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21/01/2010

Compte rendu Un mois après Copenhague, les Vingt-Sept restent divisés sur le climat

En ce qui concerne le climat, l'Union européenne (UE) est dans le bourbier : la réunion des ministres de l'environnement à Séville, vendredi 15 et samedi 16 janvier, a montré que, pour leur première réunion après la conférence sur le climat de Copenhague en décembre 2009, les responsables étaient incertains et hésitants.....

A Séville, les ministres ont surtout discuté de l'offre de réduction des émissions de gaz à effet de serre que pourrait faire l'Europe. Faut-il rester à l'objectif de réduction de 20 % en 2020, ou pousser à 30 %, pour tenter de débloquer les négociations dans la perspective de la réunion au Mexique, en décembre ?...

Les pays européens devront cependant, pour se conformer à "l'accord de Copenhague", présenter, le 31 janvier, le chiffre de leurs engagements de réduction des émissions.....l'accord de Copenhague, qui n'a été signé que par 26 pays, n'a pas de valeur juridique. Il ne précise pas la façon dont ces plans doivent être présentés.

....l'ONU reste le seul cadre formel dans lequel se poursuit la discussion internationale.

Hervé Kempf Extraits LE MONDE | 18.01.10 |

Commentaire : le point de vue d'Hervé KEMPF est pertinent. Il reste en effet beaucoup de points obscurs sachant que seulement 26 pays ont signé un accord flou à minima sur les 186 pays présents... Si les Européens signent pour une réduction de 30%, quelles mesures  seront prises pour éviter que nos entreprises situées dans l'Union Européenne ne soieent pas plus pénalisées par rapport aux pays peu regardants en la matière ?

 

 

15/12/2009

journal (suite) sommet Copenhague association Objectif Climat de Strasbourg

Bonjour à tous,

Nous sommes de retour après un long trajet Copenhague-Hambourg-Aix la Chapelle- Bruxelles- Paris- Strasbourg. Je crois pouvoir affirmer que nous sommes tous carbonisés (désolé pour le jeu de mots un peu facile). Nous n'avons pas eu de connection possible à internet durant 24h, ce qui explique notre silence jusqu'à maintenant. Le voyage du retour a été à l'image du voyage aller :  militant, festif, joyeux. Le grand moment du trajet a été, sans contestation possible la mêlée gigantesque avec les militants d'Oxfam, des amis de la terre et les basques de Bizi au beau milieu du train. Au rugby, on appelait ça un empilage (le nouveau règlement l'interdit) ...Un peu viril, mais pacifique, avec en conclusion, un grand choeur de chants basques...

Entre mon dernier message et celui-çi s'est déroulé l'essentiel : Les deux manifestations de samedi étaient splendides, incroyablement colorées et très multiculturelles. 100 000 participants au total nous disent les Danois. Jamais depuis que je fais des manifs je n'avais vu autant de gens engagés avec autant de pancartes, de déguisements et de bonne humeur. Nous n'avons pas vu les violences, auxquelles la presse semble avoir donné une place exagérée. Laurent a fait fureur avec ses célèbres peluches. Il a donné plusieurs interviews télévisées à des chaînes de différents pays. Hier des journalistes de l'express.fr rencontrés dans un bar, ont découvert notre action et nous ont donné rdv pour une itw au départ de notre train dimanche ap-midi. A l'heure ou je vous écris,cet article doit déjà être en ligne. Par ailleurs, vous avez du lire les 2 articles rédigés par Simone Wehrung dans les dna. Elle nous a accompagné durant tout le séjour. Nous, on a trouvé ça très sympa. Elle était toujours d'humeur joyeuse et semblait totalement prise par l'événement.  Pour notre part, nous n' avons pas encore lu ses articles. Nous allons à présent nous précipiter sur notre quotidien régionale préféré afin de les découvrir :-)

Enfin, si vous n'avez pas encore acheté le journal "le monde" de ce jour, faites-le, OBJECTIF CLIMAT y est à l'honneur, avec Peggy en gros plan de la photo illustrant le départ du train de militants à Paris. C'est déjà un collector :-)

Hier matin, au Klimaforum, on a touché du doigt les déséquilibres planétaires lorsque les paysans Salvadoriens  sont venus nous expliquer les impacts désastreux des activités de certaines grandes entreprises pétrolières sur leur vie quotidienne et sur les écosystèmes locaux. Même chose en ce qui concerne les effets sur les populations Paraguayennes et Argentines de la culture intensive du soja destiné à nourrir ... les porcs danois !

Il est difficile de décrire en quelques phrases le sentiment qui a pu nous envahir lors de la manifestation de samedi après-midi. L'impression que j'en retire à titre personnel est celle d'une mobilisation d'une puissance tout à fait étonnante. La conscience écologique du monde était rassemblée ce week-end à Copenhague. Pour la première fois sans doute dans l'histoire des négociations interétatiques pour la protection du climat, on entrevoit -enfin-  une convergence possible entre les aspirations citoyennes et les engagements des responsables politiques.

Toutefois, il ne s'agit là que d'une perspective. Il appartient aux chefs d'Etat des principaux pays émetteurs de gaz à effet de serre de la concrétiser. Le bras de fer ou -comme on voudra- la partie de poker menteur que se livrent actuellement les USA et la Chine dans les négociations sur  le niveau de réduction de leurs émission respectives, ainsi que sur l'aide à la transition à apporter aux grands émergents pour les 10 à 20 prochaines années, est un moment tout à fait crucial des négociations. De façon plus générale, ce bras de fer illustre les nouveaux rapports de force géostratégiques mondiaux.

Si les dirigeants du monde ne trouvent pas de bon accord à Copenhague, nous devrons être beaucoup plus insistants à Mexico l'année prochaine, et çà sera beaucoup, beaucoup plus fatiguant !

Bien à vous tous
Jean-Michel

14/12/2009

journal quotidien sommet Copenhague association Objectif Climat de Strasbbourg

Bonsoir à tous,

Nous voyageons depuis ce matin 8h dans le train de militants qui nous conduit à Copenhague. A l'heure où je vous écris, nous sommes entrés au Danemark. Notre vitesse a varié dans une fourchette de 40 à 120 kmh tout au long de la journée. A notre arrivée tout à l'heure à la frontière Danoise, nous avons dû changer de train, car les trains belges (et oui, notre train est belge) ne sont pas configurés pour franchir les tunnels danois. Vive l'Europe !

Notre périple à travers l'Europe du Nord s'est effectué dans une ambiance extraordinairement festive. Les participants viennent de tous les pays : France, Belgique, Irlande, Angleterre, Allemagne. Des espagnols ont également fait le voyage. Et puis aussi des amis Basques d'une association locale qui milite pour la sauvegarde du climat : Bizi (« la vie » en langue Basque). Leur dynamisme fait plaisir à voir. Il faudra que nous les invitions à Strasbourg.

A bord, de nombreux journalistes de la presse écrite et audiovisuelle. Un centre de presse fonctionne en permanence dans le train. Les interviews s'enchaînent et sont transmis en direct au moyen d'une radio dont les émissions nous bercent en permanence.

Cécile DUFLOT, secrétaire nationale des verts est là. Complètement dans le gaz au début du voyage. Début de grippe A ? effets du vaccin contre la grippe A ? En tout état de cause, en quelques heures, elle a repris de sa superbe et répond aux journalistes avec énergie.

Les copains de Sortir du nucléaire ont décoré le train avec des affiches « don't nuke the climate ». Nous, on trouve cela plutôt sympa, n'en déplaise à certains...

Au sein de notre petite délégation OBJECTIF CLIMAT, l'ambiance est excellente. Nous expliquons nos modalités d'action à d'autres assocs et ONG. Manifestement, ça intrigue et ça intéresse.

Nous mangeons sobre en carbone : c'est végétarien et c'est très bon ! Les menus sont servis à bord par les bénévoles des amis de la terre. L'organisation est millimétrée. Impressionnant.

Le plus dur -physiquement- commence dans quelques heures. Arrivés à Copenhague à 3h du matin, nous quitterons notre logis très tôt pour participer à la grande manifestation. Elle durera toute la journée. Nous y participerons avec d'autant plus d'énergie que les négociations semblent patiner.

Désolé pour le côté un peu «en vrac« de ces infos.

Demain soir, je vous ferai un petit retour de notre journée de manif.

Bien à vous tous

JM

 

12/12/2009

Quand le CNRS renvoie dos à dos climatologues et "climato-sceptiques"

Commentaire : cela chauffe sur le climat même au CNRS où le débat fait rage. Peu importe, le principal, c'est que l'on fasse bouger les lignes et qu'on agisse pour une plus grande sobriété de notre consommation  dans tous les domaines.Déjà 40 commentaires sur cet article....

A l'heure de la conférence de Copenhague et alors que la revue Nature, l'une des plus vénérables institutions du monde scientifique, qualifie désormais de "négateurs" ceux qui ne voient dans le réchauffement actuel que l'effet de cycles naturels, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) se pose toujours la question.n témoigne la préparation, houleuse, du dernier numéro du Journal du CNRS, qui vient tout juste de paraître. Ce mensuel institutionnel de belle facture, préparé par la direction de la communication de l'organisme, est pourtant peu coutumier des polémiques. Mais, dès qu'il s'agit du climat, la confection du plus paisible des périodiques peut se transformer en foire d'empoigne.

Précisément : Copenhague oblige, le principal sujet de l'édition de décembre était le réchauffement. Logiquement, des climatologues devaient intervenir dans une première partie du dossier, consacrée au diagnostic scientifique. Mais, face à eux, deux géologues de l'Institut de physique du globe de Paris (IPGP), Vincent Courtillot et Jean-Louis Le Mouël, étaient invités à développer leur thèse, très marginale, d'une cause solaire au réchauffement.

"Théories"

Bogue éditorial ? Non : c'est de la présidence même du CNRS qu'émanait la décision d'associer les deux géophysiciens à la rédaction du dossier. Décision assortie de la demande que le CNRS ne prenne pas position sur l'une ou l'autre des "théories". Colère des climatologues. Et, en définitive, impossibilité de concilier les deux "théories" dans le même numéro. Comment résoudre le problème ? Par le vide. Le journal a finalement été amputé - chose cocasse s'agissant d'une publication du CNRS - de tout article sur les sciences du climat...

extraits LE MONDE | 10.12.09

11/12/2009

Action internationale sur la Petite Sirène de Copenhague contre l'inclusion du nucléaire dans le deal climatique

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Photo Nouara Aci Scalabre  All rights reserved

Lors du Sommet de Copenhague, les décideurs ont non seulement le devoir de parvenir à un accord ambitieux sur le climat, mais aussi de refuser les « fausses bonnes solutions ». Or, lors de la session de négociations à Bangkok au mois d’octobre 2009, le nucléaire, pourtant exclu à juste titre des mécanismes du Protocole de Kyoto, a refait surface.

De nombreux pays, dont la France, souhaitent en effet que cette source d’énergie puisse être reconnue à Copenhague comme une solution au changement climatique. Si le prochain accord climatique accorde une place au nucléaire, certains Etats pourraient « s'acquitter » de leurs objectifs de réduction d'émission en vendant des réacteurs aux pays en développement ; ils éviteraient ainsi la remise en question de leurs modes de

production et de consommation, pourtant à l'origine du problème climatique. Par ailleurs, si le nucléaire devenait éligible aux financements par ce biais, l’industrie nucléaire trouverait ainsi une source majeure de subventions publiques.

L’action de ce matin, quelques jours après le déploiement d’une grande banderole à 100 m du lieu du Sommet sur le climat, s’inscrit dans le cadre de la campagne citoyenne internationale « Don’t Nuke the Climate ! » coordonnée par le Réseau « Sortir du nucléaire ». Cette campagne rassemble aujourd’hui plus de 350 organisations dans 45 pays, qui refusent le nucléaire comme « solution » au changement climatique.

Le nucléaire est trop dangereux (déchets, accidents, prolifération…), trop lent face à l'urgence climatique (10 ans pour construire un réacteur), trop coûteux et inapproprié pour le développement du Sud. Si cette technologie était incluse dans le nouvel accord climatique, elle priverait de financement les vraies solutions que sont notamment l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables. Recourir au nucléaire, c’est donc condamner à l’échec la lutte contre le changement climatique.

Les citoyens de tous les pays sont appelés à signer la pétition « Don’t Nuke the Climate ! », traduite en dix langues. Déjà 50 000 personnes ont signé l’appel.

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Pour plus d’information : www.dont-nuke-the-climate.org

 

Photos disponible sur : ftpperso.free.fr – login : sdnphotos – public09

et www.flickr.com/photos/43160621@N08/sets

 

Contact :

- Charlotte Mijeon, Réseau "Sortir du nucléaire" (France): + 33 6 75 36 20 20 ; charlotte.mijeon@sortirdunucleaire.fr

09/12/2009

Reportage Des vélos aux éoliennes, la capitale du Danemark soigne son image de "ville verte"

Le canal de Nyhaven, à Copenhague.AFP/ADRIAN DENNIS

Le canal de Nyhaven, à Copenhague.

.....Copenhague ne part pas de rien. La cité de la Petite Sirène a déjà réduit ses émissions de CO2 de 20 % ces dix dernières années. 37 % des habitants vont travailler ou étudier chaque jour à bicyclette - on compte 560 000 vélos pour 519 000 habitants ! -, près de 15 % de l'électricité est produite par des éoliennes et 98 % des immeubles sont connectés à un efficace réseau de chauffage urbain. Résultat : "Un habitant de Copenhague émet moins de 5 tonnes de CO2 par an, contre 10 tonnes pour un Danois moyen, 20 tonnes pour un Américain", se félicite M. Bondam.

Pour atteindre son médiatique objectif, la ville vise d'abord une réduction supplémentaire des rejets de CO2 de 20 % d'ici à 2015. Comment ? En portant la part des cyclistes à 50 %, en améliorant l'isolation des bâtiments, en développant l'offre de transports en commun... mais surtout en faisant massivement passer sa production d'énergie du côté des sources renouvelables, alors que 73 % de l'électricité de la ville est aujourd'hui produite par du charbon, du gaz naturel ou du pétrole.

Grégoire Allix

03/12/2009

FLASH MOB MONDIALE POUR LE CLIMAT 05.12.09 à 11 h 45 partout en France

GREENPEACE VOUS DONNE RENDEZ-VOUS
Le 5 décembre 2009
Rendez-vous 48h avant le sommet de Copenhague pour une flashmob musicale
Informations pratiques
Dress code Accessoires
venez habillé en orange, noir ou blanc poêle, casserole, vos deux mains, instruments de musique
Le rendez-vous
A 11h45 partout en France ! cliquez ici pour voir la liste des villes

Signez l'appel ULTIMATUM CLIMATIQUE

13/11/2009

La dégradation des tourbières aggrave le réchauffement

3,8 millions de km2 de zones humides dans le monde

Superficie. La superficie mondiale des zones humides telles que les tourbières représente 3,8 millions de km2. Les pays les plus largement dotés sont la Russie (1 176 280 km2 pour la partie asiatique et 199 410 km2 pour la partie européenne), le Canada (1 133 926 km2) et l'Indonésie (265 500 km2).

Emissions. L'assèchement des zones humides dans le monde aurait provoqué des émissions de 1,3 milliard de tonnes de CO2 en 2008. Les principaux émetteurs de gaz sont l'Indonésie (500 millions de tonnes de CO2), la Russie (160 millions) et la Chine (77 millions). L'Europe des Vingt-Sept émet 174 millions de tonnes.

Ratio. Dans 15 pays, dont l'Islande, l'Ouganda ou la Mongolie, les émissions dues à la dégradation des tourbières sont plus élevées que celles qui proviennent des combustibles d'origine fossile.

Les tourbières qui tapissent le globe sont comme un "no man's land" dans la lutte contre le réchauffement climatique. Elles ne sont pas prises en compte par le protocole de Kyoto dans l'estimation des émissions de carbone des pays et, du coup, les gouvernements n'y accordent qu'un intérêt très limité dans leurs discussions actuelles. Pourtant, résultat de l'accumulation progressive de matière végétale, la tourbe retient en elle des quantités importantes de carbone d'origine organique. La dégradation ou l'assèchement des zones humides, pour les besoins de l'agriculture et de la production d'énergie, libère ce gaz. Un processus qui contribue sensiblement au réchauffement du climat.......

Face à ces quantités de CO2 émises, les pays qui s'apprêtent à se réunir à Copenhague ne sont pas enclins à réagir, regrette Alex Kaat. "Le CO2 provenant de la destruction des zones humides est l'orphelin de la négociation climatique, lâche-t-il. Le gaz provenant du sol est moins sexy que la déforestation ou la régulation de la consommation de combustibles fossiles."

Bertrand d'Armagnac
commentaire de 10.11.09 | 18h00

LE MONDE édition du 11.11.09.+ d'infos en cliquant sur lemonde

22/09/2009

Des réveils contre le réchauffement climatique

Un collectif d'associations a organisé lundi des flash mobs partout dans le monde pour «réveiller les politiques». En France, le réveil était pour Sarkozy.



source libération

 

19/09/2009

LUNDI 21 SEPTEMBRE / 12h18 FLASH MOB MONDIALE POUR LE CLIMAT LUNDI 21.09.09

Communiqué : Dans moins de 100 jours aura lieu à Copenhague le sommet de l’ONU sur le climat, un rendez-vous crucial pour la lutte contre les changements climatiques. Ce sommet doit absolument aboutir à un accord historique pour nous éviter le pire. Les négociations préparatoires ont déjà débuté et le 22 septembre, les dirigeants mondiaux se rassemblent à New York pour l'Assemblée Générale des Nations unies, où il sera beaucoup question de la crise climatique et de Copenhague.

En France, l'Ultimatum Climatique - coalition inédite de 11 des plus importantes organisations françaises de défense de l’environnement, des droits de l’homme et de solidarité internationale - organise cette Flash Mob(mobilisation éclair) dans le centre de Paris, le 21 septembre à 12h18 pour réveiller le Président français Nicolas Sarkozy.

En effet, la réalité de la position de la France dans les négociations internationales sur le climat est loin d’être encore satisfaisante. L’Ultimatum Climatique a lancé un appel solennel au Président français en mai dernier, afin qu’il pousse au sein de l’UE une position forte de l’Union Européenne lors de la conférence de Copenhague.

L’Ultimatum Climatique s’est fixé un objectif d’1 million de signatures d’ici le début de la conférence de Copenhague le 10 décembre. Voir l’appel sur www.copenhague-2009.com

Pour participer à cet événement international et connaître le lieu et l’heure précis de rendez-vous, les citoyens doivent envoyer un mail à flashmob.climat@gmail.com ou s’inscrire sur Facebook http://www.facebook.com/event.php?eid=125101042223

Des responsables des organisations membres de l’Ultimatum Climatique seront disponibles pour des interviews.

Contact presse : Morgane Créach, Réseau Action Climat-France : 01.48.58.00.20.

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