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03/11/2010

A Vittel, Nestlé met du vert dans l'or bleu extraitsLEMONDE.FR | 30.10.10

Pour préserver son eau minérale, la multinationale Nestlé y finance, depuis vingt ans, la conversion au zéro pesticide d'une zone de 10 km2. Au lendemain de la Conférence internationale sur la biodiversité de Nagoya, cette expérience fait figure d'exemple atypique de collaboration entre une entreprise, des collectivités locales et des agriculteurs, ayant pour objectif la protection d'un écosystème naturel.

Sur les collines vosgiennes de Vittel, la bise glacée fait onduler les prairies. On s'y roulerait presque. Et on aurait raison. Depuis vingt ans, plus un gramme de pesticide n'est pulvérisé dans les champs du bassin minéralier. Ornithologues et entomologistes ont vu s'accroître le nombre d'oiseaux et de papillons. Ce paradis écolo n'est pas l'œuvre d'un groupe de babas-cool mais d'une multinationale de l'agroalimentaire..... Pour Nestlé, propriétaire de la marque Vittel, ces terres, débarrassées de traitements chimiques, sont le résultat de deux décennies d'efforts. Elles protègent une corne d'abondance. Sous les bottes des agriculteurs, l'eau de pluie, emprisonnée, puis filtrée par les roches calcaires, ressort de terre sous forme d'eau minérale. Sur les 10 kilomètres carrés du bassin de captage, trois sources – Hépar, Contrex et Vittel Grande Source –- alimentent le business de la branche des eaux de Nestlé. 1,3 milliard de bouteilles d'or bleu sortent chaque année de l'usine d'embouteillage.

Commentaire : lorsque cela met en jeu l'existence de l'entreprise d'eau de vittel, prppriété de la Multinational Nestlé, on se défonce pour les bonnes pratiques...tiens...Tiens mais c'est bien sûr.....


12/07/2010

La Grande-Bretagne a soif

L'année 2010 met à mal le cliché d'une Grande-Bretagne verdoyante, où les averses ne sont pas rares. Ainsi, cette année, le déficit de pluviométrie y est exceptionnel et record pour les six premiers mois, depuis plus de 80 ans. Avec un cumul de 356,8 mm de pluie de janvier à fin juin, on est loin des 511,7 mm de moyenne sur la période 1971-2000. Il faut remonter à 1929 pour trouver un premier semestre plus sec (275,7 mm de pluies).


Par rapport à cette époque, la demande en eau s'est évidemment considérablement accrue avec la forte hausse de la population et des besoins industriels et agricoles croissants. En conséquence, le niveau des nappes phréatiques et autres réserves d'eau douce est exceptionnellement bas, avec des taux de remplissage qui peuvent être de seulement 50 % dans les régions les plus touchées.

extraits source univers-nature

16/05/2010

RDV TV: Lundi 17 mai 2010 à 20h35 sur France 3 Du poison dans l’eau du robinet film de Sophie Le Gallmard iUn documentaire qui laisse présager la future arrivée de la thématique de la qualité de l'eau de boisson sur la scène médiatique

RDV TV: Lundi 17 mai 2010 à 20h35 sur France 3
Du poison dans l’eau du robinetUn film de Sophie Le Gallmardi 27 avril 2010
> par David Naulin
L’eau du robinet est-elle potable? Sans le savoir, des millions de Français boivent une eau trop chargée en aluminium, nitrates, pesticides, médicaments et en radioactivité. Dans certains cas, l’eau est même non-conforme aux normes de précautions sanitaires. Ce danger invisible menace les foyers et la santé des Français, des plus jeunes aux plus âgés. Munie d’une valise multimédia équipée d’éprouvettes, Sophie Le Gall, la réalisatrice de ce documentaire d’investigation a parcouru la France pour recueillir les preuves de la contamination et interpeller les autorités.Résultats de son enquête?Dans le Centre et en Ile-de-France, l’eau du robinet regorge de pesticides ou de nitrates, ces traitements chimiques qui sont soupçonnés d’être à l’origine de cancers. Les autorités le savent mais elles délivrent régulièrement des dérogations qui permettent de distribuer une eau qui dépasse les normes pesticides ou nitrates.Dans des villages d’Auvergne ou à Saint Etienne, les habitants boivent une eau blanchie avec de la poudre d’aluminium qui pourrait déclencher la maladie d’Alzheimer. Les doses dépassent largement le seuil de risque fixé par certains scientifiques mais les autorités ignorent les dangers de ce neurotoxique.La réglementation fait par ailleurs l’impasse sur le radon, ce gaz hautement radioactif, présent dans l’eau potable de plusieurs villages du Limousin. Résultat, des habitants boivent une eau chargée en radon sans en être informés.Depuis quelques années, des citoyens et des scientifiques isolés tirent la sonnette d’alarme sur ces toxiques qui coulent de nos robinets. Partout en France, l’eau potable charrie désormais des résidus médicamenteux: antiépileptiques, aspirine, antidiabétique. Nul ne connait l’impact sur la santé des populations exposées. Pour décontaminer l’eau potable des Français, il faudrait bâtir des usines pour éliminer nitrates et pesticides, investir pour filtrer les molécules de médicaments, protéger les réserves d’eau des pollutions… Mais les communes et les grandes compagnies de distribution de l’eau ne souhaitent pas que de nouvelles règles viennent compromettre leurs affaires. En tant pis si les Français trinquent à leur santé.Le documentaire sera suivi d’un post-scriptum présenté par Marie Drucker. Cette partie est un prolongement du film, un lieu de discussions avec auteur, réalisateur, témoin ou expert, pour que les téléspectateurs puissent se forger leur propre opinion.Du poison dans l’eau du robinet - Un film de Sophie Le Gall - Produit par Ligne de Mire avec la participation de France Télévisions - Durée: 90’ - Diffusion: Lundi 17 mai 2010 à 20h35 sur France 3

01/05/2010

Binez votre jardin pour économiser de l’eau !

Les besoins en eau augmentent plus vite que la population de la planète : depuis 1990, elle a été multipliée par trois, quand la consommation mondiale d’eau l’a été par sept ! Alors lorsque vous prenez du plaisir dans votre jardin, pensez à économiser l’or bleu !
Binez votre jardin pour économiser de l’eau !
Biner son jardin vaut deux arrosages, selon l’adage ! Crédit photo : © OSCAR - Fotolia.com

Un arrosage du jardin représente environ 200 litres d’eau (l’équivalent d’un bain) : un véritable luxe. Mais il existe un moyen très efficace de réduire cette quantité : le binage. Biner son jardin vaut deux arrosages, selon l’adage !

Cette opération consiste à casser la croûte superficielle pour éviter la remontée de l’eau par capillarité et son évaporation à la surface du sol. De plus, vous empêcherez de la sorte aux racines de s’étouffer, histoire que la plante croisse normalement. Vous bloquerez aussi la croissance des ivraies.

source Yann Cohignac site developpementdurabl

17/03/2010

22 mars : journée mondiale de l'eau 2010 ; journée mondiale de l’eau 2010 au thème de la qualité de l’eau




Le 22 mars prochain aura lieu la journée mondiale de l'eau à l'initiative d'ONU-Eau.
Le thème "De l'eau propre pour un monde sain" reflète l’importance des deux thèmes, quantité et qualité, pour la gestion des ressources en eau. Les activités de cette journée auront pour but de faire passer des messages sur la qualité de l’eau et son importance pour les écosystèmes et le bien-être de l’humanité.


La journée mondiale de l’eau 2010 vise à :
- Faire prendre conscience de la nécessité d’entretenir des écosystèmes sains et d’assurer le bien-être de l’humanité en relevant les défis croissants que pose la qualité de l’eau pour la gestion des ressources en eau ;
- Accroître la visibilité du thème de la qualité de l’eau en encourageant les gouvernements, les organisations, les communautés et les individus dans le monde entier à s’engager sur ce thème, en participant à des activités telles que la prévention de la pollution, le nettoyage des cours d’eau et des lacs, et leur restauration.

Programme complet de la journée sur le site officiel

source fne

15/02/2010

Distribution d'eau : la concurrence s'éveille, les prix baissent

France

"Enfin une bonne nouvelle ! Les prix de l'eau sont orientés à la baisse. L'enquête annuelle de la Fédération professionnelle de l'eau, réalisée par la société d'études BIPE, attendue fin février, devrait conclure à une diminution moyenne des tarifs de 5 % à 9 %. La raison : le secteur, qui a longtemps fonctionné en oligopole, s'éveille à la concurrence, sous la pression des élus municipaux.....

L'intercommunalité pousse les collectivités à se regrouper et à reprendre la main pour obtenir des baisses substantielles de prix. Les élus s'entourent des meilleurs conseillers : "Il arrive que nous retrouvions, face à nous, d'anciens collaborateurs passés au public et très au fait de nos métiers", admet un dirigeant d'entreprise privée.....

Sans attendre l'expiration des contrats, les élus mettent à profit une autre innovation de la loi Sapin, le rendez-vous quinquennal. La Communauté urbaine de Lille (60 communes, 300 000 abonnés) a ainsi fait appel à une commission d'arbitrage pour tenter de "récupérer une partie des 152 millions d'euros que Suez a provisionnés pour réaliser des travaux, et qui n'ont pas été complètement dépensés", explique Alain Cacheux, son président : "Nous attendons de cette négociation ardue une baisse de 10 % du prix de l'eau potable, compensée par une hausse de la "redevance assainissement" afin de financer la construction d'une station d'épuration."

Marc Daniel et Isabelle Rey-Lefebvre

Commentaire :

Ah ! le capitalisme à la française ! Depuis plus d’un siècle, les compagnies d’eau rackettent le consommateur dans l’indifférence générale. Il suffit qu’une concurrence publique un peu sérieuse apparaisse, et les prix s’effondrent... Comme quoi, le public, ça peut être très efficace face au privé !  

Extraits et lire suite sur le monde du 14.02.10

16/09/2009

manifestation pour sortir de la pollution en Bretagne et pour la reconquete de l'eau. 27/09/09

Communiqué

Le 27 septembre 2009, Cyber acteurs et le collectif « Urgence marées vertes» organisent une manifestation pour sortir de la pollution en Bretagne et pour la reconquete de l'eau.

Vous êtes invités à signer le manifeste "Pour sortir de la pollution en Bretagne"

la liste des signataires (nous avons dépassé les 3000) est visible

A la différence d'une Cyber Action par laquelle vous interpellez directement par courriel le décideur, la pétition stockera vos données (au moins nom /prénom / code postal) qui seront envoyées toutes ensemble par voie postale ou en fichier joint (PDF) par courriel lorsque l'émetteur de la pétition le jugera utile.

Les infos pratiques sur les départs en car et les covoiturages

merci de nous envoyer vos infos. Nous avons contacté toutes les Biocoops de Bretagne (y compris la Loire Atlantique) pour
* les inviter à informer leurs adhérents grâce à l'affiche que nous leur avons fait parvenir
* à mettre sur pied des départs collectifs (car ou covoiturage).
* à mettre une urne pour la souscription pour les personnes qui ne pourraient se déplacer et souhaitent nous aider financièrement à financer une partie des cars et les frais liés à l'organisation de la manif ( affiches, tracts...)
Merci de demander à votre biocoop de mettre ces éléments en place dans son magasin

Concours de slogans
Dans la veine des "manif de droite"

et pour donner un côté festif et humoristique à la manif et la financer (outre la possibilité de don en ligne pour les personnes souhaitant soutenir la manif et ne pouvant y participer), nous proposons un concours de slogans pour le "lobbit agricole" (contraction du crédit agricole et du lobby du même nom) du genre "touche pas à mes algues vertes" "mon pognon n'a pas d'odeur, lui !" etc...

Pour participer à ce concours, proposez votre slogan avec le formulaire ci-dessous

Les différents slogans seront affichés le jour de la manif et un vote (1 € le bulletin) sera proposé aux manifestants.

Un prix (les oeuvres (presque) complètes de Jean Kergrist que nous accompagerons ) sera attribué au concepteur du slogan primé et pour une personne tirée au sort parmi celles qui auront donné la bonne réponse.

Pour participer à ce concours, il faut venir à la manif avec une pancarte présentant son slogan.

Nous aider

- En participant financièrement afin d'amoindrir nos frais liés à cette manifestation : location de cars, réalisation et tirage d'affiches et de dépliants principalement. Cette aide peut se faire par un paiement en ligne

- En collant des affiches appelant à la manif
: merci de nous dire combien d'affiches vous êtes susceptibles de coller et de préciser le secteur que vous pensez couvrir. Vous pouvez télécharger l'affiche en cliquant ici. et le tract en ici recto et verso (format pdf)

- En relayant cette information, en faisant la proposition de ce site web sur vos propres sites web, vos blog, sur facebook, auprès de votre carnet d'adresse ..

Les différents partenaires de la manifestation

Si votre association, votre biocoop, votre entreprise souhaite être partenaire de cette manifestation, envoyez-nous un texte et un lien vers le site de la structure en question.

Forum

Le forum spécifique est en place sur ce sujet

Revue de presse

toutes les infos sur les algues vertes dans la revue de presse quotidienne


Réunions

vendredi 11 septembre : conférence-débat à Douarnenez, salle des fêtes, 20h30 Algues Vertes et émanations toxiques
les effets sur la santé de l'hydrogène sulfuré (H2S)
Dr Claude Lesné, CNRS, Département de santé publique, Université de Rennes 1 organisée par Eaux et Rivières de Bretagne, De Navigatio et Collectif "urgence marées vertes"

16 septembre à Lannion salle Savidan à 20 h 30 avec Dr Claude Lesné, CNRS, Département de santé publique, Université de Rennes 1
23 septembre à Binic salle de l'estran à 20 h 30 avec Dr Claude Lesné, CNRS, Département de santé publique, Université de Rennes 1
 

03/02/2009

pollution de l'eau par les médicaments

........

"Toutes les eaux d'évacuation, d'origine domestique, industrielle ou hospitalière, sont pourtant traitées - du moins dans les pays développés - par des stations d'épuration. Mais ces installations, qui éliminent les pollutions azotées, carbonées ou phosphorées, n'ont dans leur cahier des charges aucune obligation concernant les résidus médicamenteux. Ceux-ci ne sont que "partiellement" détruits, reconnaît une entreprise spécialisée dans la distribution et l'assainissement de l'eau.

Cette situation est due à des questions de coût et non de technique, puisqu'il existe des procédés de filtration ultrafine par des systèmes membranaires utilisés pour le dessalement de l'eau de mer, ou de piégeage par du charbon actif. Selon les classes de médicaments, l'efficacité du traitement des eaux usées varie de près de 100 % à... 0 %.

Ce sont donc des eaux chargées en traces d'antibiotiques, d'anticancéreux, d'analgésiques, d'antidépresseurs, d'anti-inflammatoires, d'hormones ou de bêta-bloquants qui retournent dans les ruisseaux, les rivières et les eaux souterraines, où ces molécules se diluent, sans toutefois disparaître. Si bien qu'elles se retrouvent ensuite dans les réseaux d'eau potable et à la sortie du robinet. Car les traitements de potabilisation, qui prennent en compte une soixantaine de paramètres, notamment microbiologiques, laissent eux aussi de côté les substances pharmaceutiques."

......

On sait toutefois que, chez certains poissons, des substances médicamenteuses, en particulier hormonales, peuvent provoquer une altération des caractères sexuels, voire un changement de sexe.

extraits Le Monde du 03.02.09 par Pierre Le Hir

On peut légitimement s'inquiéter quand on nous dit qu'il faut boire au minimum 1,5 L d'eau par jour. Les extraits des contrôles joints aux factures d'eau ne couvrent donc pas l'ensemble des produits rejetés dans le système des eaux usées. Il reste à trouver un juste équilibre du niveau de contrôle (avec les résidus pharmaceutiques) et le prix à payer pour avoir une eau de qualité.

21/12/2008

L’EAU c’est la vie. Donnez-nous votre avis ! Résultats

Grand Est

extrait

Le public était invité à donner son avis pour construire l’avenir de l’eau de sa région hydrographique (bassin) lors d’une consultation nationale « L’EAU c’est la vie. Donnez-nous votre avis ! », menée conjointement par le Ministère de l'Écologie et les Comités de bassin sur la période du 15 avril au 15 octobre 2008 en lien avec les préfets coordonnateurs de bassin. Cette consultation officielle des citoyens est intervenue en application de la directive cadre sur l’eau (directive 2000/60/CE du 23 octobre 2000), qui a pour objet, l’atteinte du bon état des eaux dans les pays de l’Union européenne.

les résultats

La première partie du questionnaire portait sur les objectifs environnementaux du projet de SDAGE (Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux).

À la question, les deux tiers des rivières et la moitié des nappes en bon état en 2015 ?

Les avis sont très partagés :

57% acceptent mais 1/5 s’y oppose.

Une personne sur deux juge la proposition utopique, 7% décevante.

Une forte crainte quant aux dépassements des coûts s’exprime. L’ opinion est sceptique sur le réalisme des objectifs proposés.

44% ne souhaitent pas payer plus pour protéger l’eau alors qu’1/5 se dit tout à fait prêt à payer.

Les avis libres tempèrent nettement ce consentement à payer au regard des milliers de citations qui mettent en avant le refus du citoyen de payer plus.

 

La seconde partie du questionnaire s'intéressait aux actions à mener, « mesures phares », pour atteindre les objectifs environnementaux fixés.

 

Eau et santé, Eau et dépollution

Les alternatives à l’usage des pesticides

La lutte contre l’utilisation de pesticides fait l’unanimité, que ce soit dans l’action individuelle ou dans le soutien aux communes (76% tout à fait prêts à utiliser moins de produits chez eux ; 67% à soutenir leur commune dans une démarche « zéro pesticide »).

Les répondants sont favorables à la consommation de produits bio (47% tout à fait prêts, 31% assez prêts).

 

Eau et Rareté

Economiser l’eau ?

La chasse au gaspillage est ressentie comme l’action prioritaire (86%).

 

Eau, Nature et Biodiversité - Eau et organisation de l’espace du territoire

Le public soutient fortement la protection et la reconstitution des espaces naturels pour gérer l’eau : 73% sont tout à faits d’accord pour recréer des zones humides, 79% sont favorables à un aménagement du territoire favorisant une gestion naturelle des crues, action qu’ils jugent réaliste. Dans le même ordre d’idée, 79% soutiennent la proposition de limiter l’imperméabilisation des sols en villes (parkings, routes, zones d’activités...) pour contribuer à lutter contre les inondations.

80% des répondants souscrivent au projet de libre circulation des poissons malgré la contrainte financière.

 

Information et Communication

Quel moyen est le plus approprié pour vous questionner ?

Graph réponses 1

 

Les préoccupations des français

Question commune à toutes les agences de l'eau

Réponses du bassin Rhin-Meuse

Graph réponses 1

La lutte contre les pollutions par les pesticides, les engrais, les rejets des industries est placée largement en tête des préoccupations des habitants du bassin Rhin-Meuse.

 

Questions internet

Que ce soit pour restaurer les rivières de la vallée de la Meuse, sauvegarder la nappe des grès du trias inférieur dans le sud des Vosges ou contraindre l’activité agricole dans le but de reconquérir le bon état de la nappe d’Alsace, les propositions sont majoritairement soutenues.

 

Top 10 des avis libres

Citations relevées (sur la base de 29 425 avis)

  • Ne pas faire payer le citoyen/contribuable : 3 344
  • Faire payer les pollueurs : 3 177
  • Critiques vis-à-vis des industries (général) : 2 858
  • Critiques vis-à-vis des agriculteurs (général) : 2 663
  • Remarques sur le prix de l'eau : 2 499
  • Refus, regret de payer plus : 2 231
  • Urgence, nécessité d'agir : 1 585
  • Interdire ou limiter l'utilisation des pesticides : 1 569
  • Sensibiliser, éduquer, responsabiliser : 1 525
  • Faire payer les acteurs économiques : 1 475

 

Zoom par categorie de population

Les moins de 25 ans sont :

  • moins « favorables » aux zones humides et à la circulation des poissons
  • favorables à l’utilisation d’Internet
  • inquiets quant à leur pouvoir d’achat
  • plus préoccupés par la pollution de villes que par les pesticides et les pollutions industrielles

Les répondants Internet (sur représentation des cadres et des élèves et étudiants, des tranches les plus jeunes) sont :

  • plus prêts à payer pour la dépollution, y compris à acheter les appareils plus économiques
  • plus sensibles à la qualité des eaux de baignade.

Les urbains et les ruraux sont :

  • les urbains sont plus en accord avec avec le projet du Comité de bassin, également plus optimistes et plus prêts à payer
  • les urbains sont préoccupés par les rejets de l’industrie et les ruraux par les pesticides
  • le recours prioritaire à Internet est demandé par les urbains.

Peu de différences sont constatées entre les bassins du Rhin et de la Meuse.

plus de détail cliquer sur

http://www.eau2015-rhin-meuse.fr/dce/site/resultats_repon...