie (160 millions) et la Chine (77 millions). L'Europe des Vingt-Sept émet 174 millions de tonnes.

Ratio. Dans 15 pays, dont l'Islande, l'Ouganda ou la Mongolie, les émissions dues à la dégradation des tourbières sont plus élevées que celles qui proviennent des combustibles d'origine fossile.

Les tourbières qui tapissent le globe sont comme un "no man's land" dans la lutte contre le réchauffement climatique. Elles ne sont pas prises en compte par le protocole de Kyoto dans l'estimation des émissions de carbone des pays et, du coup, les gouvernements n'y accordent qu'un intérêt très limité dans leurs discussions actuelles. Pourtant, résultat de l'accumulation progressive de matière végétale, la tourbe retient en elle des quantités importantes de carbone d'origine organique. La dégradation ou l'assèchement des zones humides, pour les besoins de l'agriculture et de la production d'énergie, libère ce gaz. Un processus qui contribue sensiblement au réchauffement du climat.......

Face à ces quantités de CO2 émises, les pays qui s'apprêtent à se réunir à Copenhague ne sont pas enclins à réagir, regrette Alex Kaat. "Le CO2 provenant de la destruction des zones humides est l'orphelin de la négociation climatique, lâche-t-il. Le gaz provenant du sol est moins sexy que la déforestation ou la régulation de la consommation de combustibles fossiles."

Bertrand d'Armagnac
commentaire de 10.11.09 | 18h00

LE MONDE édition du 11.11.09.+ d'infos en cliquant sur lemonde

12/11/2009

Le captage-stockage du CO2 vise la maturité en 2020

Trois procédés existent pour capter le CO2 : extraction dans les fumées de combustion, dans le combustible initial, ou après concentration par la présence d'oxygène. Son transport vers un site de stockage peut s'effectuer par gazoduc terrestre ou sous-marin, ou par bateau. Son enfouissement est envisagé dans des aquifères salins, des gisements de pétrole et de gaz, ou des veines de charbon inexploitées.

"Nouvelle usine à gaz"

L'IEA (Agence internationale de l'énergie) a établi une feuille de route ambitieuse. L'objectif est d'arriver à cent projets à grande échelle en 2020, puis de monter à 850 installations en 2030 et 3 400 en 2050, ce qui permettrait de piéger 10 milliards de tonnes de dioxyde de carbone par an. Un chiffre à comparer aux 30 milliards de tonnes annuelles aujourd'hui relâchées par les activités humaines. L'investissement nécessaire sur quarante ans est de près de 6 000 milliards de dollars (4 000 milliards d'euros).

La première incertitude qui pèse sur ce scénario est financière. Avec les techniques actuelles, la séquestration d'une tonne de CO2 sur les sites des centrales électriques au charbon, au gaz ou au fioul, ou ceux des cimenteries, des raffineries et des usines sidérurgiques, puis son transport, enfin son enfouissement dans le sous-sol, reviennent à près de 100 euros. Un coût dissuasif, quand les droits d'émission se négocient, sur le marché du CO2 à moins de 20 euros la tonne. D'autant que le captage est une opération gourmande en énergie, qui peut réduire de plus d'un quart le rendement d'une centrale au charbon.

La donne pourrait changer si, comme le prévoient des experts, le cours de la tonne de CO2 grimpe à 100 euros en 2030, et si celui du captage-stockage tombe à 30 euros la tonne, grâce à une standardisation des procédés.

La seconde incertitude est environnementale. Les méthodes de capture et d'acheminement du dioxyde de carbone sont maîtrisées par l'industrie pétrolière. Mais des recherches restent à mener pour garantir la sécurité, sur une période d'un ou plusieurs millénaires, d'un enfouissement dans une formation géologique profonde, telle qu'un aquifère salin. Les risques potentiels étant une acidification du milieu, une remontée gazeuse vers une nappe d'eau potable, voire un dégazage brutal dans une zone où, à forte concentration, le CO2 pourrait avoir des effets délétères.

C'est ce qui fait dire au réseau associatif France nature environnement que le CSC est "une nouvelle usine à gaz". Et qu'il vaut mieux miser sur la préservation - et la restauration - de la capacité naturelle des océans, de la végétation et des sols à absorber le carbone.

Pierre Le Hir

Extraits LE MONDE | 06.11.09

Commentaires :  cette stratégie consistant à demander aux pollueurs (les pétroliers) d'enfouir sa tête (c-à-d le gaz co2) sous la terre à l'image de l'autruche est un plâtre sur une jaùbe de bois car on ne s'attaque à la souce du problème. On ne chiffre ici  nullement le coût financier, écologique et social des risques gigantesques liés à la garantie de la sécurité pour les générations futures de nos enfants (cf. également le même aspect pour les déchets nucléaires). Personne et aucun assurance n'est capable d'assurer ce risque....sous forme de prime sans faire faillite

11/11/2009

Compte rendu Pour l'AIE, le statu quo énergétique met la planète sur "une trajectoire dangereuse"

Notre maison brûle" et nous continuons de regarder "ailleurs". Le fameux cri d'alarme de Jacque Chirac au sommet mondial du développement durable de Johannesburg (2002) pourrait être mis en exergue de la dernière édition du rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), publié le 10 novembre. Le World Energy Outlook 2009 ne pouvait mieux tomber à un mois de l'ouverture du sommet de Copenhague sur le changement climatique.......

"Il faut un signal clair"

L'agence plaide pour un développement de l'éolien, du solaire, des agro-carburants, du nucléaire et du captage-stockage du CO2.

lLE MONDE extraits 10.11.09 voir et cliquer sur  le monde

Commentaire : rien ne saurait justifier ce classement, des agro-carburants n'ayant pas à ce jour démontré une moindre pollution directe et indirecte ni son efficacité énergétique, le nucléaire et le captage-stockage du CO2 étant ici avec de très gros risques pour les générations futures (minimum 200 millions d'années pour les déchets et idem pour les risques liées à l'enfouissement qui ne peut être garanti sur cette durée.....

 

09/11/2009

Initiative originale hier à Achenheim, une commune de la périphérie de Strasbourg : des habitants ont donné le surplus de leurs jardins pour garnir les espaces verts de la commune

Ecologique et solidaire
Hisbiscus, houx, épicéas, les plants déposés à la salle polyvalente ou devant les portes par les habitants d'Achenheim étaient variés, à défaut d'être très nombreux. Cette opération était la première : « C'est une démarche écologique et solidaire, un geste de participation. Il s'agit d'éviter de jeter et de récupérer ces plants pour agrémenter nos espaces verts », soulignait Jean-Jacques Fritz, maire d'Achenheim, en accompagnant le tracteur et sa remorque, ainsi que les deux agents municipaux qui ont procédé au ramassage.
Un acte de politique environnementale qui donne le coup d'envoi à d'autres opérations....

extraits 08/11/09 des Dernières nouvelles alsace

Commentaire : un exemple à suivre car il fait daire des économies à la collectivité entière...

08/11/2009

Cultivons nous autrement!

SOS CULTURE vous propose des livres véhiculant des valeurs de respect de la Terre et des Hommes. Des livres pour apprendre, découvrir, aimer, s'éveiller, se transformer, s'amuser, agir.... pour la Planète et ses habitants: Un manuel de jardinage écologique pour enfant, un livre sur la fabrication de cosmétiques naturels,  les additifs alimentaires, le réchauffement climatique ou les OGM , mais aussi de l’humour, ou des loisirs naturels.

+ de détails en cliquant sur sosculture

06/11/2009

Le vélo à assistance électrique à l'essai

Une batterie de vélo à assistance électrique
Agrandir la photo

Une subvention de la Ville sera proposée pour l'achat des vélos à assistance électrique (VAE) à partir du 2 novembre. Cette aide s’élèvera à 25 % du prix d’achat TTC d’un vélo à assistance électrique neuf, le gain pouvant s’élever au maximum à 400€. Paris.fr a testé ces vélos d'un nouveau genre. Autre innovation, la location de VAE dans plusieurs parkings de la Saemes .

C'est un gros coup de pouce pour rouler électrique. Le Conseil de Paris des 29 et 30 septembre a adopté un projet de subvention des vélos à assistance électrique (VAE) par la Mairie de Paris. Les modalités pratiques de cette subvention seront mises en œuvre le 2 novembre (Attention, toute facture antérieure à cette date ne pourra donner droit à la subvention. Les pièces nécessaires à la demande seront téléchargeables sur velo.paris.fr ).

En mars 2009, une aide similaire pour l'achat d'un cyclomoteur électrique avait été votée par les élus de la capitale. La Ville de Paris subventionne ainsi jusqu’à 400 € l’achat de tout cyclomoteur électrique neuf. Avec cette nouvelle subvention des vélos à assistance électrique, la Ville de Paris continue ainsi d'encourager les modes de déplacements propres.

"Gros progrès des batteries"

Les VAE débutent à 800 euros environ, avec une grande variété de modèles. "La subvention va décider les personnes hésitantes qui n'avaient pas forcément le budget nécessaire", estime Yoann Bourrelier, qui vend des VAE à la boutique Cyclelectro.

Pour ce spécialiste des véhicules électriques, c'est la meilleure autonomie des batteries qui a fait progresser les machines : "Il y a un gros progrès des batteries depuis 2 ou 3 ans". Placée dans le porte-bagages ou sur le côté du vélo, elle est amovible et peut être facilement rechargée à domicile. Car elle pèse seulement quelques centaines de grammes. Côté autonomie, on peut rouler entre 25 et 40 km sans recharger, selon les modèles. Le temps de recharge (pour avoir une batterie chargée à 100%) est de 3 à 4 heures.

En montée, le vélo semble rouler... comme sur du plat !

Aux commandes d'un VAE, c'est la facilité à pédaler qui impressionne : en quelques tours de roues, l'assistance électrique se déclenche, et on a déjà franchi plusieurs dizaines de mètres ! Sur les petites montées, le vélo semble rouler comme sur du plat, tant la conduite est souple. Certains utilisateurs ont même installé une remorque derrière leur engin. "C'est super, je tire jusqu'à 100 kilos", se réjouit le propriétaire d'un de ces triporteurs.

Autre avantage : pas besoin d'être détenteur d'un permis pour rouler en VAE. Et l'assurance contre le vol de la batterie coûte seulement environ 40 euros par an. Les VAE, comme les vélos traditionnels, ont également accès aux voies cyclables.

Parisiens, commerçants, artisans et réparateurs implantés à Paris

La subvention pour les VAE s’élèvera à 25 % du prix d’achat TTC d’un vélo à assistance électrique neuf : le gain s’élèvera au maximum à 400€. Elle concernera tous les Parisiens, ainsi que les commerçants, artisans et réparateurs implantés à Paris pour la pratique de leur activité.

Bon à savoir : le lieu d'achat du vélo à assistance électrique est totalement libre. Vous pouvez donc le choisir chez n'importe quel revendeur de France.

Où être conseillé ?

Pour vous informer sur les avantages des deux-roues électriques, un dépliant explicatif est mis à votre disposition par la Mairie de Paris.
» Télécharger le dépliant d'information

Pour être conseillé sur les différents modèles disponibles, l’Espace mobilités électriques (EME) vous accueille :
16 rue de la Tour des Dames - 75009 Paris
du lundi au vendredi de 09h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h00

Vous découvrirez toute la gamme de cyclomoteurs et vélos à assistance électrique. Il vous sera même possible de les essayer!
» Consulter le site de l’EME

commentaire : bonne initiative mais il ne faudrait pas que cela pousse à augmenter les prix, celui vendu en chine coûte en moyenne 100 €...

source cliquez sur ville paris

03/11/2009

Déménager à vélo

Une personne fait du vélo dans les rues de Nantes, le 22 septembre 2005, lors de la journée sans voiture.

AFP/FRED DUFOUR

Le camion qui bloque la rue, qui gêne la circulation des piétons et qui empeste le voisinage, ce n'est pas une fatalité. A Montréal, au Canada, une entreprise propose depuis le printemps d'effectuer les déménagements... à vélo !

"On peut transporter près de 300 kg sur une plate-forme tirée par un cycliste", assure Julien Myette, le fondateur, fier de ses "convictions écologistes". Le lit, la machine à laver, le buffet ou les cartons remplis de livres, tout, "sauf le piano", se transporte à vélo, "à condition d'éviter les rues trop pentues et de faire plusieurs voyages", assure l'entrepreneur, qui a déjà embauché deux salariés, quelques mois après le lancement de sa société.

Dans un rayon de 5 km, le vélo se révèle plus rapide et moins cher que le camion. Pour déménager un deux-pièces, M. Myette préconise deux voyages qui coûteront au client 200 dollars canadiens, soit 125 euros.

Le service fonctionne même pendant une partie du rigoureux hiver montréalais. Toutefois, "en janvier et en février, quand il neigera et que les températures seront inférieures à - 15 °C, il faudra sans doute faire une pause", admet le créateur de l'entreprise.

Olivier Razemon

Extraits LE MONDE | 31.10.09

02/11/2009

La France va devoir importer de l'électricité cet hiver

La France va devoir importer de grandes quantités d'électricité cet hiver pour satisfaire la hausse de sa consommation et des coupures pourraient intervenir en cas de "froid intense et durable", a prévenu vendredi 30 octobre le Réseau de transport d'électricité (RTE).....

SITUATION INÉDITE

Cette forte dépendance de la France vis-à-vis de l'étranger pour ses besoins en électricité s'explique par les nombreux arrêts de production dont est victime le parc nucléaire français cette année. Une quinzaine de réacteurs nucléaires sur 58 étaient à l'arrêt vendredi pour maintenance, pour rechargement en uranium, ou pour avanies diverses, selon une source proche du dossier.....

quelques réactions

Est-ce qu'on ne pourrait pas installer de petits gymnases, avec des vélos électriques, et faire pédaler les chômeurs, les employés inadaptés, les dirigeants incapables, les jeunes retraités encore fringants, etc., en leur versant bien sûr un petit salaire. Voilà une vraie mesure sociale, qui entretiendrait à la fois la santé, l'esprit communautaire, l'indépendance énergétique de la France, et serait écolo, en plus ;-)

On commence par reduire l'eclairage de nuit dans toutes les villes: economies et reduction de la pollution lumineuse, on pourra enfin voir les etoiles. Ensuite on peut se pencher serieusement sur les energies propres... il y en a, alors qu'est-ce qui empeche de les developper?

Je trouve dommage que Le Monde n'ait à ce jour publié aucun article concernant le projet DESERTEC (du moins à ma connaissance). A en croire les commentaires de la plupart des abonnés on pourrait croire qu'il n'existe à ce jour aucune solution renouvelable pour recouvrir notre demande en énergie... Il n'y a pas que le photovoltaïque et les éoliennes! http://www.desertec.org/en/foundation/ (en anglais) http://www.desertec.org/fileadmin/downloads/DESERTEC_RedPaper_2nd_fr.pdf (en français)

Isolez mieux les maisons et les appartements, notamment locatif (il est tant que les propriétaires mettent la main à la poche !), vivez dans des espaces plus petits, n'allumez plus vos allogènes et préfèrerez les chauffages à haut rendement énergétique, mettez des pulls en hiver !. Ma consommation d'électricité n'a fait que baisser ces 5 dernières années sans perdre en qualité de vie.

C'est une blague ? QUI EST RESPONSABLE DANS CETTE PETAUDIERE ? Y en a vraiment marre de nous prendre pour des gogos !!! Redites nous le montant du salaire de ces patrons polytechniciens ???

Ancien d'E.D.F, je ne peux aujourd'hui que ''jubiler'' malheureusement. Car, a l'epoque, on nous traitaient ''d'incapables''. Nos dirigeants( competents soi-disant), ont commis des erreurs ''monumentales'', sur le plan financier et technique ( London elect, investissements en Amerique latine, etc...etc....), la liste serait trop longue. Beaucoup de ces dirigeants, sont en retraite'' plus que,confortables'' aujourd'hui, apres avoir fait d'E.D.F. une entreprise ''surendettee''.Un vrai fiasco !

Extraits LEMONDE.FR avec AFP | 30.10.09

Commentaire : 'BIG IS NOT BEAUTIFUL' L'incompétence associée à un lucre sans frein de nos dirigeants est à pleurer. Nous ferons comme les russes ou pendant la dernière guerre : tous chauffés à maxi 18°, mettre les pulls chauds et chercher soi-même des alternatives qui ne pollueront pas les centaines de générations futures si nous ne sommes pas morts avant....

29/10/2009

Besançon, la ville durable toujours pionnière

extraits  Lors de l'aménagement dans les années 1960 du quartier de Planoise (20 000 habitants en périphérie), l'un des plus grands réseaux de chauffage enterrés, long de 13 kilomètres, y fut installé. En 1974, la ville se révéla pionnière en matière de secteur piétonnier. C'est encore à Besançon que naquit Energie-cités, réseau de 1 000 villes de 30 pays européens, qui y conserve son siège.....Le dernier motif de satisfaction en date pour la ville, c'est la revente à EDF de 87 000 euros de certificats d'économie d'énergie obtenus grâce aux efforts réalisés sur le patrimoine urbain....l'université a entrepris de faire profiter le grand public de ces connaissances. Grâce, surtout, aux Jeudis de l'environnement, un cycle de conférences et de débats organisé par Anne Vignot, ingénieur d'études au CNRS.

Ce choix de sensibiliser la population, de manière concrète, aux défis énergétiques de demain et de faire de chaque citoyen un « ambassadeur de proximité » de la cause environnementale pour en démultiplier les effets, est partagé par la municipalité. A cette fin, un appartement témoin a été aménagé, où des bénévoles, des retraités, des associations d'insertion apprennent aux habitants à être « écologiquement responsables » en matière de chauffage, de tri des déchets, de consommation d'eau, etc.

Autre initiative « pédagogique », 240 familles volontaires, à l'échelle de l'agglomération, vont bénéficier de formations pour améliorer leurs pratiques d'achats, modes de déplacement, habitudes domestiques.

« Ce que nous demandons à ces familles, que nous désirons les plus diverses possible, c'est de résider depuis un an au moins dans leur logement et de s'engager dans notre démarche pour une durée identique, précise Myriam Normand, directrice du service de la maîtrise de l'énergie. Outre l'observation de leurs comportements liés à l'environnement, leur habitat fera l'objet d'un diagnostic énergétique par un expert. Si elles ont un projet d'isolation, nous pourrons les aider à le réaliser. Avec pour objectif qu'elles en parlent autour d'elles ».

source le monde du 21/10/09

Commentaires : Voici de nouvelles pistes à suivre par toutes les villes et agglomérations de toute taille afin qu'elle génère des énergies positives et de plus sonnantes en engrangeant des recettes, donc des économies financières pour les habitants : bravo à Besançon

25/10/2009

Copenhague 2009: L'ONU lance la pétition "Seal the Deal"

Dirigée par l'ONU l'opération "Seal the Deal" cherche à obtenir le soutien de l'opinion publique internationale pour convaincre les hommes politiques de trouver un accord lors de la conférence de Copenhague sur le climat en Décembre.

Le changement climatique nous touche tous. Neuf des dix catastrophes enregistrées sont désormais liés au climat. La hausse des températures est la conséquence de la fréquence accrue des inondations,  des sécheresses et des tempêtes qui touchent des millions de gens. Tout cela, dans un contexte d'insécurité financière et alimentaire.

Le 7 Décembre, les gouvernements se réuniront à Copenhague, au Danemark afin de répondre à l'un des plus grands défis auxquels l'humanité. La question principale sera de savoir comment protéger la planète et créer une économie verte qui mènera à une prospérité à long terme.

Les Nations Unies ont lancé l'opération «Seal the Deal" qui encourage les utilisateurs à voter en ligne la pétition internationale qui sera ensuite présentée aux gouvernements du monde.

La pétition servira à rappeler à nos dirigeants qu'ils doivent parvenir à un accord juste, équilibré et efficace à Copenhague afin fournir une croissance verte, protéger notre planète et de bâtir un monde plus durable.

terriane - Seal the Deal

pour signer cliquer ici

24/10/2009

Bientôt une Irlande officiellement sans OGM ?

par Christophe Noisette, Le gouvernement irlandais vient de déclarer publiquement qu’il allait proclamer son pays en entier « Zone sans OGM » et qu’il souhaitait « optimiser l’avantage compétitif de l’Irlande comme pays sans OGM en introduisant un logo volontaire »sans OGM« , à l’instar de ce que le gouvernement allemand a mis en place ».
Il ne s’agit pour l’instant que d’une déclaration politique, car le gouvernement n’a pas évoqué le dépôt de la clause de sauvegarde auprès de la Commission européenne, clause qui interdirait précisément la culture du maïs Mon810, la seule plante transgénique autorisée à la culture dans l’UE

source octobre 2009 infogm

22/10/2009

La bicyclette-taxi Bixi enthousiasme les Montréalais

L'un, le Bixi, est tout nouveau, l'autre, Communauto, a déjà quinze ans d'existence mais ils visent le même objectif : inciter les Montréalais à délaisser la voiture individuelle pour adopter des modes de transport plus écologiques, en complément du métro et du bus. Leur succès dépasse les espérances.

Le Bixi, vélo en libre-service, a été lancé en mai, avec 3 000 vélos et 300 stations mais l'accueil fut tel qu'en septembre il a fallu avancer la phase 2 du projet et proposer 100 stations et 2 000 vélos supplémentaires. La Société de vélo en libre-service, qui gère le projet montréalais, a obtenu le mandat, avec le groupe britannique Serco, de concevoir et mettre en place dès 2010 le "London Cycle Hire Scheme", un projet de 6 000 vélos, 400 stations comprenant 10 000 bornes au total. A Boston, le contrat d'implantation d'un système similaire comprend la livraison de 2 500 bicyclettes et 290 stations dans le centre-ville, chiffres qui pourraient doubler avec l'implication de villes limitrophes.

De son côté, le système d'auto-partage Communauto - lancé par une PME privée -, disponible à Montréal mais aussi dans trois autres grandes villes québécoises, dont Québec, a une croissance exponentielle depuis sa création. Fonctionnant avec des forfaits annuels selon les besoins (courtes ou longues distances), il comptait, en 2009, 18 200 abonnés. Sa flotte de 875 véhicules est disponible dans 300 parkings, avec un système d'accès en libre-service qui a fait ses preuves.

Convaincu que bien des gens ne veulent pas se passer d'une auto mais en voudraient bien une à temps partiel, l'initiative a pour principal objectif de "s'inclure dans la chaîne des transports publics" en combinant les offres. Un abonné de Communauto bénéficiait déjà de tarifs à rabais de la Société de transport de Montréal (STM) pour le métro et le bus. Désormais, il peut aussi obtenir une réduction de 50 % sur la location annuelle du nouveau vélo en libre-service.

Le Bixi (bi pour bicyclette, xi pour taxi) est une pure invention québécoise, conçue par le designer industriel Michel Dallaire avec le fabricant Cycles Devinci et la multinationale Rio Tinto Alcan comme partenaire, notamment pour la fourniture d'aluminium. Du vélo aux terminaux, tout est fabriqué au Québec. L'entretien et les réparations sont confiés à Cyclochrome, une entreprise d'économie sociale spécialisée dans la réinsertion de jeunes en rupture de ban.

"Mieux que le Vélib'"

Avec un réseau cyclable de 560 kilomètres, Montréal est une ville où il fait bon pédaler quand le temps le permet, soit de mai à novembre. Le système est facile d'utilisation, avec une Bixi-clé pour ses abonnés (10 500 fin septembre) ou une carte de crédit pour les usagers occasionnels (106 000 depuis mai). A la fine pointe de la technologie, ce vélo des temps modernes, dont les bornes de stationnement fonctionnent à l'énergie solaire, a été récompensé par plusieurs prix.

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Anne Pélouas (à Montréal)
extrait du monde du 19/10/09

20/10/2009

Ouverture de la librairie Planète Métis, l’écologie en livres, sur le net

Ouverture de la librairie Planète Métis, l’écologie en livres, sur le net spécialisée en :

  • Écologie
  • Développement durable
  • Bio
  • Nature

Choix important de livres d’occasion, neufs, numériques et audio avec  page "actualité" pour s'informer des dernières nouvelles dans ces domaines.

L'objectif de Planète Métis est de faire découvrir nos sociétés et notre environnement, afin de permettre à un maximum de citoyens de notre planète de se comprendre et de comprendre notre espace commun.

18/10/2009

Roundup. Monsanto condamné pour publicité mensongère

Le Round up, désherbant, très répandu, n'est pas aussi inoffensif que la publicité veut bien le dire. La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de Monsanto, rendant définitive sa condamnation à 15 000 euros d'amende pour "publicité mensongère".
Sa boîte verte est bien connue des jardiniers amateurs. Et les agriculteurs l'utilisent aussi en grande quantité. Le Roundup, premier désherbant vendu en France et dans le monde, va-t-il devoir changer sa publicité?

Depuis sa mise sur le marché en 1975, son fabricant, la multinationale américaine Monsanto, l'a toujours présenté comme un herbicide efficace, biodégradable qui respecte l'environnement. Pourtant, le 27 janvier 2007, Monsanto a été condamné par le tribunal correctionnel de Lyon à 15000€ d'amende pour publicité mensongère.

Herbicide total

Les associations Eau et Rivières de Bretagne et UFC-Que choisir avaient porté plainte au sujet de l'étiquetage de l'herbicide. Monsanto avait fait appel de cette décision. En octobre 2008, la cour d'appel de Lyon a confirmé sa culpabilité. La multinationale s'était pourvue en cassation. Un pourvoi rejeté, le 6octobre, par la chambre criminelle de la Cour de cassation.

Ce désherbant n'est pas aussi vert qu'il en a l'air. Le Roundup est un herbicide total.

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