15/04/2010
La Commission Européenne vient d'autoriser la culture d'organismes génétiquement modifiés (OGM) dans l'Union Européenne
Communiqué : La Commission Européenne vient d'autoriser la culture d'organismes génétiquement modifiés (OGM) dans l'Union Européenne pour la première fois depuis 12 ans!
Cédant au lobby pro-OGM, la commission a ignoré l'avis de 60% des Européens qui estiment que nous devons d'abord établir les faits avant de cultiver des plantes qui pourraient menacer notre santé et notre environnement.
Une nouvelle initiative permet à 1 million de citoyens européens de présenter officiellement des propositions de loi à la Commission Européenne. Rassemblons un million de voix pour demander un moratoire sur les plantes OGM jusqu'à ce que la recherche soit menée à terme. Cet appel sera remis au Président de la Commission Européenne Barroso. Signez la pétition et faites suivre ce message à vos amis et vos proches: (nous sommes déjà
http://www.avaaz.org/fr/eu_health_and_biodiversity/?vl
Les associations de défense des consommateurs, de l'environnement, de la santé publique et les syndicats paysans se mobilisent depuis longtemps contre l'emprise exercée par les multinationales productrices d'OGM sur l'agriculture européenne. Les préoccupations liées à la culture de plantes génétiquement modifiées incluent: la contamination des cultures biologiques et du reste de l'environnement; l'impact sur le climat en raison d'un besoin excessif en pesticides; la destruction de la biodiversité et de l'agriculture locale; et enfin les effets des plantes OGM sur la santé.
Certains Etats membres de l'Union ont fait part de leur vive opposition à la décision prise il y a quelques jours et qui autorise la culture de la pomme de terre produite par BASF et de variétés de maïs Monsanto. L'Italie et l'Autriche s'y opposent et la France a demandé la poursuite de la recherche scientifique.
Il n'y a toujours pas de consensus quant aux effets des OGM sur le long terme. Et c'est l'industrie des OGM, faisant passer le profit avant la santé publique, qui finance la recherche scientifique et influence le cadre réglementaire. C'est pour cela que les citoyens européens réclament l'indépendance de la recherche et davantage de tests et de précautions avant que ces plantes ne soient dispersées dans la nature.
Aujourd'hui, "l'Initiative Citoyenne Européenne" donne à 1 million de citoyens européens la possibilité de soumettre à la Commission Européenne des propositions de loi et nous offre une chance unique de contrer l'influence des lobbyistes.
Faisons entendre 1 million de voix pour obtenir un moratoire sur l'introduction de plantes génétiquement modifiées en Europe et mettre en place un organisme éthique et scientifique indépendant chargé de mener à bien la recherche et la régulation des OGM. Signez la pétition maintenant et diffusez largement l'appel: (déjà près de 500 000 signatures)
http://www.avaaz.org/fr/eu_health_and_biodiversity/?vl
Avec détermination,
Alice, Benjamin, Ricken, Raluca, Luis, Graziela et toute l'équipe d'Avaaz.
Plus d'information:
Dernier sondage Eurobaromètre 2008 'Attitudes des citoyens européens vis-à-vis de l'environnement', page 67:
http://bit.ly/babOiV
L'innocuité de la pomme de terre transgénique mise en cause, Le Monde :
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/03/03/l-innocu...
Retour sur l'autorisation de la pomme de terre Amflora, Inf'OGM:
http://www.infogm.org/spip.php?article4372
OGM et pesticides - un bilan désastreux, Greenpeace:
http://www.greenpeace.org/luxembourg/press/releases/duo-i...
Résumé du Rapport d'Évaluation internationale des connaissances, des sciences et des technologies agricoles pour le développement (IAASTD), incluant des préoccupations sur l'usage des OGM:
http://bit.ly/8WZb7F
16:24 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ogm, commission européenne, autorisation, pétition | Facebook |
13/04/2010
En Afrique, l'avenir des gorilles s'assombrit
Les gorilles pourraient avoir disparu d'ici une quinzaine d'années, si rien n'est fait pour les protéger du braconnage et du trafic illégal, et pour enrayer la dégradation de leur habitat, ont alerté, mercredi 24 mars, des experts du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), en rendant public un rapport réalisé avec Interpol, lors de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites). "Des informations récentes montrent que la situation est alarmante", affirme Ian Redmond, chef du programme de protection des grands singes au PNUE. L'animal, présent dans dix pays d'Afrique centrale, fait face à une conjugaison de menaces qui gagnent toutes du terrain.
La consommation de sa viande est en augmentation, encouragée par la croyance dans ses vertus curatives et fortifiantes. "Je peux comprendre, dit M. Redmond. Si j'avais grandi dans un village où le médecin me dit que pour guérir mon enfant, il faut frotter un doigt de singe sur ses blessures, je le ferais." L'espèce est aussi la proie de trafiquants internationaux, qui capturent les petits gorilles pour les vendre comme animaux de compagnie ou de collection....
lire la suite dans le monde
commentaire : A quand le tour de l'homme ?
00:17 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gorilles, homme, disparition, diversité | Facebook |
12/04/2010
Les agrocarburants sont-ils polluants ?
Les agrocarburants sont-ils respectueux de l'environnement ? C'est à cette question qu'a tenté de répondre l'Ademe, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, dans un rapport publié jeudi 8 avril, après une année d'études réalisées par le bureau Bio Intelligence Service.
Comparés aux carburants fossiles, les agrocarburants produits et importés en France (dits de première génération) émettent de 24 à 91 % de gaz à effet de serre (GES) en moins. Les gains nets en émission de GES sont d'environ 50 à 70 % pour les bioéthanols (fabriqués à partir de biomasse), le meilleur élève étant l'éthanol de canne à sucre (72 %). Le gain s'avère encore meilleur pour les biodiesels (obtenus à partir d'huile végétale ou animale), qui assurent de 60 % à 90 % de réduction. Le bilan est en revanche plus faible pour la filière ETBE issue des éthanols de blé ou de maïs : entre 24 et 31 % d'émissions en moins.....
extraits du journal Lemonde
commentaire : mieux que le pétrole mais il reste du chemin à faire
01:02 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : agrocarburant, ademe, rapport | Facebook |
11/04/2010
A voir avant de se jeter sur le kitkat
Kitkat enthält Palmöl. Das Palmöl stammt unter anderem aus Indonesien. Dort vernichtet der Konzern riesige Urwaldflächen, um Ölpalmen-Plantagen anzulegen. Das Öl wird vor Ort gepresst und von Sinar Mas oder Zwischenhändlern wie Cargill verkauft - zum Beispiel an Nestle.
Kitkat contient de l'huile de palme.en indonésie, on détruit des trés grande forêts pour uniquement produire de l'huile de palme et vendue à Nestlé par des intermédiaires comme Cargil
voir ici
04:07 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : greenpeace, nestlé, kitkat, indonesien, palmöl, orang, huile de palme, oran, utan, nestle, chocolat | Facebook |
10/04/2010
slow food : assocation qui agit comme une secte mais qui la finance ?
Les guerriers du goût jeudi 8 avril 2010 sur la chaine 2
Un reportage de Sébastien Legay et Mathieu Dreujou
Slow Food compte près de 100.000 membres dans le monde. Présente dans 132 pays, cette association internationale a été fondée en 1989 par le journaliste sociologue Carlo Petrini après l’implantation de Mc Donald dans le centre historique de Rome. Son emblème : l’escargot. Elle lutte contre le fast food et l’uniformisation du goût. Elle cherche à promouvoir une nourriture bonne, propre et juste, c’est-à-dire respectueuse de l’environnement et qui rémunère correctement ses producteurs. Le premier principe de Slow Food, c’est de manger des produits locaux. Les militants de l’association pensent que nous ne dépensons pas assez d’argent pour manger. Pour eux, il faut combattre la mondialisation de la nourriture et la logique de production à bas coût. De fait, le mouvement est critiqué pour être trop élitiste. Slow Food défend un peu partout dans le monde des produits de niche menacés par le marché dominant. Il a mis en place des "sentinelles", sortes de labels. On en dénombre 300. En France, les plus emblématiques sont la lentille blonde de Saint-Flour ou le porc noir de Bigorre. Notre équipe a rencontré ces militants en Californie, en France et en Italie, où le mouvement est né.
commentaire : il faut avoir les moyens pour se nourrir à la slowfood c-à-d que pour les plus riches une association élitiste...
voir la vidéo en cliquant ici
03:24 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : slow food, secte, reportage | Facebook |
09/04/2010
découvrez aimsalibre
enfin un contact direct entre vous et les artistes musicaux en cliquant ici
07:24 Publié dans consommation, courrier des internautes, diversité, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : radio, aimsa, libre, gratuit, artistes, musique, régions | Facebook |
08/04/2010
L'excès de sel, nuit à la santé …Dans certains pays, comme cela a été le cas en France et un peu partout d’ailleurs cette année, l’hiver est très rigoureux et le principal moyen utilisé pour lutter contre le gel et la neige sur les routes, c’est le sel.
.....
Mais il ne suffit pas de constater les problèmes, encore faut-il tenter de trouver des alternatives. Actuellement le sel représente 98 % des moyens pour faire fondre la neige et le gel. Rien qu’en France, qui est concernée par ce problème mais de façon moins systématique, c’est plus d’un million de tonnes de sel qui sont déversées sur les routes. Une autre solution est parfois utilisée : le sable. Il ne s’agit plus de faire fondre la neige, mais plutôt d’augmenter l’adhérence à la route. Néanmoins, ce procédé est plus coûteux (il nécessite 3 fois plus d’énergie) et a également un impact sur l’environnement....
extraits plus d'infos en cliquant ici
commentaire : stop au sel fausse bonne solution qui dégrade nos routes en plus et augmente nos imôts inutilement. limitons-nous à un usage modéré du sable simplement
06:15 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sel, routes, écosystème, pollution, biodiversité | Facebook |
07/04/2010
Autoriser TF1 à racheter TMC et NT1 est "une faute lourde" (Tavernost, M6) AFP | 06.04.10 | 04h08
La décision du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) d'autoriser le rachat par TF1 des chaînes TMC et NT1 est "une faute lourde", accuse mardi dans les Echos le président du directoire du groupe M6, Nicolas de Tavernost, qui demande au Conseil d'Etat de l'annuler.
"Cette décision constitue une faute lourde de régulation du secteur de la télévision. C'est pour cela que nous entendons utiliser tous nos droits pour la contester", en déposant un recours en annulation devant le Conseil d'Etat, explique-t-il dans un long entretien.
"Au milieu des années 2000, les autorisations de TNT ont été accordées - comme la loi le prévoyait - en priorité à des groupes indépendants, plutôt qu'aux chaînes historiques. (...) Permettre à TF1 de mettre la main sur les chaînes du groupe AB est donc contraire à l'esprit de la loi ; le CSA ne peut changer les règles du jeu en fonction des opérateurs", poursuit M. de Tavernost.
Il déplore que "cette opération (vienne) renforcer un opérateur déjà en position dominante".
Après une longue procédure, le CSA avait annoncé le 25 mars que TF1 avait obtenu, sous des conditions visant à garantir "le pluralisme et la diversité de l'offre de programmes", son feu vert définitif pour racheter les chaînes TMC et NT1.
Pour Nicolas de Tavernost, ces conditions "sont temporaires, et surtout (...) ne résolvent en rien la question essentielle de la position dominante de TF1. Et ce n'est pas une émission culturelle hebdomadaire imposée à NT1 qui va changer quoi que ce soit à la question cruciale de l'équilibre du secteur, du pluralisme et de la diversité des opérateurs".
Le patron de M6 juge aussi n'avoir pas pu défendre sa position devant le CSA: "nous avons eu l'impression que les jeux étaient faits", lance-t-il, précisant avoir dû insister pour être finalement "auditionnés en séance plénière" le 23 mars, "soit... une heure avant que la décision du CSA ne soit prise!"
Commentaire : croire que l'on plus de choix en multipliant le nombre de chaines mèdias alors que l'on assiste à une concentration capitalistique de plus en plus intense vise à réduire la diversité d'opinion des médias. Nous exigeons l'affichage de l'appartenance des médias
03:01 Publié dans démocratie, diversité, social | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
06/04/2010
Hausse du prix du gaz au 1er avril : 9.5% !!!!!!!
Un coup de massue doublement injustifié
Au lendemain de l'annonce de l'abandon de la taxe carbone qui aurait renchéri le prix du gaz de 7%, l' UFC-Que Choisir s'indigne de la hausse annoncée de 9.5% des tarifs du gaz au 1er avril.
Ce coup de massue est dû au cumul de deux hausses : une liée aux coûts des infrastructures et de la commercialisation et l'autre liée au coût d'approvisionnement, c'est-à-dire au prix de la matière gaz. Or, aucune des deux hausses n'est justifiée.
- La hausse liée aux infrastructures et à la commercialisation est la conséquence d'une régulation trop laxiste. Après l'augmentation de 5,2% en avril dernier (passée inaperçue car largement compensée par la baisse de la matière gaz), c'est aujourd'hui une hausse de 5.9% que subissent les consommateurs, soit une hausse de 11,1% sur un an.
Comme ce poste pèse pour la moitié dans le prix final, cela signifie donc que le coût des infrastructures et de la commercialisation aurait augmenté de 22,2% en un an ! Une telle explosion des coûts est injustifiable. Comment admettre la réalité d'une telle augmentation, dans de telles proportions et le fait de la reporter sur le consommateur ?
- La hausse complémentaire (d'un peu plus de 3%) liée aux coûts d'approvisionnement est due à l'application d'une formule tarifaire dépassée. En effet, le marché du gaz a fortement évolué et GDF-Suez a renégocié une partie de ses contrats de long terme en les désindexant du prix du pétrole. Il devient donc urgent que la formule exclusivement indexée sur les prix pétroliers soit revue. Son audit était prévu par la Commission de régulation de l'énergie (CRE) fin 2009 mais il n'a toujours pas eu lieu.
La révision de la formule tarifaire est d'autant plus nécessaire qu'avec la nouvelle procédure de fixation des tarifs, les demandes d'augmentation sont à la seule initiative de GDF-Suez, et le rôle de la Commission de régulation de l'énergie se limite à la seule vérification de la bonne application de la formule tarifaire.
Pour qu'à l'avenir, les consommateurs ne subissent plus une telle explosion tarifaire injustifiable, l'UFC-Que Choisir demande fermement :
- A l'Etat : une réelle maîtrise des tarifs liés aux infrastructures pour lesquelles il y a une situation de monopole, avec en particulier la révision des tarifs d'utilisation des réseaux et la régulation de l'activité de stockage.
- A la CRE : la révision de la formule censée refléter les coûts d'approvisionnement de GDF-Suez afin de garantir que le prix payé par les consommateurs reflète bien la réalité économique.
source UFC-Que Choisir
commentaire : d'autant plus insupportable qu'on maintient ...le bouclier fiscal ...pour les riches qui sont encore plus riches aujourd'hui qu'hier...
00:17 Publié dans consommation, politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
05/04/2010
Quand l’iPhone se met à bégayer
Le téléphone d’Apple serait-il victime d’un étrange bug ? Des abonnés subissent des facturations abusives de leurs SMS : un seul message est facturé plusieurs fois. Hypothèse la plus probable : l’iPhone aurait du mal à gérer les caractères spéciaux, type “ç” ou “ê” insérés dans les SMS.
Depuis quelques mois, Patrick est victime d’une facturation bégayante des SMS envoyés depuis son iPhone. Factures à l’appui, cet abonné à 60 montre que certains messages lui sont facturés deux fois, d’autres cinq, d’autres dix… jusqu’à 37 fois pour un même SMS !
Le service clients de son opérateur, SFR, a remboursé les messages, mais cherche encore à comprendre. Interrogé par 60, il émet plusieurs hypothèses, dont une surprenante : les caractères spéciaux –smileys, “ç”, ou même les simples lettres accentuées comme le “ê”– comptent pour plusieurs caractères.
Des victimes en France mais aussi en Suisse
L’explication paraîtrait fantaisiste si Anne-Sophie, victime d’un problème similaire il y a plus d’un an, n’avait reçu la même de la part d’un télé-conseiller… d’Orange ! Elle aussi avait un iPhone : «On m’a dit que, pour une raison inconnue, l’appareil pouvait compter un “ç” pour 53 caractères», nous raconte-t-elle. De quoi dépasser rapidement le seuil de 160 caractères, limite de taille du SMS.
lire la suite sur 60 millions de consommateurs
00:50 Publié dans consommation, gestion crise, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : iphone, téléphone mobile, surfacturation, sfr, orang | Facebook |
03/04/2010
Pourquoi et comment estimer la valeur économique de la biodiversité forestière ?
Les constats scientifiques sur l’érosion de la biodiversité sont alarmants. Les différents
acteurs des politiques publiques en sont conscients ; mais les termes de négociation ou
l’efficacité des décisions s’expriment et se mesurent selon des critères économiques, qui
peuvent difficilement rendre compte de la biodiversité, de ses valeurs et même de ses
« services ». Des économistes ont cependant imaginé des méthodes d’évaluation
indirecte et partielle de la biodiversité pour différents types de problèmes. Le Cemagref
en a fait, pour ce qui peut s’appliquer en forêt tempérée, une synthèse à vocation de
guide méthodologique. Les auteurs donnent ici un bref aperçu de ce travail, impossible
à résumer en quelques pages.
Dans un contexte où la perte du nombre d’espèces est mille fois plus élevée que le taux naturel d’extinction
(Blondel, 2005) et où la France s’est fixé comme objectif de stopper cette érosion d’ici 2010, la préservation de la biodiversité est devenue un enjeu important. Lamultiplication des travaux réalisés sur cette thématique en est la preuve. En 2005, le Millennium Ecosystem Assessment (MEA) a évalué les conséquences des changements que subissent les écosystèmes pour le bien-être humain. En 2008, une étude (Braat et ten Brink, 2008) a estimé le coût de l’inaction, celui-ci étant défini comme le « dommage environnemental survenant en l’absence de mesures additionnelles ou de réformes ». Récemment, un rapport sur l’approche économique de la biodiversité et des services liés aux écosystèmes a été publié et propose des valeurs de référence, notamment pour les services rendus par les forêts tempérées (CAS, 2009).
Par rapport à ces différentes démarches dont l’un des principaux objectifs est de sensibiliser un large public
aux problèmes induits par la perte de biodiversité, notre travail vise un public plus restreint et déjà
conscient de ce problème : les gestionnaires de forêts publiques et privées.
Même s’il est reconnu que les forêts représentent plus de la moitié de la biodiversité terrestre, les gestionnaires forestiers ont besoin de mesurer cette valeur en termes économiques pour avoir des éléments
d’arbitrage pertinents et ainsi mieux intégrer la biodiversité dans leurs choix de gestion.
lire la suite en cliquant sur le Texte intégral / Full text en bas de ici cemagref
ou ici
commentaire : c'est un article plus technique due d'ordinaire mais utile pour comprendre les enjeux pour la préservation de la biodiversité
11:20 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : biodiversité, forêt, evaluation | Facebook |
01/04/2010
Demain, c’est le début de la semaine du Développement Durable !
Rejoignez dès maintenant la communauté des internautes qui agissent pour plus de respect de l’Homme et de l’Environnement !
plus d'infos en cliquant sur semaine du développement durable
11:58 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : développement durable, semaine | Facebook |
31/03/2010
Greenpeace accuse un pétrolier de soutenir les climato-sceptiques
Un rapport de l'organisation écologiste Greenpeace, publié mardi 30 mars, accuse un conglomérat pétrolier américain de soutenir financièrement des campagnes d'information niant le changement climatique. Selon ce rapport (en anglais), Koch Industries a dépensé 24,9 millions de dollars (18,4 millions d'euros) entre 2005 et 2008 pour financer des organisations "de dénégation du changement de climat". "Bien que le groupe Koch demeure dans l'ombre, il joue désormais un rôle dominant mais discret dans le débat national sur le réchauffement de la planète", écrit Greenpeace. Les financements de Koch Industries aux groupes de climato-sceptiques ont dépassé ceux d'ExxonMobil (8,9 millions de dollars, soit 6,6 millions d'euros, sur la même période), selon le rapport.
Koch Industries, un conglomérat pétrochimique diversifié qui réalise, selon Greenpeace, un chiffre d'affaires de 100 milliards de dollars (74 milliards d'euros) avec 70 000 employés dans 60 pays, a versé ces contributions à travers les multiples fondations qu'il contrôle. Koch Industries et ses filiales, ainsi que la famille fondatrice du groupe, "contrôlent des fondations qui répandent des informations erronées et mensongères à propos de la science du climat et des politiques d'énergies propres", dit le rapport.
Selon Greenpeace, le groupe a ainsi financé "au moins vingt organismes (...) qui se sont fait le porte-parole du 'climate gate'", ce scandale qui avait touché des universitaires britanniques dont les mails avaient été dévoilés pour les discréditer. Koch Industries aurait aussi soutenu un chercheur pour qu'il publie dans une revue scientifique un article "soutenant que les ours polaires ne sont pas menacés par les changements climatiques". Un article vivement critiqué par la suite par d'autres scientifiques.
Le document dresse une liste de cas où le groupe pétrolier a financé des organisations tels l'Americans for Prosperity Foundation, l'Heritage Foundation, le Cato Institute ou le Manhattan Institute qui promeuvent les idées des climato-sceptiques. Interrogé à ce propos, le groupe Koch Industries, contrôlé à plus de 80 % par deux frères, ne nie pas ces financements mais assure "soutenir un dialogue ouvert et basé sur la science sur les changements de climat et les conséquences des politiques énergétiques sur l'économie mondiale".
Sur son site, le groupe répond à Greenpeace en affirmant "avoir fait d'immenses efforts pour découvrir et adopter des pratiques innovantes pour réduire les besoins énergétiques et les émissions dans la production et la distribution de [ses] produits." "Le rapport de Greenpeace ne rend pas compte de ces efforts et déforme les données environnementales de notre entreprise", estime le communiqué, qui précise que Koch Industries a seulement "essayé d'aider à mettre en avant les données sur l'efficacité potentielle et les coûts des politiques proposées pour traiter du climat".
Par ailleurs, dans un courriel à l'AFP, Koch companies et Koch foundations explique avoir "travaillé pendant des années pour faire avancer la liberté économique et des solutions basées sur le libre-échange". Globalement, le conglomérat aurait dépensé en frais de lobbying et soutiens de campagnes d'information dans le domaine énergétique quelque 37,9 millions de dollars (28,1 millions d'euros) entre 2006 et 2009, derrière ExxonMobil (87,8 millions de dollars, soit 65 millions d'euros) et Chevron Corporation (50 millions de dollars, soit 37 millions d'euros), d'après Greenpeace.
Pour en savoir plus :
– Le rapport complet de Greenpeace sur Koch Industries (en anglais) et le résumé (en français).
– La réponse de Koch Industries publiée sur son site (en anglais).
03:21 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : greenpeace, pétrolier | Facebook |
30/03/2010
Tu ne t’intéresses pas au contenu de ton assiette ? L’agriculture, ça te broute ? Tu ne devrais pas,
Tu ne t’intéresses pas au contenu de ton assiette ? L’agriculture, ça te broute ? Tu ne devrais pas, tant se joue là notre avenir. Avec l’industrialisation de l’agriculture et la marchandisation du vivant, c’est la mort qui pointe le bout de son nez. Celle de la diversité et - donc - de l’humanité. Le chercheur Jean-Pierre Berlan en livre ici une démonstration limpide et effrayante.
L’agriculture. Un petit tour dans l’actu, et puis s’en va… Vitrine cosmétique, le salon qui lui est dédié a eu droit - comme chaque année - aux honneurs des médias feignant de s’intéresser au sujet. Leur traitement reste toujours le même : le cul des vaches, la visite présidentielle et - de façon générale - le chant lyrique d’une profession fantasmée. En filigrane, la volonté farouche de ne pas aborder les questions qui fâchent. As-tu par exemple vu le moindre reportage sur la désastreuse industrialisation de l’agriculture ? Absolument pas.......
lire la suite en cliquant ici sur article11
17:32 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ogm, monsanto, agriculture | Facebook |
29/03/2010
Ecoblanchiment : quand les 4x4 sauvent la planète !!!!!!
En anglais, on parle de "greenwashing" en français, d'écoblanchiment : une technique de marketing consistant à donner une image écolo à une entreprise quelles que soient ses pratiques. Cest ainsi que Monsanto promeut des pesticides supposés protéger les plantes, que Renault vante une voiture "allégée en CO2", ou que le groupe Carrefour s'empare du vocabulaire de la décroissance. Les thèmes du développement durable gagnant en impact et en notoriété dans la société, les entreprises - mais..
lire la suite sur durable
Commentaire : de qui se moque-t-on ? c'est du faux-semblant pour attraper les gogos de consommateurs qui sont plus futés que les services marketing des entreprises.... A vous d'être vigilants
00:43 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : 4x4, ecoblanchiment, greenwashing | Facebook |
28/03/2010
Enquête Les coûts multiples des numéros surtaxés
Il est difficile, aujourd'hui, d'échapper aux numéros surtaxés, créés il y a une vingtaine d'années pour rémunérer les fournisseurs de services marchands à faible valeur ajoutée. Mais combien coûte réellement un appel téléphonique à sa banque, dont le numéro à dix chiffres commence par 08, ou à la SNCF, numéro à quatre chiffres, surtaxé lui aussi ?
La réponse n'est pas la même selon que l'on appelle depuis une ligne France Télécom, une "box" (via Internet) ou un téléphone mobile. L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), gendarme français des télécommunications, publie sur son site la liste des tarifs depuis un poste fixe France Télécom : il en existe environ quatre-vingt-dix. Ainsi, les deux cents numéros courts à quatre chiffres (de 32 00 à 39 99) ont une tarification variable, qui va de 0,05 euro à 1,69 euro !
Depuis le 1er janvier, les appels vers les numéros surtaxés les plus onéreux (plus de 0,15 euro la minute depuis un poste fixe) doivent être précédés de l'annonce de leur prix. Lorsqu'on joint le service de renseignements 118 711, on apprend donc que l'on va payer 0,90 euro. Et quand on doit patienter pendant cinq minutes sur le répondeur d'une grande société de vente par correspondance dont le numéro d'appel commence par 0 892, on sait dorénavant, par exemple, que l'on paie 0,34 euro la minute...
Mais combien depuis un mobile ? Le prix dépend cette fois de l'opérateur et du forfait choisi, mais il est plus élevé que depuis un fixe. Depuis un mobile Orange, par exemple, le 118 711 coûte 1,01 euro l'appel puis 0,225 euro par minute. A partir du mois de juillet, il sera possible de prendre connaissance de ces coûts en interrogeant (gratuitement) un serveur vocal accessible via le 30 08.
En attendant, l'opacité est totale : même avec les numéros d'appel des services publics, il est difficile de s'y retrouver. La Sécurité sociale ? 36 46 : 0,05 euro la minute depuis un poste fixe. Les impôts ? 0 810 : 0,078 euro par appel, puis 0,028 euro en heure pleine ou 0,014 euro en heure creuse. Le numéro des impôts est hors forfait des box, mais dans le forfait des mobiles "hors plages d'abondance", précise l'Arcep sans autre explication. Un mode de facturation tellement illisible qu'on a bien du mal à partager l'enthousiasme du ministère du budget lorsqu'il certifie que le coût des appels aux services publics a été divisé par deux (22 millions d'euros au lieu de 54 millions) depuis 2007. Eric Woerth avait alors imposé qu'ils fussent accessibles "au prix d'une communication locale".
Aucun opérateur, en effet, ne peut dire ce que coûte une communication locale... En outre, l'Arcep joue les trouble-fête, en considérant que les numéros en 0 810 (douanes ou impôts) sont des numéros surtaxés, du fait notamment qu'ils ne soient pas compris dans le forfait des box. Le client de Darty, qui dispose de la gratuité pour les communications vers les numéros commençant par 01, 02, 03, 04, 05 ou 09, doit payer pour un numéro en 0 810... Les numéros en 0 810 sont donc interdits aux services réclamations des entreprises depuis le 1er janvier 2009...
Mais attention, certaines sociétés ont déjà troqué leur ancien numéro en 0 810 contre un numéro en 09 : 0,09 ceuro pour les 20 secondes, puis 0,022 euro par minute. D'autres, comme EDF, attendent la mise en place d'un... nouveau numéro, "non gratuit et non surtaxé", à laquelle travaille d'arrache-pied la Fédération française des télécoms. Sa tarification, promis, sera claire comme de l'eau de roche.
+ d'infos en cliquant ici
extraits le monde du 23/03/10 Rafaële Rivais
16:30 Publié dans consommation | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : téléphone, surtaxe | Facebook |
27/03/2010
RAPPEL: ce samedi 27 mars 2010, de 20h30 à 21h30, faites un geste pour la planète : éteignez vos lumières, allumez vos consciences !
ce samedi 27 mars 2010, de 20h30 à 21h30, faites un geste pour la planète : éteignez vos lumières, allumez vos consciences !
Engagez-vous sur http://www.earthhour.fr/
16:32 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : environnement, earthhour, 27 mars 2010 | Facebook |
Attention aux arnaques aux SMS LE MONDE | 23.03.10
Depuis quelques mois, il arrive que votre téléphone mobile sonne, une seule fois, sans vous donner le temps de décrocher. Mieux vaut ne pas rappeler le numéro qui s'est affiché, surtout s'il commence par 0899, pour ne pas être victime d'un "ping call", la dernière arnaque au téléphone portable. Personne au bout du fil, mais vous avez dépensé 0,1349 euro, plus 0,337 euros la minute, sans compter la surtaxe.
Les opérateurs mobiles préparent pour le mois d'avril un dispositif de signalement gratuit, sur le modèle du 33 700, créé en novembre 2008 pour les spams par SMS. Qui n'a pas déjà reçu un "Salut c'est moi, rappelle-moi au 089...", numéro bien évidemment surtaxé. Fin janvier 2010, la plate-forme avait reçu 672 000 signalements, selon la Fédération française des télécoms (FFT). "300 coupures de numéros ont été effectuées et plusieurs dizaines de mises en demeure adressées chaque mois", précise la FFT.
Autre usage à la mode du SMS : la participation à des jeux télévisés. Le consommateur sait rarement qu'il peut se faire rembourser les frais de communication s'il en formalise la demande. "Il n'y a pas de loi, mais une jurisprudence, établie avec les loteries par correspondance et le remboursement des timbres ; elle a été transposée aux SMS et validée par le CSA pour la "call TV"", explique Me Thibault Verbiest, du cabinet Ulys. Si l'organisateur du jeu refuse le remboursement, il est possible de saisir la DGCCRF. Très peu de joueurs demandent à être remboursés, surtout lorsque les opérateurs réclament un courrier recommandé ou qu'ils exigent l'envoi de la facture détaillée du titulaire de la ligne téléphonique.
00:38 Publié dans consommation | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sms, arnaque | Facebook |
26/03/2010
Observez en temps réel les émissions de CO2 de la planète !
La planète respire. Vous pouvez maintenant la voir en temps réel grâce au site en cliquant ici
00:37 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : terre, co2, monde, temps réel | Facebook |
25/03/2010
Avec Earth Hour 2010, le samedi 27 Mars, restons mobilisés autour du climat !
Copenhague a été marqué par la mobilisation de la société civile mondiale. Un espoir est né. En participant à l’édition 2010, nous avons une nouvelle opportunité pour faire entendre notre voix et appeler à une mobilisation mondiale contre le péril climatique.
En prenant conscience de l’urgence climatique de manière globale et collective, Copenhague a ainsi ouvert une nouvelle ère d’espoir. Mais le chemin est encore long avant de parvenir à la signature d’un accord international sur le changement climatique équitable, ambitieux et contraignant.
L’événement Earth Hour va bien au-delà du simple fait d’éteindre les lumières pendant 60 minutes. En participant à Earth Hour 2010, une nouvelle occasion de nous faire entendre nous est donnée.
« Earth Hour est la plus grande manifestation en faveur de la lutte contre le dérèglement climatique »
Ban Ki-Moon, secrétaire générale des Nations Unis.
Le 27 mars 2010, de 20h30 à 21h30, faites un geste pour la planète : éteignez vos lumières, allumez vos consciences !
Engagez-vous sur http://www.earthhour.fr/
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