03/08/2010
Un programme sans précédent pour élucider la surmortalité des abeilles LEMONDE | 31.07.10
Quelle est la cause de la surmortalité des abeilles sauvages et domestiques qui, partout dans le monde, menacent la biodiversité et la sécurité alimentaire de l'humanité ? Pour répondre à cette question, les autorités anglaises et écossaises viennent de lancer un programme d'une envergure sans précédent.
Rassemblés sous l'intitulé "Initiative pour les insectes pollinisateurs", neuf projets de recherche, qui bénéficieront d'un financement de 12 millions d'euros sur trois ans, tenteront d'apporter des réponses. "L'enjeu est à la fois de protéger la biodiversité - de nombreuses espèces sauvages dépendant de la pollinisation -, et les cultures alimentaires, en particulier les fruits et légumes, explique Andrew Watkinson, directeur du partenariat Living with Environmental Change, qui chapeaute les recherches menées par les gouvernements du Royaume-Uni. On voit déjà les conséquences du manque de pollinisateurs en Angleterre : les producteurs de pommes doivent ainsi importer des abeilles."
Un tiers de l'alimentation mondiale dépend de la pollinisation par les insectes. Le programme a été suscité par les parlementaires britanniques, alertés par des apiculteurs. Il est financé par des fonds publics et le Welcome Trust, une fondation privée.
IMPACT DES PESTICIDES
Pour expliquer cette surmortalité, la communauté scientifique parle aujourd'hui de causes "multifactorielles", et d'interactions possibles entre les divers facteurs : maladies, parasites, exposition aux pesticides, raréfaction de la nourriture des insectes due à l'uniformisation des cultures, appauvrissement génétique des reines...extraits
00:04 Publié dans diversité, politique & environnement, santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : abeille, pollution, diversité, santé | Facebook |
02/08/2010
Santé. Pour éviter l’infarctus il faut dormir pile sept heures par nuit
Santé. Pour éviter l’infarctus il faut dormir pile sept heures par nuit. Les risques de maladies cardiovasculaires augmentent quand on dort plus de sept heures ou quand on dort moins de sept heures, selon une étude américaine publiée dimanche dans la revue «Sleep». Dormir moins de cinq heures, siestes incluses, fait plus que doubler les chances de développer des angines, des insuffisances coronariennes ou de faire un infarctus ou une crise cardiaque, selon cette étude menée par la faculté de médecine de l’université de Virginie-Occidentale. (AFP)
00:59 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
01/08/2010
Un rerquin guitare trés rare.... maintenant dans un aquarium qu'en pensez-vous ?
A voir
Le requin-guitare méritait bien une chanson. C'est désormais chose faite. L'histoire commence pourtant sur une fausse note. Un spécimen de cette espèce rare au nom scientifique imprononçable (Rhynchobatus djiddensis) a été pris mardi dans des filets de pêche dans la baie de Saint-Paul, à l'ouest de l'île de la Réunion. L'animal, d'un poids de 150 kg et mesurant deux mètres, est aussitôt vendu à l'aquarium de Saint-Gilles, où il fait forte impression auprès des visiteurs. Appelé poisson-guitare, raie-guitare ou encore requin-guitare, la nouvelle vedette de l'aquarium a la forme d'un requin aplati avec des nageoires en forme d'ailes.
Mais son incarcération a aussitôt déclenché l'indignation des amoureux de la vie sauvage et un buzz estival sur internet. Lancement d'une pétition, critiques virulentes contre les motivations mercantiles des responsables de l'aquarium et même une chanson ("libérons le requin-guitare"), dont il est devenu le héros sur YouTube, ont alimenté la toile et les forums de discussions. Un comité de soutien a été créé sur facebook, où le poisson peut se prévaloir de compter plus de huit cents amis. L'animal possède en outre un compte sur twitter, où il livre ses impressions à chaud de sa nouvelle vie en captivité.
Sous le feu des critiques, l'aquarium se défend. "C'était l'aquarium ou l'assiette", ont répliqué les responsables de l'aquarium. source extraits le monde de ce jour
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31/07/2010
L'emballage qui tue.... à voir absolument
À l'heure où les produits "longue conservation" sont de plus en plus prisés, les clients ne soupçonnent pas l'existence de substances dangereuses dans les emballages hermétiques et dans les aliments avec lesquels ils sont en contact. C'est le cas du Bisphénol A, que l'on trouve dans les contenants en plastique rigide et qui peut provoquer des maladies cardiaques ou affaiblir le système immunitaire. Même risque avec les phtalates utilisés pour plastifier les matériaux servant au conditionnement. Agissant comme des hormones, ils peuvent entraîner la stérilité chez les hommes. Nombre de produits figurent sur la liste des substances interdites par l'Union européenne mais comme celle-ci importe massivement des produits venus d'Asie, où les réglementations ne sont guère restrictives...
voir cette vidéo d'Arte récente en cliquant ici
12:31 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : bisphénol a, phtalates, emballage dangereux | Facebook |
30/07/2010
Au sud-ouest de l'inlandsis groenlandais, la fonte discrète du glacier de Russell LEMONDE | 26.07.10
Le glacier de Russell n'est pas une star. Il fond discrètement. Sis aux marges sud-ouest de la calotte glaciaire groenlandaise, il n'attire pas les foules huppées. Ce privilège est celui du glacier de Jakobshavn, à 500 km plus au nord, au chevet duquel se pressent les politiques et les responsables d'ONG : le Jakobshavn s'écoule dans la mer à une vitesse record, dans ce qui est présenté comme l'une des manifestations les plus spectaculaires du réchauffement climatique. Dans une débâcle saisissante, il perd plus de 30 milliards de tonnes de glace par an, et produit à lui seul 10 % des icebergs issus de l'inlandsis groenlandais. Le Russell, lui, est plus discret. Bien loin des fjords, il ne sombre pas dans la mer : il ne fait que fondre.
Commentaire : ah l'homme n'y serait pour rien selon certains
18:47 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
29/07/2010
Biotechnologies : l'importation de six nouvelles variétés OGM est autorisée dans l'UE extraits LEMONDE | 29.07.10
Faute de majorité au sein des Etats membres, la Commission européenne a autorisé, mercredi 28 juillet, l'importation au sein de l'Union de six nouvelles variétés de maïs OGM, essentiellement destinées à l'alimentation animale. "La procédure suivie est normale, commente Anne Furet, chargé de la veille juridique du site spécialisé Infogm.org. On constate une accélération des autorisations d'importation ces derniers mois."
En France, les Verts ont dénoncé le "passage en force" de la Commission, estimant qu'une "majorité d'Etats" ne veut pas poursuivre "la fuite en avant vers la contamination génétique de l'agriculture et de l'alimentation". La commercialisation d'une quarantaine de plantes transgéniques est désormais autorisée en Europe......Commentaire : ce n'est pas normal qu'un organisme mom élu démocratiquement
commentaire : il n'est normal qu'un organisme non élu démocratiquement puisse donner une autorisation d'importation....Ceci doit être modifié.
18:34 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : autorisation, ogm, commission européenne | Facebook |
27/07/2010
les Canaries - Le mariage de l'eau et du vent Une île entièrement alimentée en énergies renouvelables, vous en avez rêvé ?
El Hierro le fait !
"Il y avait ceux qui disaient que l'homme ne volerait jamais. Et ceux qui levaient les yeux au ciel et affirmaient que l'homme ne marchera jamais sur la lune. D'autres qui s'interrogeaient de savoir si chacun avait besoin d'un ordinateur dans sa maison. Et nombreux n'imaginaient pas un monde autrement connecté que par des cables. L'histoire abonde de visionnaires qui ont rencontré des personnes négatives, sceptiques et sans espérance. L'histoire abonde aussi de personnes qui ont construit leur propre chemin, qui ont suivi leurs rêves, et qui ont dépassé les frontières des esprits étroits. Aujourd'hui il y a ceux qui disent que l'énergie ne peut pas être à la fois propre et abondante, que nous ne pouvons pas répondre aux besoins de chaque être humain, partout sur terre. Mais avec des convictions, de l'inventivité et de la persévérance, nous pouvons faire des choses formidables. Nos visions peuvent être réalisées, nos problèmes peuvent être résolus. Nous pouvons changer le monde de l'énergie. Nous pouvons changer, le monde."
- K. R. Sridhar, Ex-directeur du laboratoire des technologies spatiales à la NASA, et fondateur de Bloom Energy source objectifterre
commentaire : un bon exemple à suivre
00:29 Publié dans gestion crise, politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
25/07/2010
La deuxième vie des algues vertes
Nuisibles quand elles recouvrent les plages, les algues vertes peuvent être valorisées. Si l'épandage sur les champs reste le principal débouché, d'autres filières se développent.
Pas moins de 60 000 m3 d'algues vertes ont été ramassées en Bretagne l'an dernier. Une plaie pour les collectivités chargées d'en débarrasser leurs littoraux, un handicap pour l'industrie du tourisme, dont la clientèle fuit les plages. Mais que deviennent ces tonnes de végétaux une fois retirées des plages ? Plusieurs options existent pour tirer bénéfice de cette envahissante matière première.
Un engrais efficace
L'épandage constitue le principal débouché des ulva lactuca le procédé concernerait 80% de la «laitue verte» ramassée. Cette technique qui consiste à déposer des algues fraîches, riches en azote, sur des parcelles agricoles pour servir d'engrais est avantageuse car efficace et peu coûteuse aucun traitement particulier n'est requis. Le procédé a toutefois ses contraintes : le transfert de la plage au champ doit être rapide, pour conserver à l'algue sa fraîcheur. Pour la même raison, la destination ne doit pas être trop éloignée du lieu de ramassage. A La Lieue de Grève dans les Côtes d'Armor, «les camions ne rayonnent pas au-delà de 25 km», explique Gwenaëlle Briant, coordinatrice des bassins versants de la Lieue de Grève.
L'agriculteur bénéficiaire de l'épandage est en outre tenu de signer une convention stipulant qu'il s'engage à tenir compte de l'apport azoté que représentent les algues dans son bilan de fertilisation, pour respecter le pH du sol, précise Gwenaëlle Briant. Pour la même raison, une même parcelle ne peut être couverte d'algues qu'une fois tous les cinq ans.
L'autre débouché majeur pour les ulves consiste à les mélanger à d'autres végétaux verts pour produire du compost. Plus coûteuse elle nécessite pour les collectivités locales de faire appel à des prestataires extérieurs - cette solution est particulièrement prisée à la fin du printemps, lorsque l'épandage est impossible dans les champs couverts de cultures. Elle a toutefois l'avantage de donner une valeur économique à une matière première gratuite. Et contrairement à l'épandage, le compost peut être utilisé par tous et sans contraintes.
Un produit difficile à exploiter
Intéressantes du point de vue de leur composition, les algues sont toutefois difficiles à utiliser au niveau industriel, car leur production est irrégulière et imprévisible. Et les contraintes pour les transformer ne sont pas minces. Il faut les traiter dans les 3-4 jours après qu'elles se sont échouées sur la plage pour éviter qu'elles ne pourrissent. Humides, elles sont difficilement transportables car elles contiennent énormément d'eau. Asséchées, elles sont beaucoup plus maniables mais il faut pour cela disposer d'un combustible peu cher à proximité. «C'est faisable si vous disposez d'une station d'épuration qui dégage des gaz, par exemple», souligne Yannick Lerat, responsable de la plateforme analyses et gestion des connaissances au Centre d'étude et de valorisation des algues (Ceva). Il faut en outre les débarrasser du sable qu'elles contiennent quand on les ramasse sur la plage - un processus assez délicat. Mais une fois réduite en farine ou en galettes, l'ulve voit sa valeur exploser : 2000 à 3000 euros la tonne.
Une fois «stabilisée», la matière est éligible pour un certain nombre de transformations industrielles, souligne Yannick Lerat. «Les algues vertes peuvent intervenir dans la fabrication de nombreux produits. Cosmétiques, produits chimiques, matériaux comme le carton ou les plastiques, nourriture pour les animaux, voire pour les hommes».
Autre piste envisageable, la production d'énergie. «Le processus de méthanisation, au cours duquel les algues dégagent du gaz, et donc produisent de l'énergie, au contact de bactéries, est déjà utilisé dans des projets pilotes au Japon. Le problème, c'est que son rendement n'est pas fantastique et qu'il émet du souffre, corrosif pour les installations », explique Yannick Lerat. La fabrication de bioéthanol, un carburant à base d'algues vertes, fait aussi l'objet de plusieurs recherches en France. «Pour l'instant, le rendement n'est qu'à 10 ou 20%. Il faudrait pouvoir monter à 50%», relève le spécialiste.....sourceextraits le figaro 240910
commentaire : fraudrait enfin penser à faire du préventif
09:55 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : algues vertes, bretagne | Facebook |
24/07/2010
Les 2 premiers pays au monde marée noire en mer jaune au large du port chinois de Dalian
Pendant que les Etats-Unis restent englués dans le golfe du Mexique, les autorités chinoises tentent de contenir la marée noire survenue il y a une semaine dans le port de Dalian, après l’explosion de deux oléoducs. Environ 1 500 tonnes de pétrole se sont déversées dans la mer Jaune.
commentaire : le monde est engluée dans uns pollution générale sans contrôle
09:40 Publié dans gestion crise, politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
22/07/2010
Bons plans pour voyager jeune et fauché
Partir en vacances, même pour des destinations lointaines, n'est pas une quête inaccessible pour les jeunes étudiants. Avec un peu de débrouillardise, il est possible de voyager avec un budget restreint. Pour économiser sur le transport et l'hébergement, principaux postes de dépenses, les solutions ne manquent pas.
Avant tout, les étudiants et les moins de 26 ans ont tout intérêt à acheter, respectivement, la carte d'étudiant internationale (carte ISIC) ou la carte IYTC, la carte internationale des jeunes voyageurs. Ces deux sésames coûtent chacun 12 euros, et donnent droit à des réductions dans plus de cent pays, ainsi qu'à des promotions sur les billets d'avion.
Première étape : rejoindre la destination de ses rêves à moindre coût. Les voyageurs pressés peuvent prendre l'avion à petit prix, et pas seulement avec des compagnies low cost : pour les moins de 25 ans et les étudiants, jusqu'à 27 ans, Air France propose des tarifs " Tempo jeunes ", ainsi que la carte de fidélité Flying blue jeune pour les moins de 24 ans, gratuite et valable avec les compagnies membres de l'alliance Skyteam. Elle permet d'accumuler des " miles " qui pourront, ensuite, être échangés contre des billets d'avion.
Ceux qui préfèrent le rail devront se procurer, auprès de la SNCF, la Carte 12-25 (49 euros), qui permet d'obtenir une réduction d'au moins 25 % sur tous les trajets pendant un an. Une astuce : achetez-la la veille de vos 26 ans, pour en bénéficier une année supplémentaire.
A signaler aussi, le site Trocdestrains.com, où les particuliers revendent leurs billets à des prix très attractifs. Et pour les globe-trotters, le Pass InterRail permet de voyager dans trente pays d'Europe. Son prix varie, pour les moins de 26 ans, de 159 euros à 399 euros, selon la durée (de cinq jours à un mois) et le nombre de pays visités.
Il existe aussi des One Country Pass, pour des voyages illimités dans un pays de l'Union européenne. La carte est disponible pour trois, quatre, six ou huit jours de voyage en train, sur un mois. Les prix : de 33 euros à 126 euros.
La compagnie de cars Eurolines propose un " pass ", avec deux formules : un voyage illimité dans quarante-cinq villes européennes, pendant quinze ou trente jours. Ce pass quinze jours coûte 290 euros pour les moins de 26 ans. Deuxième option, le mini-pass, pour visiter deux capitales européennes.
Autre possibilité de voyage bon marché - et écologique -, le covoiturage. Le passager ne paye qu'une partie des frais liés à un trajet en automobile (essence, autoroute, etc.). Plusieurs sites proposent ce mode de transport : Covoiturage.com, 123envoiture.com, Ecotrajet.com, et, le plus international : Compartir.org.
Même si cette solution reste la plus aléatoire, impossible de ne pas citer le traditionnel autostop. Caroline Pinta, 26 ans, voyage souvent ainsi. Mais pas question pour elle de lever le pouce au bord d'une route, la jeune Barcelonaise a sa technique : " J'ai pas mal voyagé avec une copine. Le truc, c'est d'aller directement dans les stations-service. On peut choisir avec qui on monte, et ça va très vite. "
Plus insolite, le site HitTheRoad.ca propose de convoyer une voiture d'une ville à une autre. Pour le conducteur, le trajet est gratuit, mais non rémunéré, ce qui permet à la société de location de véhicules de s'offrir un service à moindre coût. Le concept n'existe pour l'heure qu'aux Etats-Unis et au Canada, mais les touristes français peuvent en profiter.
Une fois arrivé à bon port, afin de ne pas gâcher les économies réalisées sur le transport, voici quelques conseils pour se loger. Si le moins cher reste, très souvent, le camping, les auberges de jeunesse ont l'avantage d'offrir un peu plus de confort à des prix abordables. Avant de partir, se procurer la carte de la Fédération unie des auberges de jeunesse (FUAJ), à 11 euros, pour les moins de 26 ans. Elle donne droit à des réductions sur les transports, les musées et les attractions touristiques de plus de quatre-vingts pays.
Mieux encore, le couch surfing, littéralement " surf sur canapé ", permet d'être hébergé gratuitement, sur le sofa (mais pas uniquement) d'un ou d'une inconnue. Le site CouchSurfing.com revendique, dans plus de 237 pays, plus de 200 000 membres, généreux prêteurs de canapé ou simples squatteurs. Outre sa gratuité, les adeptes de la formule mettent en avant son caractère humain. Et la possibilité de découvrir un lieu, en ville ou à la campagne, avec un autochtone, hors des sentiers battus touristiques.
Toujours gratuit mais plus rural, le woofing (wwoof.fr). Le principe : travailler entre quatre et sept heures par jour au maximum dans une ferme, en échange du gîte et du couvert. L'occasion pour les citadins de découvrir le monde agricole, l'écologie et le bio, en France ou à l'étranger.........
source extraits lemonde du 22072010
03:39 Publié dans consommation, social | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
20/07/2010
Encéphalopathies spongiformes transmissibles (EST)
En raison des « succès » remportés par l’Union européenne dans sa lutte contre les EST, dont la maldie de la vache folle, une modification de sa réglementation est désormais envisageable. |
Ce document souligne que les modifications des règles en vigueur doivent maintenir les « normes élevées » de l’Union européenne dans les domaines de la sécurité alimentaire et de la protection de la santé humaine et animale, et être « fondée sur de solides données scientifiques ».
John Dalli, commissaire à la santé et à la politique des consommateurs, a déclaré que « L’Union européenne a obtenu des avancées considérables dans son combat contre l’ESB et est enfin sur le point d’éradiquer cette maladie sur son territoire ».
La réglementation pourrait par exemple être modifiée ainsi :
- La liste des MRS (organes pouvant abriter l’agent de l’ESB) de l’Union européenne pourrait être alignée sur les normes internationales de l’Organisation mondiale pour la santé animale (OIE).
- L’interdiction de nourrir les porcs, les volailles ou les poissons (des animaux non ruminants) avec certaines farines animales pourraient être supprimées, sans toutefois levée l’interdiction de réutilisation au sein de l’espèce.
- Alors que le nombre de cas positifs de maladie de la vache folle était de zéro en 2009, « l’abattage systématique des cohortes de bovins pourrait prendre fin et les animaux pourraient être vendus aux consommateurs pour autant qu’avant leur entrée dans la chaîne alimentaire, ils soient soumis à un test de dépistage dont le résultat est négatif ».
source actualites-news-environnement
Pour en savoir plus.
22:07 Publié dans consommation, europe, politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
18/07/2010
Climat : "Nous avons besoin que les règles du jeu soient fixées équitablement" extraits LEMONDE | 17.07.10
Jeudi 15 juillet, les ministres de l'environnement français, britannique et allemand ont plaidé dans une tribune publiée dans trois quotidiens européens en faveur de l'objectif de 30 % des réductions de CO2.
Quel cap l'Union européenne (UE) va-t-elle se fixer, d'ici à 2020, pour lutter contre le changement climatique ? Une réduction de 20 % de ses émissions de CO2, comme le prévoit le paquet climat-énergie adopté fin 2008 ? Ou poussera-t-elle l'effort jusqu'à 30 % ? Depuis un an, les messages les plus contradictoires sont envoyés. La crise a redonné la main aux ministres de l'économie hostiles à tout effort supplémentaire. Mais jeudi 15 juillet, la publication dans trois quotidiens européens, dont Le Monde, d'une tribune commune des ministres de l'environnement français, britannique et allemand en faveur de l'objectif de 30 %, a relancé le débat.......
réactions
Mais pourquoi donc nous parle-t-on dans le Monde, de règles à respecter, alors que la mentalité générale est surtout de s'affranchir des règles, de faire "comme on le sens", de mépriser toute autorité, même légitiment élue, au motif que personne n'est parfait, il faut tout excuser...alors des règles...??? Qui les respectera ?
Le Medef n'est pas hostile "par principe" mais uniquement dans la pratique ! Il n'est jamais prêt quand il s'agit de faire un effort (la concurrence est trop terrible, voyez-vous) mais toujours à l'offensive quand il s'agit de tirer avantage d'une décision qui lui est favorable (la "réforme" des retraites, par exemple). Engranger le maximum d'avantages immédiats et ne rien céder à l'avenir de la planète, telle est sa politique.
Il suffit de voir où Rhodia a fait toutes ses dernières implantations pour comprendre tout l'intérêt et les enjeux des "bons à polluer" Commentaire :des règles oui mais aussi des sanctions financières et politiques en cas de non-respect sinon à quoi cela servira?
Commentaire : des régles oui mais associées à des sanctions financiéres et politiques en cas de non-respect...
04:30 Publié dans europe, politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
17/07/2010
Titre de la noteLe semencier américain Monsanto mis à l'amende au Texas pour son coton OGM LEMONDE | 10.07.10
Le groupe agro-chimique Monsanto va devoir payer une amende de 2,5 millions de dollars (1,98 million d'euros) pour vente non autorisée de coton OGM. L'annonce de cette sanction a été faite, jeudi 8 juillet, par l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA), qui se félicite d'avoir obtenu la pénalité administrative la plus importante jamais prononcée en vertu de la loi de 1947 sur les insecticides, les fongicides et les produits antirongeurs....
extraits lemonde
08:45 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : monsanto, ogm, amende, coton | Facebook |
16/07/2010
OGM: Corinne Lepage dénonce un «rideau de fumée»
INTERVIEW
La Commission européenne souhaite réformer le mécanisme d'autorisation des OGM. Pour l'eurodéputée libérale, Bruxelles lance «une nouvelle offensive» en faveur des OGM.
Corinne Lepage, lors d'une convention sur le développement social en Europe, le 25 avril 2009 à Hérouville-Saint-Clair (AFP Mychele Daniau)
En matière d'OGM, la Commission européenne veut changer les règles. Le commissaire à la Santé, John Dalli, a présenté ce mardi ses propositions pour sortir du blocage dans lequel se trouvent les 27 en matière de mise en culture de plantes génétiquement modifiées. Pour le moment, seuls le maïs MON810 de Monsanto et la pomme de terre Amflora de BASF peuvent être cultivés.
Jusqu'ici, une majorité des deux tiers des Etats membres est nécessaire pour autoriser une semence OGM. La Commission souhaite passer ce barrage, en offrant aux Etats la possibilité d'interdire les OGM sur leur territoire. En échange de quoi, elle leur demande de ne plus bloquer les autorisations de mise en culture des plantes génétiquement modifiées.
Corinne Lepage, avocate, eurodéputée libérale et présidente du parti écologiste Cap21, analyse les tenants et les aboutissants du projet de l'institution européenne.
Comment décryptez-vous le nouveau mécanisme d'autorisation proposé par la Commission européenne?
Il consiste à autoriser les Etats membres à prendre des mesures dites «proportionnées»: pour interdire les OGM sur leur territoire, ils ne pourraient invoquer ni des motifs environnementaux ni des motifs scientifiques ni des motifs de santé, mais des motifs dits «socio-économiques». C'est-à-dire faire valoir une opposition de l'opinion publique aux OGM. En contrepartie, les Etats faciliteraient l'octroi d'autorisation de mises en culture.
Sur quel fondement juridique pourraient s'appuyer les Etats membres pour refuser les OGM?
L'interdiction des OGM devrait être proportionné à la menace. Or, est-ce que l'opinion publique est un motif proportionné? Je ne suis pas sûre qu'un tribunal accepterait ce motif, qui me paraît très fragile sur le plan juridique. La Commission fait croire que les Etats membres pourraient tranquillement interdire les OGM. C'est un rideau de fumée! En réalité, la mise en application de ce mécanisme conduirait à un grand nombre de contentieux, y compris entre Etats, et donc à une grande insécurité juridique. La Commission en profiterait pour autoriser toutes les semences OGM en attente depuis plusieurs années. C'est un marché de dupes.
De plus, en terme de politique communautaire, on pourrait faire valoir le motif de l'opposition de l'opinion publique pour n'importe quelle domaine. Ça n'a pas de sens.
L'Union européenne est bloquée sur le sujet des OGM. Quelle est la solution?
Effectivement, il y a une situation de blocage parce que la Commission veut passer en force sur les OGM, alors que les Européens n'en veulent pas. La bonne solution, ce n'est ni de modifier les règles de la majorité au sein du Conseil, ni de renationaliser la décision d'autoriser les OGM. La bonne solution, c'est le renforcement des études. Aujourd'hui, pas plus d'une dizaine n'a été conduite. Elles sont secrètes, menées par des producteurs d'OGM.
Il faudrait de véritables études d'impact sanitaire. Or, les lignes directrices du projet de la Commission rendent facultatives ces études, au lieu d'en renforcer le caractère obligatoire. Il faut renforcer l'Autorité européenne de sécurité des aliments et disposer d'une expertise pluraliste, pluridisciplinaire et contradictoire: il faut des experts de différentes sensibilités, quand il n'y a aujourd'hui que des pro-OGM. Il faut aussi que ces études pèsent à chaque fois le pour et le contre.
Cette Commission a une forte propension à vouloir développer les OGM. Elle a déjà autorisé la pomme de terre Amflora, en mars 2010. Elle lance une nouvelle offensive avec ce texte. Mais rien ne dit que le Parlement l'adoptera.
source Libération
03:07 Publié dans politique & environnement, santé | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : ogm, commission européenne, autorisation | Facebook |
15/07/2010
Les charcuteries transformées favoriseraient le cancer du côlon
epuis longtemps soupçonnée de favoriser les cancers du côlon, la consommation de charcuteries fait l'objet de recommandations précises de la part des organismes de prévention du cancer. Pourtant ces recommandations ne reposaient que sur des corrélations observées au cours d'études épidémiologiques. A l'INRA de Toulouse, une équipe de chercheurs montre pour la première fois dans un modèle animal, que la consommation de viandes transformées, modélisant des charcuteries, est directement responsable d'une augmentation des lésions pré-tumorales au niveau du côlon. Les charcuteries modèles en cause sont celles qui ont subi plusieurs processus de transformation (ajout de nitrites et cuisson), et qui sont oxydées et riches en hème(1).
La consommation de viande rouge et de charcuteries est incriminée depuis plusieurs années dans la survenue de cancers du côlon, première cause de mort par cancer chez les non-fumeurs en France : chaque jour, 100 nouvelles personnes sont atteintes, et 45 en meurent. En 2007, le World cancer Research Fund (WCRF) a conclu que la consommation de charcuteries était liée au cancer du côlon, avec un facteur de certitude très élevé, en se basant sur des corrélations observées lors d'études épidémiologiques. Sur cette base, le WCRF a recommandé d'éviter de consommer des charcuteries. A l'INRA de Toulouse, une équipe de chercheurs, associée à l'Institut du Porc (IFIP), a cherché à comprendre comment les charcuteries peuvent être promotrices du cancer du côlon. Plus précisément, les chercheurs ont quantifié l'importance de différents facteurs du procédé de fabrication des charcuteries sur la carcinogenèse colorectale.
L'équipe montre pour la première fois, in vivo chez le rat, qu'une charcuterie modèle riche en hème (la molécule qui donne sa couleur rouge à la viande, et qui lui donne son aspect rosé lorsque cette dernière est cuite), salée, additionnée de nitrites, cuite et oxydée était promotrice de la carcinogenèse colorectale....
Outre la validation expérimentale des observations de l'épidémiologie, ce travail ouvre la voie à des stratégies de prévention qui consisteraient à modifier le procédé de fabrication des charcuteries (par exemple, contrôler le statut d'oxydation en produisant et conservant les charcuteries dans des milieux dépourvus d'oxygène ou en ajoutant des antioxydants comme la vitamine E).
Note
- L'hème est la molécule qui donne sa couleur au muscle, donc à la charcuterie. Plus elle est abondante, plus le muscle est rouge. Cette molécule apporte le fer, sous sa forme la plus facilement assimilable pour l'homme.
Référence
Meat processing and colon carcinogenesis : cooked, nitrite-treated, and oxidized high-heme cured meat promotes mucin-depleted foci in rats. Cancer prevention research, online. Doi : 10.1158/1940-6207. CAPR-09-0160
Auteur
Institut National de la Recherche Agronomique
extraits planete info du 070710
07:46 Publié dans consommation, politique & environnement, santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cancers du côlon, viande rouge, charcuterie, nitrites, hème | Facebook |
14/07/2010
Cinq fruits et légumes par jour... Et des pesticides
Etal de fruits. (REUTERS)
Des résidus de 365 pesticides différents ont été identifiés dans les fruits et légumes consommés en Europe, dont 76 dans les céréales, selon une étude de l’agence européenne pour la sécurité alimentaire (EFSA) communiquée lundi.
D’après cette étude effectuée selon les nouvelles normes entrées en vigueur mi-2008, seuls 3,5% des échantillons présentaient des traces de pesticides dépassant les limites maximales en résidus (LMR) autorisées.
«Le rapport montre que 96,5% des échantillons analysés sont conformes aux MRL de persticides autorisés au sein de l’UE», note l’EFSA dans un communiqué accompagnant l’étude.
Il s’appuie sur plus de 11.000 échantillons de neuf productions différentes (oranges, mandarines, poires, pommes de terre, carottes, concombres, épinards, haricots sans cosse et riz) analysés en 2008 dans les 27 Etats membres (plus l’Islande et la Norvège).
L’agence relève également que la présence de pesticides est supérieure dans les denrées importées de pays situés hors Union européenne (7,6%) que dans les échantillons produits au sein de l’UE (2,4%).
Epinard, riz, concombre...
Les dépassements des limites autorisées ont surtout concerné les échantillons d’épinards (6,2%), d’oranges (3%), de riz, de concombres, de mandarines, de carottes et de poires.
Concernant les aliments pour bébé (2.062 échantillons), 76 présentaient des résidus de pesticide dont 4 seulement excédant les normes maximales recommandées.
Au total, 862 substances ont été recherchées dans les 11.610 échantillons prélevés au hasard «et sans suspicion particulière», précise l’agence.
Cependant, ajoute-t-elle, les résultats de ce rapport ne peuvent être comparés à ceux de 2007 (publiés l’an dernier), les normes européennes en matière de résidus chimiques dans les aliments ayant été révisées à partir du 1er septembre 2008 afin de les harmoniser entre les Etats.
Auparavant, chaque pays fixait ses propres normes.....
extraits libération
01:00 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fruits, légumes;pesticides | Facebook |
13/07/2010
L'exposition aux pesticides pendant la grossesse augmente le risque de cancer chez le futur enfant
Un rapport publié le 2 juillet 2010 par CHEM Trust(1) souligne que certaines études montrent une augmentation du risque de cancer chez l'enfant lorsque la mère est exposée aux pesticides. L'exposition pendant la grosesse est la cause la plus systématique de cancer chez l'enfant.
En outre, ce rapport souligne que plusieurs études montrent que les agriculteurs ont plus de risque de développer un cancer au sein d'une population. De plus, un lien fort existerait entre l'exposition aux pesticides et certains cas de lymphomes non-hodgkiniens, de leucémie, de cancers de la prostate et d'autres cancers liés aux hormones.....
extraits 020710 planeteinfo
commentaire : on s'en doutait en voyant tous ces agriculteurs obligés de faire des cures ORL.... et des soins intensifs dans les service de pneumologie...
00:48 Publié dans politique & environnement, santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pesticides, cancer, agriculteur | Facebook |
12/07/2010
La Grande-Bretagne a soif
L'année 2010 met à mal le cliché d'une Grande-Bretagne verdoyante, où les averses ne sont pas rares. Ainsi, cette année, le déficit de pluviométrie y est exceptionnel et record pour les six premiers mois, depuis plus de 80 ans. Avec un cumul de 356,8 mm de pluie de janvier à fin juin, on est loin des 511,7 mm de moyenne sur la période 1971-2000. Il faut remonter à 1929 pour trouver un premier semestre plus sec (275,7 mm de pluies).
Par rapport à cette époque, la demande en eau s'est évidemment considérablement accrue avec la forte hausse de la population et des besoins industriels et agricoles croissants. En conséquence, le niveau des nappes phréatiques et autres réserves d'eau douce est exceptionnellement bas, avec des taux de remplissage qui peuvent être de seulement 50 % dans les régions les plus touchées.
extraits source univers-nature
15:46 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eau, sècheresse, grande-bretagne | Facebook |
10/07/2010
rapport parlementaire sur la prise en charge des personnes dépendantes : controverses
Dépendance
Haro sur le rapport
Le Collectif «une société pour tous les âges», qui regroupe des professionnels au service des personnes âgées, réagit de façon très critique au rapport parlementaire sur la prise en charge des personnes dépendantes.
Trois propositions concentrent le gros des critiques des professionnels du secteur réunis au sein du Collectif «une société pour tous les âges». Elles concernent principalement les moyens proposés par le rapport parlementaire sur la prise en charge des personnes dépendantes afin de diversifier les sources de financement de l'Allocation personnalisée d'autonomie (APA).
L'APA réservée aux Gir 1-3
La grille Aggir (Autonomie Gérontologie Groupes Iso-Ressources) est l'outil d'évaluation qui mesure la dépendance, elle comprend 6 niveaux (appelés groupes iso-ressources - Gir). A ce jour, les personnes en Gir 1 à 4, les plus dépendantes, peuvent obtenir l'Allocation personnalisée d'autonomie. Son montant varie selon le degré de dépendance et les revenus de la personne, qui acquitte un ticket modérateur en conséquence. Les personnes en Gir 5 et 6 ne bénéficient pas de l'APA mais sont aidées par leurs caisses de retraite (aides ménagères, adaptations du logement...).
Parmi les bénéficiaires de l'APA, 44,6% sont classés en Gir 4. Donc réserver l'APA aux Gir 1 à 3 serait «une mesure redoutable car aujourd'hui personne ne sait qui va s'occuper des Gir 4. Et c'est une économie stupide, car cela coûtera plus cher plus tard pour les soigner. En réduisant la prévention et les prestations, on construit un effet boomerang» explique Bernard Ennuyer, directeur d'un service d'aide à domicile. Rappelons que l'APA moyenne versée à domicile aux personnes en Gir 4 est de 348 euros/mois dont 59 euros de ticket modérateur.
Gage sur patrimoine
A partir de 100 000 euros de patrimoine, le bénéficiaire de l'APA devra accepter de gager une partie de son patrimoine, à hauteur de 20 000 euros, s'il veut obtenir l'allocation intégralement. A défaut, une demi-APA lui serait versée. A noter au passage qu'un rapport sénatorial sur le sujet avait placé la barre plus haut (150 à 200 000 euros de patrimoine).
Selon les statistiques actuelles, l'APA moyenne à domicile (tous Gir confondus) est de 494 euros (dont 88 euros de ticket modérateur) et elle est versée en moyenne 4 ans. Petit calcul : 406 euros x 48 mois = 19 488 euros. Finalement l'APA ne serait qu'un prêt... Les départements, qui versent l'APA, verront-ils d'un bon oeil l'État récupérer ces sommes via les successions ?
Obligation de s'assurer à partir de 50 ans
A raison de primes de 30 euros/mois à partir de 50 ans, les assurés percevraient, en cas de dépendance totale, une rente de 1000 euros maximum/mois. C'est moins bien que la situation actuelle : l'APA est versée en cas de dépendance partielle mais également, l'APA maximal octroyé peut atteindre 1 224 euros/mois. Le Collectif est favorable à une cotisation de tous, jeunes actifs comme retraités, le plus tôt possible. «Avec une cotisation de 4 euros/mois pendant sa vie active on peut espérer toucher une rente de 1 000 euros en cas de perte d'autonomie, quel que soit l'âge.» explique Sylvain Denis, vice-président du Comité national des retraités et personnes âgées (CNRPA).
Micaëlla Moran source ufc que choisir du 10072010
15:45 Publié dans éthique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dépendance, prise en charge | Facebook |
09/07/2010
BP prêt à lancer un forage très périlleux en Arctique
"Cible de toutes les critiques après la marée noire dans le golfe du Mexique provoquée par l'explosion de sa plate-forme pétrolière, BP continue malgré tout d'avancer ses pions. La compagnie britannique veut débuter d'ici à la fin de l'année un projet assez particulier.
Le géant pétrolier compte atteindre un gisement baptisé Liberty au moyen d'un forage sous-terrain courant à l'horizontal sur une douzaine de kilomètres. Avec les risques technologiques inhérents à un tel projet dans un milieu comme l'Arctique où les conditions de forage sont plus difficiles qu'ailleurs : froids extrêmes, glaces dérivantes, forte corrosion, etc.
Malgré tout, la détermination de BP reste intacte. Et la compagnie ne ménage pas ses efforts pour mener à bien son projet, avec opportunisme : bien que le champ pétrolier Liberty soit situé sous les fonds marins à plusieurs kilomètres au nord des côtes de l'Alaska, il n'est pas touché par la décision prise en mai par l'administration Obama de suspendre jusqu'à la fin de l'année les nouveaux forages offshore dans le golfe du Mexique et dans l'océan Arctique.....
extraits le monde édition du 100610
Commentaire : Non mais sans blague....
03:08 Publié dans politique & environnement | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |