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07/12/2009

Strasbourg veut limiter la vitesse des voitures à 30 kilomètres à l'heure

Strasbourg veut limiter la vitesse des voitures à 30 kilomètres à l'heure

Strasbourg Correspondance

Dans quelques années, la vitesse automobile pourrait être limitée à 30 km/h dans la plupart des rues de Strasbourg. Seules les voies "structurantes", c'est-à-dire de liaison entre quartiers, toléreraient les 50 km/h.

La priorité à droite, qui impose de prudents ralentissements, serait généralisée dans ces zones 30 et la signalisation remaniée pour plus de clarté. Actuellement, ces limitations de vitesse à 30 km/h concernent 168 kilomètres de voirie dans la ville. Ces mesures font partie des dix propositions formulées, fin novembre, par le maire Roland Ries (PS) devant le Comité technique national du "code de la rue", réuni pour l'occasion à Strasbourg. ...

L'équipe municipale entend accentuer la politique du "déplacement doux". ....

Changer les règles

La large pratique du vélo, qui rapproche Strasbourg des grandes villes d'Allemagne ou de Suisse, a été encouragée par 520 kilomètres d'aménagements cyclables, et par de nombreux parcs de stationnement spécifiques. L'étape suivante, pour "partager de manière plus équilibrée l'espace urbain entre ses différents usagers" et "favoriser les modes de déplacement doux", sera de changer les règles.

Avant la quasi-généralisation des 30 km/h, Strasbourg voudrait tester, dès le printemps 2010, deux "zones de rencontres" : priorité au piéton, principe des 20 km/h, double sens cyclable, stationnement très délimité. L'une serait à l'est de la cathédrale, l'autre dans le quartier ancien de la Krutenau.

La ville souhaite aussi rédiger une "charte du piéton", réfléchir à la priorité des écoliers devant leurs établissements, concevoir de façon innovante les déplacements dans les deux écoquartiers en construction, ou favoriser les livraisons par triporteurs électriques dans le coeur de la ville.

Jacques Fortier

 

06/12/2009

Faut-il ou non se faire vacciner contre la grippe ?

Voici un avis qui semble objectif d'un médecin laissant chacun à son libre arbitre.

Les médias affolent à tort les citoyens inutilement et ne leur donnent pas les outils pour comprendre cette problèmatique.

Quant à mon avis personnel, les moyens préventifs (adopter le salut asiatique en joignant les mains, éviter de serrer les mains et ..d'embrasser sans discernement).... les habitudes ont la vie dure) ont ma préférence relayée en cela par les recommandations de la  Confédération Suisse sur la droite du site ; regardez particulièrement la vidéo drôle aussi "conseils H1N1"..

Conflits d’intérêts de l’auteur : je n’ai aucun lien l’intérêt personnel et n’ai jamais touché de rémunération de l’industrie des vaccins. Mon épouse travaille chez Sanofi mais hors vaccins. Notez que cette déclaration, obligatoire, est rarement faite par les médecins experts qui s’expriment sur les vaccins contre la grippe.

Eléments de réponse

Une page d’opinion de plus sur la vaccination antigrippale ? Non, une page d’information. Ce texte est la réponse à mes patients qui assiègent mon téléphone depuis quelques jours. Ces informations sont relayées par de nombreux médecins qui tentent d’éclairer leurs patients pour ce choix difficile.

Résumé : La question n’est finalement pas uniquement celle de la vaccination pandémique, mais bien celle de la vaccination annuelle contre la grippe. La réponse sur la question de la pertinence de la vaccination antigrippale doit être globale et personnelle.
Les risques liés à la maladie ou au vaccin chez le bien-portant sont tellement infimes qu’ils peuvent difficilement être comparés. Les négliger pour soi ou ses enfants ne constitue pas une perte de chance significative.

Se faire vacciner ou pas ?

La réponse n’est pas aussi simple qu’un oui ou un non ; prenez le temps de lire complètement cet article avant de forger votre opinion. Si vous ne souhaitez pas le lire, transmettez-le à une personne de confiance pour lui demander son avis. Vous pouvez bien sûr consulter votre médecin. Il fera le point avec vous et pourra répondre à vos questions. Il pourra même vous dire ce qu’il ferait à votre place, ce qui ne veut pas dire que l’avenir lui donnera raison. Chaque cas est particulier et il connait le vôtre, mais de grâce, évitez le téléphone, ne serait-ce que parce qu’il n’aura pas votre dossier sous les yeux quand il vous répondra. D’ailleurs, votre médecin figure peut-être dans la liste (voir en bas de l’article) de ceux qui reprennent ces informations à leur compte pour leurs patients.

Mais avant de parler du vaccin, il faut passer par un bref historique de la grippe et de ses virus, c’est indispensable pour comprendre.

Un bref historique pour bien comprendre le contexte

lire la suite de l'article en cliquant sur atoute du Dr Dominique Dupagne

25/11/2009

Consommation : un inventaire des produits contenant des nanomatériaux

Le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC), basé à Bruxelles, vient de mettre en ligne sur son site Internet (Beuc.eu) un inventaire des produits de consommation contenant des nanomatériaux - des particules infiniment petites : un nanomètre équivaut à un milliardième de mètre. Cette liste, qui recense 151 articles, concerne des produits de beauté (crèmes solaires, dentifrices blanchissants), des tissus (couvertures, chaussettes ou serviettes antibactéries), des jouets pour enfants (certaines peluches), des compléments alimentaires, des produits d'entretien, etc. Avec l'aide de ses organisations-membres, notamment l'UFC-Que choisir en France, le BEUC a identifié plusieurs marques françaises, comme Babyliss, Chanel, Dior, Chantecaille et G. M. Collin. Les scientifiques ne sont pas en mesure de conclure à l'innocuité des nanomatériaux sur la santé ou l'environnement, toutefois, l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a recommandé, en octobre, "l'application du principe de précaution" à leur égard. Compte tenu de ce manque de données, le Bureau européen des unions de consommateurs réclame une plus grande transparence sur l'étiquetage. Il déplore "l'absence de législation qui rendrait obligatoire cet étiquetage", hormis un règlement européen sur les cosmétiques, dont l'entrée en vigueur est prévu à l'horizon 2013. Le BEUC précise que son inventaire n'est pas "officiel", dans la mesure où il n'a pas réalisé de tests en laboratoire pour vérifier que les produits attestant la présence de nanomatériaux en contiennent réellement. Il n'est pas non plus exhaustif, du fait de "la difficulté à trouver des informations" sur le sujet.

Rafaële Rivais
source lemonde 20/11/09

00:06 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nanomatériaux, santé |  Facebook |

23/11/2009

Agriculture Une association demande le retrait de deux herbicides Round Up de Monsanto

L'association écologiste Mouvement pour le droit et le respect des générations futures (MDRGF) et un agriculteur bio français ont demandé au ministère de l'agriculture le « retrait immédiat » de deux formulations de l'herbicide Round Up de Monsanto, mercredi 18 novembre. Ils dénoncent des différences entre les formules déclarées dans le cadre des autorisations de mise sur le marché et leur composition. Ces herbicides pour le jardin - Round Up express et Round Up GT Plus - contiennent du polyoxyéthylène amine (POEA ), « contrairement aux informations transmises par le ministre de l'agriculture », indique François Veillerette, président du MDRGF. Or, le POEA renforce la toxicité de la matière active du Round Up, le glyphosate, à l'encontre des cellules humaines, indique l'association. - (AFP.)

+d'infos sur  mdrgf

18/11/2009

Une énième étude met en cause le bisphénol A


la molécule de BPA bisphénol A

Depuis 1995, les études se suivent et se ressemblent sur les dangers du bisphénol A (BPA), un monomère entrant dans la fabrication de polymères, en l’occurrence un plastique dur et transparent, le polycarbonate..........

Selon une nouvelle étude portant sur des sujets adultes, le BPA serait également dangereuse pour les adultes qui y seraient exposés. Conduite en Chine sur des ouvriers travaillant dans une usine où le BPA est utilisé en grande quantité, cette étude vient d’être publiée dans la revue Human Reproduction.

Ces ouvriers, expliquent les chercheurs chinois, ont quatre fois plus de risques de souffrir de troubles de l’érection et sept fois plus d’avoir des problèmes d’éjaculation – en comparaison d’ouvriers employés d’une usine n’en utilisant pas.Cette étude serait ainsi la première à faire le lien entre “une exposition au BPA sur le lieu de travail et un dysfonctionnement sexuel chez l’homme”.

Les taux de BPA auxquels étaient exposés les ouvriers étudiés étaient très élevés. ......

Pionnier, le Canada a été le premier pays à bannir, en 2008, les produits contenant du BPA. Quid de la France ? Dans un rapport de 2008, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation (AFSSA) ne s’est pas inquiétée outre mesure, suscitant les moqueries du Canard. L’Agence ne voit pas de risques pour les bébés :

“Lorsque le contenu des biberons en polycarbonate est chauffé via un traitement au four à micro-ondes en conditions réalistes (durée de chauffage inférieure à 10 minutes), les quantités de Bisphenol A transférable à l’aliment restent très inférieures à la valeur maximale de 50 μg de Bisphenol A par litre retenue par l’AESA pour son calcul d’exposition conservateur.”

L’Agence a toutefois promis de relancer les investigations à ce sujet.

Une proposition de loi visant à proscrire “la fabrication, l’importation, l’offre, la détention en vue de la vente ou de la distribution à titre gratuit, la mise en vente, la vente ou la distribution à titre gratuit de plastiques alimentaires contenant du Bisphénol A” a été déposée au début de l’été au Sénat par le socialiste Yvon Collin, mais n’a pas été, à notre connaissance, soumise au vote.

extraits et cliquer pour + de détails sur sciences.blog.lemonde

14/11/2009

La Norvège veut lutter contre la pollution piscicole

...Tout au long de la côte, l'élevage de poissons est devenu la plus importante source de pollution à cause des rejets de nourriture. L'Agence veut renforcer les contraintes dans les zones à risque, mais rendre la réglementation plus simple dans les zones où la situation reste satisfaisante. Dans ces dernières, où sont situées 90 % des fermes, les règles seront assouplies.

"Mais dans les eaux de mauvaise qualité, où sont aujourd'hui installées 1 % des fermes, il sera interdit d'agrandir ou d'installer de nouvelles fermes. Et dans les eaux où la qualité de l'eau est incertaine, concernant 9 % des fermes, les conditions seront beaucoup plus strictes", souligne Ellen Hambro, directrice de SFT. L'Agence s'appuie sur la directive sur l'eau adoptée par l'UE en 2000 pour renforcer les règles.

SFT avait tiré la sonnette d'alarme en mars 2008, indiquant que les rejets de nitrates et de phosphates des fermes piscicoles avaient respectivement augmenté de 20 % et 55 % depuis 2000, alors que la pisciculture s'est développée en moyenne de 10 % par an et a doublé en dix ans....

Mauvaise réputation

La pisciculture n'a pas toujours bonne réputation. Si ses partisans affirment que c'est l'une des réponses indispensables au développement de la population mondiale, les critiques sont nombreuses : emploi d'antibiotiques ou de pigments pour colorer les saumons

Le gouvernement norvégien, qui a lancé en avril 2009 une stratégie pour une pisciculture durable, encourage toutefois son développement afin, entre autres, de consolider l'emploi dans les régions du Nord. L'organisation écologiste Bellona réclame une croissance zéro des concessions et un contrôle accru des conditions d'élevage.

 

Extraits LE MONDE 12.11.09

12/11/2009

Le captage-stockage du CO2 vise la maturité en 2020

Trois procédés existent pour capter le CO2 : extraction dans les fumées de combustion, dans le combustible initial, ou après concentration par la présence d'oxygène. Son transport vers un site de stockage peut s'effectuer par gazoduc terrestre ou sous-marin, ou par bateau. Son enfouissement est envisagé dans des aquifères salins, des gisements de pétrole et de gaz, ou des veines de charbon inexploitées.

"Nouvelle usine à gaz"

L'IEA (Agence internationale de l'énergie) a établi une feuille de route ambitieuse. L'objectif est d'arriver à cent projets à grande échelle en 2020, puis de monter à 850 installations en 2030 et 3 400 en 2050, ce qui permettrait de piéger 10 milliards de tonnes de dioxyde de carbone par an. Un chiffre à comparer aux 30 milliards de tonnes annuelles aujourd'hui relâchées par les activités humaines. L'investissement nécessaire sur quarante ans est de près de 6 000 milliards de dollars (4 000 milliards d'euros).

La première incertitude qui pèse sur ce scénario est financière. Avec les techniques actuelles, la séquestration d'une tonne de CO2 sur les sites des centrales électriques au charbon, au gaz ou au fioul, ou ceux des cimenteries, des raffineries et des usines sidérurgiques, puis son transport, enfin son enfouissement dans le sous-sol, reviennent à près de 100 euros. Un coût dissuasif, quand les droits d'émission se négocient, sur le marché du CO2 à moins de 20 euros la tonne. D'autant que le captage est une opération gourmande en énergie, qui peut réduire de plus d'un quart le rendement d'une centrale au charbon.

La donne pourrait changer si, comme le prévoient des experts, le cours de la tonne de CO2 grimpe à 100 euros en 2030, et si celui du captage-stockage tombe à 30 euros la tonne, grâce à une standardisation des procédés.

La seconde incertitude est environnementale. Les méthodes de capture et d'acheminement du dioxyde de carbone sont maîtrisées par l'industrie pétrolière. Mais des recherches restent à mener pour garantir la sécurité, sur une période d'un ou plusieurs millénaires, d'un enfouissement dans une formation géologique profonde, telle qu'un aquifère salin. Les risques potentiels étant une acidification du milieu, une remontée gazeuse vers une nappe d'eau potable, voire un dégazage brutal dans une zone où, à forte concentration, le CO2 pourrait avoir des effets délétères.

C'est ce qui fait dire au réseau associatif France nature environnement que le CSC est "une nouvelle usine à gaz". Et qu'il vaut mieux miser sur la préservation - et la restauration - de la capacité naturelle des océans, de la végétation et des sols à absorber le carbone.

Pierre Le Hir

Extraits LE MONDE | 06.11.09

Commentaires :  cette stratégie consistant à demander aux pollueurs (les pétroliers) d'enfouir sa tête (c-à-d le gaz co2) sous la terre à l'image de l'autruche est un plâtre sur une jaùbe de bois car on ne s'attaque à la souce du problème. On ne chiffre ici  nullement le coût financier, écologique et social des risques gigantesques liés à la garantie de la sécurité pour les générations futures de nos enfants (cf. également le même aspect pour les déchets nucléaires). Personne et aucun assurance n'est capable d'assurer ce risque....sous forme de prime sans faire faillite

06/11/2009

Le vélo à assistance électrique à l'essai

Une batterie de vélo à assistance électrique
Agrandir la photo

Une subvention de la Ville sera proposée pour l'achat des vélos à assistance électrique (VAE) à partir du 2 novembre. Cette aide s’élèvera à 25 % du prix d’achat TTC d’un vélo à assistance électrique neuf, le gain pouvant s’élever au maximum à 400€. Paris.fr a testé ces vélos d'un nouveau genre. Autre innovation, la location de VAE dans plusieurs parkings de la Saemes .

C'est un gros coup de pouce pour rouler électrique. Le Conseil de Paris des 29 et 30 septembre a adopté un projet de subvention des vélos à assistance électrique (VAE) par la Mairie de Paris. Les modalités pratiques de cette subvention seront mises en œuvre le 2 novembre (Attention, toute facture antérieure à cette date ne pourra donner droit à la subvention. Les pièces nécessaires à la demande seront téléchargeables sur velo.paris.fr ).

En mars 2009, une aide similaire pour l'achat d'un cyclomoteur électrique avait été votée par les élus de la capitale. La Ville de Paris subventionne ainsi jusqu’à 400 € l’achat de tout cyclomoteur électrique neuf. Avec cette nouvelle subvention des vélos à assistance électrique, la Ville de Paris continue ainsi d'encourager les modes de déplacements propres.

"Gros progrès des batteries"

Les VAE débutent à 800 euros environ, avec une grande variété de modèles. "La subvention va décider les personnes hésitantes qui n'avaient pas forcément le budget nécessaire", estime Yoann Bourrelier, qui vend des VAE à la boutique Cyclelectro.

Pour ce spécialiste des véhicules électriques, c'est la meilleure autonomie des batteries qui a fait progresser les machines : "Il y a un gros progrès des batteries depuis 2 ou 3 ans". Placée dans le porte-bagages ou sur le côté du vélo, elle est amovible et peut être facilement rechargée à domicile. Car elle pèse seulement quelques centaines de grammes. Côté autonomie, on peut rouler entre 25 et 40 km sans recharger, selon les modèles. Le temps de recharge (pour avoir une batterie chargée à 100%) est de 3 à 4 heures.

En montée, le vélo semble rouler... comme sur du plat !

Aux commandes d'un VAE, c'est la facilité à pédaler qui impressionne : en quelques tours de roues, l'assistance électrique se déclenche, et on a déjà franchi plusieurs dizaines de mètres ! Sur les petites montées, le vélo semble rouler comme sur du plat, tant la conduite est souple. Certains utilisateurs ont même installé une remorque derrière leur engin. "C'est super, je tire jusqu'à 100 kilos", se réjouit le propriétaire d'un de ces triporteurs.

Autre avantage : pas besoin d'être détenteur d'un permis pour rouler en VAE. Et l'assurance contre le vol de la batterie coûte seulement environ 40 euros par an. Les VAE, comme les vélos traditionnels, ont également accès aux voies cyclables.

Parisiens, commerçants, artisans et réparateurs implantés à Paris

La subvention pour les VAE s’élèvera à 25 % du prix d’achat TTC d’un vélo à assistance électrique neuf : le gain s’élèvera au maximum à 400€. Elle concernera tous les Parisiens, ainsi que les commerçants, artisans et réparateurs implantés à Paris pour la pratique de leur activité.

Bon à savoir : le lieu d'achat du vélo à assistance électrique est totalement libre. Vous pouvez donc le choisir chez n'importe quel revendeur de France.

Où être conseillé ?

Pour vous informer sur les avantages des deux-roues électriques, un dépliant explicatif est mis à votre disposition par la Mairie de Paris.
» Télécharger le dépliant d'information

Pour être conseillé sur les différents modèles disponibles, l’Espace mobilités électriques (EME) vous accueille :
16 rue de la Tour des Dames - 75009 Paris
du lundi au vendredi de 09h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h00

Vous découvrirez toute la gamme de cyclomoteurs et vélos à assistance électrique. Il vous sera même possible de les essayer!
» Consulter le site de l’EME

commentaire : bonne initiative mais il ne faudrait pas que cela pousse à augmenter les prix, celui vendu en chine coûte en moyenne 100 €...

source cliquez sur ville paris

03/11/2009

Déménager à vélo

Une personne fait du vélo dans les rues de Nantes, le 22 septembre 2005, lors de la journée sans voiture.

AFP/FRED DUFOUR

Le camion qui bloque la rue, qui gêne la circulation des piétons et qui empeste le voisinage, ce n'est pas une fatalité. A Montréal, au Canada, une entreprise propose depuis le printemps d'effectuer les déménagements... à vélo !

"On peut transporter près de 300 kg sur une plate-forme tirée par un cycliste", assure Julien Myette, le fondateur, fier de ses "convictions écologistes". Le lit, la machine à laver, le buffet ou les cartons remplis de livres, tout, "sauf le piano", se transporte à vélo, "à condition d'éviter les rues trop pentues et de faire plusieurs voyages", assure l'entrepreneur, qui a déjà embauché deux salariés, quelques mois après le lancement de sa société.

Dans un rayon de 5 km, le vélo se révèle plus rapide et moins cher que le camion. Pour déménager un deux-pièces, M. Myette préconise deux voyages qui coûteront au client 200 dollars canadiens, soit 125 euros.

Le service fonctionne même pendant une partie du rigoureux hiver montréalais. Toutefois, "en janvier et en février, quand il neigera et que les températures seront inférieures à - 15 °C, il faudra sans doute faire une pause", admet le créateur de l'entreprise.

Olivier Razemon

Extraits LE MONDE | 31.10.09

24/10/2009

Bientôt une Irlande officiellement sans OGM ?

par Christophe Noisette, Le gouvernement irlandais vient de déclarer publiquement qu’il allait proclamer son pays en entier « Zone sans OGM » et qu’il souhaitait « optimiser l’avantage compétitif de l’Irlande comme pays sans OGM en introduisant un logo volontaire »sans OGM« , à l’instar de ce que le gouvernement allemand a mis en place ».
Il ne s’agit pour l’instant que d’une déclaration politique, car le gouvernement n’a pas évoqué le dépôt de la clause de sauvegarde auprès de la Commission européenne, clause qui interdirait précisément la culture du maïs Mon810, la seule plante transgénique autorisée à la culture dans l’UE

source octobre 2009 infogm

22/10/2009

La bicyclette-taxi Bixi enthousiasme les Montréalais

L'un, le Bixi, est tout nouveau, l'autre, Communauto, a déjà quinze ans d'existence mais ils visent le même objectif : inciter les Montréalais à délaisser la voiture individuelle pour adopter des modes de transport plus écologiques, en complément du métro et du bus. Leur succès dépasse les espérances.

Le Bixi, vélo en libre-service, a été lancé en mai, avec 3 000 vélos et 300 stations mais l'accueil fut tel qu'en septembre il a fallu avancer la phase 2 du projet et proposer 100 stations et 2 000 vélos supplémentaires. La Société de vélo en libre-service, qui gère le projet montréalais, a obtenu le mandat, avec le groupe britannique Serco, de concevoir et mettre en place dès 2010 le "London Cycle Hire Scheme", un projet de 6 000 vélos, 400 stations comprenant 10 000 bornes au total. A Boston, le contrat d'implantation d'un système similaire comprend la livraison de 2 500 bicyclettes et 290 stations dans le centre-ville, chiffres qui pourraient doubler avec l'implication de villes limitrophes.

De son côté, le système d'auto-partage Communauto - lancé par une PME privée -, disponible à Montréal mais aussi dans trois autres grandes villes québécoises, dont Québec, a une croissance exponentielle depuis sa création. Fonctionnant avec des forfaits annuels selon les besoins (courtes ou longues distances), il comptait, en 2009, 18 200 abonnés. Sa flotte de 875 véhicules est disponible dans 300 parkings, avec un système d'accès en libre-service qui a fait ses preuves.

Convaincu que bien des gens ne veulent pas se passer d'une auto mais en voudraient bien une à temps partiel, l'initiative a pour principal objectif de "s'inclure dans la chaîne des transports publics" en combinant les offres. Un abonné de Communauto bénéficiait déjà de tarifs à rabais de la Société de transport de Montréal (STM) pour le métro et le bus. Désormais, il peut aussi obtenir une réduction de 50 % sur la location annuelle du nouveau vélo en libre-service.

Le Bixi (bi pour bicyclette, xi pour taxi) est une pure invention québécoise, conçue par le designer industriel Michel Dallaire avec le fabricant Cycles Devinci et la multinationale Rio Tinto Alcan comme partenaire, notamment pour la fourniture d'aluminium. Du vélo aux terminaux, tout est fabriqué au Québec. L'entretien et les réparations sont confiés à Cyclochrome, une entreprise d'économie sociale spécialisée dans la réinsertion de jeunes en rupture de ban.

"Mieux que le Vélib'"

Avec un réseau cyclable de 560 kilomètres, Montréal est une ville où il fait bon pédaler quand le temps le permet, soit de mai à novembre. Le système est facile d'utilisation, avec une Bixi-clé pour ses abonnés (10 500 fin septembre) ou une carte de crédit pour les usagers occasionnels (106 000 depuis mai). A la fine pointe de la technologie, ce vélo des temps modernes, dont les bornes de stationnement fonctionnent à l'énergie solaire, a été récompensé par plusieurs prix.

......

Anne Pélouas (à Montréal)
extrait du monde du 19/10/09

20/10/2009

Ouverture de la librairie Planète Métis, l’écologie en livres, sur le net

Ouverture de la librairie Planète Métis, l’écologie en livres, sur le net spécialisée en :

  • Écologie
  • Développement durable
  • Bio
  • Nature

Choix important de livres d’occasion, neufs, numériques et audio avec  page "actualité" pour s'informer des dernières nouvelles dans ces domaines.

L'objectif de Planète Métis est de faire découvrir nos sociétés et notre environnement, afin de permettre à un maximum de citoyens de notre planète de se comprendre et de comprendre notre espace commun.

18/10/2009

Roundup. Monsanto condamné pour publicité mensongère

Le Round up, désherbant, très répandu, n'est pas aussi inoffensif que la publicité veut bien le dire. La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de Monsanto, rendant définitive sa condamnation à 15 000 euros d'amende pour "publicité mensongère".
Sa boîte verte est bien connue des jardiniers amateurs. Et les agriculteurs l'utilisent aussi en grande quantité. Le Roundup, premier désherbant vendu en France et dans le monde, va-t-il devoir changer sa publicité?

Depuis sa mise sur le marché en 1975, son fabricant, la multinationale américaine Monsanto, l'a toujours présenté comme un herbicide efficace, biodégradable qui respecte l'environnement. Pourtant, le 27 janvier 2007, Monsanto a été condamné par le tribunal correctionnel de Lyon à 15000€ d'amende pour publicité mensongère.

Herbicide total

Les associations Eau et Rivières de Bretagne et UFC-Que choisir avaient porté plainte au sujet de l'étiquetage de l'herbicide. Monsanto avait fait appel de cette décision. En octobre 2008, la cour d'appel de Lyon a confirmé sa culpabilité. La multinationale s'était pourvue en cassation. Un pourvoi rejeté, le 6octobre, par la chambre criminelle de la Cour de cassation.

Ce désherbant n'est pas aussi vert qu'il en a l'air. Le Roundup est un herbicide total.

lire suite en cliquant sur ouest france

15/10/2009

Energie nucléaire ...Cadarache: "scandaleux" (Jouanno)

cadarache.jpgL'incident sur le site nucléaire de Cadarache (Bouches-du-Rhône) est "scandaleux" et il est "inadmissible" que le gouvernement ait été informé si tardivement, a jugé aujourd'hui la secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Chantal Jouanno.

"Il est totalement anormal que sur cette filière que l'on dit extrêmement contrôlée, on découvre que la comptabilité est mal tenue, qu'on ne sait pas exactement combien il y a (de plutonium) et surtout qu'on en soit informé si tardivement", a déclaré sur RTL Mme Jouanno, qui se dit "stupéfaite et même scandalisée".

"Il est inadmissible que Jean-Louis Borloo (le ministre du Développement durable, ndlr) n'ai pas été informé depuis juin", date à laquelle 22 kilos de plutonium ont été découverts dans un atelier en cours de démantèlement, au lieu des 8 kg estimés....

source extrait et consulter tout l'article en cliquant sur figaro 15/10/09

Commentaire : ce n'est des têtes qui doivent tomber mais bien comprendre que le plutonium est la matière la + dangereuse au monde pour l'homme et donc sortie du nucléaire par le haut en maintenant provisoirement ces centrales tout en accélérant très vite les énergie alternatives avec des financements euopéens conséquents (Plan Marshall Terre) [il en va de notre survie] car :

Le plutonium est un émetteur de rayonnement alpha, type de rayonnement facilement arrêté par les parois fines, y compris par la peau. Cependant, s'il est inhalé ou ingéré, il irradie directement les cellules des organes qui sont en contact avec lui (ou qu'il a pénétré). Il peut alors affecter leur noyau et l'ADN et provoquer des cancers. Son activité interne est d'autant plus dangereuse qu'une part importante du plutonium absorbé par l'organisme s’y fixe durablement.

source wikipedia

14/10/2009

En Allemagne, des écologistes stoppent la construction d'une centrale au charbon

Bravo aux citoyens courageux qui se battent...

"On repère de loin son imposante silhouette en béton qui pointe à 180 mètres de hauteur : la tour de refroidissement de la centrale à charbon de Datteln, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Ouest), est pratiquement achevée. Selon les plans du géant allemand de l'énergie E.ON, cette installation thermique - la plus performante outre-Rhin, avec une capacité de 1 055 mégawatts (MW) - aurait dû être mise en service dès 2011.

Pourtant, l'immense chantier pourrait bien ne jamais être mené à son terme à la suite d'une décision de justice déclarant le projet non conforme aux critères environnementaux. Depuis un mois, les travaux ont cessé partiellement.

A l'origine, des plaintes avaient été déposées contre la centrale par des riverains et des associations écologistes. Début septembre, un tribunal régional a suspendu l'autorisation de construire, relevant des infractions aux plans d'urbanisme, aux lois sur la protection de la faune et la flore, aux directives contre le bruit, etc. Depuis, les autorités locales ont déjà retiré deux des cinq permis de construire.

....Un développement jugé inacceptable par les écologistes qui pointent les objectifs ambitieux de réduction d'émissions de gaz à effet de serre fixés par la chancelière, Angela Merkel....

extrait LE MONDE | 13.10.09 "

09/10/2009

Google lance un outil de suivi de la grippe

Google a annoncé, jeudi 09/10/09, le lancement dans neuf pays européens — dont la France et la Belgique — de Google Flu Trends, un service permettant de suivre la propagation de l'épidémie de grippe grâce aux recherches faites par les internautes. Des données sont également proposées désormais pour l'Autriche, l'Allemagne, la Hongrie, les Pays-Bas, la Pologne, l'Espagne et la Suède.

...."L'objectif est de fournir des indications rapides sur les tendances de la grippe, sur une base quotidienne", pour permettre éventuellement "un avertissement précoce", explique Yossi Matias, à Bruxelles, un expert de Google. L'outil n'est "pas un remplacement de la surveillance traditionnelle par les autorités sanitaires", mais se veut "complémentaire", insiste-t-il.

....

source le Monde du 08.10.09

04/10/2009

Bientôt une taxe carbone européenne contre le réchauffement climatique ?

L’amendement proposé à la directive de 2003 sur la taxation de l’énergie obligerait les Etats membres à lever une taxe CO2 sur les carburants afin de réduire leurs émissions.

La Commission reconnaît que le cadre politique de l’UE a radicalement changé depuis l’adoption des législations existantes, qu’elle souhaite mettre en phase avec les ambitieux objectifs climatiques de l’Union.

La proposition est à l’agenda de la Commission depuis l’an dernier mais elle est restée bloquée dans des consultations internes, selon des sources se confiant à EurActiv. L’exécutif de l’UE se préoccupe de nouveau de cette question après que la présidence suédoise de l’UE ait pesé dans cette direction. De plus, la Commission espère que cela pourrait donner à l’UE un levier pour s’assurer d’un résultat ambitieux lors des négociations climatiques des Nations Unies en décembre.

Ce nouvel élément lié au CO2 est destiné à compléter une taxe générale sur la consommation énergétique permettant aux Etats membres de collecter des revenus. Cette dimension supplémentaire créerait des taxes CO2 nationales qui pourraient être fixées à un niveau plus important – mais pas moins important – que les niveaux spécifiés par l’exécutif européen.

Le projet suggère qu’un impôt minimum de 0,01 euro par kilogramme de CO2 pourrait être ajouté au prix de combustibles comme le gazoil, le kérosène ou le gaz naturel. Les carburants pour moteurs seraient taxés 0,01 euro ou 0,03 euro par kg/CO2, selon l’endroit où ils sont utilisés.

L’exécutif européen se réserve le droit de proposer des taux plus élevés dans l’hypothèse où l’UE déciderait d’augmenter son objectif de réduction d’émissions, actuellement de 20 % en dessous des niveaux de 1990 pour 2020. L’UE s’est engagée à aller jusqu’à 30 % si les autres pays industrialisés l’accompagnent dans le cadre d’un nouveau traité climatique qui doit être négocié en décembre.

Les Etats membres devront appliquer ces taxes CO2 à partir de 2013, selon le projet de document.

Une taxe principalement pour le transport et l’agriculture

lire la suite en cliquant sur planeteinfo

01/10/2009

Developpons les Centres dentaires municipaux

Afin de réduire nos dépenses de santé tout en préservant la qualité des soins, il est urgent de développer dans toutes les villes (qui n'ont de pôle universitaire dentaire)ces centres avec
  • dentistes
  • orthodontistes
  • urgences dentaires
à l'exemple de la ville de  Bobigny

10, avenue Karl Marx
Tél. 01 48 30 27 43
Fax : 01 48 30 17 00
Bus : 134, 234, 251, 301 (arrêt : Conservatoire Jean Wiener)
Tram T1 : arrêt Libération

Ouvert du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 19 h 30
Le samedi de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 18 heures

Exemple + infos sur Bobigny

17/09/2009

épidémie En métropole, la circulation du virus A (H1N1) 2009 s’intensifie.

Point de situation au 15 septembre 2009 (11h)

Dynamique de l’épidémie
En métropole, la circulation du virus A (H1N1) 2009 s’intensifie. Du 7 au 13 septembre 2009, l’incidence des consultations pour grippe clinique estimée par le réseau Sentinelles est en augmentation à 164 cas pour 100 000 habitants et se situe largement au-dessus du seuil épidémique (84 cas pour 100 000 habitants). Par ailleurs, les réseaux SOS Médecins et Oscour montrent une très nette augmentation de l’activité grippale. Enfin, le nombre d’épisodes de cas groupés confirmés a fortement augmenté (42 épisodes en semaine 37), notamment en milieu scolaire.

La progression rapide et concordante de ces indicateurs pour la semaine 37 indique que l’épidémie a débuté en France métropolitaine.

L’excès de consultations pour grippe clinique estimé par le réseau Sentinelles est de 93 000 en semaine 37, par rapport à la moyenne des années précédentes pour la même semaine. Le nombre de consultations pour infections respiratoires aiguës (IRA) liées à la grippe A (H1N1) 2009 est estimé par le réseau des Grog à environ 23 000 pour la semaine 36.

Le virus A (H1N1) 2009 est le virus grippal majoritaire en France métropolitaine.

Deux décès ont été constatés cette semaine chez des patients porteurs du virus A (H1N1) 2009. L’un d’entre eux n’avait pas de facteur de risque connu. Trois patients restent hospitalisés en soins intensifs.

Extraits source Institut de veille sanitaire

16:36 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : virus a, h1n1, épidémie |  Facebook |

16/09/2009

manifestation pour sortir de la pollution en Bretagne et pour la reconquete de l'eau. 27/09/09

Communiqué

Le 27 septembre 2009, Cyber acteurs et le collectif « Urgence marées vertes» organisent une manifestation pour sortir de la pollution en Bretagne et pour la reconquete de l'eau.

Vous êtes invités à signer le manifeste "Pour sortir de la pollution en Bretagne"

la liste des signataires (nous avons dépassé les 3000) est visible

A la différence d'une Cyber Action par laquelle vous interpellez directement par courriel le décideur, la pétition stockera vos données (au moins nom /prénom / code postal) qui seront envoyées toutes ensemble par voie postale ou en fichier joint (PDF) par courriel lorsque l'émetteur de la pétition le jugera utile.

Les infos pratiques sur les départs en car et les covoiturages

merci de nous envoyer vos infos. Nous avons contacté toutes les Biocoops de Bretagne (y compris la Loire Atlantique) pour
* les inviter à informer leurs adhérents grâce à l'affiche que nous leur avons fait parvenir
* à mettre sur pied des départs collectifs (car ou covoiturage).
* à mettre une urne pour la souscription pour les personnes qui ne pourraient se déplacer et souhaitent nous aider financièrement à financer une partie des cars et les frais liés à l'organisation de la manif ( affiches, tracts...)
Merci de demander à votre biocoop de mettre ces éléments en place dans son magasin

Concours de slogans
Dans la veine des "manif de droite"

et pour donner un côté festif et humoristique à la manif et la financer (outre la possibilité de don en ligne pour les personnes souhaitant soutenir la manif et ne pouvant y participer), nous proposons un concours de slogans pour le "lobbit agricole" (contraction du crédit agricole et du lobby du même nom) du genre "touche pas à mes algues vertes" "mon pognon n'a pas d'odeur, lui !" etc...

Pour participer à ce concours, proposez votre slogan avec le formulaire ci-dessous

Les différents slogans seront affichés le jour de la manif et un vote (1 € le bulletin) sera proposé aux manifestants.

Un prix (les oeuvres (presque) complètes de Jean Kergrist que nous accompagerons ) sera attribué au concepteur du slogan primé et pour une personne tirée au sort parmi celles qui auront donné la bonne réponse.

Pour participer à ce concours, il faut venir à la manif avec une pancarte présentant son slogan.

Nous aider

- En participant financièrement afin d'amoindrir nos frais liés à cette manifestation : location de cars, réalisation et tirage d'affiches et de dépliants principalement. Cette aide peut se faire par un paiement en ligne

- En collant des affiches appelant à la manif
: merci de nous dire combien d'affiches vous êtes susceptibles de coller et de préciser le secteur que vous pensez couvrir. Vous pouvez télécharger l'affiche en cliquant ici. et le tract en ici recto et verso (format pdf)

- En relayant cette information, en faisant la proposition de ce site web sur vos propres sites web, vos blog, sur facebook, auprès de votre carnet d'adresse ..

Les différents partenaires de la manifestation

Si votre association, votre biocoop, votre entreprise souhaite être partenaire de cette manifestation, envoyez-nous un texte et un lien vers le site de la structure en question.

Forum

Le forum spécifique est en place sur ce sujet

Revue de presse

toutes les infos sur les algues vertes dans la revue de presse quotidienne


Réunions

vendredi 11 septembre : conférence-débat à Douarnenez, salle des fêtes, 20h30 Algues Vertes et émanations toxiques
les effets sur la santé de l'hydrogène sulfuré (H2S)
Dr Claude Lesné, CNRS, Département de santé publique, Université de Rennes 1 organisée par Eaux et Rivières de Bretagne, De Navigatio et Collectif "urgence marées vertes"

16 septembre à Lannion salle Savidan à 20 h 30 avec Dr Claude Lesné, CNRS, Département de santé publique, Université de Rennes 1
23 septembre à Binic salle de l'estran à 20 h 30 avec Dr Claude Lesné, CNRS, Département de santé publique, Université de Rennes 1