Portail Internet pour Elle et Lui Ensemble pour l'écologie citoyenne et réduire l'empreinte des activités humaines sur l'environnement

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/12/2011

Meilleurs vœux d'outre-tombe à toutes et à tous! . Le G de G a le mort aux dents !

voir ICI

28/12/2011

Lyon, vitrine japonaise de l'"énergie intelligente"

Lyon Correspondance - Le Japon va-t-il révolutionner les pratiques des Lyonnais en matière de consommation d'énergie ? Le quartier baptisé Confluence, sur la presqu'île lyonnaise, a été choisi par la New Energy and Industrial Technology Development Organization (NEDO), l'agence publique de soutien à l'innovation rattachée au ministère de l'environnement nippon, pour accueillir son premier démonstrateur de "réseau d'énergies intelligent" (smart community) en Europe.

Ce projet en gestation depuis près de deux ans a été officialisé, jeudi 15 décembre, par la signature d'une convention avec la communauté urbaine du Grand Lyon......

"Confluence est l'un des grands chantiers urbains en Europe", a expliqué Hideo Hato, président du NEDO, pour justifier le choix du site français. Cette ancienne zone industrielle en pleine reconversion s'est déjà vu attribuer le label "écoquartier" par le ministère de l'écologie, et celui de "quartier durable" décerné par WWF, le Fonds mondial pour la nature.

Avec le projet de smart community, elle ambitionne désormais de devenir la vitrine d'un modèle auquel les grandes agglomérations pourraient se convertir pour maîtriser leur consommation d'énergie. "Notre objectif est qu'en 2025 le quartier ne consomme pas plus d'électricité qu'aujourd'hui", a précisé le maire de la ville et président du Grand Lyon, Gérard Collomb....

Le projet "vendu" par le Japon repose sur quatre piliers. Premièrement la construction de bâtiments à énergie positive....

Le week-end, l'énergie excédentaire des bureaux sera acheminée vers les logements résidentiels. La mise en communauté des infrastructures est aussi proposée pour réduire les gaspillages. Les installations bureautiques (imprimantes, télécopieurs...), aujourd'hui possédées par chaque entreprise, seront remplacées par des équipements partagés à faible consommation. Le téléphone sera géré de façon centralisée.

Deuxièmement, les entreprises installées sur le site auront accès à un parc de véhicules électriques en autopartage. Les véhicules, conçus par PSA et Mitsubishi, seront principalement alimentés par des sources photovoltaïques que le Grand Lyon prévoit de déployer sur les toitures du quartier. Une trentaine de véhicules devraient être mis en circulation en 2013.

Troisièmement, les habitants pourront gérer leur consommation grâce à l'installation d'energy boxes. Ces boîtiers fourniront des courbes de consommation en fonction du coût pour l'utilisateur, annonceront par alertes les pics de consommation et enverront des recommandations pour économiser l'énergie. 275 logements situés dans les bâtiments écorénovés de la cité Perrache devraient être les premiers équipés.

Enfin, (4èmement)l'ensemble de ces informations sera mis en réseau pour pouvoir anticiper et gérer globalement les besoins du quartier. "Les usages des consommateurs vont être passés à la loupe. Car il ne sert à rien de déployer un réseau électrique intelligent si les usagers ne surveillent pas et n'adaptent pas leur consommation. L'intérêt de cette smart community est de réguler la production en heure de pointe et d'éviter le recours aux centrales les plus polluantes", expliquait Jean-Philippe Hanff, délégué général au développement économique du Grand Lyon, le 21 décembre au magazine L'Usine nouvelle.....extrait lemonde

23/12/2011

Pratique - En hiver, aidez les oiseaux à se nourrir ! "Noêl doit être aussi pour eux"

Le froid n’épargne pas la faune sauvage, à l’instar des oiseaux qui ont du mal à trouver leur nourriture. Aidée d’un expert de la LPO, la Fondation 30 Millions d’Amis dispense quelques conseils pour secourir ces animaux pour lesquels l’hiver peut aussi être fatal.

 

En hiver, aidez les oiseaux à se nourrir !La chute des températures provoque une raréfaction des aliments naturels dont se nourrissent les oiseaux. Ces derniers, pour affronter le froid, brûlent davantage de calories que durant le reste de l’année. Ils peuvent perdre en une seule nuit jusqu'à 10 à 12 % de leur poids ! Dès l’apparition des premières gelées et ce jusqu’à l’arrivée du printemps, il est possible de leur permettre de trouver plus facilement les nutriments dont ils ont besoin et de leur venir en aide.extraits 30 millionsd'amis

La faim, plus dangereuse que le froid.....


21/12/2011

Les avions desservant l’Europe devront bien acheter des quotas de CO2

La Cour Européenne de Justice a rendu sa décision mercredi 21 décembre. Le recours américain contre l’obligation d’acheter des quotas de CO2 est rejeté. Cette mesure entrera en vigueur le 1er janvier 2012.

Les pressions américaines n’y auront rien fait. Les compagnies desservant les pays de l’Union européenne devront bien acheter l’équivalent de 15% de leurs émissions de CO2 pour lutter contre le réchauffement climatique.

Même la lettre de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton n’aura pas fait plier Bruxelles. Elle y demandait à la commissaire chargée du Climat, Connie Hedegaard, de "renoncer" à cette mesure ou de la différer. Les cas échant, les Etats-Unis prendraient des "mesures appropriées", menaçait-elle.

Interdiction de vol pour les compagnies récalcitrantes

Mais pour la Cour Européenne de Justice, rien ne justifie l’abandon de cette mesure. "L'application du système d'échange de quotas d'émission à l'aviation ne viole ni les principes de droit international coutumier en cause ni l'accord 'ciel ouvert'", affirme la Cour dans son arrêt. extrait usine nouvelle

Pour Nöel prenez les bonnes résolutions : n'achetez plus de NUTELLA .... après cette vidéo

http://youtu.be/c29QEL-6uzw

15/12/2011

Limiter au maximum la prospection téléphonique et la publicité non désirée

Pour un démarchage téléphonique responsable

"Permettre aux Français qui le souhaitent de ne plus être démarchés est une solution efficace et équilibrée pour renforcer la protection des consommateurs."

Frédéric Lefebvre
Secrétaire d'État, chargé du Commerce, de l'Artisanat, des PME, du Tourisme, des services, des Professions libérales et de la Consommation

Pacitel est une liste regroupant les numéros de téléphone fixes et mobiles des consommateurs qui ne souhaitent plus être démarchés téléphoniquement par les entreprises dont ils ne sont pas clients. Fondée sur le droit d'opposition classique de la loi de 1978, elle met les consommateurs à l'abri des appels provenant des entreprises auxquelles ils n'ont pas donné leur consentement.

Avant de prospecter téléphoniquement des consommateurs, les entreprises membres engagées dans Pacitel adapteront leurs fichiers de prospection commerciale pour tenir compte de cette nouvelle liste. Les entreprises membres des fédérations professionnelles adhérant à l'Association Pacitel représentent potentiellement 80% des acteurs du démarchage téléphonique.

Si vous souhaitez ne plus être démarché téléphoniquement par des entreprises dont vous n'êtes pas client, inscrivez-vous dès maintenant sur la liste Pacitel. L'inscription est entièrement gratuite pour le consommateur.

Le dispositif Pacitel répond aux attentes des consommateurs s'opposant à la prospection téléphonique commerciale. L'objectif de ce dispositif est d'assurer aux consommateurs de limiter au maximum la prospection téléphonique non-désirée.

Fini les appels intempestifs à l'heure du déjeuner et les fins de semaine !

Inscrivez-vous en cliquant ICI

14/12/2011

Le frelon asiatique donne le bourdon aux apiculteurs

 Les apiculteurs sont désemparés. Le ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire, cherche donc à les rassurer. "La préservation des populations d'abeilles en France fait partie des sujets importants," a-t-il déclaré, mercredi 16 novembre, à des professionnels qui s'inquiètent des dégâts provoqués par les frelons asiatiques sur leurs ruches.

Le frelon asiatique (Vespa velutina) est un tueur d'abeilles entré en France, dans le Lot-et-Garonne, en 2004, dans des poteries importées de Chine. Il sévit désormais dans plus de la moitié des départements de l'Hexagone, ceux situés à l'ouest d'une ligne Marseille-Saint-Malo (hormis deux département bretons encore épargnés). Et Vespa velutina pourrait "envahir toute la France si les pouvoirs publics ne font rien", déclarent les apiculteurs en colère.

"SCÈNES DE MASSACRE"

"Les frelons se postent en vol stationnaire devant la ruche, attaquent les abeilles qui en sortent, leur coupent la tête, puis se nourrissent de leur thorax. En quelques jours, la colonie de butineuses décline et les frelons pénètrent alors dans le rucher pour tuer les survivantes," explique Olivier Belval, président de l'Union nationale de l'apiculture française, dans le Parisien. Des "scènes de massacre" qui se produisent chaque été, précise le quotidien.

"Plus de la moitié des départements sont plus ou moins envahis et le frelon, présent dans tous les départements du sud de la Loire, a désormais franchi le fleuve pour se retrouver en Bretagne et en Normandie," poursuit Olivier Belval. Un nid a même été découvert et détruit en 2009 au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) près de Paris, et des frelons ont été observés en Côte-d'Or, dans les Alpes-Maritimes et dans le Nord.

Autre problème soulevé par les apiculteurs, l'utilisation du pesticide Cruiser. source lemonde

11/12/2011

Climat : un accord à Durban pour un nouveau pacte mondial en 2015

....La 17e conférence des Nations unies sur le climat s’est finalement achevée, à l'issue de deux nuits blanches consécutives de discussions, par un accord prévoyant d’établir d’ici à 2015 un pacte global de réduction des émissions de gaz à effet de serre, à l’origine du réchauffement climatique.

Cet accord devra entrer en vigueur en 2020. Il concernera pour la première fois tous les grands pays émetteurs, devra avoir une force légale mais ne sera pas "juridiquement contraignant", contrairement à ce que demandaient les Européens à Durban.

......

Les deux pays les plus réticents à se soumettre à des engagements internationaux, l'Inde et les États-Unis, se sont également déclarés satisfaits. "Nous avons eu d'intenses discussions. Compte tenu de la souplesse et de la bonne volonté affichée par tous, nous avons fait preuve de souplesse", a déclaré Jayanthi Natarajan, la ministre indienne de l'environnement.

"L'affaire s'est finalement bien terminée", a estimé le représentant américain pour le climat Todd Stern : "C'est la première fois que l'on va voir des pays en développement accepter d'être tenus par un accord légal sur le climat".

UN MANQUE DE PROMESSES

Reste maintenant à savoir quelle sera l'ambition de ce nouveau pacte. Les 194 pays membres de la convention climat des Nations unies se retrouveront pour en discuter au Qatar, le pays qui produit le plus d'émissions de CO2 par habitant au monde, d'ici fin 2012.

Pour l'heure, le texte adopté à Durban se contente d'acter la création d'un groupe de travail qui devra identifier " les solutions pour éliminer le fossé qui existe entre les promesses d'engagements de réduction d'émissions faites d'ici à 2020 et les efforts qu'il faudrait réaliser pour maintenir la hausse moyenne des températures en dessous de 2°C".

Un récent rapport du Programme des nations unies pour l'environnement estime que seulement 60 % de ces efforts sont aujourd'hui acquis. "Le monde reste sur une trajectoire d'un réchauffement supérieur à 3°C avec les conséquences très graves qui en découlent" a rappelé Climate Action Tracker, une organisation qui rassemble des scientifiques, à l'issue de la conférence de Durban.

....

UNE PROLONGATION DE L'ACCORD DE KYOTO

L'adoption de cette feuille permet également de prolonger le protocole de Kyoto, après son expiration prévue fin 2012. Cette décision lève les incertitudes sur la survie des "outils" de Kyoto, au premier rang desquels les "Mécanismes de développement propres" qui permettent de développer des projets fondés sur des technologies peu émettrices de CO2 dans les pays du Sud.

La prolongation de Kyoto était une revendication forte des pays en développement. Alors que les Etats-Unis n'ont jamais ratifié ce protocole, les pays émergents restent attachés au seul texte légalement contraignant sur la réduction d'émission de substances responsables du réchauffement, au premier rang desquels le CO2.

Le sommet de Durban a de nouveau été l'occasion pour ces pays de rappeller que le Nord a une responsabilité "historique" dans l'accumulation de CO2 dans l'atmosphère. Les petits Etats insulaires et les pays vulnérables au changement climatique ont également dénoncé avec violence "l'irresponsabilité" de route signée dimanche 11 décembre, l'Union européenne a ainsi accepté de s'engager dans une seconde période d'engagement du protocole, alors que la première phase d'engagement de Kyoto doit prendre fin après 2012.

LA QUESTION JURIDIQUE EN SUSPENS

A aussi été officiellement créé, dimanche, un Fonds vert pour le climat destiné à aider les pays pauvres à faire face au réchauffement climatique. Cependant, la question centrale de l'alimentation de ce fonds reste largement sans réponse, alors que l'engagement, pris à Copenhague il y a deux ans, était d'aboutir à 100 milliards de dollars par an à partir de 2020......Extraits lemonde

Commentaire : une nouvelle étape même si cela n'est pas parfait

 

 

 

 

 

 

Réduction du bruit des véhicules Commission européenne

Bruxelles, le 9 décembre 2011. La Commission européenne a proposé aujourd'hui de réduire le bruit produit par les voitures, les fourgonnettes, les autobus, les autocars, les camionnettes et les poids lourds.Les valeurs limites de bruit seraient abaissées en deux étapes de 2 dB(A) chacune pour les voitures particulières, les fourgonnettes, les autobus et les autocars.Pour les camions, la réduction serait de 1 dB(A) à la première étape et de 2 dB(A) à la seconde.La première étape devrait être mise en œuvre deux ans après la publication du texte, une fois qu'il aura été approuvé par le PE et les États membres, et la seconde trois ans plus tard.Globalement, ces mesures réduiront d'environ 25 % la gêne occasionnée par le bruit des véhicules.La Commission a également l'intention d'introduire une nouvelle méthode d'essai plus fiable pour mesurer les émissions sonores.En outre, il est proposé que les véhicules électriques et électriques hybrides puissent être équipés, en option, de dispositifs de production de son qui  rendraient ces véhicules plus sûrs.Les limites des émissions de bruit n'ont pas changé depuis 1996 en dépit de l'augmentation du trafic.

L’Organisation mondiale de la santé a conclu qu’en Europe occidentale, le bruit lié au trafic pourrait coûter chaque année 1 million d’années de vie en bonne santé. La réduction du bruit du trafic est donc essentielle pour améliorer la santé et la qualité de vie des citoyens de l’Europe.

La proposition d'aujourd'hui réduira de manière significative les niveaux du bruit ambiant et, par conséquent, le nombre de personnes qu'il affecte.

Le vice-président Antonio Tajani, en charge des entreprises et de l'entrepreneuriat, a déclaré: «Les émissions de bruit dues au trafic routier, dont souffrent nos citoyens, seront grandement réduites. Notre proposition conduira à des véhicules à moteur plus silencieux sur nos routes et à un environnement plus sain. Notre proposition rendra également les règles internationales plus claires pour l'industrie, ce qui permettra aux constructeurs européens de vendre plus facilement leurs voitures en dehors de l'UE».

Contexte

De nouvelles limites de bruit mesurées au moyen d'une nouvelle méthode

La proposition concernant la réduction du bruit des véhicules concerne les voitures particulières, les fourgonnettes (véhicules utilitaires légers),  les autobus, les camionnettes, les autocars et les poids lourds. Elle assurera que les niveaux de bruit des véhicules neufs soient mesurés au moyen d'une nouvelle méthode d'essai plus fiable.

À cette fin, des dispositions supplémentaires concernant l'émission de bruit (ASEP) seront incluses. Il s'agit de prescriptions préventives qui assureront que les émissions sonores d'un véhicule dans les conditions de la circulation en rue ne diffèrent pas de manière significative de celles qui peuvent être attendues du résultat de l'essai de réception par type pour ce véhicule spécifique.

Véhicules électriques et véhicules hybrides électriques

Des prescriptions relatives à des «systèmes audibles signalant l'approche d'un véhicule» assureront que seuls des dispositifs produisant un son adéquat soient utilisés, ce qui conduira également à une harmonisation de la technologie appliquée.Le montage en tant que tel resterait facultatif pour le constructeur automobile.Cela renforcera la sécurité routière et, sans aucun doute, contribuera à éviter des dommages dus à des accidents de circulation.

Un avantage global

Le fait d'avoir les mêmes règles de base partout dans l'UE permet d'acheter, de vendre et d'utiliser plus facilement des véhicules dans n'importe quel État membre  et assure que les normes en matière de santé, de sécurité et de protection de l'environnement soient les mêmes partout dans l'UE.

Avec cette proposition, les règles de l'UE actuellement applicables aux émissions de bruit des véhicules seront mises à jour et alignées sur les normes internationalement reconnues des Nations unies.Cela devrait permettre d'améliorer l'accès des constructeurs automobiles européens aux marchés de pays tiers qui sont parties contractantes à l'accord de 1958 de la CEE-ONU et donc de renforcer la compétitivité de l'industrie européenne.

La proposition de la Commission européenne doit à présent être soumise aux co-législateurs européens, le Parlement européen et le Conseil.

Pour plus de renseignements:

-       sur les émissions de bruit des véhicules à moteur:

http://ec.europa.eu/enterprise/sectors/automotive/environ...

-       sur la politique de la Commission européenne concernant l'automobile:

http://ec.europa.eu/enterprise/sectors/automotive/index_fr.htm

 

10/12/2011

Belle action pour un meilleur environnement : "Abeilles en ville ? Abeilles à Lampertheim !"

« Si les abeilles venaient à disparaître de la planète, les hommes n’auraient plus que quatre années à vivre » Cette affirmation attribuée à tort à Einstein n’est probablement pas exacte. Il n’en est pas moins vrai que les abeilles assurent la pollinisation de 200 000 espèces de plantes à fleurs et là où les colonies d’abeilles disparaissent, la biodiversité se réduit et un tiers des réserves alimentaires en fruits et légumes dépendent directement des abeilles.

La raréfaction des abeilles encore appelée syndrome de l’effondrement des colonies est une réalité qui touche 20% et jusqu’à  40% des ruches aux Etats-Unis. Les causes de ce phénomène ne sont pas exactement connues et elles sont probablement multiples. On peut citer les maladies habituelles (varroase, nosémose ou loque) ou la prolifération de certains frelons asiatiques, mais elles n’expliquent pas tout. Les pesticides systémiques sont également mis en cause. Ces molécules circulent dans la sève de la plante et se retrouvent dans le pollen et les fines gouttelettes dues à la transpiration de la plante. Les études les plus récentes montrent que la mortalité des abeilles est due à la synergie entre un insecticide, l’imidaclopride agissant en quantité infinitésimale et du champignon parasite Nosema. La Nosema seule peut exister dans une ruche sans la tuer, mais la combinaison avec l’insecticide est fatale parce qu’elle bloque une enzyme et rend la ruche incapable de se protéger.

Que pouvons-nous faire ? En réalité, l’abeille domestique souffre également de la diminution du nombre d’apiculteurs. L’apiculture demande disponibilité, sérénité et compétence mais elle apporte beaucoup de plaisir, une vraie passion. Paradoxalement, c’est en ville que les abeilles rencontrent le moins de pesticides et elles y vivent très bien. C’est dans ce but qu’a été lancée l’opération Abeill’en ville. Il s’agit d’un partenariat entre les communes et une association d’apiculteurs Asapista. Les communes proposent des emplacements pour les ruches et Asapista assure l’installation, l’entretien et les opérations de communication et de pédagogie.

Le conseil municipal des jeunes ne s’y est pas trompé. Nos jeunes conseillers ont saisi l’occasion pour mettre l’installation des abeilles dans leurs objectifs. Un peu de crainte au début -les abeilles, ça pique- a été vite dissipée au cours d’une excellente conférence donnée par Jean-Claude Moes, président d’Asapistra. Très attentifs, ils ont appris que les abeilles étaient sur terre bien avant nous et bien avant les dinosaures et le monde des plantes à fleurs s’est développé grâce à eux. Et elles travaillent beaucoup, nos abeilles : pour faire un kilo de miel, les trajets cumulés font en moyenne 40 000Km, c'est-à-dire le tour de la terre! Nous avons également fait la différence entre abeilles, guêpes et frelons. Les abeilles piquent beaucoup moins que les guêpes, uniquement si vous avez le malheur de les toucher ou les écraser ou si vous vous agitez devant un rucher.

Une fois la décision prise, il a fallu construire les ruchers et les installer. Nous n’avions pas la compétence ni le matériel pour construire deux ruchers. Heureusement que Bernard Eschrich a accepté ce travail. Il y a mis tout son savoir faire et a construit deux magnifiques ruchers pouvant contenir chacun trois ruches. Ces ruchers ont été installés par notre équipe d’employés municipaux que je tiens à remercier, d’une part près du rond point route de Plulgriesheim et près de la départementale un peu au-delà du village sur un terrain que Mr WENZ a bien voulu mettre à notre disposition. Je tiens à le remercier très chaleureusement. Vous les apercevrez facilement lorsque vous entrez à Lampertheim. Les ruches seront la propriété de la commune et le miel pourra être donné aux personnes âgées ou nécessiteuses.

Les abeilles ont été installées .... en présence des enfants de CMDJ. Il s’agit de très jeunes ruches qui ne donneront pas beaucoup de miel cette année. Les colonies devront se développer pour atteindre une taille de 50 000 ouvrières et nous donneront satisfaction l’an prochain.

Mais qui sont ces enfants en tenue de cosmonaute ? C’est Florian et Nicolas, bien protégés par leur tenue d’apiculteur qui nous aident à installer les ruches et à libérer les abeilles.

Cette opération sera un geste positif pour l’environnement. Des Journées pédagogiques pourront être organisées avec les enfants de l’école primaire sur le thème des abeilles et des fleurs. Souhaitons un bon développement à nos petites protégées.

Souces : INRA magazine juin 2009, Sciences et Avenir, N° 771, mai 2011

Pierre Jost 

L’association ASAPISTRA

Asapistra est une association créée en 2008 sous l’égide de Jean-Claude Moes. Elle est  partenaire de l’opération Abeill’en ville.

Elle s’occupe de la formation de nouveaux apiculteurs, d’actions éducatives et d’animations.

Vous pouvez parrainer des ruches. Celles-ci sont déposées et entretenues par un membre de l’association. Ainsi Mr et Mme Waksman ont confié leurs ruches à Mme Calillère, apicultrice membre d’Asapistra.

Cycle de formation des apiculteurs : http://www.u-populaire-europeenne/.com

Site d’Asapistra : asapistra@free.fr

Président J-C Moes : JCmoes@free.fr

Apicultrice référente pour LampertheimMichèle Caillère :  mcaillere@yahoo.fr

 

 

source mairie de Lampertheim

 

09/12/2011

Toutes les données accessibles maintenant sur la France

 Grâce à la Plateforme française d'ouverture des données publiques (Open Data) en cliquant ICI

08/12/2011

Vers un désastre climatique ? Emmanuel Le Roy Ladurie

Du XVIIe au XXIe siècle, l'histoire du climat montre
que les soubresauts sociopolitiques sont liés à la
courbe thermique
 

 
La réunion du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) à Durban (Afrique du Sud) soulève un intérêt considérable. Je me borne à parler ici au nom de l'homme de la rue, dès lors qu'il dispose d'un minimum de culture écologique ; l'homme en question connaît bien les éléments essentiels du problème du « réchauffement » qui figurent dans la plupart des revues de vulgarisation scientifique et tout simplement dans la presse. Les médias en sont pleins. Je citerai en toute simplicité les analyses de l'excellente journaliste qu'est Lise Barnéoud dans un article récent de La Recherche:

1. Quantifié, le réchauffement général dont il est si souvent question, sur la base de mesures locales et régionales, océaniques et continentales de plus en plus précises, atteint pour le moins un degré centigrade pour le XXe et le début du XXIe siècle. On peut discuter ce chiffre, mais la tendance est incontestable et de toute manière la notion de réchauffement global est admise pratiquement par ce qu'on peut appeler l'opinion publique éclairée dans son ensemble, y compris et même par la plupart des climatosceptiques, à l'exception de quelques « durs à cuire », c'est le cas de le dire.

Ce réchauffement concerne essentiellement la basse atmosphère terrestre. Un certain accroissement du rayonnement solaire, non négligeable certes a priori, n'est pourtant pas en cause pour l'essentiel ; sinon il affecterait l'ensemble de l'atmosphère et non pas seulement les basses couches de celle-ci.

2. Les océans se réchauffent, en particulier depuis une cinquantaine d'années.

3. Les glaciers reculent dans le monde entier pour la presque totalité d'entre eux. Les glaciers alpins régressent, bien sûr... et se « désépaississent » continuellement depuis les années 1930. Les glaces de l'Arctique et du Groenland rétrécissent de façon considérable.

4. L'élévation du niveau des mers était de l'ordre de 1 à 2 millimètres par an au cours du XXe siècle et le rythme de cette « surrection » tend à s'accroître. La liaison de ce phénomène avec la fusion des glaces polaires, alpines et autres semble être établie raisonnablement.

5. La migration vers le nord dans notre hémisphère d'un grand nombre d'espèces animales, y compris les oiseaux migrateurs et les papillons, semble justiciable d'interprétations réchauffantes analogues à ce qui précède.

6. Les sols se réchauffent en profondeur, en particulier aux dépens du permafrost, autrement dit des sols gelés en permanence sur une certaine épaisseur, en Sibérie et ailleurs.

Ces phénomènes dépendent pour une grande part, en dernière analyse, de l'accroissement des volumes de gaz à effet de serre, CO2 en particulier, projetés dans l'atmosphère par les combustions de toutes sortes telles qu'elles fonctionnent massivement dans l'industrie, l'agriculture, les modes de transport les plus variés...........

Et d'abord une impression que je partage avec l'historien américain Geoffrey Parker : le réchauffement va s'accompagner, en diverses régions de la planète, de guerres, de troubles sociaux éventuellement graves, voire révolutionnaires. extraits lemonde

06/12/2011

L’impossible coexistence « OGM / apiculture » établie par la justice

29 novembre, par Les organisations apicoles et environnementales

Je signe la pétition | Je télécharge la pétition

L’impossible coexistence « OGM / apiculture » établie par la justice

Depuis l’apparition des premières cultures d’OGM en Europe il y a quelques années, les apiculteurs ne cessent d’alerter les pouvoirs publics sur l’impossible coexistence entre ces cultures et l’apiculture. Sous l’influence du lobby OGM et semencier, la Commission Européenne et les autorités nationales sont jusqu’à présent restées sourdes à cet appel.

Or, un apiculteur allemand qui a constaté la présence de pollen de maïs OGM MON 810 dans son miel a intenté une action en justice. Le 5 septembre 2011, la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) a décidé qu’un tel miel ne pouvait pas être commercialisé [1].

Nos gouvernants ne peuvent donc plus feindre d’ignorer cette réalité : l’autorisation de cultures d’OGM en plein champ serait fatale à l’apiculture (miel, pollen, propolis) et à l’abeille.

Gare aux manigances

Les consommateurs européens ne veulent pas d’OGM dans le miel. La prise de conscience environnementale est devenue telle que la Commission Européenne ne peut prendre le risque de sacrifier délibérément l’abeille au profit de multinationales. Depuis la décision de la CJUE, les tractations vont pourtant bon train.

L’arrêt de la Cour de Justice s’appuie sur le fait que le pollen de maïs MON 810 n’est pas autorisé à la consommation humaine. Des manipulations juridiques qui permettraient de contourner cette interdiction dans le cas du miel sont à l’étude, au mépris de la transparence exigée par les consommateurs.

Seule solution : le moratoire

La coexistence des cultures OGM en plein champ et de l’apiculture est impossible. Personne ne peut plus ignorer cette réalité.

L’abeille est un élément indispensable de l’environnement, de la biodiversité, et un atout incontournable pour la pollinisation de nombreuses cultures. Déjà mise à mal par la pression des pesticides, elle pourrait tout bonnement disparaître de nos campagnes par décision politique, ou être accusée de disséminer les pollens OGM !

Face à ce risque inadmissible, nous demandons instamment à John Dalli, Commissaire européen à la Santé et à la Consommation, et à nos décideurs européens et nationaux de protéger l’abeille, l’apiculture et les professionnels de l’apiculture et de :
- suspendre immédiatement et ne pas renouveler l’autorisation de culture en plein champ du maïs MON 810,
- bloquer l’avancée de tous les dossiers de plantes génétiquement modifiées nectarifères ou pollinifères,
- faire évaluer rigoureusement l’impact des plantes transgéniques sur les ruchers, notamment les couvains et les abeilles hivernales, et de rendre publics tous les protocoles et résultats
- respecter le droit à la transparence pour les consommateurs.

Le miel et les produits de la ruche doivent rester des aliments sains et naturels. source http://www.ogm-abeille.org/

02/12/2011

CONSOMMATION Acheter malin grâce à Internet : Des sites proposent lunettes, téléphones, mobilier et objets de décoration à moindre coût

Les amateurs de bons plans peuvent se réjouir. L'augmentation du nombre d'internautes - 39, 4 millions en France, selon Médiamétrie, 2 millions de plus en un an - et surtout l'essor de l'Internet mobile via les smartphones - 18 millions de mobinautes, 5 millions de plus en un an - stimulent la créativité des web-entrepreneurs. Sites et applications rivalisent de nouveautés pour consommer malin. Florilège d'offres dont on peut profiter en un clic.

Deux bastions très rentables du commerce, la téléphonie et les lunettes, sont pris d'assaut par les entrepreneurs du Web. Facebook et Amazon plancheraient chacun sur un portable pour fin 2012. En attendant, le site Meilleurmobile.com propose de comparer les forfaits de vingt opérateurs. Pratique si vous envisagez de renégocier votre contrat. Ce site permet également l'achat de téléphones « de 30 à 100 euros moins cher », estime son PDG, Mathieu Drida.

Autre option pour les chasseurs d'économies, l'achat de temps de conversation, sans engagement auprès de zeroforfait.com. « Nous sommes en moyenne 50 % moins chers que le marché », affirme son dirigeant Patrick Gentemann. Vous pouvez ainsi, à la carte, acheter une demi-heure (2,90 euros), 1 heure (5,90 euros), 50 sms (3 euros), Internet illimité (10 euros), etc. Pour devancer l'arrivée de Free, le site a même lancé, mardi 22 novembre, une offre à 29,90 euros/mois : conversation, sms et Internet illimités, sans engagement. Il est même possible de louer un portable à prix mini.

Marc Simoncini, fondateur de Meetic, vient quant à lui de lancer Sensee.com, considérant que « le marché français des lunettes est opaque et verrouillé ». Les prix sont « au moins deux fois moins élevés » dit-il, mais le site ne propose pour l'instant que des verres correcteurs simples. Le site envoie à domicile trois montures choisies, puis montera les verres sur le modèle préféré.

Les porteurs de verres progressifs peuvent quant à eux passer par Easy-verres.com. Nous sommes « 40 % moins cher que les prix du marché », explique le cofondateur Jean Von Polier, ancien pilote de chasse passé par le MBA de l'école de management de l'Insead, devenu opticien. Le site ne vend que les verres, « car un opticien est nécessaire pour ajuster les montures ou centrer les verres progressifs en hauteur », ajoute le dirigeant. Les verres sont fabriqués par le français Claire Vision et l'allemand Sola, qui dépend du plus gros verrier outre-Rhin Carl Zeiss. Le panier moyen « pour deux verres progressifs, atteint 250 euros, et moins de 100 euros pour des verres unifocaux ». La pose, payée en ligne, se fait chez un des 700 opticiens partenaires.

Les adeptes du dicton, « C'est en multipliant les petits gains qu'ils deviennent grands », peuvent tenter le site Lesparrains.fr : celui-ci met en relation toute personne voulant bénéficier d'une offre de parrainage (cadeaux, bon d'achats...), sur un site d'e-commerce. On peut être un parrain potentiel en mal de filleul numérique ou l'inverse.

Pour des achats plus importants, certains sites discount se dotent désormais de « vrais » magasins affichant les mêmes prix que le Net. C'est le cas de Pixmania.com (neuf magasins), de Cdiscount.com qui vient d'ouvrir sa deuxième boutique (Paris après Bordeaux) et bientôt de Myfab.fr, spécialiste du design, situé à Hongkong, qui ouvre mi-décembre un showroom à Paris.

Toujours dans la décoration, le tout nouveau Manabey.fr, dont la production est asiatique, affiche de grandes ambitions. « Nous nous engageons à payer trois fois la différence si quelqu'un trouve moins cher », explique Arnaud Reinette, un des deux dirigeants qui veulent devenir les Michel-Edouard Leclerc du Web pour l'univers de la maison. « Le client paye 80 euros, puis a accès à nos produits à prix coûtant. »

....

Ainsi, le site Yoox propose des photos en haute définition, ce qui permet de zoomer sur les moindres détails. Le site Showroomprive.com, numéro deux après Vente-privee.com, réalise déjà 12 % de son chiffre d'affaires grâce au mobile et vient de lancer son application iPad. « L'utilisation de sa tablette, dans son canapé, où l'on touche l'écran pour choisir sa tenue, se rapproche plus du shopping traditionnel que de passer une commande sur ordinateur », note Christophe Davy, président-directeur général de Brandonlinecommerce.com, qui gère les sites d' e-commerce de marques de luxe, comme Jean Paul Gaultier. De quoi augmenter encore le temps moyen passé sur Internet, de 40 heures par mois, selon Médiamétrie, plus d'une semaine de temps légal de travail ! extraits lemonde

Campagne européenne pour la sécurité des jouets: veiller à la sécurité de nos enfants

Bruxelles, le 29 novembre 2011. Noël est une période de l’année très chargée pour le Père Noël. Il doit préparer son traîneau, nourrir ses rennes, vérifier qu’il n’a oublié aucun enfant sage sur sa liste… et s’assurer que les jouets achetés par ses lutins sont non seulement ludiques, mais aussi sûrs! Cette année, son travail sera plus facile que jamais: depuis juillet 2011, les jouets vendus dans l’UE doivent être conformes aux règles de sécurité les plus strictes du monde.

Sûr et ludique, c’est la combinaison parfaite, mais réunir ces deux qualités n’est pas si évident que cela! Ce qui fait qu’on peut jouer sans risque avec un jouet, c’est bien sûr le jouet lui-même, mais aussi la manière dont on l’utilise et l’âge de l’enfant. À quoi devez-vous faire attention en tant que parent pour savoir si un jouet est sûr ou non pour votre enfant? Pour vous donner quelques conseils utiles, Antonio Tajani, vice-président de la Commission européenne, lance la campagne européenne pour la sécurité des jouets qui a pour objectif d’expliquer comment acheter les jouets les plus sûrs et comment les utiliser sans risque. Un clip vidéo, qui sera diffusé sur les chaînes de télévision dans toute l’Europe, décrit les points à prendre en compte; parallèlement, une carte postale donnant des conseils de sécurité sera distribuée, lors de l’achat de jouets, aux consommateurs de toute l’UE.

Le vice-président Antonio Tajani a déclaré: «Je lance cette campagne au moment de Noël, la période de l’année où sont achetés la plupart des jouets. Cette année, les jouets vendus dans l’UE seront plus sûrs que jamais et cette initiative permettra aux parents de faire les bons choix pour leurs enfants.» Il a ajouté: «Je suis heureux que les médias, ainsi que des centaines de magasins dans toute l’Union, participent à cette campagne. Mais évidemment la sécurité est importante tout au long de l’année, alors veillons bien maintenant à ne pas apprendre la sécurité "par accident"!»

Lien vers la vidéo et les cartes postales.

Liste des États membres et des magasins participant à l’action

Pour de plus amples informations sur les nouvelles règles de l’UE destinées à renforcer la sécurité des jouets: IP/11/908...

Quelques conseils à ne pas oublier lors de l’achat d’un jouet:

N’achetez jamais un jouet n’ayant pas le marquage CE

Le marquage CE est un engagement du fabricant certifiant que le jouet respecte l’ensemble des règles de sécurité applicables dans l’UE, qui sont parmi les plus strictes au monde.

N’achetez pas de jouets comportant de petits éléments détachables aux enfants de moins de 3 ans

L’étouffement est un risque qui concerne particulièrement les enfants de moins de 3 ans, car ils ont tendance à tout mettre à leur bouche! Les jouets portant ce symbole ne conviennent pas aux enfants de moins de 3 ans.

extraits Commission européenne – Communiqué de presse

29/11/2011

OGM monsanto maïs 810 à nouveau autorisé en France ! On se moque des citoyens ici !

"la position française vis-à-vis des OGM est quelque peu ambiguë. S'ils ne sont pas autorisés à la culture, une trentaine d'OGM, cultivés à l'étranger, sont malgré tout importés sur notre sol, essentiellement pour l'alimentation animale et l'industrie, grâce à des autorisations de mise sur le marché européennes. Près de 5 millions de tonnes de soja, dont les trois quarts génétiquement modifiées, sont ainsi importées chaque année dans l'Hexagone." extraits lemonde

Commentaire de qui se moque-t-on ? Les électeurs trancheront en 2012

28/11/2011

Action "Un verger dans ma ville" : C'est la saison de planter un arbre fruitier dans votre jardin en lieu et place de votre arbre d'agrément inutile en temps de crise...

Nous vous invitons à  planter un arbre fruitier si vous avez la place suffisante.

C'est unene façon originale et innovante de développer et de conserver le patrimoine fruitier en milieu urbain. C'est aussi une source d 'économie pour toute la famille et de plaisir....renouvelé.

C'est une initiative qui devrait porter ses fruits surtout en temps de crise !!!

27/11/2011

CLIMAT - Le sommet de Durban, du 28 novembre au 9 décembre, devrait être décisif pour l'avenir du protocole de Kyoto...

Le 28 novembre s’ouvrira la conférence de Durban (Afrique du Sud), étape annuelle dans les négociations climatiques internationales. Après la déception de Copenhague en 2009, les sommets de la convention des Nations unies sur le climat ne suscitent plus autant d’espoir chez les militants écologistes et dans la population inquiète du réchauffement climatique. Pourtant, ils restent très utiles, selon Emmanuel Guérin, directeur du programme énergie climat à l’IDDRI (Institut du développement durable et des relations internationales), qui décrypte pour 20 Minutes les enjeux du sommet de Durban.

Qu’est-ce qui sera en jeu lors du sommet de Durban?

Le principal enjeu est la nature juridique de l’accord final sur le climat, contraignant ou pas, et la seconde période d’engagement du protocole de Kyoto. Le protocole peut survivre ou disparaitre, mais une solution intermédiaire serait de le vider de sa substance, c’est-à-dire de ne pas mettre d’engagement chiffré dans cette seconde période en faisant subsister l’ensemble de ses règles et mécanismes. Ce serait une solution temporaire pour construire à terme un accord juridiquement contraignant et global.

Quels blocs de pays sont en désaccord?

Les négociations vont surtout se jouer autour de trois catégories de pays: d’une part les pays développés et d’autre part les pays émergents et les pays les moins avancés, qui ont des divergences croissantes. Le sommet étant en Afrique du Sud, ce sera intéressant de voir comment le groupe africain se situe et s’il fait pression exclusivement sur l’Europe ou aussi sur les pays émergents pour qu’ils acceptent de faire certains compromis. La France défendra les positions européennes même si elle a fait entendre une petite musique légèrement différente: elle a montré plus d’allant que certains pays pour une seconde période d’engagement dans le protocole de Kyoto.

Quelle issue peut-on attendre de ce sommet? Sert-il vraiment à quelque chose?

Ce sera un double jeu de décisions, certaines sur le protocole de Kyoto et d’autres sur la convention climat qui devront aller suffisamment loin pour aboutir à un futur accord global. En dépit de la déception qu’on peut avoir en lisant les communiqués finaux, nous avons vraiment besoin de ces sommets, car il faut un lieu où on se rassure sur le fait que les politiques climatiques et la réduction des émissions de gaz à effet de serre est un pari dans lequel on est engagé collectivement.extraits 20 minutes

24/11/2011

Réservez du temps et regardez l'émission naturbis très utile et concrète pour le bon geste écolo !

en cliquant ICI

22/11/2011

Le jouet d'occasion n'est plus un tabou, même à Noël

Les spécialistes, King Jouet et autres Toys'R'Us, étudient, eux aussi, la question. Quelque 69,6 % des Français ne sont pas choqués à l'idée de recevoir des jouets d'occasion s'ils sont en bon état. Même pour Noël, le tabou est tombé. Et 35,9 % déclarent en acheter autant, voire plus souvent que des neufs. Tels sont les résultats d'un sondage réalisé par Priceminister.com auprès des internautes, qui a été publié jeudi 17 novembre. Le e-commerçant, initialement spécialisé dans les biens culturels d'occasion, a étendu son offre aux jouets de seconde main en 2004, constatant le succès croissant de ces articles dans les brocantes et les vide-greniers.extraits lemonde