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30/11/2009

Le réchauffement climatique pourrait atteindre 7 degrés en 2100

C'est le pire scénario jamais imaginé. Le réchauffement climatique pourrait atteindre sept degrés en 2100 selon vingt-six climatologues de renom. L'Institut de recherche sur les impacts du climat de Potsdam, en Allemagne, publie en effet mardi 24 novembre un document de 64 pages représentant une synthèse des travaux scientifiques sur le changement climatique parus depuis le 4e rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (GIEC, 2007).

"La température moyenne de l'air devrait se réchauffer entre 2 et 7 degrés en 2100 par rapport à la période préindustrielle", affirment les auteurs. L'augmentation de 40 % des émissions de CO2 entre 1990 et 2008 rend plus difficile à atteindre l'objectif fixé en juillet de limiter à 2 degrés le réchauffement global. "Chaque année de retard dans l'action augmente les chances que le réchauffement dépasse 2 °C", avertissent-ils.

A l'attention de ceux qui douteraient encore de l'origine humaine du réchauffement, le document de Potsdam rappelle que durant le dernier quart de siècle, les températures moyennes ont augmenté de 0,19 degré par décennie, ce qui correspond parfaitement aux prévisions calculées sur la base des émissions de gaz à effet de serre.

PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES EXTRÊMES

L'un des effets les plus alarmants du changement à venir concerne la multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes, que ce soit au niveau des températures (canicules) ou des précipitations (sécheresses, inondations). Un autre concerne l'élévation du niveau des mers. "La montée actuelle du niveau des mers", de 3,4 mm par an durant les quinze dernières années, "est supérieure de 80 % aux prévisions passées du GIEC", selon les climatologues. Au lieu d'une fourchette comprise entre 18 et 59 cm d'augmentation, les experts estiment désormais que si les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas réduites, la fonte des calottes glaciaires provoquera une montée des eaux comprise entre un et deux mètres d'ici à la fin du siècle.

Extraits  LEMONDE.FR | 24.11.09

Commentaire : les négationistes seront tous morts; la survie de notre espèce est entre nos mains.

26/11/2009

Aux Etats-Unis, la "Transition" prépare l'après-pétrole

Boulder (Colorado) Envoyé spécial

Au beau milieu des Etats-Unis, l'après-pétrole a commencé. Au pays de l'essence pas chère et de la négation du réchauffement, des groupes de citoyens se sont donné pour mission d'aider les communautés américaines à se préparer à la double échéance de la fin du pétrole et du changement climatique. Leur mouvement a un nom : la Transition. Son coeur bat à Boulder, dans l'Etat du Colorado (Etats-Unis), une enclave libérale et progressiste de 100 000 habitants au sein de montagnes Rocheuses, réputées très conservatrices.

Tous les mercredis, on se bouscule sur le marché fermier de Boulder - une curiosité en soi au royaume du centre commercial. Entre les étals de fruits et légumes des agriculteurs bio, les militants de la Transition distribuent leurs tracts. "L'agriculture industrielle, fondée sur des carburants bon marché, va s'effondrer", prédit Michael Brownlee, chef de file du mouvement aux Etats-Unis. "Tout notre mode de vie est condamné. C'est très dur à entendre pour les Américains, élevés dans l'idée qu'ils le méritent."

Fondé par Rob Hopkins, le mouvement de la Transition a pris corps en 2006 à Totnes, petite ville anglaise de 8 000 habitants, avant d'essaimer dans le monde entier. Ses militants ont un but : rendre leurs villes résilientes avant le chaos qui s'annonce, par la quête de l'autarcie énergétique et alimentaire. Avec une conviction : c'est l'opportunité pour l'humanité de construire un monde meilleur. Et un credo : la relocalisation de toutes les productions.

Formé par les fondateurs du mouvement à Totnes, Michael Brownlee, ancien journaliste, a créé à Boulder, en 2008, la première initiative américaine de la Transition. Depuis, l'association locale, qui emploie trois salariés, a mué en centre de formation de nouveaux groupes dans tout le pays et accouché d'un Transition Colorado, puis d'un Transition US. En un an, quarante initiatives ont vu le jour aux Etats-Unis.

"80 % de notre travail est centré sur l'agriculture locale, c'est le levier le plus efficace à court terme, ce dans quoi les gens peuvent le plus facilement s'engager", explique M. Brownlee. "1 % seulement de notre nourriture est produite à l'intérieur du comté, or ses habitants dépensent 650 millions de dollars par an pour l'alimentation. Il y aurait là de quoi sauver notre économie !" Les groupes créent des potagers communautaires, encouragent l'installation d'agriculteurs bio par des systèmes d'abonnement proches de ceux des Associations de maintien d'une agriculture paysanne (AMAP) en France.

Au sein d'une nation où le sens de la communauté et du lobbying ne sont pas des vains mots, le message passe. Soixante-quinze restaurants du comté affichent leur engagement à privilégier les produits locaux. Même les supermarchés mettent en valeur sur leurs rayons la production de la région. "La Transition ne doit pas juste être un groupe de gens dans leur coin. Il faut engager toute la communauté pour avoir une chance de réussir", explique M. Brownlee.

Le comté de Boulder soutient et finance le mouvement. La collectivité a créé un conseil de l'agriculture et de l'alimentation, dans lequel siègent des représentants de la Transition. Et ses élus ont entrepris de réorienter en douceur les monocultures industrielles vers une agriculture vivrière de proximité. Avec un atout maître : grâce à une politique d'acquisition foncière de longue haleine, la majorité des terres agricoles sont des propriétés publiques louées aux exploitants. Un quasi-kolkhose, au pays de l'Oncle Sam !

....source extrait le monde édition du 22.11.09.Grégoire Allix

25/11/2009

Consommation : un inventaire des produits contenant des nanomatériaux

Le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC), basé à Bruxelles, vient de mettre en ligne sur son site Internet (Beuc.eu) un inventaire des produits de consommation contenant des nanomatériaux - des particules infiniment petites : un nanomètre équivaut à un milliardième de mètre. Cette liste, qui recense 151 articles, concerne des produits de beauté (crèmes solaires, dentifrices blanchissants), des tissus (couvertures, chaussettes ou serviettes antibactéries), des jouets pour enfants (certaines peluches), des compléments alimentaires, des produits d'entretien, etc. Avec l'aide de ses organisations-membres, notamment l'UFC-Que choisir en France, le BEUC a identifié plusieurs marques françaises, comme Babyliss, Chanel, Dior, Chantecaille et G. M. Collin. Les scientifiques ne sont pas en mesure de conclure à l'innocuité des nanomatériaux sur la santé ou l'environnement, toutefois, l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a recommandé, en octobre, "l'application du principe de précaution" à leur égard. Compte tenu de ce manque de données, le Bureau européen des unions de consommateurs réclame une plus grande transparence sur l'étiquetage. Il déplore "l'absence de législation qui rendrait obligatoire cet étiquetage", hormis un règlement européen sur les cosmétiques, dont l'entrée en vigueur est prévu à l'horizon 2013. Le BEUC précise que son inventaire n'est pas "officiel", dans la mesure où il n'a pas réalisé de tests en laboratoire pour vérifier que les produits attestant la présence de nanomatériaux en contiennent réellement. Il n'est pas non plus exhaustif, du fait de "la difficulté à trouver des informations" sur le sujet.

Rafaële Rivais
source lemonde 20/11/09

00:06 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nanomatériaux, santé |  Facebook |

23/11/2009

Agriculture Une association demande le retrait de deux herbicides Round Up de Monsanto

L'association écologiste Mouvement pour le droit et le respect des générations futures (MDRGF) et un agriculteur bio français ont demandé au ministère de l'agriculture le « retrait immédiat » de deux formulations de l'herbicide Round Up de Monsanto, mercredi 18 novembre. Ils dénoncent des différences entre les formules déclarées dans le cadre des autorisations de mise sur le marché et leur composition. Ces herbicides pour le jardin - Round Up express et Round Up GT Plus - contiennent du polyoxyéthylène amine (POEA ), « contrairement aux informations transmises par le ministre de l'agriculture », indique François Veillerette, président du MDRGF. Or, le POEA renforce la toxicité de la matière active du Round Up, le glyphosate, à l'encontre des cellules humaines, indique l'association. - (AFP.)

+d'infos sur  mdrgf

21/11/2009

La crise relance le thème de la décroissance

Jusqu'alors cantonnées à des économistes en marge ou d'écologistes radicaux, les théories des décroissants (remise en cause de l'accumulation matérielle comme source d'épanouissement et de la croissance économique à tout prix) progressent. Des Verts à la gauche radicale, elles font des adeptes.

Il y a deux ans à peine, la thématique effrayait. Parler de sobriété économique était synonyme de limitation du progrès, un nouveau jansénisme triste. On raillait ceux qui voulaient revenir à la bougie comme on avait moqué les premiers écologistes et leur lait de brebis bio. Même les Verts se méfiaient du mot, le jugeant trop « raide ». A l'automne 2006, Yves Cochet, alors candidat à la candidature pour la présidentielle, avait perdu la primaire interne ; son discours ouvertement décroissant avait fait peur à ses camarades.

Depuis, la crise a sévi, la récession est là. La critique d'un système économique fondé sur la seule croissance des biens et de la consommation est générale. L'opinion n'y croit plus et d'aucuns découvrent la théorie de la tempérance. Selon un sondage IFOP- Sud-Ouest (réalisé les 8 et 9 octobre auprès de 955 personnes), 27 % des Français se disent « prêts à changer en profondeur leur mode de vie et à restreindre leur consommation de manière significative ». 53 %, en revanche, concèdent n'être prêts qu'à « des efforts limités ».

« On sent la montée en puissance de comportements écocitoyens et d'une consommation plus sobre mais ce n'est pas encore la décroissance », tempère Jérome Fourquet, directeur de l'IFOP. « Plutôt que de décroissance, il s'agit d'une autre croissance. Les Français ont envie d'un mode de consommation en harmonie entre ce qu'ils estiment bénéfique pour la société et ce dont ils ont besoin », complète Jean-Daniel Lévy, directeur de CSA-opinions. Le succès des Associations pour le maintien d'une agriculture paysanne (AMAP, un réseau d'achat du producteur au consommateur) le confirme....

Extrait paru dans l'édition du Monde du 15.11.09

20/11/2009

Voiture : la révolution des usages

L'automobile n'a jamais été aussi présente dans notre société, et pourtant sa place n'a jamais été autant remise en cause qu'aujourd'hui. Ainsi, 86 % des kilomètres parcourus le sont en voiture et 80 % des ménages possèdent un véhicule. Mais, dans le même temps, on observe une prise de distance par rapport à l'automobile. Un mouvement inédit, qui frappe par sa rapidité et son ampleur. Trois chocs successifs ont servi de révélateur à cette évolution, qui oblige à repenser l'usage de la voiture d'une manière radicale.

  • Le choc pétrolier de 2008 a porté la première estocade.....
  • Choc environnemental ensuite. La montée de la conscience écologique face au réchauffement climatique...
  • Choc économique enfin. La crise financière et ses conséquences sur l'emploi ont d'inévitables répercussions sur le pouvoir d'achat....

...Mais si la voiture restera dans les années qui viennent vraisemblablement un mode de transport incontournable, elle doit en même temps opérer une double révolution. Technologique, afin de s'abstraire de la dépendance du pétrole, mais surtout pratique, sur son mode d'utilisation. Un seul chiffre doit faire réfléchir à l'absurdité à laquelle le modèle actuel a abouti. En Ile-de-France une voiture est immobile 80 % du temps. Objet de liberté après la seconde guerre mondiale, l'automobile est de plus en plus vécue comme une contrainte.

La densité du paysage urbain et celle du parc automobile ont conduit à mettre en place des péages à l'entrée des centres-villes, à rendre de plus en plus compliqué le stationnement. A force d'être utilisée en toutes circonstances, la voiture a fini par perdre sa praticité, et son usage doit être réinventé.

Pour cela l'automobile doit retrouver de la flexibilité pour répondre aux contraintes économiques et aux attentes sociétales. L'une des solutions passe par l'évolution de la notion de propriété. Aujourd'hui la voiture se résume à un bien patrimonial, au travers duquel s'exprime une partie du statut social. Demain, elle devra se partager : d'objet elle deviendra service. Des expériences d'autopartage comme Zipcar, qui existe déjà dans une soixantaine de villes, ou Autolib', qui s'apprête à voir le jour à Paris, ouvrent la voie à une nouvelle ère automobile.

Stéphane Lauer

extrait LE MONDE | 17.11.09

19/11/2009

Edito du Monde Covoiturage

...constat : A force de devenir incontournable, la voiture a elle-même créé les conditions de sa remise en cause. L'exemple de l'Ile-de-France est éloquent : les déplacements quotidiens effectués en voiture y ont explosé de 60 % en dix ans, pendant que la population n'augmentait que de 12 %. Jusqu'à présent, la réponse a été de construire plus de routes, plus de ponts, plus de contournements d'agglomération pour accompagner la tendance.....

pistes de progrès : l'automobile doit changer de nature : d'objet statutaire, elle doit se muer en instrument de service.

Cela suppose une évolution de la notion de propriété : à quoi bon posséder, assurer et entretenir une voiture si celle-ci reste 80 % de son temps immobile ? Aujourd'hui, il y a en moyenne deux voitures par foyer. Sans doute faut-il se dire qu'il y aura une voiture pour plusieurs foyers. Le covoiturage, l'auto-partage, les voitures en libre service se banalisent un peu partout dans le monde. Parallèlement, il faut organiser une meilleure articulation entre voiture et transports collectifs. Les obstacles économiques et culturels restent nombreux. Il revient aux pouvoirs publics de donner l'impulsion nécessaire pour que ces nouvelles solutions se développent.

un avis utile :

Progressivement, on s'achemine vers ce que recommandait naguère André Gorz, et qu'on pouvait juger gentiment utopique : des transports collectifs dans les villes et entre les villes, et des garages municipaux pour le prêt de véhicules utilitaires individuels (pour les déménagements, par exemple). Encore un effort, et on y parviendra !

extraits LE MONDE | 17.11.09

Commentaire : les moyens informatiques (GPS, informatique embarquée ,etc.) existent pour optimiser nos déplacement tout en réduisant ,otre empreinte humaine sur notre terre.

18/11/2009

Une énième étude met en cause le bisphénol A


la molécule de BPA bisphénol A

Depuis 1995, les études se suivent et se ressemblent sur les dangers du bisphénol A (BPA), un monomère entrant dans la fabrication de polymères, en l’occurrence un plastique dur et transparent, le polycarbonate..........

Selon une nouvelle étude portant sur des sujets adultes, le BPA serait également dangereuse pour les adultes qui y seraient exposés. Conduite en Chine sur des ouvriers travaillant dans une usine où le BPA est utilisé en grande quantité, cette étude vient d’être publiée dans la revue Human Reproduction.

Ces ouvriers, expliquent les chercheurs chinois, ont quatre fois plus de risques de souffrir de troubles de l’érection et sept fois plus d’avoir des problèmes d’éjaculation – en comparaison d’ouvriers employés d’une usine n’en utilisant pas.Cette étude serait ainsi la première à faire le lien entre “une exposition au BPA sur le lieu de travail et un dysfonctionnement sexuel chez l’homme”.

Les taux de BPA auxquels étaient exposés les ouvriers étudiés étaient très élevés. ......

Pionnier, le Canada a été le premier pays à bannir, en 2008, les produits contenant du BPA. Quid de la France ? Dans un rapport de 2008, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation (AFSSA) ne s’est pas inquiétée outre mesure, suscitant les moqueries du Canard. L’Agence ne voit pas de risques pour les bébés :

“Lorsque le contenu des biberons en polycarbonate est chauffé via un traitement au four à micro-ondes en conditions réalistes (durée de chauffage inférieure à 10 minutes), les quantités de Bisphenol A transférable à l’aliment restent très inférieures à la valeur maximale de 50 μg de Bisphenol A par litre retenue par l’AESA pour son calcul d’exposition conservateur.”

L’Agence a toutefois promis de relancer les investigations à ce sujet.

Une proposition de loi visant à proscrire “la fabrication, l’importation, l’offre, la détention en vue de la vente ou de la distribution à titre gratuit, la mise en vente, la vente ou la distribution à titre gratuit de plastiques alimentaires contenant du Bisphénol A” a été déposée au début de l’été au Sénat par le socialiste Yvon Collin, mais n’a pas été, à notre connaissance, soumise au vote.

extraits et cliquer pour + de détails sur sciences.blog.lemonde

16/11/2009

Slow life, Décroissance, Écologie, Coopération, Slow Food, Slow money ... La vie meilleure, mode d’emploi : changer de modèle face à la crise Un hors-série de Courrier International vendredi 13 novembre 2009 Posté par David Naulin

La vie meilleure, mode d’emploi : changer de modèle face à la crise

Un hors-série de Courrier International

vendredi 13 novembre 2009

 

Préserver la planète pour les générations suivantes, partager les ressources, choisir au quotidien de n’être “ni maître ni esclave”, comme le suggérait le poète Khalil Gibran, c’est possible. C’est ce dont témoignent une multitude d’initiatives individuelles et collectives menées aux quatre coins du monde, dont la presse internationale se fait l’écho. Le nouveau hors-série de Courrier International démontre brillamment que partout des femmes et des hommes réinventent leur vie, transforment leur quartier, renoncent à la voiture ou en restreignent l’usage, consomment autrement, travaillent moins et différemment. Et pas seulement parce qu’ils y sont contraints par la récession. Cette “crise de plus” s’accompagne d’une prise de conscience. La parole, les idées, semblent libérées, comme le montrent des intellectuels tels que l’Américain Amitai Etzioni ou le Philippin Walden Bello.

lire la suite en cliquant cdurable

 

15/11/2009

Ecologie Strasbourg, première ville écolo de France

Elodie Grangié -Strasbourg, une longueur d'avance sur les transports durables

La capitale de l'Alsace sort grande gagnante de notre classement des villes françaises les plus "vertes". Elle a bâti son succès sur une politique de transports volontariste, respectueuse du paysage urbain et de l'environnement. Dès le début des années 90, Strasbourg a interdit le transit automobile par l'hypercentre et a créé des places de stationnement à l'entrée de la ville "pour dissuader le déferlement des voitures et changer l'état d'esprit des habitants, souligne Roland Ries, le maire socialiste. Nous avons aussi lancé un vaste plan de développement des modes de transport doux." Si le vélo est très prisé des Strasbourgeois, grâce au plus grand réseau de pistes cyclables de France (près de 500 kilomètres), la ville peut se flatter de posséder aussi le premier réseau maillé de tramways, avec 54 kilomètres de lignes. Pour autant, le tramway n'est pas le remède universel aux problèmes des transports et du développement durable. Roland Ries raisonne "en zones de pertinence" et prône "la complémentarité des modes de transport". Si le tramway atteint sa pleine efficacité en centre-ville, il coûte cher et n'est pas pertinent en périphérie.....

extrait et lire la suite en cliquant sur  l'expansion

17:55 Publié dans environnement, Strasbourg | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note | Tags : 

14/11/2009

La Norvège veut lutter contre la pollution piscicole

...Tout au long de la côte, l'élevage de poissons est devenu la plus importante source de pollution à cause des rejets de nourriture. L'Agence veut renforcer les contraintes dans les zones à risque, mais rendre la réglementation plus simple dans les zones où la situation reste satisfaisante. Dans ces dernières, où sont situées 90 % des fermes, les règles seront assouplies.

"Mais dans les eaux de mauvaise qualité, où sont aujourd'hui installées 1 % des fermes, il sera interdit d'agrandir ou d'installer de nouvelles fermes. Et dans les eaux où la qualité de l'eau est incertaine, concernant 9 % des fermes, les conditions seront beaucoup plus strictes", souligne Ellen Hambro, directrice de SFT. L'Agence s'appuie sur la directive sur l'eau adoptée par l'UE en 2000 pour renforcer les règles.

SFT avait tiré la sonnette d'alarme en mars 2008, indiquant que les rejets de nitrates et de phosphates des fermes piscicoles avaient respectivement augmenté de 20 % et 55 % depuis 2000, alors que la pisciculture s'est développée en moyenne de 10 % par an et a doublé en dix ans....

Mauvaise réputation

La pisciculture n'a pas toujours bonne réputation. Si ses partisans affirment que c'est l'une des réponses indispensables au développement de la population mondiale, les critiques sont nombreuses : emploi d'antibiotiques ou de pigments pour colorer les saumons

Le gouvernement norvégien, qui a lancé en avril 2009 une stratégie pour une pisciculture durable, encourage toutefois son développement afin, entre autres, de consolider l'emploi dans les régions du Nord. L'organisation écologiste Bellona réclame une croissance zéro des concessions et un contrôle accru des conditions d'élevage.

 

Extraits LE MONDE 12.11.09

13/11/2009

La dégradation des tourbières aggrave le réchauffement

3,8 millions de km2 de zones humides dans le monde

Superficie. La superficie mondiale des zones humides telles que les tourbières représente 3,8 millions de km2. Les pays les plus largement dotés sont la Russie (1 176 280 km2 pour la partie asiatique et 199 410 km2 pour la partie européenne), le Canada (1 133 926 km2) et l'Indonésie (265 500 km2).

Emissions. L'assèchement des zones humides dans le monde aurait provoqué des émissions de 1,3 milliard de tonnes de CO2 en 2008. Les principaux émetteurs de gaz sont l'Indonésie (500 millions de tonnes de CO2), la Russie (160 millions) et la Chine (77 millions). L'Europe des Vingt-Sept émet 174 millions de tonnes.

Ratio. Dans 15 pays, dont l'Islande, l'Ouganda ou la Mongolie, les émissions dues à la dégradation des tourbières sont plus élevées que celles qui proviennent des combustibles d'origine fossile.

Les tourbières qui tapissent le globe sont comme un "no man's land" dans la lutte contre le réchauffement climatique. Elles ne sont pas prises en compte par le protocole de Kyoto dans l'estimation des émissions de carbone des pays et, du coup, les gouvernements n'y accordent qu'un intérêt très limité dans leurs discussions actuelles. Pourtant, résultat de l'accumulation progressive de matière végétale, la tourbe retient en elle des quantités importantes de carbone d'origine organique. La dégradation ou l'assèchement des zones humides, pour les besoins de l'agriculture et de la production d'énergie, libère ce gaz. Un processus qui contribue sensiblement au réchauffement du climat.......

Face à ces quantités de CO2 émises, les pays qui s'apprêtent à se réunir à Copenhague ne sont pas enclins à réagir, regrette Alex Kaat. "Le CO2 provenant de la destruction des zones humides est l'orphelin de la négociation climatique, lâche-t-il. Le gaz provenant du sol est moins sexy que la déforestation ou la régulation de la consommation de combustibles fossiles."

Bertrand d'Armagnac
commentaire de 10.11.09 | 18h00

LE MONDE édition du 11.11.09.+ d'infos en cliquant sur lemonde

12/11/2009

Le captage-stockage du CO2 vise la maturité en 2020

Trois procédés existent pour capter le CO2 : extraction dans les fumées de combustion, dans le combustible initial, ou après concentration par la présence d'oxygène. Son transport vers un site de stockage peut s'effectuer par gazoduc terrestre ou sous-marin, ou par bateau. Son enfouissement est envisagé dans des aquifères salins, des gisements de pétrole et de gaz, ou des veines de charbon inexploitées.

"Nouvelle usine à gaz"

L'IEA (Agence internationale de l'énergie) a établi une feuille de route ambitieuse. L'objectif est d'arriver à cent projets à grande échelle en 2020, puis de monter à 850 installations en 2030 et 3 400 en 2050, ce qui permettrait de piéger 10 milliards de tonnes de dioxyde de carbone par an. Un chiffre à comparer aux 30 milliards de tonnes annuelles aujourd'hui relâchées par les activités humaines. L'investissement nécessaire sur quarante ans est de près de 6 000 milliards de dollars (4 000 milliards d'euros).

La première incertitude qui pèse sur ce scénario est financière. Avec les techniques actuelles, la séquestration d'une tonne de CO2 sur les sites des centrales électriques au charbon, au gaz ou au fioul, ou ceux des cimenteries, des raffineries et des usines sidérurgiques, puis son transport, enfin son enfouissement dans le sous-sol, reviennent à près de 100 euros. Un coût dissuasif, quand les droits d'émission se négocient, sur le marché du CO2 à moins de 20 euros la tonne. D'autant que le captage est une opération gourmande en énergie, qui peut réduire de plus d'un quart le rendement d'une centrale au charbon.

La donne pourrait changer si, comme le prévoient des experts, le cours de la tonne de CO2 grimpe à 100 euros en 2030, et si celui du captage-stockage tombe à 30 euros la tonne, grâce à une standardisation des procédés.

La seconde incertitude est environnementale. Les méthodes de capture et d'acheminement du dioxyde de carbone sont maîtrisées par l'industrie pétrolière. Mais des recherches restent à mener pour garantir la sécurité, sur une période d'un ou plusieurs millénaires, d'un enfouissement dans une formation géologique profonde, telle qu'un aquifère salin. Les risques potentiels étant une acidification du milieu, une remontée gazeuse vers une nappe d'eau potable, voire un dégazage brutal dans une zone où, à forte concentration, le CO2 pourrait avoir des effets délétères.

C'est ce qui fait dire au réseau associatif France nature environnement que le CSC est "une nouvelle usine à gaz". Et qu'il vaut mieux miser sur la préservation - et la restauration - de la capacité naturelle des océans, de la végétation et des sols à absorber le carbone.

Pierre Le Hir

Extraits LE MONDE | 06.11.09

Commentaires :  cette stratégie consistant à demander aux pollueurs (les pétroliers) d'enfouir sa tête (c-à-d le gaz co2) sous la terre à l'image de l'autruche est un plâtre sur une jaùbe de bois car on ne s'attaque à la souce du problème. On ne chiffre ici  nullement le coût financier, écologique et social des risques gigantesques liés à la garantie de la sécurité pour les générations futures de nos enfants (cf. également le même aspect pour les déchets nucléaires). Personne et aucun assurance n'est capable d'assurer ce risque....sous forme de prime sans faire faillite

11/11/2009

Compte rendu Pour l'AIE, le statu quo énergétique met la planète sur "une trajectoire dangereuse"

Notre maison brûle" et nous continuons de regarder "ailleurs". Le fameux cri d'alarme de Jacque Chirac au sommet mondial du développement durable de Johannesburg (2002) pourrait être mis en exergue de la dernière édition du rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), publié le 10 novembre. Le World Energy Outlook 2009 ne pouvait mieux tomber à un mois de l'ouverture du sommet de Copenhague sur le changement climatique.......

"Il faut un signal clair"

L'agence plaide pour un développement de l'éolien, du solaire, des agro-carburants, du nucléaire et du captage-stockage du CO2.

lLE MONDE extraits 10.11.09 voir et cliquer sur  le monde

Commentaire : rien ne saurait justifier ce classement, des agro-carburants n'ayant pas à ce jour démontré une moindre pollution directe et indirecte ni son efficacité énergétique, le nucléaire et le captage-stockage du CO2 étant ici avec de très gros risques pour les générations futures (minimum 200 millions d'années pour les déchets et idem pour les risques liées à l'enfouissement qui ne peut être garanti sur cette durée.....

 

09/11/2009

Initiative originale hier à Achenheim, une commune de la périphérie de Strasbourg : des habitants ont donné le surplus de leurs jardins pour garnir les espaces verts de la commune

Ecologique et solidaire
Hisbiscus, houx, épicéas, les plants déposés à la salle polyvalente ou devant les portes par les habitants d'Achenheim étaient variés, à défaut d'être très nombreux. Cette opération était la première : « C'est une démarche écologique et solidaire, un geste de participation. Il s'agit d'éviter de jeter et de récupérer ces plants pour agrémenter nos espaces verts », soulignait Jean-Jacques Fritz, maire d'Achenheim, en accompagnant le tracteur et sa remorque, ainsi que les deux agents municipaux qui ont procédé au ramassage.
Un acte de politique environnementale qui donne le coup d'envoi à d'autres opérations....

extraits 08/11/09 des Dernières nouvelles alsace

Commentaire : un exemple à suivre car il fait daire des économies à la collectivité entière...

08/11/2009

Cultivons nous autrement!

SOS CULTURE vous propose des livres véhiculant des valeurs de respect de la Terre et des Hommes. Des livres pour apprendre, découvrir, aimer, s'éveiller, se transformer, s'amuser, agir.... pour la Planète et ses habitants: Un manuel de jardinage écologique pour enfant, un livre sur la fabrication de cosmétiques naturels,  les additifs alimentaires, le réchauffement climatique ou les OGM , mais aussi de l’humour, ou des loisirs naturels.

+ de détails en cliquant sur sosculture

07/11/2009

Tarifs de l’énergie : un comparateur en ligne pour bien choisir

Comment s’y retrouver entre les différents tarifs des fournisseurs de gaz et d’électricité ? Un comparateur de prix indépendant est mis en ligne depuis le 5/11/09 sur internet par les services du médiateur de l’énergie, pour aider le consommateur à y voir plus clair... Moins de 5% des Français aujourd’hui ont choisi de quitter EDF et GDF.

Lancement d’un comparateur des tarifs de l’énergie Reportage Florent Guyotat  (1'11")

Plus de deux ans après l’ouverture du marché pour les particuliers, faire son choix entre les différentes offres est toujours un casse-tête. Selon un sondage LH2, réalisé pour le médiateur et la Commission de régulation de l’énergie (CRE), six Français sur dix ignorent qu’ils peuvent quitter EDF ou GDF Suez. Et 77% ne connaissent pas la procédure à suivre pour changer de fournisseur. En outre, le médiateur de l’énergie croûle sous les réclamations : 13.000 en 2009, dix fois plus qu’en 2008 !

Les précisions de Bruno Léchevin, délégué du médiateur de l’énergie (avec Florent Guyotat)  (2'13")

D’où l’intérêt de ce comparateur de tarifs. Ce n’est pas le premier sur internet, mais c’est le seul à émaner d’une institution publique indépendante. Un comparateur qui permettrait d’économiser 10% sur sa facture...

Un comparateur d’offre, pas de prix, précise Denis Merville, le médiateur national de l’Energie  (0'29")

source france info et cliquez sur le comparateur énergie

06/11/2009

Le vélo à assistance électrique à l'essai

Une batterie de vélo à assistance électrique
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Une subvention de la Ville sera proposée pour l'achat des vélos à assistance électrique (VAE) à partir du 2 novembre. Cette aide s’élèvera à 25 % du prix d’achat TTC d’un vélo à assistance électrique neuf, le gain pouvant s’élever au maximum à 400€. Paris.fr a testé ces vélos d'un nouveau genre. Autre innovation, la location de VAE dans plusieurs parkings de la Saemes .

C'est un gros coup de pouce pour rouler électrique. Le Conseil de Paris des 29 et 30 septembre a adopté un projet de subvention des vélos à assistance électrique (VAE) par la Mairie de Paris. Les modalités pratiques de cette subvention seront mises en œuvre le 2 novembre (Attention, toute facture antérieure à cette date ne pourra donner droit à la subvention. Les pièces nécessaires à la demande seront téléchargeables sur velo.paris.fr ).

En mars 2009, une aide similaire pour l'achat d'un cyclomoteur électrique avait été votée par les élus de la capitale. La Ville de Paris subventionne ainsi jusqu’à 400 € l’achat de tout cyclomoteur électrique neuf. Avec cette nouvelle subvention des vélos à assistance électrique, la Ville de Paris continue ainsi d'encourager les modes de déplacements propres.

"Gros progrès des batteries"

Les VAE débutent à 800 euros environ, avec une grande variété de modèles. "La subvention va décider les personnes hésitantes qui n'avaient pas forcément le budget nécessaire", estime Yoann Bourrelier, qui vend des VAE à la boutique Cyclelectro.

Pour ce spécialiste des véhicules électriques, c'est la meilleure autonomie des batteries qui a fait progresser les machines : "Il y a un gros progrès des batteries depuis 2 ou 3 ans". Placée dans le porte-bagages ou sur le côté du vélo, elle est amovible et peut être facilement rechargée à domicile. Car elle pèse seulement quelques centaines de grammes. Côté autonomie, on peut rouler entre 25 et 40 km sans recharger, selon les modèles. Le temps de recharge (pour avoir une batterie chargée à 100%) est de 3 à 4 heures.

En montée, le vélo semble rouler... comme sur du plat !

Aux commandes d'un VAE, c'est la facilité à pédaler qui impressionne : en quelques tours de roues, l'assistance électrique se déclenche, et on a déjà franchi plusieurs dizaines de mètres ! Sur les petites montées, le vélo semble rouler comme sur du plat, tant la conduite est souple. Certains utilisateurs ont même installé une remorque derrière leur engin. "C'est super, je tire jusqu'à 100 kilos", se réjouit le propriétaire d'un de ces triporteurs.

Autre avantage : pas besoin d'être détenteur d'un permis pour rouler en VAE. Et l'assurance contre le vol de la batterie coûte seulement environ 40 euros par an. Les VAE, comme les vélos traditionnels, ont également accès aux voies cyclables.

Parisiens, commerçants, artisans et réparateurs implantés à Paris

La subvention pour les VAE s’élèvera à 25 % du prix d’achat TTC d’un vélo à assistance électrique neuf : le gain s’élèvera au maximum à 400€. Elle concernera tous les Parisiens, ainsi que les commerçants, artisans et réparateurs implantés à Paris pour la pratique de leur activité.

Bon à savoir : le lieu d'achat du vélo à assistance électrique est totalement libre. Vous pouvez donc le choisir chez n'importe quel revendeur de France.

Où être conseillé ?

Pour vous informer sur les avantages des deux-roues électriques, un dépliant explicatif est mis à votre disposition par la Mairie de Paris.
» Télécharger le dépliant d'information

Pour être conseillé sur les différents modèles disponibles, l’Espace mobilités électriques (EME) vous accueille :
16 rue de la Tour des Dames - 75009 Paris
du lundi au vendredi de 09h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h00

Vous découvrirez toute la gamme de cyclomoteurs et vélos à assistance électrique. Il vous sera même possible de les essayer!
» Consulter le site de l’EME

commentaire : bonne initiative mais il ne faudrait pas que cela pousse à augmenter les prix, celui vendu en chine coûte en moyenne 100 €...

source cliquez sur ville paris

05/11/2009

Grippe: des vaccins bien juteux

Pourquoi de tels écarts de prix: 6,25 euros la dose de Sanofi-Pasteur, 7 euros chez GlaxoSmithKline, 9,34 euros chez Novartis et 10 euros chez Baxter?

Les polémiques, elles aussi, sont contagieuses. Il y avait, grandissante, celle concernant l'innocuité des vaccins contre la pandémie grippale. Et voici que nous passons à celle du juste prix auquel la France a -ou n'a pas - payé ces mêmes vaccins que la population française s'apprête, nous disent les sondages, à bouder.

Avec l'automne les épreuves s'accumulent pour Roselyne Bachelot. Le temps n'est plus où la ministre de la Santé organisait en majesté la lutte estivale contre l'ennemi; où elle annonçait triomphante que les Français pourrait, s'il le voulait, disposer d'une cuirasse immunitaire. La voici aujourd'hui confrontée à une vague anti vaccinale dont ni elle ni ses proches collaborateurs ne mesuraient sans doute l'ampleur. Puis voici une attaque là où elle se pensait inattaquable: la transparence; et qui plus est la transparence financière et qui se structure déjà en une «affaire», celle de «l'argent des vaccins»....
extraits source slate 311009

Commentaire : alors que le déficit de la sécu se creuse chaque jour, le gouvernementn'est pas en mesure  d'acheter des vaccins à un prix raisonnable, sans parler de son innocuité non prouvée à ce jour........

04/11/2009

Changer de banque devient plus simple

Deux trains de nouvelles mesures, entrées en vigueur dimanche 1er novembre, visent à faciliter la vie des clients des banques françaises.

  • Moins de formalités pour changer de banque. La clôture d'un compte courant est gratuite depuis 2005, mais les Français continuent de peu changer de banque - 6,8 % le font chaque année, selon la Fédération bancaire française (FBF). Il revient désormais à la nouvelle banque d'effectuer elle-même les démarches pour transférer l'ensemble des prélèvements et virements. "Le grand changement, c'est que ce ne sera plus au client de fournir les informations", précise-t-on à la Société Générale, qui offrait déjà le transfert gratuit. En outre, sur demande du client, l'ancienne banque pourra fermer le compte qu'il y détenait dans un délai de dix jours ouvrés............
  • Délais raccourcis et meilleure information. Le nouveau cadre juridique des paiments, issus de la directive européenne sur les services de paiement transposée dans le droit français en juillet aura pour principale conséquence de raccourcir à compter de 2012 le délai de traitement des paiements transfrontaliers dans l'UE, qui doit passer de trois jours à un jour au plus......

source extrait Le Monde LEMONDE.FR | 01.11.09

00:34 Publié dans consommation | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : banque, coût |  Facebook |