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10/08/2010

Miel au kérozène....

Est-ce vraiment ce qui'il faut faire ? voir cette vidéo ci-dessous

09/08/2010

En selle pour 2011

En selle pour 2011

La piste cyclable joignant Strasbourg à Colmar sera bientôt une réalité. Les travaux du maillon manquant, entre Artzenheim et Friesenheim, dans le Bas-Rhin, viennent de démarrer. Pour une mise en circulation en mars 2011.

Aller de Colmar à Strasbourg à vélo en toute sécurité sur une piste cyclable qui longe le canal du Rhône au Rhin : voilà dix ans que le projet patientait dans les cartons des conseils généraux du Haut-Rhin et du Bas-Rhin. « Cette fois, ça y est. Le chantier du dernier tronçon démarre », se réjouit Gérard Simler, conseiller général du canton de Marckolsheim.

Le Haut-Rhin avait pris un peu d'avance

Pas moins de sept études ont été effectuées avant que le projet ne se réalise enfin. « Le terrain est propriété de l'État, cela a fortement compliqué les choses. En plus, le projet de piste cyclable a toujours été associé à la réhabilitation du canal, un dossier complexe », souligne Gérard Simler.
Contournant ces obstacles, le Haut-Rhin avait pris un peu d'avance : les 15 km de piste cyclable qui relient Colmar à Artzenheim ont été mis en circulation au printemps 2009. « Nous avions alors décidé que la piste cyclable suivrait le chemin de halage, et ainsi passerait sous les différents ponts », indique Éric Straumann, conseiller général du canton de Colmar. Il se targue du succès rencontré par l'itinéraire. « La piste est fréquentée, certains jours, par près de 700 personnes. »
Le dernier tronçon, entre Artzenheim et Friesenheim, est long de 25 km, dont 1 km situé sur le département du Haut-Rhin. « On aurait pu commencer les travaux en mars si un arrêté préfectoral ne nous l'avait interdit à cause de la période de nidification des oiseaux », précise Gérard Simler. Les travaux, entamés cette semaine, devraient durer quatre mois, mais l'itinéraire ne sera mis en circulation qu'en mars 2011, après les dernières finitions réalisées à la fin de l'hiver.
Comme la partie haut-rhinoise, recouverte d'un revêtement naturel, le végécol, avec liant végétal, la partie bas-rhinoise bénéficiera d'un revêtement propre. « C'est un nouveau produit issu des hauts fourneaux de Lorraine. Encore plus poreux que le végécol, il empêchera l'eau de pluie de stagner », précise le conseiller général bas-rhinois. Le coût du projet (2,2 millions d'euros) sera pris en charge à hauteur de 1 million par Voies navigables de France (VNF) et 1,2 million par les départements (dont 85 000 € par le Haut-Rhin au prorata du kilométrage).
Pour Éric Straumann, cette future piste en site propre, qui permettra de relier les centres-villes de Colmar et de Strasbourg (*), deviendra le principal atout touristique de la région du Ried. « Le cyclotourisme pourra connaître un vrai développement...extrait dna du 6.08.10

commentaire : bonne initiative pour le coeur et les jambes si pistes cyclables sécurisées

08/08/2010

Climat : les négociations piétinent à Bonn extrairs lemonde 6.08.10

Dans le fjord norvégien de Ny-Aalesund, les chercheurs simulent l'évolution attendue de l'acidité des océans d'ici à 2150 entraînée par la hausse des émissions de CO2.

Canicule et incendies de forêt en Russie, inondations massives au Pakistan, sécheresse et crise alimentaire au Niger : la conjonction de catastrophes climatiques ces dernières semaines n'aura pas suffi. L'inquiétude l'emporte après une semaine de nouvelles négociations à Bonn en vue d'un accord sur le climat.

Réunis jusqu'à vendredi à Bonn, les négociateurs des Nations unies avaient pour tâche de préparer la conférence de Cancun chargée de compléter, fin novembre, l'embryon d'accord arraché à Copenhague en décembre 2009 afin de contenir la hausse du thermomètre mondial à 2 °C maximum.

"Nous observons des reculades de toutes parts […]. Si nous continuons ainsi, il n'y a aucun espoir d'accord", a avoué vendredi le représentant américain Jonathan Pershing, lors d'une conférence de presse retransmise via Internet. "A ce stade je suis très inquiet. Toute la semaine nous avons vu des pays qui reviennent sur les engagements pris à Copenhague et sur nos accords", a-t-il ajouté au terme des cinq jours de négociations.

Commentaire : à ce rythme, même en fqasant appel aux volontaires, un y arrivera pas. Personne ne veut payer ou se bouger....

 

07/08/2010

Electricité Une hausse inquiétante avant le court-jus de la loi Nome

Depuis des mois, EDF réclame une hausse importante des tarifs réglementés. Au 15 août, ils vont augmenter de 3% pour les particuliers. Déjà l'an dernier, alors que l'inflation était nulle, les tarifs ont augmenté de 1,9%, contrairement à l'engagement pris par EDF et l'Etat de ne pas effectuer de hausses supérieures à l'inflation jusqu'en 2010 (contrat de Service Public, signé le 24 octobre 2005).

Et, comme l'année dernière, cette hausse, contre toute logique environnementale, pénalise davantage les consommateurs les plus vertueux : les petits consommateurs et ceux ayant des tarifs spéciaux consommant peu les jours de pointe (tarifs tempo et EJP).

Cette annonce de 3% d'augmentation s'accompagne d'un renforcement du tarif social à destination des ménages les plus modestes. C'est une fausse bonne nouvelle. Ce qu'il faut surtout, c'est que ce tarif soit réellement appliqué. Aujourd'hui seuls 31% des ayant-droits en bénéficient car il est peu connu et le système pour l'obtenir et le conserver est un vrai parcours du combattant.

Cette hausse est d'autant plus inquiétante que la loi Nome, Nouvelle Organisation du Marché de l'Electricité, est en cours de discussion, et qu'en l'état actuel du texte, elle va faire flamber le niveau des tarifs réglementés d'ici 2015.

Dans un contexte d'obligation pour l'Etat de se mettre en conformité avec la Commission Européenne, l'UFC-Que Choisir s'était déclarée favorable au principe de cette loi dans la mesure où elle permettait aux consommateurs de continuer à bénéficier de tarifs réglementés compétitifs compte tenu du parc nucléaire historique amorti. extraits UFC que choisir

06/08/2010

INCENDIES EN RUSSIE - La France guette une éventuelle pollution radioactive

extraits Le Point.fr (source AFP)

INCENDIES EN RUSSIE - La France guette une éventuelle pollution radioactive

Les feux en Russie pourrait charrier dans l'air des particules radioactives jusqu'à la France © LU JINBO/MaxPPP

Les incendies de forêt en Russie suscitent aussi l'inquiétude dans l'Hexagone. L'association écologiste Robin des Bois a mis en garde, jeudi, contre le risque de retombées radioactives en Europe qu'ils pourraient générer. Un danger jugé suffisamment sérieux pour que l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) se soit engagé à surveiller la situation de près.

"Ces incendies de forêt posent deux questions : si ces incendies touchent des territoires contaminés lors de l'accident de Tchernobyl, les particules radioactives remises en suspension lors de la combustion du bois peuvent-elles atteindre la France ? Ces incendies menacent-ils la sûreté de certaines installations nucléaires russes ?", s'interroge l'IRSN. De con côté, Robin des Bois fait part de son "inquiétude particulière" pour "le site secret Arzamas 16, à 60 km de la ville de Sarov, qui abrite depuis 1946 un centre russe d'expérimentations et d'activités nucléaires". "De Staline à Poutine, Arzamas 16 (...) a servi de site de stockage de plutonium, d'uranium enrichi, d'assemblage et de désassemblage de bombes nucléaires et sans aucun doute aussi de dépotoir de déchets", explique l'association.

Les autorités russes ont fait évacuer mercredi des matériaux explosifs radioactifs du centre nucléaire russe de Sarov, à 500 km à l'est de Moscou, en raison des incendies qui le menacent. Jeudi, le gouvernement russe a fait part de sa crainte que les incendies se propagent à une zone irradiée par l'explosion en 1986 de la centrale nucléaire de Tchernobyl, ce qui pourrait renvoyer des particules radioactives dans l'atmosphère.

commentaire : Bis repetita

04/08/2010

Vladimir Poutine, pyromane et pompier LEMONDE extraits du 04.08.10

.....Il a fallu attendre lundi pour que le président Dmitri Medvedev décrète l'état d'urgence dans sept provinces et mardi pour que le ministre des situations d'urgence, Sergueï Choïgou, admette que "la situation échappe parfois à notre contrôle".

Doux euphémisme, tant il est évident que ni l'Etat ni les autorités locales n'ont su réagir à temps et avec l'énergie nécessaire. Mais en avaient-ils seulement les moyens ? En quelques années, la centralisation extrême du pouvoir, cette "verticale du pouvoir" chère au premier ministre et ex-président Vladimir Poutine, a totalement déresponsabilisé les gouverneurs, désormais nommés directement par Moscou, et autres administrations locales gangrenées par la corruption.

La conséquence n'a pas tardé : les services à la population, déjà bien minces, se sont un peu plus délités : dans bien des villages, les casernes de pompiers ne sont plus financées ou ont été fermées, et les étangs "anti-incendies" de l'époque soviétique ont été laissés à l'abandon. La Russie ne compte plus que 22 000 pompiers, dotés de matériel archaïque (contre, en France, 25 000 pompiers professionnels et 200 000 volontaires).

Les privatisations tous azimuts ont encore aggravé la situation. Le nouveau code de la forêt, imposé par Poutine, alors président, en 2006, a régionalisé la gestion des 800 millions d'hectares de forêts du pays, pour le plus grand bénéfice de quelques oligarques du bois et du papier. En abolissant les services fédéraux, ce nouveau code a entraîné la suppression de 70 000 gardes forestiers, qui jouaient un rôle important dans la prévention et la gestion de crise.

Ouvertement en campagne pour la prochaine élection présidentielle, Vladimir Poutine s'emploie à peaufiner son image d'"hyper-premier ministre", réconfortant des sinistrés, convoquant les gouverneurs, promettant des indemnisations rapides et des reconstructions avant l'hiver. Mieux, et bien dans sa manière, il a ordonné l'installation de caméras de surveillance, directement reliées à son bureau, pour surveiller tous les chantiers de reconstruction des villages ! Il est peu probable, cependant, que les Russes soient dupes, le moins du monde, de ces propositions de pompier pyromane.

Commentaire : des économies à court terme dans le domaine de la prévention entrainent des catastrophes de ce type. Nous doutons  de l'efficacité des Russes à réduire les incendies avant les pluies en dehors des foyers proches de grandes villes. Ce sera la grande priorité pour sauver les vies humaines ; la forêt n'a pus de valeur pour les financiers russes. de Plus la pollution engendre une hausse des températures qui accentue le risque d'incendie....Les citadins sont enfumés comme s'ils fumaient un paquet de cigarettes par jour....A vos foulards

Il faudra attendre les 1ères pluies d'automne pour un rétablissement de la situation

03/08/2010

Un programme sans précédent pour élucider la surmortalité des abeilles LEMONDE | 31.07.10

Quelle est la cause de la surmortalité des abeilles sauvages et domestiques qui, partout dans le monde, menacent la biodiversité et la sécurité alimentaire de l'humanité ? Pour répondre à cette question, les autorités anglaises et écossaises viennent de lancer un programme d'une envergure sans précédent.

dans-fleur-abeille.jpg

Rassemblés sous l'intitulé "Initiative pour les insectes pollinisateurs", neuf projets de recherche, qui bénéficieront d'un financement de 12 millions d'euros sur trois ans, tenteront d'apporter des réponses. "L'enjeu est à la fois de protéger la biodiversité - de nombreuses espèces sauvages dépendant de la pollinisation -, et les cultures alimentaires, en particulier les fruits et légumes, explique Andrew Watkinson, directeur du partenariat Living with Environmental Change, qui chapeaute les recherches menées par les gouvernements du Royaume-Uni. On voit déjà les conséquences du manque de pollinisateurs en Angleterre : les producteurs de pommes doivent ainsi importer des abeilles."

Un tiers de l'alimentation mondiale dépend de la pollinisation par les insectes. Le programme a été suscité par les parlementaires britanniques, alertés par des apiculteurs. Il est financé par des fonds publics et le Welcome Trust, une fondation privée.

IMPACT DES PESTICIDES

Pour expliquer cette surmortalité, la communauté scientifique parle aujourd'hui de causes "multifactorielles", et d'interactions possibles entre les divers facteurs : maladies, parasites, exposition aux pesticides, raréfaction de la nourriture des insectes due à l'uniformisation des cultures, appauvrissement génétique des reines...extraits

01/08/2010

Un rerquin guitare trés rare.... maintenant dans un aquarium qu'en pensez-vous ?

A voir

Le requin-guitare méritait bien une chanson. C'est désormais chose faite. L'histoire commence pourtant sur une fausse note. Un spécimen de cette espèce rare au nom scientifique imprononçable (Rhynchobatus djiddensis) a été pris mardi dans des filets de pêche dans la baie de Saint-Paul, à l'ouest de l'île de la Réunion. L'animal, d'un poids de 150 kg et mesurant deux mètres, est aussitôt vendu à l'aquarium de Saint-Gilles, où il fait forte impression auprès des visiteurs. Appelé poisson-guitare, raie-guitare ou encore requin-guitare, la nouvelle vedette de l'aquarium a la forme d'un requin aplati avec des nageoires en forme d'ailes.

Mais son incarcération a aussitôt déclenché l'indignation des amoureux de la vie sauvage et un buzz estival sur internet. Lancement d'une pétition, critiques virulentes contre les motivations mercantiles des responsables de l'aquarium et même une chanson ("libérons le requin-guitare"), dont il est devenu le héros sur YouTube, ont alimenté la toile et les forums de discussions. Un comité de soutien a été créé sur facebook, où le poisson peut se prévaloir de compter plus de huit cents amis. L'animal possède en outre un compte sur twitter, où il livre ses impressions à chaud de sa nouvelle vie en captivité.

Sous le feu des critiques, l'aquarium se défend. "C'était l'aquarium ou l'assiette", ont répliqué les responsables de l'aquarium. source extraits le monde de ce jour

31/07/2010

L'emballage qui tue.... à voir absolument

À l'heure où les produits "longue conservation" sont de plus en plus prisés, les clients ne soupçonnent pas l'existence de substances dangereuses dans les emballages hermétiques et dans les aliments avec lesquels ils sont en contact. C'est le cas du Bisphénol A, que l'on trouve dans les contenants en plastique rigide et qui peut provoquer des maladies cardiaques ou affaiblir le système immunitaire. Même risque avec les phtalates utilisés pour plastifier les matériaux servant au conditionnement. Agissant comme des hormones, ils peuvent entraîner la stérilité chez les hommes. Nombre de produits figurent sur la liste des substances interdites par l'Union européenne mais comme celle-ci importe massivement des produits venus d'Asie, où les réglementations ne sont guère restrictives...

voir cette vidéo d'Arte récente en cliquant ici

 

30/07/2010

Au sud-ouest de l'inlandsis groenlandais, la fonte discrète du glacier de Russell LEMONDE | 26.07.10

Le glacier de Russell n'est pas une star. Il fond discrètement. Sis aux marges sud-ouest de la calotte glaciaire groenlandaise, il n'attire pas les foules huppées. Ce privilège est celui du glacier de Jakobshavn, à 500 km plus au nord, au chevet duquel se pressent les politiques et les responsables d'ONG : le Jakobshavn s'écoule dans la mer à une vitesse record, dans ce qui est présenté comme l'une des manifestations les plus spectaculaires du réchauffement climatique. Dans une débâcle saisissante, il perd plus de 30 milliards de tonnes de glace par an, et produit à lui seul 10 % des icebergs issus de l'inlandsis groenlandais. Le Russell, lui, est plus discret. Bien loin des fjords, il ne sombre pas dans la mer : il ne fait que fondre.

Commentaire : ah l'homme n'y serait pour rien selon certains

29/07/2010

Biotechnologies : l'importation de six nouvelles variétés OGM est autorisée dans l'UE extraits LEMONDE | 29.07.10

Faute de majorité au sein des Etats membres, la Commission européenne a autorisé, mercredi 28 juillet, l'importation au sein de l'Union de six nouvelles variétés de maïs OGM, essentiellement destinées à l'alimentation animale. "La procédure suivie est normale, commente Anne Furet, chargé de la veille juridique du site spécialisé Infogm.org. On constate une accélération des autorisations d'importation ces derniers mois."

En France, les Verts ont dénoncé le "passage en force" de la Commission, estimant qu'une "majorité d'Etats" ne veut pas poursuivre "la fuite en avant vers la contamination génétique de l'agriculture et de l'alimentation". La commercialisation d'une quarantaine de plantes transgéniques est désormais autorisée en Europe......Commentaire : ce n'est pas normal qu'un organisme mom élu démocratiquement

commentaire : il n'est normal qu'un organisme non élu démocratiquement puisse donner une autorisation d'importation....Ceci doit être modifié.

27/07/2010

les Canaries - Le mariage de l'eau et du vent Une île entièrement alimentée en énergies renouvelables, vous en avez rêvé ?


El Hierro le fait !null
el-hierro.jpgLa centrale hydro-éolienne fonctionne de manière très simple : quand il y a beaucoup de vent, l'électricité en excès sert à pomper de l'eau (avec un rendement de 90%) vers un bassin supérieur. Et quand il y a peu de vent, l'eau redescendant vers le bassin inférieur...en produisant de l'électricité (avec un rendement de 90%)! Le mariage de l'eau et du vent...Le concept est bien entendu applicable pour la Corse, mais aussi, comme l'a déjà démontré le polytechnicien François Lempérière, pour la France toute entière. Nous ne manquerons jamais d'eau (de mer) et de vent (...)

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"Il y avait ceux qui disaient que l'homme ne volerait jamais. Et ceux qui levaient les yeux au ciel et affirmaient que l'homme ne marchera jamais sur la lune. D'autres qui s'interrogeaient de savoir si chacun avait besoin d'un ordinateur dans sa maison. Et nombreux n'imaginaient pas un monde autrement connecté que par des cables. L'histoire abonde de visionnaires qui ont rencontré des personnes négatives, sceptiques et sans espérance. L'histoire abonde aussi de personnes qui ont construit leur propre chemin, qui ont suivi leurs rêves, et qui ont dépassé les frontières des esprits étroits. Aujourd'hui il y a ceux qui disent que l'énergie ne peut pas être à la fois propre et abondante, que nous ne pouvons pas répondre aux besoins de chaque être humain, partout sur terre. Mais avec des convictions, de l'inventivité et de la persévérance, nous pouvons faire des choses formidables. Nos visions peuvent être réalisées, nos problèmes peuvent être résolus. Nous pouvons changer le monde de l'énergie. Nous pouvons changer, le monde."

- K. R. Sridhar, Ex-directeur du laboratoire des technologies spatiales à la NASA, et fondateur de Bloom Energy source objectifterre

commentaire : un bon exemple à suivre

25/07/2010

La deuxième vie des algues vertes

Nuisibles quand elles recouvrent les plages, les algues vertes peuvent être valorisées. Si l'épandage sur les champs reste le principal débouché, d'autres filières se développent.

Pas moins de 60 000 m3 d'algues vertes ont été ramassées en Bretagne l'an dernier. Une plaie pour les collectivités chargées d'en débarrasser leurs littoraux, un handicap pour l'industrie du tourisme, dont la clientèle fuit les plages. Mais que deviennent ces tonnes de végétaux une fois retirées des plages ? Plusieurs options existent pour tirer bénéfice de cette envahissante matière première.

 

Un engrais efficace

L'épandage constitue le principal débouché des ulva lactuca le procédé concernerait 80% de la «laitue verte» ramassée. Cette technique qui consiste à déposer des algues fraîches, riches en azote, sur des parcelles agricoles pour servir d'engrais est avantageuse car efficace et peu coûteuse aucun traitement particulier n'est requis. Le procédé a toutefois ses contraintes : le transfert de la plage au champ doit être rapide, pour conserver à l'algue sa fraîcheur. Pour la même raison, la destination ne doit pas être trop éloignée du lieu de ramassage. A La Lieue de Grève dans les Côtes d'Armor, «les camions ne rayonnent pas au-delà de 25 km», explique Gwenaëlle Briant, coordinatrice des bassins versants de la Lieue de Grève.

L'agriculteur bénéficiaire de l'épandage est en outre tenu de signer une convention stipulant qu'il s'engage à tenir compte de l'apport azoté que représentent les algues dans son bilan de fertilisation, pour respecter le pH du sol, précise Gwenaëlle Briant. Pour la même raison, une même parcelle ne peut être couverte d'algues qu'une fois tous les cinq ans.

L'autre débouché majeur pour les ulves consiste à les mélanger à d'autres végétaux verts pour produire du compost. Plus coûteuse elle nécessite pour les collectivités locales de faire appel à des prestataires extérieurs - cette solution est particulièrement prisée à la fin du printemps, lorsque l'épandage est impossible dans les champs couverts de cultures. Elle a toutefois l'avantage de donner une valeur économique à une matière première gratuite. Et contrairement à l'épandage, le compost peut être utilisé par tous et sans contraintes.

 

Un produit difficile à exploiter

Intéressantes du point de vue de leur composition, les algues sont toutefois difficiles à utiliser au niveau industriel, car leur production est irrégulière et imprévisible. Et les contraintes pour les transformer ne sont pas minces. Il faut les traiter dans les 3-4 jours après qu'elles se sont échouées sur la plage pour éviter qu'elles ne pourrissent. Humides, elles sont difficilement transportables car elles contiennent énormément d'eau. Asséchées, elles sont beaucoup plus maniables mais il faut pour cela disposer d'un combustible peu cher à proximité. «C'est faisable si vous disposez d'une station d'épuration qui dégage des gaz, par exemple», souligne Yannick Lerat, responsable de la plateforme analyses et gestion des connaissances au Centre d'étude et de valorisation des algues (Ceva). Il faut en outre les débarrasser du sable qu'elles contiennent quand on les ramasse sur la plage - un processus assez délicat. Mais une fois réduite en farine ou en galettes, l'ulve voit sa valeur exploser : 2000 à 3000 euros la tonne.

Une fois «stabilisée», la matière est éligible pour un certain nombre de transformations industrielles, souligne Yannick Lerat. «Les algues vertes peuvent intervenir dans la fabrication de nombreux produits. Cosmétiques, produits chimiques, matériaux comme le carton ou les plastiques, nourriture pour les animaux, voire pour les hommes».

Autre piste envisageable, la production d'énergie. «Le processus de méthanisation, au cours duquel les algues dégagent du gaz, et donc produisent de l'énergie, au contact de bactéries, est déjà utilisé dans des projets pilotes au Japon. Le problème, c'est que son rendement n'est pas fantastique et qu'il émet du souffre, corrosif pour les installations », explique Yannick Lerat. La fabrication de bioéthanol, un carburant à base d'algues vertes, fait aussi l'objet de plusieurs recherches en France. «Pour l'instant, le rendement n'est qu'à 10 ou 20%. Il faudrait pouvoir monter à 50%», relève le spécialiste.....sourceextraits  le figaro 240910

commentaire : fraudrait enfin penser à faire du préventif

24/07/2010

Les 2 premiers pays au monde marée noire en mer jaune au large du port chinois de Dalian

Pendant que les Etats-Unis restent englués dans le golfe du Mexique, les autorités chinoises tentent de contenir la marée noire survenue il y a une semaine dans le port de Dalian, après l’explosion de deux oléoducs. Environ 1 500 tonnes de pétrole se sont déversées dans la mer Jaune.

commentaire : le monde est engluée dans uns pollution générale sans contrôle

20/07/2010

Encéphalopathies spongiformes transmissibles (EST)

Maladie de la vache folle (ESB), l’Europe en passe de gagner la bataille


En raison des « succès » remportés par l’Union européenne dans sa lutte contre les EST, dont la maldie de la vache folle, une modification de sa réglementation est désormais envisageable.

Ce document souligne que les modifications des règles en vigueur doivent maintenir les « normes élevées » de l’Union européenne dans les domaines de la sécurité alimentaire et de la protection de la santé humaine et animale, et être « fondée sur de solides données scientifiques ».

John Dalli, commissaire à la santé et à la politique des consommateurs, a déclaré que « L’Union européenne a obtenu des avancées considérables dans son combat contre l’ESB et est enfin sur le point d’éradiquer cette maladie sur son territoire ».

La réglementation pourrait par exemple être modifiée ainsi :

- La liste des MRS (organes pouvant abriter l’agent de l’ESB) de l’Union européenne pourrait être alignée sur les normes internationales de l’Organisation mondiale pour la santé animale (OIE).

 

- L’interdiction de nourrir les porcs, les volailles ou les poissons (des animaux non ruminants) avec certaines farines animales pourraient être supprimées, sans toutefois levée l’interdiction de réutilisation au sein de l’espèce.

- Alors que le nombre de cas positifs de maladie de la vache folle était de zéro en 2009, « l’abattage systématique des cohortes de bovins pourrait prendre fin et les animaux pourraient être vendus aux consommateurs pour autant qu’avant leur entrée dans la chaîne alimentaire, ils soient soumis à un test de dépistage dont le résultat est négatif ».

source actualites-news-environnement

Pour en savoir plus.

18/07/2010

Climat : "Nous avons besoin que les règles du jeu soient fixées équitablement" extraits LEMONDE | 17.07.10

Jeudi 15 juillet, les ministres de l'environnement français, britannique et allemand ont plaidé dans une tribune publiée dans trois quotidiens européens en faveur de l'objectif de 30 % des réductions de CO2.

Quel cap l'Union européenne (UE) va-t-elle se fixer, d'ici à 2020, pour lutter contre le changement climatique ? Une réduction de 20 % de ses émissions de CO2, comme le prévoit le paquet climat-énergie adopté fin 2008 ? Ou poussera-t-elle l'effort jusqu'à 30 % ? Depuis un an, les messages les plus contradictoires sont envoyés. La crise a redonné la main aux ministres de l'économie hostiles à tout effort supplémentaire. Mais jeudi 15 juillet, la publication dans trois quotidiens européens, dont Le Monde, d'une tribune commune des ministres de l'environnement français, britannique et allemand en faveur de l'objectif de 30 %, a relancé le débat.......

 

réactions

MARTIN-DUPONT

Mais pourquoi donc nous parle-t-on dans le Monde, de règles à respecter, alors que la mentalité générale est surtout de s'affranchir des règles, de faire "comme on le sens", de mépriser toute autorité, même légitiment élue, au motif que personne n'est parfait, il faut tout excuser...alors des règles...??? Qui les respectera ?

courte vue

Le Medef n'est pas hostile "par principe" mais uniquement dans la pratique ! Il n'est jamais prêt quand il s'agit de faire un effort (la concurrence est trop terrible, voyez-vous) mais toujours à l'offensive quand il s'agit de tirer avantage d'une décision qui lui est favorable (la "réforme" des retraites, par exemple). Engranger le maximum d'avantages immédiats et ne rien céder à l'avenir de la planète, telle est sa politique.

François F.

Il suffit de voir où Rhodia a fait toutes ses dernières implantations pour comprendre tout l'intérêt et les enjeux des "bons à polluer" Commentaire :des règles oui mais aussi des sanctions financières et politiques en cas de non-respect sinon à quoi cela servira?

Commentaire : des régles oui mais associées à des sanctions financiéres et politiques en cas de non-respect...

17/07/2010

Titre de la noteLe semencier américain Monsanto mis à l'amende au Texas pour son coton OGM LEMONDE | 10.07.10

Le groupe agro-chimique Monsanto va devoir payer une amende de 2,5 millions de dollars (1,98 million d'euros) pour vente non autorisée de coton OGM. L'annonce de cette sanction a été faite, jeudi 8 juillet, par l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA), qui se félicite d'avoir obtenu la pénalité administrative la plus importante jamais prononcée en vertu de la loi de 1947 sur les insecticides, les fongicides et les produits antirongeurs....

extraits lemonde

16/07/2010

OGM: Corinne Lepage dénonce un «rideau de fumée»

INTERVIEW

La Commission européenne souhaite réformer le mécanisme d'autorisation des OGM. Pour l'eurodéputée libérale, Bruxelles lance «une nouvelle offensive» en faveur des OGM.

61 réactions

Recueilli par Elodie Auffray

Corinne Lepage, lors d'une convention sur le développement social en Europe, le 25 avril 2009 à

Corinne Lepage, lors d'une convention sur le développement social en Europe, le 25 avril 2009 à Hérouville-Saint-Clair (AFP Mychele Daniau)

En matière d'OGM, la Commission européenne veut changer les règles. Le commissaire à la Santé, John Dalli, a présenté ce mardi ses propositions pour sortir du blocage dans lequel se trouvent les 27 en matière de mise en culture de plantes génétiquement modifiées. Pour le moment, seuls le maïs MON810 de Monsanto et la pomme de terre Amflora de BASF peuvent être cultivés.

Jusqu'ici, une majorité des deux tiers des Etats membres est nécessaire pour autoriser une semence OGM. La Commission souhaite passer ce barrage, en offrant aux Etats la possibilité d'interdire les OGM sur leur territoire. En échange de quoi, elle leur demande de ne plus bloquer les autorisations de mise en culture des plantes génétiquement modifiées.

Corinne Lepage, avocate, eurodéputée libérale et présidente du parti écologiste Cap21, analyse les tenants et les aboutissants du projet de l'institution européenne.

Comment décryptez-vous le nouveau mécanisme d'autorisation proposé par la Commission européenne?

Il consiste à autoriser les Etats membres à prendre des mesures dites «proportionnées»: pour interdire les OGM sur leur territoire, ils ne pourraient invoquer ni des motifs environnementaux ni des motifs scientifiques ni des motifs de santé, mais des motifs dits «socio-économiques». C'est-à-dire faire valoir une opposition de l'opinion publique aux OGM. En contrepartie, les Etats faciliteraient l'octroi d'autorisation de mises en culture.

Sur quel fondement juridique pourraient s'appuyer les Etats membres pour refuser les OGM?

L'interdiction des OGM devrait être proportionné à la menace. Or, est-ce que l'opinion publique est un motif proportionné? Je ne suis pas sûre qu'un tribunal accepterait ce motif, qui me paraît très fragile sur le plan juridique. La Commission fait croire que les Etats membres pourraient tranquillement interdire les OGM. C'est un rideau de fumée! En réalité, la mise en application de ce mécanisme conduirait à un grand nombre de contentieux, y compris entre Etats, et donc à une grande insécurité juridique. La Commission en profiterait pour autoriser toutes les semences OGM en attente depuis plusieurs années. C'est un marché de dupes.

De plus, en terme de politique communautaire, on pourrait faire valoir le motif de l'opposition de l'opinion publique pour n'importe quelle domaine. Ça n'a pas de sens.

L'Union européenne est bloquée sur le sujet des OGM. Quelle est la solution?

Effectivement, il y a une situation de blocage parce que la Commission veut passer en force sur les OGM, alors que les Européens n'en veulent pas. La bonne solution, ce n'est ni de modifier les règles de la majorité au sein du Conseil, ni de renationaliser la décision d'autoriser les OGM. La bonne solution, c'est le renforcement des études. Aujourd'hui, pas plus d'une dizaine n'a été conduite. Elles sont secrètes, menées par des producteurs d'OGM.

Il faudrait de véritables études d'impact sanitaire. Or, les lignes directrices du projet de la Commission rendent facultatives ces études, au lieu d'en renforcer le caractère obligatoire. Il faut renforcer l'Autorité européenne de sécurité des aliments et disposer d'une expertise pluraliste, pluridisciplinaire et contradictoire: il faut des experts de différentes sensibilités, quand il n'y a aujourd'hui que des pro-OGM. Il faut aussi que ces études pèsent à chaque fois le pour et le contre.

Cette Commission a une forte propension à vouloir développer les OGM. Elle a déjà autorisé la pomme de terre Amflora, en mars 2010. Elle lance une nouvelle offensive avec ce texte. Mais rien ne dit que le Parlement l'adoptera.

source Libération

15/07/2010

Les charcuteries transformées favoriseraient le cancer du côlon

epuis longtemps soupçonnée de favoriser les cancers du côlon, la consommation de charcuteries fait l'objet de recommandations précises de la part des organismes de prévention du cancer. Pourtant ces recommandations ne reposaient que sur des corrélations observées au cours d'études épidémiologiques. A l'INRA de Toulouse, une équipe de chercheurs montre pour la première fois dans un modèle animal, que la consommation de viandes transformées, modélisant des charcuteries, est directement responsable d'une augmentation des lésions pré-tumorales au niveau du côlon. Les charcuteries modèles en cause sont celles qui ont subi plusieurs processus de transformation (ajout de nitrites et cuisson), et qui sont oxydées et riches en hème(1).

La consommation de viande rouge et de charcuteries est incriminée depuis plusieurs années dans la survenue de cancers du côlon, première cause de mort par cancer chez les non-fumeurs en France : chaque jour, 100 nouvelles personnes sont atteintes, et 45 en meurent. En 2007, le World cancer Research Fund (WCRF) a conclu que la consommation de charcuteries était liée au cancer du côlon, avec un facteur de certitude très élevé, en se basant sur des corrélations observées lors d'études épidémiologiques. Sur cette base, le WCRF a recommandé d'éviter de consommer des charcuteries. A l'INRA de Toulouse, une équipe de chercheurs, associée à l'Institut du Porc (IFIP), a cherché à comprendre comment les charcuteries peuvent être promotrices du cancer du côlon. Plus précisément, les chercheurs ont quantifié l'importance de différents facteurs du procédé de fabrication des charcuteries sur la carcinogenèse colorectale.

L'équipe montre pour la première fois, in vivo chez le rat, qu'une charcuterie modèle riche en hème (la molécule qui donne sa couleur rouge à la viande, et qui lui donne son aspect rosé lorsque cette dernière est cuite), salée, additionnée de nitrites, cuite et oxydée était promotrice de la carcinogenèse colorectale....

Outre la validation expérimentale des observations de l'épidémiologie, ce travail ouvre la voie à des stratégies de prévention qui consisteraient à modifier le procédé de fabrication des charcuteries (par exemple, contrôler le statut d'oxydation en produisant et conservant les charcuteries dans des milieux dépourvus d'oxygène ou en ajoutant des antioxydants comme la vitamine E).

Note

  1. L'hème est la molécule qui donne sa couleur au muscle, donc à la charcuterie. Plus elle est abondante, plus le muscle est rouge. Cette molécule apporte le fer, sous sa forme la plus facilement assimilable pour l'homme.

Référence

Meat processing and colon carcinogenesis : cooked, nitrite-treated, and oxidized high-heme cured meat promotes mucin-depleted foci in rats. Cancer prevention research, online. Doi : 10.1158/1940-6207. CAPR-09-0160

Auteur

Institut National de la Recherche Agronomique

extraits planete info du 070710

14/07/2010

Cinq fruits et légumes par jour... Et des pesticides

Etal de fruits.

Etal de fruits. (REUTERS)

Des résidus de 365 pesticides différents ont été identifiés dans les fruits et légumes consommés en Europe, dont 76 dans les céréales, selon une étude de l’agence européenne pour la sécurité alimentaire (EFSA) communiquée lundi.

D’après cette étude effectuée selon les nouvelles normes entrées en vigueur mi-2008, seuls 3,5% des échantillons présentaient des traces de pesticides dépassant les limites maximales en résidus (LMR) autorisées.

«Le rapport montre que 96,5% des échantillons analysés sont conformes aux MRL de persticides autorisés au sein de l’UE», note l’EFSA dans un communiqué accompagnant l’étude.

Il s’appuie sur plus de 11.000 échantillons de neuf productions différentes (oranges, mandarines, poires, pommes de terre, carottes, concombres, épinards, haricots sans cosse et riz) analysés en 2008 dans les 27 Etats membres (plus l’Islande et la Norvège).

L’agence relève également que la présence de pesticides est supérieure dans les denrées importées de pays situés hors Union européenne (7,6%) que dans les échantillons produits au sein de l’UE (2,4%).

Epinard, riz, concombre...

Les dépassements des limites autorisées ont surtout concerné les échantillons d’épinards (6,2%), d’oranges (3%), de riz, de concombres, de mandarines, de carottes et de poires.

Concernant les aliments pour bébé (2.062 échantillons), 76 présentaient des résidus de pesticide dont 4 seulement excédant les normes maximales recommandées.
Au total, 862 substances ont été recherchées dans les 11.610 échantillons prélevés au hasard «et sans suspicion particulière», précise l’agence.

Cependant, ajoute-t-elle, les résultats de ce rapport ne peuvent être comparés à ceux de 2007 (publiés l’an dernier), les normes européennes en matière de résidus chimiques dans les aliments ayant été révisées à partir du 1er septembre 2008 afin de les harmoniser entre les Etats.
Auparavant, chaque pays fixait ses propres normes.....

extraits libération