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29/11/2011

OGM monsanto maïs 810 à nouveau autorisé en France ! On se moque des citoyens ici !

"la position française vis-à-vis des OGM est quelque peu ambiguë. S'ils ne sont pas autorisés à la culture, une trentaine d'OGM, cultivés à l'étranger, sont malgré tout importés sur notre sol, essentiellement pour l'alimentation animale et l'industrie, grâce à des autorisations de mise sur le marché européennes. Près de 5 millions de tonnes de soja, dont les trois quarts génétiquement modifiées, sont ainsi importées chaque année dans l'Hexagone." extraits lemonde

Commentaire de qui se moque-t-on ? Les électeurs trancheront en 2012

28/11/2011

Action "Un verger dans ma ville" : C'est la saison de planter un arbre fruitier dans votre jardin en lieu et place de votre arbre d'agrément inutile en temps de crise...

Nous vous invitons à  planter un arbre fruitier si vous avez la place suffisante.

C'est unene façon originale et innovante de développer et de conserver le patrimoine fruitier en milieu urbain. C'est aussi une source d 'économie pour toute la famille et de plaisir....renouvelé.

C'est une initiative qui devrait porter ses fruits surtout en temps de crise !!!

18/11/2011

Les autorités sanitaires européennes en accusation

L'Agence du médicament et l'Autorité de sécurité alimentaire soupçonnées de conflits d'intérêts. Après la France, l'Europe. L'onde de choc du scandale du Mediator, le coupe-faim du laboratoire Servier qui aurait provoqué jusqu'à 2 000 morts, a atteint l'Agence européenne du médicament (AEM), déjà mise en cause pour son manque de transparence, ses carences en matière de pharmacovigilance et ses insuffisances dans la lutte contre les conflits d'intérêts. Aiguillonnée par sa tutelle, la Commission européenne, l'AEM tente désormais de redresser la barre...extraits le monde

16/11/2011

Stop à la consommation de l'huile de palme dans notre alimentation: vérifiez les étiquNON àl'huile de palme : laissez les produits qui contiennent de l'huile de palme en rayon...

La culture du palmier à huile est la principale cause de déforestation en Asie du Sud-Est (Indonésie, Malaisie, Papouasie Nouvelle Guinée). Les conséquences sont dramatiques autant pour les communautés locales qui dépendent de la forêt qu'en termes de pertes pour la biodiversité. Aujourd'hui, le modèle d'immenses monocultures de palmiers à huile est en train de se propager dans de nombreux autres pays d'Amérique du Sud (Colombie) ou d'Afrique (Cameroun, Liberia).extraits cyberacteurs

L'huile de palme fait grossir..... et est dangereuse pour votre santé (voir dans biscuits, produits petit déjeuner notamment...sans oublier les plats cuisinés....en France, il y a obligation de mentionner en détail la composition des produits vendus.

06/11/2011

Antibiotiques et pesticides : un cocktail mortel pour les abeilles américaines extraits LEMONDE

Souvent qualifiée de "mystère", la surmortalité des abeilles domestiques, qui peut atteindre 90 % dans certaines colonies, mobilise un grand nombre de scientifiques. Les conclusions de leurs recherches excluent, dans une majorité de cas, une cause unique et évoquent une multiplicité de facteurs : monocultures, OGM, virus, champignons, invasion de frelons, réchauffement climatique et pesticides, bien sûr....

.l'étude que vient de publier la revue scientifique en ligne Plos One allonge d'un nom la liste des périls qui menacent les abeilles domestiques : l'oxytétracycline. Cet antibiotique ne sauve pas les butineuses, mais semble au contraire les rendre plus sensibles à l'effet nocif des pesticides. D'où le titre paradoxal de cette étude : "Les tuer avec gentillesse ?"....

MÊME À FAIBLE DOSE

Les chercheurs se sont penchés plus précisément sur l'action de l'oxytétracycline sur certaines protéines des abeilles, appelées Mulit-drug Resistance Transporters (MDR). Ces vecteurs de résistance à de multiples substances avaient été peu étudiés chez les insectes et négligés dans la toxicologie des abeilles domestiques jusqu'à présent, note David J. Hawthorne. Il avance que l'inhibition de ces MDR qu'entraîne l'antibiotique amplifierait l'effet néfaste chronique des insecticides, même lorsque la contamination a lieu à faible dose.....

03/11/2011

Bisphénol A, les dessous d'un scandale sanitaire

Les archives sont souvent impitoyables. Pour qui se plonge dans celles des revues scientifiques, l'affaire du bisphénol A (BPA) a tous les traits d'un scandale sanitaire mondial, potentiellement l'un des plus graves de la décennie écoulée.

Scandale rendu possible par les manoeuvres dilatoires de l'industrie et, surtout, par l'hiatus considérable entre le monde de la recherche académique et la plupart des agences de sécurité sanitaire. Si les agences française et canadienne reconnaissent, depuis peu, les dangers du BPA pour la santé humaine, la très grande majorité des autres continue de minimiser ces risques, en dépit de nombreux signaux d'alerte. extraits le monde

17:57 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bisphénol a, danger |  Facebook |

24/10/2011

Bisphénol A : Danger dans le ventre de maman pour les fillettes

 

Une nouvelle étude montre les dangers du Bisphénol A, mais cette fois-ci pendant la grossesse. Et ce sont les fillettes les plus touchées.

L'Agence nationale de sécurité sanitaire a déjà récemment révélé que le bisphénol A présente un risque de toxicité pour l'homme. Ce lundi, voici qu'une nouvelle étude américaine démontre que les fillettes, exposées à ce composant lorsqu'elles étaient in utero, présentent davantage de troubles du comportement à l'âge de 3 ans que celles dont la mère avait absorbé un plus faible niveau de ce composant chimique très répandu, selon une étude publiée lundi. Et cette étude, dirigée par l'Ecole de santé publique de l'Université Harvard, montre également que les conséquences sont multiples : anxiété, dépression et hyperactivité se rencontrent plus chez les petites filles dont les mères avaient d'importants taux de bisphénol A dans les urines pendant leur grossesse.

 

 

Les filles plus vulnérables que les garçons

« Cette tendance est plus prononcée pour les filles, ce qui suggère qu'elles sont plus vulnérables que les garçons à l'exposition au bisphénol A in utero », souligne l'étude publiée dans le journal Pediatrics daté de lundi...extraits le point

15:50 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

14/10/2011

"Text-Neck", nouvelle maladie liée à l'envoi de SMS

En effet, les fervents utilisateurs de messages peuvent souffrir d'un nouveau mal : « le text-neck ».Cette expression exprime la douleur ressentie au cou et au dos après l'utilisation du portable.

Cela est dû à une mauvaise posture adoptée lors de l'envoi de SMS à répétition.

....

Pour éviter ce mal, il vous suffit de tenir votre téléphone à la hauteur du visage et de réduire ou d'espacer l'envoi de SMS. extraits ladépêche

09/10/2011

Contre les concours de labour !

Voici un Témoignage recueilli dans la presse suite à celui monstrueux réalisé aux portes de Strasbourg et inauguré par notre Président Sarkozy en septembre 2011,  :

Terres à l’envers :

« On marche sur la tête »

De Philippe Muller :

« Curieux slogan que celui choisi par les organisateurs de cet événement aux portes de Strasbourg, « Terres à l’envers ». Pour un concours de labour, on comprend. Si on va un peu plus loin, « à l’envers » peut aussi être interprété comme « sur la tête ». Et si on conjugue, cela donne : l’agriculture marche sur la tête. Et c’est exactement ce qui se produit. Cette fête de labour puissant et profond, de la productivité et de l’industrialisation de l’agriculture n’est pas vraiment en phase avec les attentes du public ou du consommateur. La planète est de plus en plus polluée, les Monsanto sont les rois de l’agriculture qui perd son âme, perd sa tête. Le productivisme industriel a pris le dessus sur une agriculture qui nourrit les hommes dans le respect de la terre. Le monde agricole marche sur la tête et par conséquent va droit dans le mur. » extrait dna

COMMENTAIRE : il existe aujourd'hui la possibilité de cultiver sans labour qui à terme va supprimer la couche fertile de la terre.

02/10/2011

ils mangeront moins gras.. et se porteront mieux grâce à la taxe sur le gras au Danemark Manger gras engraissera vos dépenses au Danemark

Incroyable mais vrai. Il fallait s'y attendre, cela devait bien se produire un jour ou l'autre, mais voilà, c'est fait! Le Danemark est le premier pays du monde à avoir sa taxe sur le gras. Cela s'est concrétisé ce samedi.

Au courant de la dernière semaine, les citoyens sont devenus littéralement fous, se ruant dans les supermarchés pour faire des provisions de desserts, viande, beurre, sauces, tout cela afin d'économiser un peu d'argent sur leur facture d'épicerie avant que la nouvelle taxe entre en vigueur.

Mais pourquoi taxer le gras? En fait, il s'agit d'une mesure afin de lutter contre la surconsommation de produits riches en gras. La taxe imposera donc 16 couronnes (un peu plus de 2 euros) par kilogramme de gras et elle concernera tous les produits qui contiennent des gras saturés.

...extraits nouvel obs

Commentaire : ils mangeront moins gras.. et se porteront mieux

01/10/2011

Migration des emballages dans les aliments De quoi se faire un sang d’encre !

 

A la suite des résultats accablants d’un test sur la migration des encres alimentaires, l’UFC-Que Choisir exige la mise en place sans délai d’une réglementation pour protéger la santé des consommateurs.

Alertée par les analyses de nos confrères allemands et suisses, l’UFC-Que Choisir a réalisé un test sur 20 produits alimentaires*(1) vendus en France (pâtes alimentaires, riz, couscous, chapelure, sucre en poudre) afin de vérifier si les substances chimiques présentes dans les encres et emballages en carton étaient susceptibles de se retrouver dans les aliments qu’ils contiennent. Les résultats sont tristement sans appel : les dérivés pétroliers, présents dans les encres d’emballage et le carton, se retrouvent dans les aliments !

  • Sur les 20 produits testés, 14 contiennent, à des niveaux préoccupants, des huiles minérales provenant des encres des emballages en carton ;
  • Pour deux produits, les doses relevées en huiles minérales saturées*(2)  dépassent considérablement la dose limite internationale : ainsi le couscous graine « Tipiak » et la chapelure « Leader Price » contiennent respectivement 50 fois et 10 fois la dose maximale recommandée !

Loin d’être bénins, ces composés peuvent s’avérer dangereux pour la santé. Si aucune étude n’existe sur la toxicité des huiles minérales saturées sur l’homme, les données sur les animaux sont particulièrement préoccupantes. Ainsi les huiles minérales saturées retrouvées dans 75% des produits testés peuvent provoquer sur l’animal des dommages au foie, au cœur et aux ganglions lymphatiques. Quant aux huiles aromatiques, elles appartiennent à la famille des hydrocarbures aromatiques polycycliques dont certains sont classés cancérogènes.

Malgré les forts doutes que ces composés soulèvent vis-à-vis de la santé humaine, la réglementation ne définit pour le moment aucune valeur limite contraignante pour ces composés. Face aux problèmes constatés en Europe, la Commission a saisi l’agence européenne pour la sécurité des aliments, l’EFSA, mais sans qu’une volonté politique claire de mettre en place une réglementation ne soit annoncée....extraits UFC-Que Choisir

27/09/2011

Bisphénol A : l'Anses lance un appel à contributions sur les produits de substitution pour réduire les expositions des populations les plus sensibles

Dans le cadre des travaux d'évaluation des risques liés au bisphénol A, l'Anses publie aujourd'hui deux rapports : l'un relatif aux effets sanitaires du bisphénol A, l'autre à ses usages. Ce travail met en évidence des effets sanitaires, avérés chez l'animal et suspectés chez l'homme, même à de faibles niveaux d'exposition. Ces effets pourraient par ailleurs dépendre fortement des périodes d'exposition au regard des différentes phases de développement de l'individu, conduisant à identifier des populations particulièrement sensibles.
Ce travail constitue une étape dans le processus d'évaluation de risques qui va se poursuivre. L'Agence considère néanmoins disposer de suffisamment d'éléments scientifiques pour identifier d'ores et déjà comme objectif prioritaire la prévention des expositions des populations les plus sensibles que sont les nourrissons, les jeunes enfants, ainsi que les femmes enceintes et allaitantes.
Cet objectif passe par la réduction des expositions au bisphénol A, notamment par sa substitution dans les matériaux au contact des denrées alimentaires qui constituent la source principale d'exposition de ces populations.
Dans ce cadre, l'Agence soumet à consultation le résultat de ses travaux et lance un appel à contributions afin de recueillir d'ici fin novembre 2011 toute donnée scientifique concernant, notamment, les produits de substitution disponibles et les données relatives à leur innocuité et leur efficacité.


Le travail de l'Anses s'inscrit dans le cadre de saisines des pouvoirs publics datant de 2009 et 2010 sur les perturbateurs endocriniens, dont le bisphénol A. La première étape de l'expertise a consisté à identifier les différents usages du bisphénol A et, en parallèle, à caractériser l'ensemble de ses effets sanitaires. Cette première phase se concrétise par Les rapports publiés aujourd'hui.
Sur la base de l'analyse de l'ensemble de la littérature scientifique disponible, le groupe d'experts de l'Anses a conclu à l'existence d'effets avérés chez l'animal (effets sur la reproduction, effets sur la glande mammaire, effets sur le métabolisme, le cerveau et le comportement) et d'autres, suspectés chez l'homme (effets sur la reproduction et sur le métabolisme des sucres et des graisses, pathologies cardiovasculaires). Ces effets sont mis en évidence à des doses notablement inférieures aux doses de référence utilisées à des fins réglementaires et plus particulièrement lors de certaines périodes de la vie correspondant à des périodes de susceptibilité aux effets du bisphénol A (grossesse, périodes pré et postnatale).

Concernant les usages, l'Anses constate une très grande diversité de secteurs industriels déclarant une utilisation du bisphénol A. La production de plastique de type polycarbonate constitue une part majoritaire de son utilisation, sachant qu'une autre part importante sert à la synthèse de résines époxydes, notamment utilisées dans des matériaux au contact des denrées alimentaires.

Les travaux de l'Agence se poursuivent pour évaluer les expositions humaines alimentaires et environnementales et caractériser les risques sanitaires du bisphénol A, ainsi que les risques liés aux autres substances potentiellement perturbatrices endocriniennes. La complexité et l'ampleur des questions posées conduisent à inscrire ces travaux d'expertise dans la durée. Néanmoins, l'Anses considère disposer de suffisamment d'éléments scientifiques pour identifier, dès à présent, que l'objectif prioritaire consiste à réduire les expositions au bisphénol A des populations les plus sensibles. Cet objectif passe par la substitution des usages du bisphénol A dans les articles qui leur sont destinés (matériaux au contact des denrées alimentaires, jouets, articles de puériculture, etc.) en recourant à des substances ou technologies alternatives dont l'innocuité est démontrée.

Dans ce cadre et en parallèle à la poursuite de ses travaux, l'Agence lance un appel à contributions, afin de recueillir, d'une part, des commentaires sur le contenu et les suites de ses travaux et d'autre part, toute donnée scientifique concernant, notamment, les produits de substitution disponibles ainsi que les données relatives à leur innocuité et leur efficacité. Cet appel à contribution est ouvert jusqu'au 30 novembre 2011, les informations qu'il permettra d'obtenir seront rendues publiques et feront l'objet d'une analyse détaillée par l'Agence dans le cadre de l'élaboration de ses recommandations qui seront publiées début 2012.

En parallèle, l'Agence rappelle sa recommandation datant de 2010 et visant, à titre de prévention, à mettre à disposition du public une information claire sous forme d'un étiquetage systématique des ustensiles ménagers en contact avec les aliments, contenant du BPA et pouvant conduire à une exposition.

Enfin, l'Agence transmettra également le résultat de ces premiers travaux relatifs aux effets sanitaires du bisphénol A aux instances européennes concernées (EFSA, ECHA…), en vue d'examiner la pertinence d'une révision des doses de référence utilisées à des fins réglementaires. source anese


Pour en savoir plus

> Les rapports "Effets sanitaires du bisphénol A" et "Connaissances relatives aux usages du bisphénol A"

> Le dossier de presse "Effets sanitaires et usages du bisphénol A" :
- Anses et bisphénol A
- Bisphénol A, quels usages ?
- Les perturbateurs endocriniens
- L'Anses nouvel acteur de la sécurité sanitaire

> Appel à contributions :
- Informations et modalités
- Note d'appel à contributions (pdf)

13/09/2011

DANONE OBLIGÉ DE RETIRER SA PUBLICITÉ MENSONGÈRE APRÈS 15 ANS DE MATRAQUAGE ET DE DÉGÂTS !

 

Danone avait oublié de nous dire que ses yaourts étaient destinés aux sujets anorexiques.

APRÈS 15 ANS DE MATRAQUAGE ET DE DÉGÂTS AVEC LES YAOURTS "ACTIVIA "ET "ACTIMEL" DANONE OBLIGÉ DE RETIRER SA PUBLICITÉ.
Le « pavé dans le pot de yaourt » qu'a lancé Didier Raoult, chercheur français, dans la prestigieuse revue scientifique « Nature » de septembre 2009 a fini par être payant.
Pour le patron du labo de virologie de la Timone à Marseille, les yaourts et autres boissons lactées farcis aux pro biotiques que l'on nous fait avaler depuis près de 20 ans auraient une grosse part de responsabilité dans l'épidémie d'obésité qui frappe les enfants. Les pro biotiques que Danone ajoute à tout va dans divers yaourts sont selon les allégations de la marque assénées à la télévision, censées « booster » les défenses immunitaires. On en trouve plus de 1milliard par pot d'Activia ou d'Actimel.
Le hic est que ces bonnes bactéries « actives et vivantes », dixit Danone, sont les mêmes que celles utilisées depuis longtemps dans les élevages industriels comme activateurs de croissance pour faire grossir  plus rapidement cochons et poulets. Un porc ainsi gavé de pro biotiques, c'est plus de 10 % de gagné sur la balance. Danone pousse donc à « élever » nos enfants comme des cochons ou des poulets !
En fait, en début d'année, des chercheurs ont eu l'idée de comparer la flore intestinale des obèses et des non obèses. Et là, surprise, les premiers étaient bourrés de pro biotiques, ceux qu'on trouve justement dans les yaourts « santé plus ».
Didier Raoult commente : «On a autorisé pour l'alimentation humaine des activateurs de croissance utilisés dans les élevages, sans chercher à savoir quel serait l'effet sur les enfants». Du coup, celui-ci a réclamé des études pour connaître le rôle précis de TOUS les produits lactés dans l'épidémie d'obésité infantile. En outre, il n y a pas que les enfants qui sont victimes de cette supercherie : « J'ai rencontré de nombreuses femmes potelées bien que sous alimentées, et qui cherchaient désespérément à maigrir en se limitant à quelques yaourts par jour plus quelques babioles ». Et désespérante désillusion, elles continuaient à grossir, étaient de plus en plus fatiguées et fragiles...
Finalement, les semeurs d'alerte indépendants ont fini par émouvoir les services officiels avant que le scandale n'éclate trop au grand jour. C'est ainsi qu'ils viennent de mettre la pression sur le groupe Danone, l'obligeant, selon les termes délicats des grands journaux «à revoir sa copie» (Un monstre comme Danone, ça se ménage). Il faut tout de même réaliser que cela pourrait être un coup dur pour le lobby puisque les groupes Actimel Europe et Activia Europe pèsent ensemble > 1,5 milliards d'Euros sur un chiffre total Danone de 15 milliards, soit 10 %.
Mais ne nous faisons guère de soucis pour cette entreprise de tricheurs, car entre ses discrètes et adroites manoeuvres de retrait publicitaires et les addictions de beaucoup de consommateurs, il n'y a pas vraiment le « feu au lac », en attendant qu'on nous invente une autre « Salade à la mode ».

Faites passer...

Didier Raoult est professeur de microbiologie et spécialiste des maladies infectieuses. Il dirige l'Unité de Recherche en Maladies Infectieuses et Tropicales Emergentes (URMITE) de Marseille.

Le Grand Prix Inserm 2010 lui a été décerné à 58 ans pour l'ensemble de ses travaux sur les agents pathogènes et sa découverte des virus géants.

10/09/2011

Ce 11 septembre 2011, six mois se seront écoulés depuis le début de la catastrophe nucléaire de Fukushima

11 septembre 2011 - 6 mois de Fukushima

Fukushima, six mois de mensonges et de désinformation

Six mois que Tepco, l’ensemble du lobby nucléaire, le gouvernement japonais, mentent et désinforment les citoyens du Japon et du reste de la planète. Six mois déjà, à lutter contre l’opacité, à tenter de démêler les fils de la vérité, concernant la situation des réacteurs, la contamination de l’environnement, des habitants et des aliments. A la veille du 11 septembre 2011, nous sommes toujours confrontés à un mur de censure.. Les grandes catastrophes nucléaires de l’histoire, de Mayak à Fukushima en passant par Tchernobyl, se suivent… la désinformation reste entière, et nous, citoyens du Japon et d’ailleurs, sommes les premières victimes. Ce silence doit cesser..

Le Réseau “Sortir du nucléaire“ souhaite ici fournir un aperçu – sans prétendre être exhaustif – de la situation des populations dans la préfecture de Fukushima à ce jour. Ce dossier met en valeurs certains aspects scandaleux de la gestion de la catastrophe par les autorités japonaises qui sont passés inaperçus dans les médias en France. Alors que l’accident n’en est qu’à son commencement, le Japon en a-t-il tiré les leçons ?

source réseau sortir du nucléaire

31/08/2011

Danger surconsommation ANTIBIO Le boom des bactéries résistantes aux antibiotiques

Commentaire : MAUVAIS USAGE DES ANTIBIO AU PLAN DE LA SANTE MAIS AUSSI DE L'ELEVAGE INTENSIFLes cinq patients décédés en juillet à l'hôpital de Massy (Essonne) ne sont pas morts de la bactérie "tueuse", tel que l'avançait Le Parisien ce mardi 30 août, mais "de la pathologie dont ils souffraient", a rectifié l'INVS (Institut national de veille sanitaire). Une chose, toutefois, reste vraie : la bactérie klebsiella pneumoniae, désignée à tort comme coupable, était bien présente chez dix-huit patients de cet hôpital. Assez courante dans nos tubes digestifs, la klebsiella n'est pas forcément pathogène, et résidait d'ailleurs chez ces patients sans leur causer de maladie. Mais cette souche en question, importée de Grèce, avait une particularité qui a pu inquiéter les médecins : elle est résistante à la plupart des antibiotiques à disposition.

 

Ce phénomène de résistance préoccupe de plus en plus le monde de la santé. Car la klebsiella est loin d'être la seule à échapper aux traitements. Début août, des scientifiques de l'INRA (Institut national de la recherche agronomique), de l'INVS et de l'Institut Pasteur alertaient sur l'émergence "soudaine et préoccupante d'une salmonelle" – bactérie représentant "une des premières causes d'infections alimentaires chez l'homme (...) devenue résistante à presque tous les antibiotiques". Dans ce cas, le berceau de ces modifications génétiques pourrait être l'Egypte, probablement à cause de l'usage massif d'antibiotiques dans l'aquaculture puis dans l'élevage de volailles, "grandes consommatrices de fluoroquinolones". La bactérie, dont certaines souches résistent déjà à toutes les classes d'antibiotiques, semble s'implanter en Europe.

En juin dernier, c'est la fameuse E. Coli, qui a fait 76 morts en Europe. Elle avait comme particularité, outre sa virulence, d'être très résistante aux médicaments. Le phénomène touche d'autres colibacilles, des bactéries très communes qui peuplent par millions les tubes digestifs des hommes et des animaux. Certaines ont aujourd'hui la capacité de résister à quasiment tout l'arsenal thérapeutique, laissant les médecins désarmés.

UNE UTILISATION "DÉBRIDÉE"

Les professionnels de la santé ne cachent pas leur inquiétude, comme en témoigne un manifeste de l'Alliance francophone contre le développement des bactéries multi-résistantes. Le groupe évoque le chiffre, sous-estimé selon lui, de 25 000 décès par an en Europe causés par ces micro-organismes tenaces. "Après plusieurs décennies d'une utilisation souvent débridée des antibiotiques, nous entrons dans une période de risque et de pénurie, avec l'apparition de bactéries extrêmement résistantes à ces médicaments, voire à tous les antibiotiques, alors que très peu de nouveaux produits sont attendus dans les dix prochaines années", constate ce document.

Le coordinateur de l'Alliance, Jean Carlet, met en cause un mauvais usage des antibiotiques. Et en premier lieu, leur surconsommation. Chez l'homme, "peut-être la moitié des antibiotiques prescrits le sont alors qu'il ne s'agit pas de bactéries, mais de maladies virales ou autres, pour lesquelles ces traitements n'ont pas lieu d'être", déplore le médecin. Autre utilisation nuisible : un dosage trop faible qui ne tue pas toute la population bactérienne, laissant les micro-organismes les plus résistants survivre et se multiplier... extraits le Monde

30/08/2011

douleurs rhumatismales : le soulagement à prix réduit sans effet secondaire

Vertus remarquables de la plante sud-africaine, l'Harpagophytum dite aussi la "griffe du diable", utilisée pour apaiser les douleurs rhumatismales, l'arthrose  et plus.
voir http://www.info-harpagophytum.fr/ et plus.

14/08/2011

71 % des consommateurs utilisent leur portable sans précaution

Le 31 mai 2011, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le CIRC (1) classaient les champs de radiofréquences électromagnétiques, incluant l’exposition via les téléphones portables, comme présentant des risques cancérigènes pour l'homme. Mais, bien que largement relayée par les médias, cette annonce n’a, semble-t-il, pas convaincu les utilisateurs de téléphones portables de modifier leurs habitudes. En effet, selon un sondage Obea/InfraForces (2), destiné à paraître dans l'édition de septembre de Santé Magazine, 71 % des utilisateurs de portables ne prennent pas de « précautions particulières » lors de leur utilisation.

Sur l’ensemble des personnes interrogées, 11 % déclarent privilégier les SMS et seuls 10 % utilisent de préférence un kit mains libres. Par ailleurs, 6 % disent éviter de porter leur mobile sur eux et 2 % évitent de téléphoner quand le réseau est mauvais. Concernant les habitudes propres aux diverses catégories d’utilisateurs, les moins de 25 ans privilégient les SMS alors que le recours au kit mains libres se pratique plus particulièrement chez les 25-44 ans.

1- Centre International de Recherche sur le Cancer.
2- L'enquête s’est déroulée par téléphone, du 23 au 28 juin, auprès d'un échantillon représentatif de 1 008 personnes habitant la France métropolitaine, et âgées de 18 ans et plus. source univers-nature

15:53 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

09/08/2011

Nouvelles charges contre le Roundup de Monsanto

Le Roundup et son principe actif, le glyphosate, sont de nouveau au centre d'une controverse. Dans un rapport édité par Earth Open Source (EOS), une petite organisation non gouvernementale (ONG) britannique, une dizaine de chercheurs mettent en cause les autorités européennes pour leur peu d'empressement à réévaluer, à la lumière de nouvelles données, l'herbicide à large spectre le plus utilisé au monde....

Les auteurs du rapport citent notamment une étude publiée, fin 2010, dans Chemical Research in Toxicology, selon laquelle l'exposition directe d'embryons de batraciens (Xenopus laevis) à de très faibles doses d'herbicide à base de glyphosate entraîne des malformations....

Un exemple cité par EOS est celui du bisphénol A (BPA). Dans une revue de la littérature scientifique publiée en 2005 dans Environmental Health Perspectives, Frederick vom Saal (université du Missouri) estimait que 94 des 115 études académiques publiées sur le sujet concluaient à un effet significatif du BPA sur les organismes, même à très faible dose....

Or, si le glyphosate se dégrade relativement rapidement, "l'AMPA peut persister plusieurs mois dans les sols". En France, selon l'Institut français de l'environnement (IFEN), cette molécule est désormais le contaminant le plus fréquemment retrouvé dans les eaux de surface.

Son succès est donc le principal problème du Roundup. D'autant que des résistances sont apparues ces dernières années. Sur le continent américain en particulier, où les cultures génétiquement modifiées associées ont permis un usage massif du Roundup, des mauvaises herbes commencent à être de moins en moins sensibles - voire complètement résistantes - à l'herbicide phare de Monsanto. "Or, lorsque ces résistances commencent à survenir, on est parfois tenté d'augmenter les quantités épandues", dit LaureMamy.

Le POEA, un adjuvant plus toxique que le glyphosate

Dans certains pays, le Roundup contient un adjuvant chimique, le polyoxyéthylène amine (POEA), qui accroît l'efficacité du glyphosate. En Europe, l'évaluation de la toxicité des tels additifs est de la responsabilité des Etats membres. "Dans la formulation Roundup, la toxicité avérée est plus induite par le POEA que par le glyphosate lui-même, estime un toxicologue de l'industrie. C'est de notoriété publique." Dans la version préliminaire de son dernier rapport d'évaluation, l'Allemagne - rapporteur pour l'UE sur le glyphosate - précisait que le POEA "devrait être précautionneusement évalué au niveau des Etats membres car des substances du même groupe peuvent, selon leur concentration, montrer des propriétés irritantes ou cytotoxiques" (nocives pour les cellules).

extraits lemonde 08/08/11

01/08/2011

Emissions polluantes des bateaux de plaisance : des normes durcies

Les études scientifiques le prouvent ; la concentration d'émissions d'oxydes d'azote (NOx), émises par les six millions de motos marines (jet-ski) et de bateaux à moteurs et à voile dans l'Union européenne, polluent les lacs et les littoraux. Partant de ce constat, la Commission européenne a proposé une révision de la directive sur les bateaux de plaisance. Cette nouvelle réglementation fixe des limites plus strictes concernant le NOx, les hydrocarbures (HC) et les matières particulaires pour les nouveaux bateaux de plaisance. Ainsi, en vertu du texte révisé, les moteurs de propulsion devront être conçus et construits pour émettre 20 % de moins d'émissions HC + NOx et 34 % de moins de matières particulaires.

D’autre part, afin d’améliorer la surveillance du marché, la proposition renforce les obligations incombant aux fabricants, aux importateurs et aux distributeurs. Celles-ci incluent notamment une mise à jour des règles relatives au marquage CE. En outre, les bateaux de plaisance étant souvent importés en UE par des ressortissants de pays tiers pour leur propre usage, la proposition prévoit également des obligations plus strictes pour les importateurs privés. Au regard de cette nouvelle réglementation, les Etats membres devront réaliser des contrôles adéquats au sein et aux frontières extérieures de l'UE. Les bateaux de plaisance jugés non conformes lors de visites dans les locaux des opérateurs économiques seront confisqués. extraits  universnature

28/07/2011

Commission européenne - Communiqué de presse Alimentation: La commission présentera d’ici à la fin de l’année une liste des allégations de santé autorisées, à l’issue des évaluations de l’EFSA

Bruxelles, le 28 juillet 2011 – Les consommateurs européens sont en droit de savoir si certaines denrées alimentaires réputées bénéfiques pour leur santé produisent réellement les effets allégués. La Commission européenne présentera d’ici à la fin de l’année une liste des allégations de santé autorisées concernant les denrées alimentaires pour toutes les substances autres que les substances dites «botaniques», à la suite de la publication aujourd’hui par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) d’une sixième et dernière série d’avis en la matière.

La Commission salue la publication de cette sixième série portant sur 35 allégations de santé concernant les denrées alimentaires («allégations de santé visées à l’article 13»), qui vient clôturer la série d’évaluations de l’EFSA entamées en octobre 2009 (IP/10/1176).

«Il est primordial de veiller à l’exactitude et à la fiabilité des informations figurant sur les étiquettes des denrées alimentaires si l’on veut aider les consommateurs à choisir des produits plus sains et renforcer leur autonomisation», a déclaré le commissaire à la santé et aux consommateurs, M. John Dalli.«Le processus d’évaluation poursuivi par l’EFSA jusqu’ici représente une étape essentielle dans la mise en œuvre du règlement relatif aux allégations de santé, et je remercie l’Autorité pour sa précieuse contribution à cette mission difficile et passionnante sans précédent et unique au monde», a-t-il ajouté. Et de conclure: «Désormais, notre priorité est d’adopter le plus rapidement possible la liste des allégations de santé autorisées visées à l’article 13.»

La Commission a déjà entamé les travaux préparatoires en collaboration avec les États membres et prévoit de présenter les dispositions finales avant la fin de l’année.

Lorsque la liste des allégations de santé autorisées sera adoptée et pleinement exploitable, les consommateurs européens auront l’assurance que toutes les allégations de santé présentes sur le marché européen sont étayées par des preuves scientifiques et ne sont pas trompeuses. Ils seront alors à même d’opter pour un régime alimentaire plus sain.L’adoption de la liste facilitera également le travail des autorités chargées de veiller au respect du règlement et garantira une concurrence loyale entre les différents opérateurs du secteur alimentaire.

Contexte

Le règlement sur les allégations de santé vise à garantir un niveau élevé de protection des consommateurs, en facilitant le choix de produits adaptés à un régime alimentaire varié et équilibré qui constitue un gage de bonne santé. Dans cette optique, les allégations ne peuvent induire les consommateurs en erreur: elles doivent être précises, exactes, étayées par des preuves scientifiques et être inscrites sur une liste d’allégations de santé autorisées. L’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) est l’organisme chargé d’évaluer les preuves scientifiques utilisées pour étayer les allégations de santé.

Lors du démarrage du processus d’évaluation, les États membres ont soumis au total plus de 44 000 allégations de santé à la Commission. La Commission a rassemblé celles-ci sur une liste comportant approximativement 4 600 allégations. Les six séries d’avis publiés par l’EFSA concernent environ 2 760 allégations de santé, sur un total de quelque 4 600 allégations en attente d’un avis scientifique (la Commission tient en suspens 1 550 allégations concernant des substances dites «botaniques»).

En raison de la multitude d’allégations de santé reçues et du retard avec lequel les parties intéressées soumettent leurs demandes aux États membres, le délai du 31 janvier 2010 fixé dans le règlement sur les allégations de santé pour l’adoption d’une liste des allégations de santé autorisées n’a pas pu être respecté. Compte tenu de la révision précitée du processus d’adoption, le délai de clôture des évaluations de l’EFSA pour toutes les substances, autres que les substances dites «botaniques», a été prorogé jusqu’à fin juin 2011.

De plus amples informations sont disponibles à l’adresse suivante:

http://ec.europa.eu/food/food/labellingnutrition/claims/health_claims_en.htm