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29/04/2010

Phishing : Ça se rapproche

Les arnaques au phishing (hameçonnage) connaissent depuis peu une nouvelle variante qui consiste à se faire passer pour un autre afin d'obtenir des informations confidentielles ou de l'argent. Méfiance, méfiance.

Depuis des années que les tentatives d'hameçonnage sur Internet se multiplient, les particuliers ont appris à être prudents. Effectivement, ces courriels reçus de son prétendu fournisseur d'accès à Internet, opérateur de téléphonie mobile, banque ou même du Trésor public ont fait beaucoup de victimes. Mais cette arnaque qui consiste à usurper l'identité d'une entreprise ou d'une institution afin d'obtenir des informations confidentielles (identifiant, mot de passe...), ne semble plus porter ses fruits.

Et comme souvent, quand le grand public devient méfiant, les bandits du Web s'adaptent. La dernière variante de phishing en est la preuve. Pour mettre en confiance les potentielles victimes, les courriels envoyés proviennent cette fois d'une personne physique de leur entourage. Ces escrocs technologiques procèdent en plusieurs étapes : d'abord ils récupèrent en ligne le carnet d'adresses d'un internaute, puis ils envoient à tous ses correspondants un courriel à partir de l'adresse électronique de cet internaute. Du coup les destinataires reçoivent un courriel d'une personne de leur connaissance, donc aucune raison de se méfier. L'association UFC-Que Choisir de Clermont-Ferrand a ainsi reçu le témoignage d'une personne dont tous les correspondants ont reçu de sa part un courriel indiquant qu'on lui avait volé son sac et son argent et qu'étant à l'étranger elle avait besoin rapidement d'argent pour payer son hôtel. Bien entendu, la majorité des destinataires savaient qu'elle n'était pas à l'étranger dans cette mauvaise posture, mais dans un carnet d'adresses de plusieurs centaines de noms, certains peuvent se laisser berner et faire un virement à quelqu'un de leur connaissance dans le besoin. Virement qui atterrira bien entendu dans la poche des auteurs de l'arnaque.


Qu'il s'agisse de votre banque, de votre FAI, de n'importe quelle institution, ou désormais d'une personne de votre entourage, ne communiquez pas de données d'ordre privé et ne procédez à aucun virement d'argent. Si quelqu'un devez réellement avoir besoin de vous, ce n'est certainement pas via un courriel alarmiste qu'il solliciterait de l'aide.


Franck Attia

source en cliquant ici

25/04/2010

Cosmétiques : la biopiraterie en cosmétiques

Si vous avez lu attentivement mon interview de Daniel Joutard de la marque Aïny (et je suis sûre que vous l’avez fait, sinon, c’est par ici), vous avez certainement été interpellé par ce mal qui existe depuis des décennies, mais qui est très très peu médiatisé : la biopiraterie.

La biopiraterie, selon Wikipedia, c’est ça :

La biopiraterie (ou biopiratage) est l’appropriation de connaissances biomédicales autochtones, par le biais de brevets, par des firmes privées du génie génétique sans compensation pour les groupes autochtones qui ont initialement développé ces connaissances.

A partir des années 1980, certains industriels de la pharmacie ou de l’agriculture se sont appropriés un droit exclusif sur les gènes du génome humain, des plantes, et de façon plus large tout ce qui est vivant, notamment les ressources de peuples du Tiers-Monde.

Le terme est aussi utilisé pour décrire la marchandisation du vivant, c’est-à-dire l’appropriation juridiquement cadrée d’une ressource naturelle (alors considérée comme bien commun) au profit d’un groupe ou d’une firme commerciale privée par le biais d’un brevet.

La biopiraterie peut faire référence :

  • à l’utilisation non autorisée de ressources biologiques (i.e., plantes, animaux, organes, micro-organismes, gènes...).
  • à l’utilisation non autorisée des connaissances sur les ressources biologiques des communauté indigènes et traditionnelles.
  • à la distribution non équitable des bénéfices entre le porteur du brevet et la communauté dont les ressources et les connaissances sont ainsi confisquées.
  • au brevetage de ressources biologiques sans respecter les critères de brevetabilité (nouveauté, inventivité et utilité).

Aïny en parle aussi régulièrement sur son blog, et c’est hyper instructif (voir ici).

Si le sujet vous intéresse (et je m’adresse ici plutôt aux pros), ce sera le thème des Matinales de la Cosmétiques le 25 mai prochain.

Et qui sera le principal intervenant ? Daniel Joutard, bien sûr !


extraits et source en cliquant ici
+ d’infos : www.lesmatinalesdelacosmetique.com

 

19/03/2010

ressé par Bruxelles, Microsoft doit proposer d'autres navigateurs que le sien

A partir de ce mercredi 17 mars, Microsoft va proposer progressivement à tous les utilisateurs européens de son navigateur Web, Internet Explorer, de télécharger un outil concurrent. Des dizaines de millions de personnes sont concernées. Elles verront s'afficher sur l'écran de leurs ordinateurs des "écrans de choix" proposant une douzaine de ces logiciels dont le rôle est de rendre visibles les pages Web.

Ce dispositif résulte des pressions de la Commission européenne, qui accusait le géant américain, premier éditeur mondial de logiciels, d'abuser de sa position dominante en intégrant systématiquement Internet Explorer dans ses systèmes d'exploitation. Or ces derniers équipent neuf ordinateurs sur dix dans le monde. Pour surfer sur le Web avec un autre outil, il fallait aller sur le site de son éditeur, puis télécharger son navigateur, ce qui prenait plusieurs minutes.

L'"écran de choix" va-t-il rebattre les cartes sur le marché des navigateurs ? Le but de la manoeuvre étant de leur donner plus de visibilité, les concurrents de Microsoft ont des chances de voir leurs parts de marché augmenter.......

C'est à l'occasion d'une remise à jour de leur système d'exploitation Microsoft (à condition que ce soit Windows XP, Vista ou Windows 7) que les utilisateurs "par défaut" du navigateur Internet Explorer du géant américain vont voir apparaître une fenêtre sur l'écran de leur ordinateur. Elle leur proposera de télécharger un nouveau navigateur, au choix, parmi onze concurrents de Microsoft. Il leur sera évidemment possible de conserver Internet Explorer s'ils le veulent. Ou, une fois leur nouveau navigateur téléchargé, d'en choisir un autre. A condition d'aller directement sur le site Web de l'éditeur du navigateur souhaité.

source extrait le monde

commentaire  : enfin une vraie concurrence Merci à la Commission Européenne

21/12/2009

Allemagne : Région Bade-Wurtemberg / Géothermie 237 maisons endommagées

Ville de Staufen : le sous-sol se calme

Lueur d'espoir à Staufen: des mesures récentes indiquent que le sous-sol se soulève moins vite. Les autorités émettent l'hypothèse que les mesures prises pour enrayer la catastrophe liée à des forages géothermiques pourraient bien montrer leurs premiers résultats.

Le bout du tunnel serait-il envisageable pour la petite ville médiévale de Staufen au sud de Fribourg ? Depuis qu'en décembre 2007, sept puits de forage ont été creusés pour chauffer la mairie par géothermie, le sous-sol se soulève à la cadence d'un centimètre par mois, provoquant ainsi des fissures impressionnantes dans les murs des bâtiments du centre-ville.

237 maisons endommagées

Sans être formels, les experts s'accordent à dire que ce phénomène n'est probablement pas d'origine naturelle. Un forage test indique que le passage d'eau dans une couche de roches sédimentaires riches en anhydrite transforme celle-ci en gypse-keuper et fait augmenter son volume de 60%. Reste à savoir si cette arrivée d'eau a été provoquée par l'un des forages.
Alors que l'on dénombre à présent 237 maisons fissurées, dont une évacuée, la municipalité tente de réagir en deux temps : trouver d'abord une solution pour stopper le gonflement du sol tout en sécurisant le périmètre touché et plus tard, lorsque le phénomène aura cessé, rénover les bâtiments endommagés.
Les premières mesures prises sont le pompage de la nappe phréatique à 140 m de profondeur et le colmatage du fond des sept puits par injection de ciment. A cette occasion, les techniciens ont remarqué qu'ils avaient eu besoin de 1 000 litres de coulis de ciment pour colmater le puits n°7 sur une quarantaine de mètres, alors que seulement 100 litres avaient été nécessaires pour les autres. Ce qui confirmerait l'une des hypothèses sur les causes du gonflement.

L'épineuse question du financement

Parallèlement, la ville se préoccupe de trouver des fonds pour faire face aux dommages. Le maire, Michael Benitz, a affirmé cette semaine que les dommages pourraient atteindre entre 40 et 50 millions d'euros. A elle seule, la rénovation de la mairie devrait s'élever à 3,1 millions d'euros. Une somme énorme pour une cité comptant seulement 7 800 âmes....

extrait source  DNA Dimanche 20 décembre 2009

La géothermie est une technique délicate.. Après la région de Bâle que a commu des secousses sysmiques suite à des recherches de géothermie, la région du Bade-Wurtemberg est confrontée à des problèmes de montée de l'eau... qui déchire les maisons

 

18/11/2009

Une énième étude met en cause le bisphénol A


la molécule de BPA bisphénol A

Depuis 1995, les études se suivent et se ressemblent sur les dangers du bisphénol A (BPA), un monomère entrant dans la fabrication de polymères, en l’occurrence un plastique dur et transparent, le polycarbonate..........

Selon une nouvelle étude portant sur des sujets adultes, le BPA serait également dangereuse pour les adultes qui y seraient exposés. Conduite en Chine sur des ouvriers travaillant dans une usine où le BPA est utilisé en grande quantité, cette étude vient d’être publiée dans la revue Human Reproduction.

Ces ouvriers, expliquent les chercheurs chinois, ont quatre fois plus de risques de souffrir de troubles de l’érection et sept fois plus d’avoir des problèmes d’éjaculation – en comparaison d’ouvriers employés d’une usine n’en utilisant pas.Cette étude serait ainsi la première à faire le lien entre “une exposition au BPA sur le lieu de travail et un dysfonctionnement sexuel chez l’homme”.

Les taux de BPA auxquels étaient exposés les ouvriers étudiés étaient très élevés. ......

Pionnier, le Canada a été le premier pays à bannir, en 2008, les produits contenant du BPA. Quid de la France ? Dans un rapport de 2008, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation (AFSSA) ne s’est pas inquiétée outre mesure, suscitant les moqueries du Canard. L’Agence ne voit pas de risques pour les bébés :

“Lorsque le contenu des biberons en polycarbonate est chauffé via un traitement au four à micro-ondes en conditions réalistes (durée de chauffage inférieure à 10 minutes), les quantités de Bisphenol A transférable à l’aliment restent très inférieures à la valeur maximale de 50 μg de Bisphenol A par litre retenue par l’AESA pour son calcul d’exposition conservateur.”

L’Agence a toutefois promis de relancer les investigations à ce sujet.

Une proposition de loi visant à proscrire “la fabrication, l’importation, l’offre, la détention en vue de la vente ou de la distribution à titre gratuit, la mise en vente, la vente ou la distribution à titre gratuit de plastiques alimentaires contenant du Bisphénol A” a été déposée au début de l’été au Sénat par le socialiste Yvon Collin, mais n’a pas été, à notre connaissance, soumise au vote.

extraits et cliquer pour + de détails sur sciences.blog.lemonde

12/11/2009

Le captage-stockage du CO2 vise la maturité en 2020

Trois procédés existent pour capter le CO2 : extraction dans les fumées de combustion, dans le combustible initial, ou après concentration par la présence d'oxygène. Son transport vers un site de stockage peut s'effectuer par gazoduc terrestre ou sous-marin, ou par bateau. Son enfouissement est envisagé dans des aquifères salins, des gisements de pétrole et de gaz, ou des veines de charbon inexploitées.

"Nouvelle usine à gaz"

L'IEA (Agence internationale de l'énergie) a établi une feuille de route ambitieuse. L'objectif est d'arriver à cent projets à grande échelle en 2020, puis de monter à 850 installations en 2030 et 3 400 en 2050, ce qui permettrait de piéger 10 milliards de tonnes de dioxyde de carbone par an. Un chiffre à comparer aux 30 milliards de tonnes annuelles aujourd'hui relâchées par les activités humaines. L'investissement nécessaire sur quarante ans est de près de 6 000 milliards de dollars (4 000 milliards d'euros).

La première incertitude qui pèse sur ce scénario est financière. Avec les techniques actuelles, la séquestration d'une tonne de CO2 sur les sites des centrales électriques au charbon, au gaz ou au fioul, ou ceux des cimenteries, des raffineries et des usines sidérurgiques, puis son transport, enfin son enfouissement dans le sous-sol, reviennent à près de 100 euros. Un coût dissuasif, quand les droits d'émission se négocient, sur le marché du CO2 à moins de 20 euros la tonne. D'autant que le captage est une opération gourmande en énergie, qui peut réduire de plus d'un quart le rendement d'une centrale au charbon.

La donne pourrait changer si, comme le prévoient des experts, le cours de la tonne de CO2 grimpe à 100 euros en 2030, et si celui du captage-stockage tombe à 30 euros la tonne, grâce à une standardisation des procédés.

La seconde incertitude est environnementale. Les méthodes de capture et d'acheminement du dioxyde de carbone sont maîtrisées par l'industrie pétrolière. Mais des recherches restent à mener pour garantir la sécurité, sur une période d'un ou plusieurs millénaires, d'un enfouissement dans une formation géologique profonde, telle qu'un aquifère salin. Les risques potentiels étant une acidification du milieu, une remontée gazeuse vers une nappe d'eau potable, voire un dégazage brutal dans une zone où, à forte concentration, le CO2 pourrait avoir des effets délétères.

C'est ce qui fait dire au réseau associatif France nature environnement que le CSC est "une nouvelle usine à gaz". Et qu'il vaut mieux miser sur la préservation - et la restauration - de la capacité naturelle des océans, de la végétation et des sols à absorber le carbone.

Pierre Le Hir

Extraits LE MONDE | 06.11.09

Commentaires :  cette stratégie consistant à demander aux pollueurs (les pétroliers) d'enfouir sa tête (c-à-d le gaz co2) sous la terre à l'image de l'autruche est un plâtre sur une jaùbe de bois car on ne s'attaque à la souce du problème. On ne chiffre ici  nullement le coût financier, écologique et social des risques gigantesques liés à la garantie de la sécurité pour les générations futures de nos enfants (cf. également le même aspect pour les déchets nucléaires). Personne et aucun assurance n'est capable d'assurer ce risque....sous forme de prime sans faire faillite

15/10/2009

Energie nucléaire ...Cadarache: "scandaleux" (Jouanno)

cadarache.jpgL'incident sur le site nucléaire de Cadarache (Bouches-du-Rhône) est "scandaleux" et il est "inadmissible" que le gouvernement ait été informé si tardivement, a jugé aujourd'hui la secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Chantal Jouanno.

"Il est totalement anormal que sur cette filière que l'on dit extrêmement contrôlée, on découvre que la comptabilité est mal tenue, qu'on ne sait pas exactement combien il y a (de plutonium) et surtout qu'on en soit informé si tardivement", a déclaré sur RTL Mme Jouanno, qui se dit "stupéfaite et même scandalisée".

"Il est inadmissible que Jean-Louis Borloo (le ministre du Développement durable, ndlr) n'ai pas été informé depuis juin", date à laquelle 22 kilos de plutonium ont été découverts dans un atelier en cours de démantèlement, au lieu des 8 kg estimés....

source extrait et consulter tout l'article en cliquant sur figaro 15/10/09

Commentaire : ce n'est des têtes qui doivent tomber mais bien comprendre que le plutonium est la matière la + dangereuse au monde pour l'homme et donc sortie du nucléaire par le haut en maintenant provisoirement ces centrales tout en accélérant très vite les énergie alternatives avec des financements euopéens conséquents (Plan Marshall Terre) [il en va de notre survie] car :

Le plutonium est un émetteur de rayonnement alpha, type de rayonnement facilement arrêté par les parois fines, y compris par la peau. Cependant, s'il est inhalé ou ingéré, il irradie directement les cellules des organes qui sont en contact avec lui (ou qu'il a pénétré). Il peut alors affecter leur noyau et l'ADN et provoquer des cancers. Son activité interne est d'autant plus dangereuse qu'une part importante du plutonium absorbé par l'organisme s’y fixe durablement.

source wikipedia

02/10/2009

Autoroutes : limitation de vitesse à 110 km/h participez au sondage

Trés bonne mesure A ETENDRE A LA FRANCE ENTIERE, voire A promouvoir au niveau EUROPEEN.

Sans compter la réduction des émissions à effet de serre de 6%, signalons une diminution notable des accidents de la route de ...20% alors que le gain en temps est minime. Toute mesure est bonne à prendre surtout si elle ne coûte rien. Nous ne sommes donc en désaccord sur ce point avec la secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Chantal Jouanno.

Participez   en cliquant sur sondage

Plusieurs membres du gouvernement, dont la secrétaire d’Etat à l’Ecologie Chantel Jouanno, ont écarté hier la possibilité de généraliser, à court terme, la limitation de vitesse à 110 km/h aujourd’hui appliquée sur certains tronçons d’autoroutes, telle l’A31. « Ce n’est pas une mauvaise idée mais ce n’est pas LA mesure majeure qui nous permettra de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Ce n’est pas la plus importante», a notamment expliqué Jouanno.
source lerépublicainlorrain

Depuis 7 heures ce matin, les automobilistes lorrains doivent lever le pied. Dans la moitié des autoroutes de cette région, la vitesse maximale autorisée est ramenée à 110 km/h à titre d'expérimentation. La mesure «n’est pas une mauvaise idée» pour la secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Chantal Jouanno, «mais ce n’est pas la priorité. Ce qu'il faut c'est réduire globalement la vitesse», a-t-elle déclaré sur RMC.

Selon elle, passer de 130 à 110 km/heure permet cependant de limiter les émissions de gaz à effet de serre (responsables du réchauffement climatique) de 6%

source 20minutes

28/08/2009

Le Canada contraint Facebook à mieux protéger la vie privée

Extraits LEMONDE.FR avec AFP | 28.08.09


Les 250 millions de membres revendiqués par Facebook vont bénéficier de l'aboutissement de négociations entre le Canada et le réseau social visant à mieux protéger la vie privée de ses usagers. La commissaire canadienne à la protection de la vie privée, Jennifer Stoddart, a en effet obtenu, après un an d'enquête, que le site Internet de socialisation procède à plusieurs modifications, dont celle de supprimer toutes les données personnelles des utilisateurs lorsque ceux-ci clôturent leur compte. Jusqu'à présent, ces renseignements étaient conservées indéfiniment, ce qui est contraire à la loi canadienne. Dans un souci de clarification, le réseau social s'engage à informer ses membres que la désactivation de leur compte n'implique pas la suppression de leurs données personnelles. Pour l'obtenir, le compte doit être liquidé définitivement.

Les autres modifications visent à interdire l'utilisation de données personnelles stockées sur Facebook pour la confection de jeux ou de quiz, à moins que les membres concernés l'acceptent explicitement. De même, Facebook doit demander aux membres de ne pas mettre sur le site d'adresses électroniques de non-membres sans leur consentement, et informer les usagers que les pages personnelles des personnes mortes seront préservées pour que leurs amis puissent s'exprimer et leur rendre hommage.

"CONTRÔLE COMPLET"

La mise en œuvre de ces modifications prendra jusqu'à un an et bénéficiera au monde entier, a dit la commissaire.

 

 

25/08/2009

Algues vertes: les associations interpellent François Fillon

ENVIRONNEMENT - Cinq jours après la visite du Premier ministre sur la plage de Saint-Michel en Grèves, où un cheval a été victime début juillet des émanations toxiques des algues vertes, des associations écologiques bretonnes ont exprimé leur "grosse colère".

“Le Premier ministre a annoncé un “plan d’actions” mais n’a surtout pas voulu remettre en cause le système productiviste agricole actuel qui est à l’origine de la pollution des eaux, dénonce Denis Baulier, ancien président du réseau Cohérences. C’est toujours le même discours. On fait appel à la dépense publique mais on ne touche pas au système”.
Avec d’autres responsables d’associations (1), Denis Baulier a voulu réaffirmer mardi matin, lors d’une conférence de presse, qu’une autre agriculture est possible, moins favorable aux nitrates qui vont nourrir les algues vertes.
“Pour reconquérir la qualité de l’eau, il ne faut pas plus de dépenses publiques mais au contraire faire des économies sur chaque exploitation agricole en substituant au maïs l’herbe et la luzerne”, préconise le militant écologiste.
Aliment principal des animaux en élevages intensifs, le maïs présente en effet de gros inconvénients: il ne développe pas de racines assez profondes pour aller “pomper” les nitrates enfouis dans le sol et nécessite des engrais qui contribuent encore davantage à la pollution. Pauvre en protéines, il oblige en outre les agriculteurs a importer des quantités de soja “phénoménales” pour complèter l’alimentation des animaux. Autant de handicaps qui disparaitraient, explique Denis Baulier, en ayant recours aux prairies et aux champs de luzernes, plante pérenne aux racines profondes.
“Les seuls obstacles à cette solution sont les lobbys du machinisme agricole et des produits phytosanitaires qui font pression depuis des décennies sur les chambres d’agricultures et défendent le statu quo car ils ont tout à perdre et que les enjeux financiers sont énormes, souligne Denis Baulier

Extraits du 25/08/09 + d'infos cliquez sur libération

22/02/2009

Environnement informatique : vérifiez les canulars

Edito

Des milliers d'e-mails relatant de fausses informations circulent sur le réseau.
La plupart du temps alarmants, ces messages ne sont en fait que des hoax (canulars).
Avec votre aide nous allons nous efforcer de rétablir la vérité et de lutter contre ces mensonges électroniques

vérifiez et cherchez sur

http://www.hoaxbuster.com/index.php

 

Il est également en ligne à gauche sue le site

 

15:14 Publié dans sécurité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : canular |  Facebook |

21/02/2009

Enquête Education : 220 000 euros par an pour surveiller l'opinion

Environnement humain

Le ministère veut renforcer la surveillance de ses fonctionnaires trop critiques. Témoignages de réfractaires à la base élèves.

Xavier Darcos, déjà très décrié pour ses saillies sur les couches à la maternelle et ses 11 900 suppressions de postes, ne pouvait pas mieux s'y prendre pour crisper davantage les enseignants: depuis quelques jours circule sur le Net un document officiel de huit pages intitulé "Cahier des clauses particulières - Objet: veille de l'opinion".

Appel d'offre du ministère de l'Education nationale.Ce document, qui relève d'un appel d'offre, émane de la délégation à la Communication du ministère de l'Education nationale et date du 15 octobre, soit il y a trois semaines:

"Article 1: Les présents marchés portent sur la veille de l'opinion dans les domaines de l'éducation, de l'enseignement supérieur et de la recherche. (...)

Article 4 : Chaque marché est conclu du 1er janvier 2009 jusqu'au 31 décembre 2009."

C'est un peu plus loin que la volonté des ministères concernés apparait le plus explicitement ("description des prestations"):

"Le dispositif de veille vise, en particulier sur Internet, à:

  • identifier les thèmes stratégiques (pérennes, prévisibles, émergents)
  • identifier et analyser les sources stratégiques ou structurant l'opinion
  • repérer les leaders d'opinion, les lanceurs d'alerte, et analyser leur potentiel d'influence et leur capacité à se constituer en réseau
  • décrypter les sources des débats et leur mode de propagation
  • anticiper les risques de contagion et de crise.

En clair: le ministère de l'Education nationale va débourser 100 000 euros par an, et celui de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, 120 000 euros, pour surveiller l'opinion dans la Toile.

Suit une liste des espaces à surveiller de plus près, blogs et sites participatifs notamment, auxquels s'ajoutent, selon les termes de l'appel d'offre, médias traditionnels, dépêches d'agences, baromètres et enquêtes annuelles.

http://www.fabula.org/actualites/documents/26772.pdf

Non, ce n'est pas un canular: sur le site du Journal officiel, on retrouve bien cet appel d'offre pour le marché public de la veille de l'opinion parmi les personnels de l'Education nationale.

 

Aussi spectaculaire soit-elle, cette volonté d'identifier les leaders de la contestation n'est pas nouvelle. C'est en tous cas ce dont témoignait samedi une vingtaine de directeurs d'école réfractaires, réunis à Paris pour une journée de travail sur le fichier base-élèves.

Dans le Lot, quarante réfractaires à la base élève en avril, quatre aujourd'hui

Au total, cette toute première journée de coordination nationale, qui réunissait une vingtaine de collectifs départementaux, a rassemblé 75 personnes, dont de nombreux parents d'élèves. Leur but: faire le point sur "le fichage des enfants", notamment depuis le nouveau décret qui est venu modifier le contenu du fichier le 1er novembre dernier.

Mais aussi soutenir les directeurs d'écoles récalcitrants. Car le ministère met la pression sur ces derniers résistants au fichier, parfois quatre ans après le lancement de la base-élèves dans leur zone. Ils le disent d'ailleurs eux-mêmes, à l'instar de Jean:

"Entre une entrée en vigueur morcellée et le discours moderniste qui allait avec, le ministère a réussi à émietter la contestation. Le milieu enseignant a fini par entrer dedans honteusement. Dans le Lot, nous étions quarante directeurs d'école réfractaires en avril, dix en juillet, et seulement quatre aujourd'hui. Il était temps de monter au front nationalement alors que certains renonçaient parce qu'ils se sentaient lâchés."

Jean, à trois ans de la retraite, enseigne depuis trente-trois ans et gagne 2600 euros net. Directeur depuis plus de vingt ans, il travaille dans de "très petites écoles" et est aujourd'hui à la tête d'une classe unique:

"Dans les petites écoles, on suit les enfants pendant cinq ans, on a une relation beaucoup moins administrative au terrain. Or la Base-élèves et le fichage des élèves, c'est la mise à mort d'un encadrement que le ministère juge trop humaniste. J'en fais une question de principe et accepter de ficher mes élèves, ce serait comme un reniement à la fin de ma carrière."

Pression financière et menaces de fermetures de classes

Parce qu'il s'oppose, Jean y perd financièrement: pour faire taire la bronca contre le fichier base-élèves et ses scories (comme le numéro d'identifiant qui immatricule les enfants jusqu'à… 35 ans), la hiérarchie de l'Education nationale a décidé de sanctionner sur la fiche de paye.

Pour l'instant, le directeur d'école du Lot a eu deux retenues sur salaire, à raison d'un trentième du brut, soit environ 104 euros de moins à chaque fois. Une folie militante?

"Avant cela, je n'avais jamais eu de conflit dur avec l'inspection d'académie, j'étais bien noté et j'avais acquis une certaine légitimité: on me fait venir à l'IUFM! J'étais comme un dinosaure endormi, rangé des voitures en ce qui concerne le militantisme. Mais pour moi cette lutte-ci est encore plus fondamentale que toutes les autres, même celles pour les suppressions de postes."

Mireille, elle, est à la retraite depuis l'été, mais a ferraillé contre la base-élèves pendant deux ans depuis le Vercors, où elle était directrice d'école. Elle raconte que, lors d'une réunion publique organisée dans un village par des parents, la hiérarchie académique lui a ordonné de se taire, en la menaçant de sanctions. Elle n'en a rien fait et a même déposé un recours devant le Conseil d'Etat, cosigné d'un parent d'élèves. L'audience devant le Conseil d'Etat aura lieu le 26 novembre.

"On immatricule des enfants de cinq ans pour les trente-cinq années suivantes!"

suite cliquez sur

 

 

 

Les parents d'élèves prennent le relais

Les enseignants mobilisés l'assurent: l'avenir de la contestation contre le fichage est dans les mains des parents d'élèves. Samedi, Rue89 a rencontré deux mères et un père, qui avaient fait le déplacement à Paris depuis l'Ille-et-Vilaine et le Lot. Extraits:

Mathilde: "Ça fait quatre ans que base élèves existe en Ille-et-Vilaine. Que sont devenues les informations enregistrées avant que le décret ne vienne modifier les champs du fichier, comme par exemple la nationalité, le lieu de naissance ou la catégorie sociale? Le ministère refuse d'apporter la preuve de la destruction de ces fichiers."

Maryline: "L'Etat utilise l'obligation scolaire à partir de six ans pour ficher toute la population. Mais pourquoi ma fille de trois ans devrait-elle avoir un matricule et rendre des comptes à la société? Parce que je le refusais, on m'a menacée de refuser d'inscrire ma fille."

Philippe: "Les modalités ont été si différentes d'un département à l'autre voire d'un canton à l'autre, que ça a renforcé notre suspicion. Même s'ils ont supprimé des champs, ce fichier existe, et personne ne peut nous répondre sur ce qu'il va devenir."

source http://www.rue89.com/2008/11/09/education-220-000-euros-p...

 

20/02/2009

Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail

Pour l'analyse des aspects environnementaux, le site de L’Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (AFFSET) est très utile et il est mis en ligne ce jour à droite sur le site dans la rubrique santé astuces et conseils

http://www.afsset.fr/index.php?siteid=53

17/02/2009

FACEBOOK, attention danger suite 2

Danger sur Fesse bouque suite 2

Ne jouez surtout pas à renseigner le profil de vos contacts sur Face Book, le jeu vous conduit à de la délation.

Ce matin, un mail est parvenu dans ma boîte. Une amie à qui je n’avais pas envoyé de mail depuis près de 3 mois m’invite à voir le message en question sur « fesse bouque ». Je clique forcément confiant et en toute sécurité pour arriver sur le message en question. Elle me lance une boule de neige. Ludique une seconde, puis franchement, rien de particulier. Puis, un autre message de sa part figure dans ma boîte fesse bouque, elle aurait parlé de moi. L’application, après m’avoir informé que cette amie pouvait parler de moi en mon absence m’invite à chercher de quoi il était question. Pour cela, il m’a fallu commenter le profil de certains de mes contacts. En commentant, je gagne 5$ virtuels qui additionnés me permettent pour un montant de 20$ de découvrir l’identité d’un commentateur de mon profil. Je commence à répondre à une question anodine : Est-ce que vous inviteriez Sandrine chez vous ? Oui. Est-ce que Jean aime le sport ? Oui. Est-ce que Sandra aime la bière ? Non. Est-ce que Pierre chanterait à tue-tête dans son salon ? Heu…. Oui. De question en question, je me rends compte d’une chose horrible soudainement, je suis en train de renseigner le profile de mes contacts. Bien entendu, j’ai vite arrêté mais j’ai voulu voir quelle était la nature des questions suivantes. Aussi, me propose-t-on pour Raphaël : Est-ce qu’il a déjà eu une dette de moins de 100 $ envers un ami qu’il n’aurait pas remboursée ? Là, nous sommes dans la délation la pire qui soit. Avant, lorsque j’arrivais dans un réseau social, je renseignais mon profile, je conservais certaines informations personnelles pour éviter les spam notamment. Puis, certains réseaux ont mis une fonction en avant qui est la recommandation. Nous sommes sur des critères positifs et en soi, ce n’est pas choquant. Mais souligner un souci d’argent, des défauts, des détails intimes à caractère personnel, c’est passer une ligne dangereuse.En allant plus en avant, on me demandait si une telle amait draguer dans les transports en communs.

.....

lire la suite en cliquant sur

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=51319

et les commentaires laissés sont édifiants

quittez et supprimez tout avant de partir même si c'est indélébile ou alors écrivez que de l'insignifiant

13/02/2009

Mais OGM Monsanto, des avis divergents

Comment ici malgré  l'interdiction du maïs transgénique pour 2008 confirmée en Conseil d'Etat, un autre organisme d'ETAT Français peut donner un avis opposé, se gardant toutefois de se prononcer sur l'aspect environnementale et pour cause, c'est là que cela coince, non.....

Déclaration de Madame Pascale Briand, directrice de l'Afssa du 12 Février 2009

""L'Agence française de sécurité sanitaire des aliments procède dans le cadre de ses missions à l'évaluation des risques potentiels de chaque OGM pour l'alimentation humaine et animale.
Elle examine systématiquement les données scientifiques qui lui sont soumises ou qui sont publiées afin d'apprécier si celles-ci modifient tout ou partie des avis antérieurs de l'Afssa. Il va de soi que ce type d'actualisation ne concerne pas seulement les OGM.
Pour le Mon 810, qui est interdit en France, l'avis le plus récent de l'Afssa est d'ores et déjà mis en ligne depuis juin 2008.
Répondant à une saisine datant de septembre dernier, l'Afssa a procédé à l'analyse détaillée du rapport dit "Le Maho" sur son volet alimentaire. Traité en moins de trois mois, c'est-à dire-dans un délai inférieur au délai moyen de réponse aux questions ne présentant pas d'urgence sanitaire (faut-il rappeler à nouveau que ce maïs est interdit de culture en France), l'avis signé le 23 janvier dernier a suivi le circuit normal et devrait logiquement être mis en ligne vers le 20 février.
L'intérêt que semble susciter un avis, dont les conclusions ne diffèrent en rien du précédent, me conduit à le mettre en ligne dès aujourd'hui.
Je rappelle que l'Afssa ne s'est jamais prononcée sur les risques environnementaux, lesquels ne relèvent pas de sa mission."".......

source http://www.afssa.fr/Documents/PRES2009CP003.pdfExtrait

 

et l'AVIS du 23 Janvier 2009
de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments sur le rapport du Pr le Maho adressé à la Commission Européenne en juin 2008

Conclusion des 23 Pages de cet Avis
""En conséquence, l'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments estime, qu’au regard des données présentées dans le dossier dont certaines ont été réactualisées et des nombreuses données publiées dans la littérature scientifique à comité de lecture (annexe 1), les maïs portant l’événement de transformation MON810 et leurs produits dérivés présentent le même niveau de sécurité sanitaire que les variétés de maïs conventionnelles et que leurs produits dérivés""

Source http://www.afssa.fr/Documents/BIOT2008sa0266.pdf

11/02/2009

FACEBOOK, attention danger

Environement humain (suite)

Commentaires : C'est une drogue dont on a du mal à se défaire et toutes les informations personnelles sont inscrites à vie..... Eloignez-vous de ce produit au plus vite et surtout ne mettez RIEN SUR VOS PROCHES SANS LEUR ACCORD (enfants en particulier)

et ce n'est pas l'accord signé ce jour qui change quoi que ce soit :

""Dix-sept sites de socialisation en ligne actifs en Europe, dont Facebook et MySpace, ont signé un accord, mardi 10 février, visant à limiter les risques pour les mineurs, a annoncé la Commission européenne.

Les sites signataires sont Dailymotion, Facebook, Google/YouTube, Microsoft Europe, MySpace, Yahoo! Europe, Netlog, Arto, Bebo, Giovani.it, Hyves, Nasza-klaza.pl, One.it, Skyrock, StudiVZ, Sulake/Habbo Hotel et zap.lu.""......

extrait le Monde du 10/02/09

  • Facebook non merci, par Alexis Altazin

J'ai tenu un site Web perso (ca ne s'appelait pas encore un blog) depuis 1996. Avec l'arrivée de Google, du tout-gratuit-si-on-peut-t-inonder-de-pub-ciblée, je me suis rendu compte de ce que l'on pouvait faire avec les informations publiques. Oui, lorsque j'allais rencontrer de nouveaux partenaires de travail, ça m'est arrivé de les "googler" – je faisais une recherche sur eux. Histoire de les connaître et de briser la glace. Quand on voit tout ce qu'on peut trouver de public (et je ne parle pas de ce que des hackers peuvent trouver avec leurs outils warez) sur tout un chacun, je préfère garder mes données pour moi, utiliser un site de partage limité et sécurisé, et que je contrôle seul. Alors Facebook, je connais le concept mais j'évite. Qui sait, mon prochain employeur n'apprécie pas forcement certains de mes péchés de jeunesse, ou ne voudra simplement pas prendre le risque. Mieux vaut un casier jud... – pardon Facebook – vierge que d'avoir à s'expliquer sur tel ou tel détail.

  • Un outil qui peut être dangereux, par François Coste

Ma compagne et moi avons récemment mis fin à notre relation et si nous ne l'avons caché à personne nous ne voulions pas que nos amis et notre famille l'apprennent via Facebook. Nous souhaitions modifier les informations personnelles qui indiquaient que nous étions en couple, mais discrètement. Pendant deux jours, j'ai parcouru les forums afin de savoir comment changer ce statut sans lancer une alerte générale. J'ai suivi les explications et recommandations que j'avais glanées mais en pure perte : notre rupture a ainsi été publique malgré nous, et nous avons ressenti une réelle intrusion dans notre vie privée.
Par exemple, on peut ne pas avoir envie d'informer l'ensemble de ses collègues qu'on traverse une crise personnelle majeure. Il devrait être plus simple de modifier ses informations personnelles une fois que l'on a pris conscience de ce problème. Malheureusement, la manière dont Facebook est conçu incite à publier ce type d'informations tout en rendant certaines manipulations qui permettraient de les protéger par la suite très complexes (il faut par exemple vraiment savoir où se rendre dans les options pour ne pas retrouver son profil en résultat de recherches Google). Je ne vois plus Facebook avec le même regard aujourd'hui.

  • Fonctionnellement génial, inintéressant dans l'utilisation que chacun en fait, par Stéphane Aboab

Voilà, comme tout, cela va finir par lasser. Pendant une longue période c'est sympa de savoir qu'un tel s'est gratté le nez ou qu'un autre a mis son pull rouge, mais bon les informations finissent par être d'un banal déconcertant. En effet, on est à la limite entre le blog et la messagerie instantanée. Le blog permet de figer un témoignage, la messagerie instantanée permet d'exprimer immédiatement les futilités du moment. Donc, si on s'amuse à figer des futilités, cela devient d'un navrant.
Car oui, même si vous avez 100, 200, 300 "amis", 95 % des informations diffusées par chacun d'entre nous et à découvrir sont des banalités de tous les jours.
Facebook n'a d'intérêt que pour le partage des médias (existait déjà, ex. Google Picasa), rester en contact avec une personne éloignée pour suivre son aventure et lui poser des questions (existait déjà, ex. les blogs, les e-mails), discuter en live avec ses amis (existait déjà, ex. MSN), etc... Cependant, regrouper toutes ces facettes dans un même outil reste LE point fort de Facebook. Mais bon, mis à part quelques albums photos, la plupart des gens n'ont finalement pas grand-chose d'intéressant à raconter. Mais est-ce vraiment le but de Facebook : être intelligent, source de débat, intéressant ? Pas sûr...

  • Adieu Facebook ,! par Thierry Milherou

Facebook est une vaste fumisterie, j'y ai adhéré trois mois avant de me rendre compte que cela ne m'apportait absolument rien. Comme beaucoup d'autres, il m'a suffit de deux minutes pour organiser mon "suicide numérique" et décrocher de ce site chronophage, et cela ne me manque aucunement. Si on mettait bout à bout toutes les minutes perdues par les millions d'utilisateurs, on aurait un capital temps qui permettrait sûrement de lancer de grands projets ! A cela s'ajoute une ergonomie désastreuse, un site moche, à l'affichage mal conçu, et où l'on se perd en gadgets et notifications abrutissantes. J'ai du mal à comprendre le succès et l'engouement suscités. Je suis peut-être déjà trop vieux.

  • Facebook en toc, par Papillon

Je me suis inscrite sur Facebook et me suis rapidement désinscrite. Facebook n'est pas un moyen de communication mais un réseau dont il faut absolument faire partie : je suis fondue dans la masse et je ne vois jamais les gens que je prétends connaître mais c'est pas grave. Facebook c'est le règne de l'apparence. Ci-dessous, un texte de Paul Hervé Parsy sur l'artiste poète humaniste, vivant même mort, l'excellent Robert Filliou :

"A l'heure où les réseaux électrotechniciens voudraient faire croire à l'arrivée d'un nouvel âge de la communication entre les hommes, comment ne pas penser au rêve de l'Eternal Network que Robert Filliou voulait peu à peu tisser sur la planète Terre, dont l'horizon se serait aboli dans une fusion poétique de l'Orient et de l'Occident. Mais les principaux outils auxquels il recourait étaient tout simplement l'Imagination et l'Innocence, et cela ne l'empêchait pas de dire bonjour à son voisin, surtout à son voisin. Aujourd'hui, crispé sur sa machine, rivé à ses écrans, l'homme n'en finit pas de dresser des murs de silence, pour mieux oublier sa solitude, troublée par la pauvre lueur des scintillements cathodiques."

 

extrait LEMONDE.FR | 06.02.09

02/02/2009

Plus besoin de se connecter à Internet pour travailler sur Gmail

Envronnement informatique facilité

'Vous êtes connecté, superconnecté, voire hyperconnecté, mais il vous arrive de traverser quelques trous noirs technologiques qui vous tiennent éloignés d'Internet et de ses délices... Certes ce type de désagréments peut générer de la frustration, due notamment à l'impossibilité d'accéder à sa boîte à lettres électronique. Si tel est le cas, la nouvelle fonction lancée aujourd'hui par l'équipe de Gmail est faite pour vous.

Téléchargeable depuis le Gmail Labs, elle permet en effet de travailler sur ses courriels, voire même d'ouvrir des pièces jointes tout en étant privé de connexion Internet, ce qui était jusqu'à présent impossible avec le Webmail de Google. Au préalable, il est cependant nécessaire de récupérer Google Gears (télécharger Gears), un plug-in qui s'installe sur le navigateur et qui est dédié au travail hors ligne. L'extension est compatible avec Firefox, Internet Explorer et Safari.
Gears télécharge en local un cache de l'intégralité du compte Gmail concerné et synchronise les données avec les serveurs de Gmail aussi longtemps que l'utilisateur demeure connecté au réseau. Une fois privé d'accès Internet, Gmail passe directement en mode hors ligne, et utilise alors l'ensemble des données issues de la messagerie et stockée en interne sur l'ordinateur.

Attention aux bugs

Le titulaire du compte Gmail peut alors lire ses courriels, en rédiger de nouveaux, les labelliser et gérer sa messagerie comme il le ferait s'il était en ligne. A quelques exceptions près, comme le souligne le blog spécialisé TechCrunch. Impossible de recourir à un correcteur d'orthographe et de rajouter des pièces jointes. Les courriels rédigés hors ligne sont logiquement placés automatiquement dans la boîte d'envoi et seront expédiés lors de la prochaine connexion à Internet.
Sur le blog de Google, Andy Palay, l'ingénieur responsable du projet avertit toutefois les internautes qui seraient tentés d'essayer cette nouvelle fonction de la présence de bugs dans le programme. A chacun donc de prendre ses responsabilités et de ne pas passer des heures à rédiger hors ligne des courriels que l'on pourrait par la suite se trouver dans l'impossibilité d'envoyer.'
Philippe Crouzillacq, 01net., le 28/01/2009 à 19h00

16:14 Publié dans sécurité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : courriel |  Facebook |

11/01/2009

Sur Facebook, les mafiosi sont sympas

On vous l'avait bien dit. Danger .....de Facebook et autre réseaux sociaux sont vampirisés par des réseaux mafieux et autres de très mauvaise fréquentation.

Un conseil  désincrivez-vous rapidement et essayez...d'effacer vos traces cela ne va être coton..

"Peut-on impunément encenser les parrains de Cosa Nostra sicilienne sur Facebook, le site de socialisation ? Apparemment oui. Les dirigeants du network de Palo Alto, en Californie, ont fait savoir que la censure ne faisait pas partie de leur politique. En l'occurrence, ils ne feront rien contre les groupes de fans de mafieux tels que Toto Riina et Bernardo Provenzano qui se sont manifestés à travers le site et provoqué un tollé en Italie pour avoir qualifié les parrains, entre autres, d'"hommes d'honneur", d'"incompris" et d'"innocents" dont "il faut baiser la main".

Problème : la tolérance du site semble être à géométrie variable. Ces mêmes dirigeants de Facebook viennent en effet de retirer les "profils" mis en ligne sur le site par des mamans les montrant alors qu'elles allaitent leurs enfants. Ces images seraient "obscènes". Une double morale qui a mis en colère les internautes. Et même si nombre d'experts se sont évertués à expliquer le paradoxe américain où un mamelon peut se révéler troublant pour le sentiment commun tout autant que la liberté d'expression rester toujours sacrée, la révolte couve en ligne......

suite sur http://abonnes.lemonde.fr/archives/article/2009/01/07/sur...

07/01/2009

Bonne nouvelle : lutte contre les e-arnaques

Michèle Alliot-Marie veut renforcer la lutte contre les e-arnaques

La ministre de l'Intérieur veut endiguer l'explosion des escroqueries en ligne. Un portail de signalement des contenus illicites et une cellule de la police judiciaire seront dédiés aux cyberarnaques.
Michèle Alliot-Marie ouvre la chasse aux arnaqueurs en ligne. La ministre de l'Intérieur a lancé, mardi 6 janvier 2009, son plan de lutte contre les escroqueries, dont un large volet entend freiner l'augmentation des fraudes financières sur Internet. Achats en ligne jamais livrés, fausses loteries, héritages fictifs et autres fraudes à la carte bancaire sont en pleine recrudescence, estime la première policière de France.

....

Pour lutter contre l'explosion de la cyberdélinquance, le ministère de l'Intérieur vient de lancer un site dédié au signalement des contenus illicites sur le Web, Internet-signalement.gouv.fr. Ce portail doit permettre aux internautes de communiquer aux services de police l'existence d'un site suspect....

orignine de l'info : http://www.journaldunet.com/ebusiness/le-net/actualite/mi...

Si, par contre, vous êtes témoin ou victime de faits nécessitant une intervention immédiate ... Vous ne devez pas utiliser ce site, mais composer le 17 sur votre téléphone.

04/12/2008

Vélos : le danger des "angles morts"

Les angles morts représentent un véritable danger de mort pour les cyclistes et les piétons.
Il serait indispensable d'équiper les poids lourds de rétroviseurs spéciaux SANS ANGLES MORTS QUI EXISTENT DEJA SUR LE MARCHE.

Enquête