Portail Internet pour Elle et Lui Ensemble pour l'écologie citoyenne et réduire l'empreinte des activités humaines sur l'environnement

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07/03/2012

Economiser sur ses travaux écolos

Le test est instructif. Taper "travaux écologiques" sur Google permet de visualiser la jungle numérique de conseils et de mises en relation en tout genre proposés en ligne. Résultat : des milliers d'internautes se rabattent sur les sites de distributeurs (Leroy-Merlin.com, 3,2 millions de visiteurs uniques mensuels, selon Médiamétrie, Castorama.com, 2,4 millions), qui ont d'ailleurs étoffé leurs rubriques "aide aux travaux".

Un tout jeune site, Calculeo.com, entend servir de porte d'entrée à tous ceux qui veulent avoir une maison peu gourmande en énergie (double vitrage, poêle à bois...). "Nous proposons un calculateur gratuit qui permet à chacun d'estimer les aides en crédits d'impôt, aides régionales, départementales, auxquelles il a droit",.......

TENDANCE À L'ACHAT MALIN

Pierre Pinneteau, jeune retraité habitant près d'Avignon, vient ainsi d'économiser 250 euros. Cela représente "10 % du montant des travaux d'isolation en ouate de cellulose de ma maison", explique-t-il.

Branco, 36 ans, consultant dans la finance (qui requiert l'anonymat), a aussi utilisé Calculeo pour estimer ses crédits d'impôt. Il va faire appel à un professionnel conseillé par ce site pour les travaux d'isolation extérieure de sa maison. Mais, pour le reste, il a préféré faire marcher la concurrence en ligne. "J'ai acheté mon ballon thermique sur Econology.fr, et ma pompe à chaleur air-air sur Domotelec.fr et ai économisé 8 000 euros, soit 50 % du montant des devis qui m'avaient été présentés", explique-t-il, satisfait de cette ristourne.

Une tendance à l'achat malin que confirme Gabriel Gormezano, cogérant du site aixois Econology, spécialisé dans les maisons écologiques. "Nous connaissons une croissance à deux chiffres, et huit clients sur dix sont des particuliers, dit-il. L'achat direct des internautes a été freiné par les crédits d'impôt qui ne fonctionnaient que sur des devis incluant achat et pose du matériel par des professionnels.....extraits lemonde

04/03/2012

Plus on est riche, moins on a de morale, c'est prouvé

Dans un climat politique où il est tant question d'opposition entre les "élites" et le "peuple", voici une étude qui devrait faire couler beaucoup d'encre. Et pour cause : des chercheurs américains et canadiens documentent, dans l'édition du lundi 27 février de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), l'existence d'une relation inverse entre élévation dans la hiérarchie sociale et éthique du comportement individuel. C'est-à-dire, exprimé de manière un peu plus directe, que plus vous êtes riche, plus vous êtes susceptible de vous comporter de manière moralement lamentable.

L'équipe américano-canadienne menée par Paul Piff (université de Californie à Berkeley) a quelques arguments. Les chercheurs ont mené pas moins de sept protocoles expérimentaux différents, qui concluent tous dans le même sens.

"CUPIDITÉ"

Le premier est simple : il s'est simplement agi de se poster à un carrefour et d'observer les véhicules pris en flagrant délit de refus de priorité. La deuxième expérience, très semblable, a quant à elle consisté à relever les situations dans lesquelles un piéton engagé sur un passage ad hoc se fait couper la route par une voiture. Dans les deux cas, les chercheurs ont classé les véhicules en cinq catégories, des épaves roulantes (groupe 1) aux berlines de luxe (groupe 5). Résultat : près de 30 % des véhicules du groupe 5 forcent le passage aux voitures prioritaires, un taux quatre fois supérieur aux groupes 1 et 2, et trois fois supérieur aux groupes 3 et 4. Corrélation quasi identique pour le respect dû aux piétons...

Mais, direz-vous, ce n'est pas parce qu'on a une belle voiture qu'on est nécessairement riche. Ce qui n'est pas faux. Aussi, les chercheurs ont complété ces deux expériences par d'autres, menées en laboratoire. A chaque fois, une centaine d'individus ont été invités à prendre connaissance de divers scénarios ou situations : atteinte d'un objectif au prix d'une entorse à la morale, captation d'un bien de manière indue au détriment d'un tiers, mensonge au cours d'une négociation, caution d'une faute dans le cadre professionnel. Puis les participants ont rempli un questionnaire répondant à la question de savoir dans quelle mesure ils seraient prêts à reproduire ces comportements. A chaque fois, une corrélation entre le statut social des participants et leur capacité à enfreindre l'éthique est mise en évidence.

Une dernière expérience a consisté à placer près de 200 personnes devant un jeu informatique de lancer de dés : une somme d'argent leur était promise si le score atteint après cinq lancers était élevé. Mais, bien sûr, le jeu était pipé et le score ne pouvait excéder 12 points. Ceux qui ont rapporté des scores supérieurs aux expérimentateurs ont donc triché. Même en tenant compte de nombreux paramètres comme l'ethnie, le sexe, l'âge, la religiosité, l'orientation politique, il n'y a rien à faire, "la classe sociale prédit positivement le fait de tricher". A quoi tient ce lien entre hauteur sociale et bassesse morale ? En partie, répondent les chercheurs, "à une perception plus favorable de la cupidité". source lemonde

commentaire recueilli : lisez l'article en entier avant de critiquer un petit point; il est en accès libre directement en cliquant ICI

25/02/2012

une idée de sortie dans le Ried à proximité de Strasbourg

voir la vidéo ICI

14:55 Publié dans jardin | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

20/02/2012

Leucémies et centrales nucléaires, un lien dangereux ?

Au départ, le projet Geocap de l'équipe Inserm U1018-Eq. 6 (Villejuif), dirigée par Jacqueline Clavel, visait à étudier le rôle de différents facteurs (lignes à haute tension, trafic routier, stations-service et benzène, sites nucléaires) dans la survenue des cancers de l'enfant de moins de 15 ans.

Lorsqu'en 2007, une étude allemande a montré une association significative entre la distance séparant la résidence de la centrale nucléaire de Kummel et le risque de leucémie chez l'enfant, l'Institut de veille sanitaire lui a demandé de se pencher en priorité sur ce sujet.....

Ces résultats, comparables à ceux de l'étude allemande, constituent un signal d'autant plus sérieux que l'étude de l'équipe de Jacqueline Clavel a été réalisée avec une extrême rigueur. En tentant de comprendre le mécanisme à l'origine de cet excès de risque significatif, les épidémiologistes ont constaté la discordance entre les résultats obtenus avec le facteur distance de résidence et ceux tenant compte de l'estimation de la dose reçue dans la moelle osseuse par les enfants à partir des rejets gazeux de radioéléments de la centrale. extraits lemonde

10/02/2012

Pétition pour une protection de l’apiculture et des consommateurs face au lobby des OGM

par Les organisations apicoles et environnementales

Je signe la pétition | Je télécharge la pétition

L’impossible coexistence « OGM / apiculture » établie par la justice

Depuis l’apparition des premières cultures d’OGM en Europe il y a quelques années, les apiculteurs ne cessent d’alerter les pouvoirs publics sur l’impossible coexistence entre ces cultures et l’apiculture. Sous l’influence du lobby OGM et semencier, la Commission Européenne et les autorités nationales sont jusqu’à présent restées sourdes à cet appel.

Or, un apiculteur allemand qui a constaté la présence de pollen de maïs OGM MON 810 dans son miel a intenté une action en justice. Le 5 septembre 2011, la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) a décidé qu’un tel miel ne pouvait pas être commercialisé [1].

Nos gouvernants ne peuvent donc plus feindre d’ignorer cette réalité : l’autorisation de cultures d’OGM en plein champ serait fatale à l’apiculture (miel, pollen, propolis) et à l’abeille.source ogm-abeille.org

Gare aux manigances

Les consommateurs européens ne veulent pas d’OGM dans le miel. La prise de conscience environnementale est devenue telle que la Commission Européenne ne peut prendre le risque de sacrifier délibérément l’abeille au profit de multinationales. Depuis la décision de la CJUE, les tractations vont pourtant bon train.

L’arrêt de la Cour de Justice s’appuie sur le fait que le pollen de maïs MON 810 n’est pas autorisé à la consommation humaine. Des manipulations juridiques qui permettraient de contourner cette interdiction dans le cas du miel sont à l’étude, au mépris de la transparence exigée par les consommateurs.

Seule solution : le moratoire

La coexistence des cultures OGM en plein champ et de l’apiculture est impossible. Personne ne peut plus ignorer cette réalité.

L’abeille est un élément indispensable de l’environnement, de la biodiversité, et un atout incontournable pour la pollinisation de nombreuses cultures. Déjà mise à mal par la pression des pesticides, elle pourrait tout bonnement disparaître de nos campagnes par décision politique, ou être accusée de disséminer les pollens OGM !

Face à ce risque inadmissible, nous demandons instamment à John Dalli, Commissaire européen à la Santé et à la Consommation, et à nos décideurs européens et nationaux de protéger l’abeille, l’apiculture et les professionnels de l’apiculture et de :
- suspendre immédiatement et ne pas renouveler l’autorisation de culture en plein champ du maïs MON 810,
- bloquer l’avancée de tous les dossiers de plantes génétiquement modifiées nectarifères ou pollinifères,
- faire évaluer rigoureusement l’impact des plantes transgéniques sur les ruchers, notamment les couvains et les abeilles hivernales, et de rendre publics tous les protocoles et résultats
- respecter le droit à la transparence pour les consommateurs.

Le miel et les produits de la ruche doivent rester des aliments sains et naturels.

Strasbourg Salon « Tourissimo » Trois jours de voyage à partir de ce jour au parc des expositions du Wacken à Strasbourg

 

Le programme de conférences :

Aujourd’hui. 11 h, Madère (Europatours) ; 11 h 45, les îles de la Guadeloupe ; 13 h 30, Corse, l’île de Beauté ; 14 h 30, croisières Costa : les îles grecques avec le Costa Fascinosa ; 15 h 30, le Sri Lanka ; 16 h 30, Norvège.

Samedi 11 février. 11 h, Norvège et Pays Baltes (Europatours) ; 11 h 45, les îles de la Guadeloupe ; 13 h 30, la Chine ; 14 h 15, Corse, l’île de Beauté ; 15 h, le transsibérien ; 15 h 45, Fjords & Europe du Nord ; 16 h 30, Madère.

Dimanche 12 février. 11 h, Madère et la Croatie ; 11 h 45 : Irlande et Écosse ; 13 h, Fjords & Europe du Nord ; 13 h 45, les îles de la Guadeloupe ; 14 h 45, découverte de la Méditerranée ;

15 h 45, Madère.

Tourissimo, salon du tourisme, du vendredi 10 au dimanche 12 février, de 10 h à 19 h, au parc des expositions du Wacken à Strasbourg. Tarif normal 4 €, tarif réduit 3 € (pour les étudiants et les enfants de 12 à 18 ans). Gratuit pour les personnes souffrant d’un handicap et les enfants de moins de 12 ans. Site internet : www.tourissimo-strasbourg.fr.

07/02/2012

Pour éviter la mauvaise surprise de se retrouver sans eau à son domicile

Pour affronter les températures négatives du moment et éviter la mauvaise surprise de se retrouver sans eau à son domicile, pensez à protéger votre compteur :

 

Si votre compteur est situé à l'intérieur de votre logement: ne coupez jamais complètement le chauffage, et entourez le avec une gaine isolante.

Si votre compteur est à l'extérieur : calfeutrez le compteur d'eau et les tuyaux exposés avec des plaques en polystyrène ou utilisez une housse protège compteur. Un conseil : n'utilisez jamais de matériaux absorbant l'humidité comme la paille, textile, papier, laine de verre ou de roche, etc.

 

 

 

Que faire lorsque vos installations sont gelées et que l'eau ne coule plus ?

 

1- Dégelez votre installation : un sèche-cheveux peut suffire pour dégeler un tuyau, mais n'utilisez jamais une flamme

 

2- Entourez les colonnes d'eau avec une gaine isolante les colonnes d'eau

 

 

2- Coupez l'eau pour éviter toute inondation au moment du dégel

 

3- Vidangez votre installation


 

Le compteur d'eau qui sert à mesurer votre consommation est sous votre responsabilité comme locataire.

04/02/2012

La mention "sans OGM" obligatoire à compter du 1er juillet 2012

28/01/2012

Une vaste escroquerie Le Biocarburant SP95-E10 : est-ce vraiment économique et bon pour l'environnement ?

Alors que les professionnels des biocarburants ou agrocarburants se félicitent de la démocratisation du SP95-E10 et de la recommandation de la cour des comptes quant à la poursuite de sa production, certaines associations y voient un trompe l'œil qui appauvrit les automobilistes et l'environnement.

Selon la filière française du bioéthanol, en 2011, le SP95-E10, carburant contenant jusqu'à 10% de bioéthanol, a poursuivi « sa percée et termine l'année 2011 avec une part de marché des essences de plus de 20% en décembre 2011, en progression de plus de 40% sur 1 an. »

Ainsi, « le SP95-E10 est déjà distribué dans plus de 25 % des stations-service contre 19% en janvier 2011. Sur les 6 derniers mois de 2011, le SP95-E10 a été vendu en moyenne environ 3,5 centimes par litre moins cher que le SP95 dans les circuits de distribution comparables. » Ce qui correspondrait, selon les professionnels du bioéthanol, à une « économie de 0,39 € par litre par rapport au SP95, soit plus de 460 € par an pour un automobiliste parcourant 15 000 km par an. »

Malheureusement, dans les faits, nous constatons que le SPE95-E10 a un rendement significativement moindre que le SP95 (-18% sur une Renault Twingo 2), ce qui oblige donc l'automobiliste à consommer plus et donc à dépenser plus, contrairement à ce qu'indiquent les professionnels de la filière. Un constat partagé par un récent rapport de la Cour des comptes qui indique que les politiques françaises de promotion des agrocarburants ont coûté 3 milliards d'euros aux consommateurs entre 2005 et 2010. Ainsi, les agrocarburants, incorporés aux carburants fossiles, obligent en effet à passer plus souvent à la pompe car ils sont moins efficaces que les carburants fossiles, constate également le Réseau Action Climat - France et ses associations membres......extraits notreplaneteinfo.

Commentaire : une vaste escroquerie

27/01/2012

Nos élus polluent un max ... Transparence des élus : et si on appliquait enfin les sanctions ? TOUS POURRIS LES Français le pensent à 80 % Démonstration

Des déclarations de patrimoine oubliées, des prêts difficiles à contrôler, une justice qui classe tous les dossiers : la Commission pour la transparence financière de la vie politique perd patience. Elle réclame que les élus concernés soient déclarés inéligibles, comme le prévoit la loi.

Qui contrôle quoi ?
  • Elus et dirigeants d'entreprises publiques : ils doivent déclarer leur patrimoine à la Commission pour la transparence financière de la vie politique.
  • Président de la République : il remet sa déclaration au Conseil constitutionnel.
  • Ministres : leurs déclarations de patrimoine et d'intérêts doivent être rendues publiques sur Internet.
  • Parlementaires : ils devront aussi déclarer les éventuels conflits d'intérêts aux déontologues de l'Assemblée nationale et du Sénat.

Cette sanction radicale aurait dû s'appliquer à pas moins de 13% des sénateurs, 9% des conseillers généraux et même 25% des conseillers régionaux, 199 élus au total. Ils étaient censés remettre à la Commission une déclaration de patrimoine au début puis à la fin de leur mandat, dans un délai de deux mois.

Une obligation destinée à repérer les enrichissements douteux, et prise à la légère par une partie des intéressés. La Commission, qui réunit des magistrats de la Cour de cassation, de la Cour des comptes et du Conseil d'Etat, est lassée de devoir réclamer ces documents.

Dans son dernier rapport, publié mercredi au Journal officiel, elle lance donc un avertissement : désormais, elle réclamera « systématiquement » l'application de la loi aux retardataires, c'est-à-dire leur inéligibilité, prévue depuis 1988, et une amende de 15 000 euros, prévue par une loi votée en 2011.

Le rapport, qui ne fournit aucun nom d'élu concerné, met en lumière d'autres pratiques douteuses... mais aussi les pouvoirs limités de la Commission. Celle-ci aimerait ainsi pouvoir se pencher sur les prêts dont bénéficient certains élus :

  • des prêts de l'Assemblée nationale ou du Sénat : chacune des deux assemblées peut accorder des prêts à ses membres, mais la Commission se juge démunie pour vérifier « [leur] objet ou [leurs] conditions d'attribution » ;
  • des prêts personnels  : certaines déclarations de patrimoine font état de prêts sans intérêts et jamais remboursés, et qui, faute d'explications de la part des bénéficiaires, seraient « susceptibles dans certains cas de révéler des infractions pénales, telles que des abus de confiance, des abus de biens sociaux ou des recels ».

La justice a classé tous les dossiers

Lorsque les explications fournies laissent encore planer le doute, la Commission le signale à la justice, pour obtenir l'ouverture d'une enquête. Elle l'a fait douze fois depuis sa création en 1988, sans aucun résultat :

« 100% des saisines du parquet ont donné lieu à de tels classements. S'il est vrai qu'un enrichissement inexpliqué ne constitue pas par lui-même un délit, un tel résultat n'en est pas moins clairement décevant. »

Les magistrats qui composent la Commission ne cachent pas un certain découragement. D'autant qu'ils aimeraient se pencher sur des zones grises jusqu'ici inexplorées :

  • le patrimoine des proches des élus : la Commission veut pouvoir examiner celui des conjoints et des enfants mineurs, pour éviter « les stratégies de contournement » ;
  • les indemnités des parlementaires : ceux-ci bénéficient d'une « indemnité représentative de frais de mandat » – 6 400 euros par mois pour les députés –, mais rien ne les oblige à reverser l'argent qu'il n'aurait pas utilisé ; selon la Commission, cela permet d'empocher, sur la durée d'un mandat, entre 1 400 euros et... 200 000 euros. source RUE 89

21/01/2012

Le sèche-mains électrique, un aérosol à microbes ?

....

Dans les hôpitaux, il n'est aujourd'hui pas plus question de serviettes en papier que de sèche-mains électriques, puisqu'il n'est même plus question de se laver les mains. Dans certains établissements, les points d'eau avec savon et serviettes en papier commencent même à disparaître des chambres, raconte Brigitte Mangin, cadre hygiéniste à l'hôpital Georges-Pompidou. "On ne préconise plus le lavage en milieu hospitalier : la friction avec une solution hydro-alcoolique est bien plus efficace", précise-t-elle. Sans compter qu'elle ne nécessite aucun séchage...

Les citoyens écoresponsables et soucieux de leur hygiène vont néanmoins se trouver face à un dilemme de taille : une étude (lien PDF) commandée par Dyson et réalisée par l'Institut de technologie du Massachusetts a établi que l'essuie-mains à usage unique, qui représente encore 75 % du marché, est le système le moins respectueux de l'environnement et le plus gros émetteur de CO2. extraits lemonde

17/01/2012

Du 18 au 24 janvier 2012 - 3€ la place de cinéma avec le pass Télérama dans les numéros du 11 et 18 janvier 2012 - 15 films sélectionnés par la rédaction cinéma de Télérama et nos lecteurs

 

Festival cinéma Télérama

           

- 214 salles dans toute la France participent au Festival cinéma Télérama : à Paris (20), en banlieue (26), en province (168)

Vous pouvez télécharger : 
 

LES FILMS DU FESTIVAL :

Les Neiges du Kilimandjaro
Une séparation
La piel que habito
L'Exercice de l'Etat
Habemus papam
Le Havre
Il était une fois en Anatolie
Tomboy
Le Gamin au vélo
Incendies
La guerre est déclarée
Essential Killing
Les Bien-aimés
Black Swan
Drive

 

affiche_festival_cinema

16/01/2012

A qui vraiment la faute de l'explosion de notre dette depuis 1974 ?

voir l'article du monde reproduit partiellement

Contre le discours dominant sur la dette publique

 

 

 

 

Il y a deux manières de raconter ce qui se passe en Europe. Selon le storytelling dominant, nous avons trop dépensé. Experts et éditorialistes devisent sur la France qui, comme les autres pays dépensiers, "vit depuis plus de trente ans à crédit". L'enjeu pour la gauche serait seulement de "donner du sens à la rigueur" en attendant de "relancer la croissance".

 

Ce scénario semble aussi évident que l'air que nous respirons. Il est pourtant contraire aux principaux chiffres officiels, et une narration alternative apparaît mieux fondée. Ainsi selon le rapport sur "La dépense publique et son évolution", publié par Bercy, la part des dépenses publiques dans le PIB français est passée de 52,8 % dans les années 1990 à... 52,9 % dans les années 2000.

 

Si les déficits et la dette ont flambé, ce n'est pas du fait d'une envolée des dépenses, mais à cause d'une réduction des recettes. Le manque à gagner annuel dû aux exonérations et baisses d'impôts consenties dans les années 2000 est chiffré par Gilles Carrez, député UMP et rapporteur du budget, à plus de 100 milliards d'euros. Et la crise financière a provoqué une chute brutale des recettes publiques déjà érodées par cette contre-révolution fiscale. Cette dette est celle de la finance et du néolibéralisme, pas des assurés sociaux ni des citoyens.

 

Deux narrations aussi contradictoires de l'histoire de la dette publique déterminent deux réponses antagoniques. Selon l'histoire officielle, une cure sévère d'amaigrissement budgétaire s'impose, sans débat autre que sur les modalités, pour que la France restaure ses finances publiques et que ses entreprises redeviennent compétitives. Dans la narration alternative, à l'inverse, la clé de la situation réside dans une réforme fiscale redistributive, couplée à une cure amaigrissante et une mise sous tutelle... du secteur financier.

 

En outre, la réforme fiscale, qui permet de réduire le déficit courant, n'épongera pas la dette : les intérêts versés en 2011 aux rentiers - ceux-là mêmes qui ont bénéficié des baisses d'impôts - se montent à 50 milliards d'euros, avant même la prochaine perte du triple A et de probables hausses des taux exigées par les marchés.

 

Pour alléger ce fardeau, préserver les services publics et la protection sociale, et enclencher une transition écologique, le débat démocratique devra déterminer si une part de cette dette est illégitime, c'est-à-dire contractée au nom d'arguments infondés et au bénéfice d'intérêts particuliers et, le cas échéant, décider un défaut sur cette partie de la dette. Les Etats devront à l'avenir se financer ailleurs qu'auprès des seuls marchés financiers, comme ils le faisaient jusqu'au début des années 1980 : faute de quoi ils ne pourront plus prétendre à aucune souveraineté.

 

Ils devront également prendre acte que cette crise est aussi celle d'un modèle de croissance insoutenable, et réorienter les investissements publics vers des programmes écologiquement plus sobres et plus riches en emplois, au lieu de grands projets productivistes, coûteux et obsolètes.

 

Mais si la narration critique a pour elle la vraisemblance du diagnostic, elle se heurte aux "évidences" martelées, et la nécessaire radicalité des réponses qu'elle appelle peut inquiéter. C'est pourquoi un appel pour un "audit citoyen de la dette publique" a été lancé mi-octobre 2011 par des personnalités et nombre d'organisations syndicales, associatives et politiques, rejoints depuis par plus de 50 000 citoyens....

 

Des collectifs locaux se créent dans de nombreuses localités pour proposer aux citoyens de s'emparer de ce débat. Ces initiatives n'ont pas encore intéressé les médias, mais veulent susciter dans les profondeurs de la société un débat de la même intensité que celui qui a précédé le référendum sur le traité constitutionnel européen en 2005.

 

Car les questions alors débattues se posent avec une tout autre acuité, à l'heure où le tsunami de l'austérité arrive d'Europe méridionale. Les réformes institutionnelles adoptées depuis un an, et parachevées par le "traité intergouvernemental à Vingt-Six" décidé au sommet européen de décembre, ne font que radicaliser une logique de répression budgétaire et de soumission aux marchés financiers, dont la crise manifeste pourtant l'échec patent. ......

 

Une idée a servi de clé de voûte à l'architecture européenne depuis Maastricht : les marchés sont plus intelligents que les gouvernements et les électeurs. Concurrence fiscale et sociale au sein d'un marché libre et non faussé ; réduction des recettes publiques pour augmenter la compétitivité ; obligation faite aux Etats, en cas de déficits, de se financer sur les marchés ; interdiction faite aux Etats de s'entraider financièrement... : la zone euro a été conçue pour éliminer les politiques économiques volontaristes et placer les Etats sous le pilotage automatique des marchés. La tentative désespérée de sauver cette architecture aux principes obsolètes ne peut qu'échouer, fût-ce avec des eurobonds (des titres communs pour mutualiser la dette des pays de la zone euro) qui resteront soumis au jugement et donc aux critères de "bonne gestion" des marchés.

 

L'échec programmé de ce sauvetage peut déboucher dans les années à venir sur un éclatement de l'euro et un déferlement des courants nationalistes, autoritaires et xénophobes qui travaillent les sociétés européennes. Mais le pire n'est pas certain. .......

 

La nomination d'anciens dirigeants de Goldman Sachs comme chefs de gouvernement en Grèce et en Italie, ministre des finances en Espagne ou président de la Banque centrale européenne, ne passe pas. .... Les citoyens ne veulent plus être "des jouets dans les mains des banques et des politiciens", comme disent les "indignés" espagnols......

 

Face à la surdité des élites, une insurrection démocratique est nécessaire en Europe comme d'ailleurs aux Etats-Unis, dans le monde arabe, en Russie... Il s'agit de refonder la démocratie dans le champ politique, par un recours intense aux mécanismes de la démocratie directe (initiatives citoyennes, référendums révocatoires...) et de la démocratie délibérative (conférences citoyennes, deuxième Chambre tirée au sort...).

 

Il s'agit aussi de l'élargir au champ économique, à commencer par le système bancaire, dont le sauvetage imminent par les deniers publics doit être l'occasion de le placer sous le contrôle non pas des fonctionnaires de Bercy ou de Bruxelles, mais de la société civile. L'horizon semble bouché par leur dette : dégageons-le en réinventant notre démocratie.

Voir les solutions alternatives  en cliquant ICI

11/01/2012

Nos conseils pour un chauffage au bois optimisé en prenant du bois coupé en automne et en hiver : c'est le moins cher, le moins polluant et en pluson donne du travail localement...

sélectionnez des cheminées fermées avec insert avec label flammeverte minimum 4 étoiles pour le meilleur rendement bois brûlé/+de calories rendues !

10/01/2012

Poissons moins chers sur les étals des poissonniers ....mais attention Panga polluée

voir la vidéo

09/01/2012

Consommer modérément les poissons en bout de chaine qui capte toute la pollution comme le bar (loup) ou le thon... Qu'on se le dise

Polluants organiques: la mer boit la tasse

 

 

Le marsouin, sentinelle de l’océan

Il y a quelques années, Krishna Das, Chercheur Qualifié au F.R.S.- FNRS dans le Laboratoire d’Océanologie, s’est penchée sur la santé des marsouins, le cétacé le plus répandu en mer du Nord (environ 300.000 individus). « Le marsouin est aussi au bout de la chaîne alimentaire, explique Krishna Das. C’est une espèce sentinelle. Il constitue un bon indicateur de l’état de propreté de nos océans. » Krishna Das, lors de son séjour post-doctoral au FTZ (Forschung-und Technologie Zentrum) chez le Dr U. Siebert,  a étudié au microscope des thyroïdes prélevées chez des marsouins provenant de l’Atlantique, la mer du Nord et la mer Baltique. « Nous avons montré que les taux de PCB dans la thyroïde varie selon l’origine des marsouins. Ceux de la mer Baltique, qui est plus polluée que la Mer du Nord, sont plus contaminés. Notre étude a également montré que les thyroïdes des marsouins issus de la mer Baltique étaient en moins bon état que les autres. » (1 & 2) Les taux de PCB mesurés sur les marsouins des zones arctiques, beaucoup plus au nord et surtout plus éloignés des sources de pollution, sont dix fois moins élevés que ceux mesurés en mer du Nord. extraits réflexions université de liège

Commentaire : diversifiez votre consommation en mangeant plus de bio si c'est financièrement possible

08/01/2012

Réduction du bruit des véhicules Commission européenne

La Commission européenne a proposé aujourd'hui de réduire le bruit produit par les voitures, les fourgonnettes, les autobus, les autocars, les camionnettes et les poids lourds.Les valeurs limites de bruit seraient abaissées en deux étapes de 2 dB(A) chacune pour les voitures particulières, les fourgonnettes, les autobus et les autocars.Pour les camions, la réduction serait de 1 dB(A) à la première étape et de 2 dB(A) à la seconde.La première étape devrait être mise en œuvre deux ans après la publication du texte, une fois qu'il aura été approuvé par le PE et les États membres, et la seconde trois ans plus tard.Globalement, ces mesures réduiront d'environ 25 % la gêne occasionnée par le bruit des véhicules.La Commission a également l'intention d'introduire une nouvelle méthode d'essai plus fiable pour mesurer les émissions sonores.En outre, il est proposé que les véhicules électriques et électriques hybrides puissent être équipés, en option, de dispositifs de production de son qui  rendraient ces véhicules plus sûrs.Les limites des émissions de bruit n'ont pas changé depuis 1996 en dépit de l'augmentation du trafic.

 

L’Organisation mondiale de la santé a conclu qu’en Europe occidentale, le bruit lié au trafic pourrait coûter chaque année 1 million d’années de vie en bonne santé. La réduction du bruit du trafic est donc essentielle pour améliorer la santé et la qualité de vie des citoyens de l’Europe.

La proposition d'aujourd'hui réduira de manière significative les niveaux du bruit ambiant et, par conséquent, le nombre de personnes qu'il affecte.

Le vice-président Antonio Tajani, en charge des entreprises et de l'entrepreneuriat, a déclaré: «Les émissions de bruit dues au trafic routier, dont souffrent nos citoyens, seront grandement réduites. Notre proposition conduira à des véhicules à moteur plus silencieux sur nos routes et à un environnement plus sain. Notre proposition rendra également les règles internationales plus claires pour l'industrie, ce qui permettra aux constructeurs européens de vendre plus facilement leurs voitures en dehors de l'UE».

Contexte

De nouvelles limites de bruit mesurées au moyen d'une nouvelle méthode

La proposition concernant la réduction du bruit des véhicules concerne les voitures particulières, les fourgonnettes (véhicules utilitaires légers),  les autobus, les camionnettes, les autocars et les poids lourds. Elle assurera que les niveaux de bruit des véhicules neufs soient mesurés au moyen d'une nouvelle méthode d'essai plus fiable.

À cette fin, des dispositions supplémentaires concernant l'émission de bruit (ASEP) seront incluses. Il s'agit de prescriptions préventives qui assureront que les émissions sonores d'un véhicule dans les conditions de la circulation en rue ne diffèrent pas de manière significative de celles qui peuvent être attendues du résultat de l'essai de réception par type pour ce véhicule spécifique.

Véhicules électriques et véhicules hybrides électriques

Des prescriptions relatives à des «systèmes audibles signalant l'approche d'un véhicule» assureront que seuls des dispositifs produisant un son adéquat soient utilisés, ce qui conduira également à une harmonisation de la technologie appliquée.Le montage en tant que tel resterait facultatif pour le constructeur automobile.Cela renforcera la sécurité routière et, sans aucun doute, contribuera à éviter des dommages dus à des accidents de circulation.

Un avantage global

Le fait d'avoir les mêmes règles de base partout dans l'UE permet d'acheter, de vendre et d'utiliser plus facilement des véhicules dans n'importe quel État membre  et assure que les normes en matière de santé, de sécurité et de protection de l'environnement soient les mêmes partout dans l'UE.

Avec cette proposition, les règles de l'UE actuellement applicables aux émissions de bruit des véhicules seront mises à jour et alignées sur les normes internationalement reconnues des Nations unies.Cela devrait permettre d'améliorer l'accès des constructeurs automobiles européens aux marchés de pays tiers qui sont parties contractantes à l'accord de 1958 de la CEE-ONU et donc de renforcer la compétitivité de l'industrie européenne.

La proposition de la Commission européenne doit à présent être soumise aux co-législateurs européens, le Parlement européen et le Conseil.

Pour plus de renseignements:

-       sur les émissions de bruit des véhicules à moteur:

http://ec.europa.eu/enterprise/sectors/automotive/environ...

-       sur la politique de la Commission européenne concernant l'automobile:

http://ec.europa.eu/enterprise/sectors/automotive/index_fr.htm

07/01/2012

Même le bon pain complet est plein de pesticides utilisés en raison des conditions de stockage dans les grands moulins

Achetez des farines Label rouge.... pour l'éviter. Seul un un grand distributeur et les artisans-boulangers s'obligent à utiliser ces farines sans pesticides.

La plupart des pains complets industriels contiennent donc des pesticides en grande quantités... à savoir le PIRIMIPHOS METHYL et le PIPERONYL BUTOXIDE

Quelques conseils utiles pour votre compostage

Alire attentivement et à mettre en oeuvre si c'est possible pour vous

lettre 3 compostage.pdf

02/01/2012

Pièces à conviction-Assiette-tous-risques...

Notre ministre de l'agriculture ne veut pas manger de la viande aux antibio...pas normal car nous on n'a pas les moyens de faire le difficile avec la crise....


voir aussi le document de la faculté de médecine de Rennes TETRACYCLINES (EFFETS INDESIRABLES)