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30/09/2010

Les frais de mandat des députés et sénateurs Français font scandale en Suède

Un lecteur franco-scandinave  nous transmet une vidéo tirée d’ une émission TV suédoise.

voir ICI

Cet extrait nous montre des politologues suédois scandalisés par les indemnités représentatives de frais de mandat (IRFM) que touchent, en plus de leur rémunération, députés et sénateurs français (5 884,91 euros par mois pour un député et 6 209,13 euros pour un sénateur).

Les Suédois s’ étonnent qu’ aucun contrôle ne soit opéré sur l’ utilisation de ces fonds.

(Merci à François Grøssbåff pour la traduction ;-) )

Chaque député et sénateur dépense comme bon lui semble l’indemnité représentative de frais de mandat, sans justificatif à fournir ni contrôle. Depuis avril 2010, aucun député n’ a eu le courage de déposer le projet de proposition de loi pour un contrôle des IRFM. Dans ce contexte, Bernard Accoyer, le président de l’ Assemblée nationale, a refusé de rencontrer les contribuables.

Sans le savoir, un analyste danois fait la même proposition que Contribuables Associés : remplacer le système actuel des IRFM, pervers et obscur, par celui des notes de frais, comme cela se fait aussi bien dans les entreprises privées qu’au Parlement britannique.

À la fin de chaque mois, le parlementaire transmettrait aux services financiers une note de frais accompagnée de tous les justificatifs des dépenses. Une dépense non justifiée au regard de l’exercice du mandat parlementaire serait rejetée par les services en question. Et les crédits non consommés par rapport au plafond seraient reversés à la trésorerie de chaque assemblée.source observatoiredessubventions

Europe : conflit d'intérêts dans la sécurité alimentaire Extraits LEMONDE | 29.09.10

La présidente du conseil d'administration de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) est également membre du conseil d'administration (board of directors) d'une association regroupant les plus grandes entreprises de l'industrie agroalimentaire : c'est la révélation faite par José Bové, député européen (Europe Ecologie), à l'occasion d'une conférence de presse.

Les documents présentés font apparaître que Diana Banati, la présidente du conseil d'administration de l'EFSA, a caché qu'elle appartenait aux instances dirigeantes de la branche européenne de l'International Life Science Institute (ILSI), où elle côtoie des représentants de dix grandes entreprises comme Kraft Foods, Nestlé ou Danone.

Diana Banati, scientifique hongroise spécialiste des questions d'alimentation, est membre du conseil d'administration de l'EFSA depuis 2006, et sa présidente depuis 2008. Elle a été reconduite à ce poste en juin. L'Autorité assure une mission d'expertise scientifique auprès de la Commission européenne en matière de produits alimentaires, et notamment d'organismes génétiquement modifiés (OGM).

L'ILSI est une organisation internationale regroupant plus de 400 entreprises. Créée en 1978 aux Etats-Unis, elle vise, selon son site Internet, à "améliorer la santé et le bien-être du public en rassemblant des scientifiques de l'université, du gouvernement et de l'industrie dans un forum neutre". Elle "est financée par l'industrie, les gouvernements et des fondations". La liste de ses membres comprend les plus grandes entreprises de l'agroalimentaire, notamment, pour ce qui concerne les OGM, Monsanto, BASF, Bayer ou Syngenta.

L'ILSI joue un rôle de lobby cherchant à influencer les décisions politiques. Dans les années 1980 et 1990, elle a ainsi relayé les efforts des fabricants de tabac pour affaiblir les initiatives de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). A la suite à plusieurs enquêtes, l'OMS a d'ailleurs exclu l'ILSI, en 2006, de la liste des organisations pouvant participer à ses activités.....

 

29/09/2010

OGM : fronde contre le système à la carte de Bruxelles extraits LEMONDE | 28.09.10

Les ministres de l'agriculture des Vingt-Sept ont mis en cause, lundi 27 septembre à Bruxelles, la proposition de la Commission européenne de laisser aux Etats la décision d'interdire ou non la culture de plantes OGM sur leur territoire. Présentée en juillet, cette perspective pourrait permettre, d'après le commissaire chargé de la santé John Dalli, de débloquer le dispositif actuel d'autorisation des OGM au niveau européen. Mais elle suscite un vif débat.

La France et l'Italie ont mené la fronde, avec le soutien de la plupart des autres pays agricoles, notamment l'Allemagne et l'Espagne.

Ces pays se disent préoccupés par un risque de "renationalisation" de la politique agricole commune, et de fragmentation du marché intérieur. D'après le ministre français, Bruno Le Maire, "la France souhaite que la décision reste commune. Aller vers des décisions nationales serait un mauvais signal pour la politique agricole commune". Comme l'Allemagne, la France s'interroge aussi sur la compatibilité de la réforme avec les règles de l'Organisation mondiale du commerce, qui pourrait contester l'interdiction des cultures sans justifications fondées....

28/09/2010

OGM: Bruxelles réclame la destruction de champs contaminés en Suède AFP | 24.09.10 |

La Commission européenne a recommandé vendredi aux autorités suédoises de détruire des champs plantés avec des semences d'une pomme de terre génétiquement modifiée produite par le groupe allemand BASF mais encore interdite à la culture. "La Commission est en faveur de la destruction des 15 hectares plantés en Suède avec les trois lots d'Amflora contaminés", a annoncé le porte-parole de John Dalli, le commissaire à la Santé en charge du dossier OGM. "Mais cette décision doit être prise par les autorités suédoises", a précisé ce porte-parole, Fédéric Vincent. L'affaire avait été révélée au début du mois par les autorités suédoises lorsque dans un champ d'Amflora, pomme de terre OGM de BASF déjà autorisée à la culture, des fleurs d'Amadea, une autre pomme de terre génétiquement modifiée mais non encore autorisée, avaient été découvertes. "Une erreur humaine est à l'origine de cette contamination dans une serre en Allemagne sur des lots plantés en Suède", a-t-il indiqué. La Commission a dépêché des experts sur place et ils ont "préparé un rapport qui sera discuté avec les autorités des trois pays qui cultivent cette pomme de terre OGM", a-t-il ajouté. La Commission considère que des leçons doivent être tirées de cette "bourde" commise par le groupe allemand. D'autant qu'elle a "des doutes sur quelques autres lots en Suède", a averti Frédéric Vincent. La confusion entre les semences d'Amadea, pomme de terre OGM développé par BASF pas encore autorisée, et celles d'Amflora, déjà cultivée dans trois pays européens, "est intervenue parce que les pots d'Amadea et d'Amflora se sont trouvés à certains moments dans la même pièce", a expliqué dans un communiqué Peter Eckes, patron de la division BASF Plant Science. "A partir de maintenant, nous séparerons les processus de production d'Amadea et d'Amflora, afin que de telles erreurs ne se reproduisent plus", a-t-il ajouté. Amflora a obtenu en mars 2010 une triple autorisation: usage industriel (amidon pour la pâte à papier et engrais pour le jus), alimentation animale (la pulpe) et présence de résidus jusqu'à 0,9% dans les produits pour l'alimentation humaine. 200 hectares sont à ce jour plantés en Amflora en Suède, en Allemagne et en République Tchèque.

25/09/2010

Eva Joly veut une régulation rapide des marchés de matières premières

...la bulle spéculative a commencé à naître au début des années 2000. A cette époque, des opérateurs investissent dans les denrées alimentaires comme ils le feraient sur tout autre produit. Résultat: l’écart entre les marchés physiques, ou s’échangent réellement le blé et le maïs, et les marchés secondaires, où les opérateurs négocient des contrats à terme, se creuse considérablement.

En 2007-2008, on observe ainsi plus de 80 fois plus d’activités spéculatives, en comparaison des stocks qui s’échangent sur le marché physique.

Pour Olivier De Schutter, les Etats-Unis sont néanmoins en passe de freiner ce phénomène. «Grâce à une loi qui vient d'être adoptée, une commission de contrôle déterminera bientôt le nombre maximum de contrats qui peut être conclu par chaque opérateur sur les marchés secondaires», a poursuivi l’expert.

La France a décrété que la lutte contre la volatilité des prix sur les marchés de matières premières constituerait une priorité de sa prochaine présidence du G20. L’Europe, de son côté, en est encore au stade de la réflexion. Le 15 septembre, le commissaire européen en charge du Marché intérieur, Michel Barnier, a proposé de mettre en place des outils pour renforcer la transparence et les contrôles sur les marchés dérivés de matières premières.

« Nous n’avons rien compris de la dernière crise »

«Le fait que nous n’arrivons pas à réguler ces marchés est insupportable. Nous n’avons rien compris de la dernière crise», a déploré Eva Joly. «Nous pouvons réguler la spéculation si nous le voulons», a-t-elle poursuivi. Une volonté dont les 27 ne sont pas dotés, selon l’eurodéputée. Elle doute notamment de la capacité de Nicolas Sarkozy à mettre en adéquation ses paroles et ses actes. extraits source euroactiv 22.09.2010 

24/09/2010

OGM: Paris et Bruxelles actent leurs désaccords

La France s’opposera à la proposition de la Commission sur les OGM au Conseil. A l’occasion d’une rencontre avec le commissaire européen chargé de la santé et de la protection des consommateurs, le Maltais John Dalli, jeudi 16 septembre, le ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire a rappelé son opposition aux dernières idées de la Commission en la matière.

1/Présenté en juillet, le texte de John Dalli vise à donner davantage de souplesse aux Etats membres dans la gestion des autorisations des OGM. Ainsi, si ce texte est adopté, les 27 pourront décider individuellement d’autoriser la culture d’organismes transgéniques. Cela n’enlève aucune prérogative à la Commission européenne, qui devra toujours valider l’autorisation au niveau européen. Mais les Etats seront libres d’appliquer la décision, ou non. Pour cela, ils pourront invoquer des motifs éthiques ou socio-économiques.

2/ En revanche, les Etats devront obligatoirement se conformer aux décisions de la Commission concernant l’autorisation de la commercialisation des OGM..extrait euractiv 17.09.2010

 

Commentaire : nous sommes okpour le point 1 mais nous souhaitons également que les Etats soient libres d’appliquer la décision, ou non autorisation de la commercialisation des OGM.

22/09/2010

Plastique, l'ennemi intime extraits LE MONDE MAGAZINE | 19.09.10

Je voudrais te dire juste un mot : plastique ! – Comment dois-je comprendre ça ?

– Le plastique, c'est l'avenir. Penses-y ! – Je le ferai. – Chut ! Assez parlé."

Ce bref dialogue est extrait du Lauréat (1967), avec Dustin Hoffman, qui annonce la révolution des mœurs… et l'arrivée du plastique dans nos vies. Car, en ces années 1960, le plastique est pop, à la mode, conquérant, il représente autant l'avenir que la modernité.Les bas Nylon étincelants, les dentelles en Perlon, les brillantes robes de polyester embellissent les femmes....(commentaire : l'envahissement du plasrique est en marche)

"SIXIÈME CONTINENT"

A l'automne 2006, le bateau de Greepeace Esperanza fait un nouvel état des lieux. En route, l'équipage découvre que les plages de Hawaï, à la périphérie du tourbillon, sont jonchées de plastique : bouées, casiers à poissons, balles de golf, briquets, bouteilles, casques d'ouvriers, jerricanes, boîtes diverses, caisses de bière, pots de fleurs, enseignes, fusibles, blocs de polystyrène, couvercles, rasoirs jetables, boîtiers de CD, etc.

Si les océans et les mers ont toujours été une poubelle de choix pour les hommes – selon l'ONG Oceana, on y jette 675 tonnes d'ordures chaque heure –, leurs eaux et les algues finissaient par dégrader et annihiler les détritus. Mais pas le plastique. Aujourd'hui, la grande zone de détritus du Pacifique est estimée à la taille de l'Etat du Texas, voire de l'Europe centrale – d'où son surnom : le "sixième continent".

Le plus inquiétant est invisible. Chaque objet, peu à peu, se fractionne jusqu'à former des granulés, microscopiques, indestructibles. Les poissons les ingèrent, ce qui les empoisonne ou perfore leur système digestif. Des expertises menées, au début de l'année, par les équipes du projet international Kaisei ont conclu qu'il est à présent impossible de venir à bout du "vortex". Le coût en serait astronomique, il faudrait une alliance entre plusieurs Etats. Mais aucun n'est prêt à engager de tels frais. Et puis, où transporter une telle quantité d'ordures ? Pour en faire quoi ?

Après être entrés en pleine modernité pop avec le plastique, nous devons faire face aux désillusions de la post-modernité : ses dégâts irréversibles, ses problèmes insurmontables nous obligeant à faire des choix tragiques. Il faut savoir que les Américains consomment 2,5 millions de bouteilles en plastique par heure et 25 milliards de tasses à café en polystyrène par an. Chaque année, ils produisent 6,8 millions de tonnes de plastique. Sur cette masse considérable, seules 450 000 tonnes sont recyclées ou incinérées.

BISPHÉNOL A, PHTALATES ET SPERMATOGÉNÈSE

Sur Terre, nous produisons 260 millions de tonnes de plastique par an, ce qui correspond à 30 kg par habitant – pour une matière si légère, cela équivaut à 85 paires de chaussures de jogging, 2 000 brosses à dents ou 6 000 sacs d'emballage. Ce qui fait dire à l'Autrichien Werner Boote, auteur du documentaire et de l'enquête Plastic Planet, dans un entretien qu'il nous a accordé : "Devant de tels chiffres, on en vient à se demander si nous ne produisons pas le plastique dans des quantités que nous sommes incapables de gérer."

Il ajoute, très inquiet après dix années passées à enquêter sur les effets du plastique dans nos vies : "Suite à la publication de nombreuses études sanitaires, j'ai été choqué de découvrir que des substances dangereuses entraient dans la composition des plastiques."

Prenez le bisphénol A, ou BPA, une molécule facilitant la plastification, utilisée dans les tétines et les biberons. Un groupe de 38 experts américains, dont l'étude a été confirmée par soixante autres travaux, a montré que le BPA migre dans le lait, puis dans la thyroïde et les organes sexuels des bébés.

Après plusieurs enquêtes menées par des organismes sanitaires, le gouvernement canadien a interdit l'utilisation de bisphénol dans les produits à destination des enfants, notamment les biberons, en octobre 2008. Le Parlement français a fait de même le 23 juin, suite à une "Lettre ouverte aux pédiatres et gynécologues" signée par des représentants d'associations médicales.

Sont encore incriminés les phtalates, des additifs qui rendent le plastique souple et flexible, très présents dans tous les objets en PVC : eux aussi se déplacent dans le corps, affectent les organes de reproduction, surtout chez les petits. Leur présence dans la fabrication des jouets a été prohibée par un décret du 9 novembre 2006.

21/09/2010

Des experts préconisent plus d'études avant la commercialisation du saumon OGM

saumon cuisine.jpgCes saumons OGM peuvent atteindre une taille adulte entre 16 et 18 mois, contre 30 mois pour les saumons de l'Atlantique d'élevage.

Le feu vert pour commercialiser du saumon transgénique n'est pas encore donné. Un comité d'experts indépendants a recommandé, lundi, à l'autorité américaine de réglementation des médicaments et des aliments (FDA) de procéder à davantage d'analyses avant d'autoriser la mise sur le marché d'un saumon qui serait le premier animal OGM à garnir les assiettes des Américains.

Tout en reconnaissant généralement que ce saumon modifié génétiquement, grossissant deux fois plus vite, paraît sans danger pour la consommation humaine, ces experts ont néanmoins jugé souhaitable de procéder à plus d'études avant de le commercialiser. "Nous adressons un message disant que davantage d'études sont nécessaires", a notamment résumé le docteur vétérinaire David Senior, de l'Université de Louisiane, président du comité de quatorze experts consulté par la FDA. "Le comité n'a pas dit à la FDA d'approuver ou de refuser la mise sur le marché mais qu'ils avaient de nombreuses réserves quant aux études présentées", a précisé Jaydee Hanson, du Center for Food Safety, groupe de défense des consommateurs selon qui cela va probablement retarder le feu vert pour la commercialisation. extraits LEMONDE.FR avec AFP 210910

Commentaire : en réalité, il "PARAIT SANS DANGER"  MAIS ON A AUCUN RECUL POUR AFFIRMER CELA....SAUF QU'IL SERA 2 FOIS MOINS CHER....OU QU'IL RAPPORTERA ENCORE 2 FOIS PLUS DE BENEFICES AUX ELEVEURS INDUSTRIELS DE SAUMON...

20/09/2010

SANTE L'aluminium empoisonne notre vie quotidienne

Présent dans le dentifrice, les déodorants ou l'eau potable, ce métal serait néfaste pour la santé, à « doses régulières »

A priori, rien de commun entre l'eau du robinet, des produits cosmétiques et des biscuits. Idem pour le lait en poudre des biberons, le dentifrice et les composants de certains vaccins. Rien, sauf la présence de l'aluminium, un métal sans rôle biologique reconnu et déclaré neurotoxique depuis près d'un siècle.

On savait l'aluminium utilisé dans divers secteurs : bâtiment, transports, imprimerie, électroménager, emballages, sans oublier les cannettes de soda et de bière. Mais le trouver dans de nombreux additifs alimentaires et dans des médicaments, tels les pansements gastriques, ou les céramiques orthopédiques et dentaires et autres colles médicales, voilà qui peut surprendre. Aujourd'hui, il est presque partout. C'est ce que nous apprend Virginie Belle, journaliste spécialisée en santé publique, dans une longue enquête, Quand l'aluminium nous empoisonne, dont la sortie est prévue le 30 septembre aux éditions Max Milo.

S'il s'agissait d'une enquête policière, elle ne manquerait pas de sel... Mais en matière de santé, les sels sont d'une autre nature. Et ceux contenant de l'aluminium (hydroxyde, phosphate et sulfate) sont mis au banc des accusés dans le livre de la journaliste, devenue la porte-parole des nombreux chercheurs qui s'alarment de prêcher dans le désert des institutions sanitaires.

« Une matière à soupçon »

Premier élément métallique de l'écorce terrestre, de l'aluminium, on en absorbe forcément : on le respire, les sols en contiennent et il se concentre dans certains légumes et dans les eaux des rivières. « Mais il ne sert à rien dans l'organisme humain. Pire, à fortes doses ou à doses régulières, il est toxique », prévient Guy Berthon, ex-directeur de recherche au laboratoire de chimie du CNRS. Le spécialiste recommande de ne plus utiliser les produits qui en contiennent : capsule de café, pansements gastriques - qui soulagent les douleurs mais dissolvent l'oxyde d'aluminium dans l'organisme -, barquettes et autres accessoires de cuisine. Y compris les papillotes de poisson auxquelles on ajoute souvent tomates et jus de citron, bref une belle quantité d'acide citrique à haute température qui attaque l'aluminium dont les particules se baladent dans l'organisme jusque dans le cerveau...

Quant aux cannettes de bière et de soda, « le mieux est d'en consommer le moins possible et ne pas les conserver trop longtemps », estime M. Berthon. Il appelle à la même vigilance pour les écrans solaires et les déodorants anti-transpirants, suspectés dans certains cancers du sein, situés près de l'aisselle.....

« Mais en trouver dans l'eau du robinet, c'est criminel », s'indigne M. Berthon. Et de rappeler qu'« au-delà de 100 microgrammes par litre, c'est déjà dangereux ». Or, à l'exception de Paris - qui utilise depuis trente ans le traitement ferrique -, les distributeurs d'eau potable ajoutent des sels d'aluminium afin de rendre l'eau plus claire. Et la norme européenne (200 microgrammes/litre) qui ne constitue qu'une référence de qualité, non une limite, est souvent dépassée. Selon l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), en 2007, 2,7 millions de Français ont bu une eau contenant un taux de sels d'aluminium supérieur à cette norme. Le danger c'est que « si une partie est éliminée naturellement par les urines ou la barrière intestinale, explique M. Berthon, une autre passe à travers ce mur de brique qu'est l'intestin grêle et se retrouve dans le sang puis le cerveau. Là, l'aluminium se dépose, durcit et ne peut plus repartir ». Plusieurs études ont mis en évidence le lien entre une eau potable trop chargée en aluminium et certains cas de démence, qui rappellent les symptômes de la maladie d'Alzheimer.

Mais ces mêmes études, dont les méthodologies épidémiologiques ont pourtant été jugées pertinentes, notamment dans un rapport de l'Institut de veille sanitaire en 2003, ont ensuite été rangées dans des placards.

En 1976, déjà, des cas de démence, de douleurs articulaires, de décalcification des os et d'anémie étaient apparus chez des insuffisants rénaux sous dialyse. Les nombreux médecins et chercheurs qui ont nourri l'enquête de Virginie Belle suspectent l'aluminium utilisé alors dans la préparation des dialyses et s'étonnent de l'omerta des instances sanitaires. extraits lemonde

18/09/2010

Grenoble teste l'"é.covoiturage" pour diminuer les émissions de CO2 LEMONDE | 16.09.10

Réputé pour la richesse de sa biodiversité et son parc naturel protégé, le plateau du Vercors (Isère) pourrait paradoxalement devenir l'un des symboles du mariage parfait entre la voiture et les dernières avancées technologiques de la téléphonie mobile.

Jusqu'au 26 novembre, le département de l'Isère expérimente en effet - entre l'agglomération grenobloise et les communes du massif du Vercors - l'"é.covoiturage", un système de covoiturage instantané à vocation écologique. En clair, il s'agit pour un passager non véhiculé et un conducteur, tous deux préalablement inscrits sur une interface en ligne gérée par le conseil général, d'entrer en relation afin de partager les frais d'un trajet commun.

Rien de novateur jusque-là, ce système existant déjà sur Internet. Sauf que cette prise de contact pourra, grâce à leurs téléphones portables, se faire dans l'immédiateté de leurs besoins de déplacement....

Concrètement, le passager transmet par SMS, à tous les conducteurs connectés par leur smartphone à Covisoft, l'application dédiée au concept, les coordonnées GPS de l'un des 76 points relais où il se trouve. Si un conducteur accepte sa demande de covoiturage, il s'engage à se rendre au lieu de rencontre et à déposer le passager jusqu'à un point d'arrivée décidé. Jusqu'à la fin de l'expérience, qui devrait coûter 70 000 euros au conseil général, le conducteur percevra 10 centimes d'euro au kilomètre et des bons d'achat de 30 euros délivrés par le conseil général.

Code secret

Si le concept venait à être adopté, aucune transaction financière n'aurait lieu au sein du véhicule. Grâce à un code secret inscrit par le passager sur le téléphone du conducteur à sa montée et à sa descente de la voiture hôte, les comptes des deux protagonistes seront, selon leur statut, crédités ou débités "à la manière d'un relevé bancaire, ajoute Didier Rambaud. Une manière de sécuriser le système et de repérer facilement, à l'aide d'un système de notation, tout comportement déviant".

Commentaire : Attendons les résultats avec impatience

16/09/2010

La Semaine de la mobilité et de la sécurité routière a lieu du 16 au 22 septembre 2010

La Semaine de la mobilité et de la sécurité routière a lieu chaque année du 16 au 22 septembre. Cette opération est coordonnée par le ministère du Développement durable, en partenariat avec l’Ademe, le GIE Objectif transport public, la FUB et le Club des villes et territoires cyclables. L’édition 2010 valorise le principe du bien circuler ensemble. L’objectif est de générer un changement de comportements en matière de déplacements pour, à terme :
- contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre dues aux transports
- contribuer à réduire le nombre d’accidents sur les routes.

C’est l’occasion de découvrir et de tester de nouveaux moyens de transports (transports en commun, covoiturage, autopartage, vélo, ...), de mettre en pratique l’éco-conduite, le code de la rue et de participer à de nombreuses manifestations partout en France.

Sur le site du ministère du Développement durabe, vous pouvez retrouver différents articles :

- Zoom sur la semaine de la mobilité et de la sécurité routière

- Zoom sur la sécurité routière et le code de la rue

- Zoom sur l’éco-conduite

- Zoom sur le covoiturage

- Zoom sur le plan de déplacement d’entreprise

15/09/2010

L'armée allemande prédit le pire une fois le pic pétrolier atteint

Le "peak oil" (pic pétrolier), ce moment où la production de pétrole va commencer à diminuer, aura des conséquences considérables sur l'économie et la politique extérieure allemande. Telles sont du moins les conclusions d'un rapport émanant du département d'analyse stratégique de l'armée allemande, récemment dévoilé par le site Spiegelonline. Une révélation que ni l'armée ni le gouvernement n'ont souhaité commenter.

Ce rapport d'environ 90 pages n'est apparemment que la première partie d'une réflexion sur "les dimensions environnementales de la sécurité". Il rappelle que la date à laquelle interviendra ce fameux "peak oil" continue de diviser les experts, qui sont, pour la plupart d'entre eux, juges et parties. Néanmoins, alors que la date de 2030 est souvent admise, le rapport estime qu'"il est probable que le "peak oil" intervienne autour de 2010 et que ses effets sur la sécurité se fassent sentir entre quinze et trente ans plus tard". extraits lemonde 130910

14/09/2010

Culture de pommes de terre OGM non autorisées: BASF a "confondu" les espèces

Le géant allemand de l'agrochimie BASF a avancé jeudi "une confusion" entre deux plants de pomme de terre génétiquement modifiés pour expliquer la culture en Suède d'une espèce pas encore autorisée en Europe, un faux pas qui lui a attiré de vives critiques.

BASF/MONSANTO source le point

Commentaire : C'est d'autant +grave qu'une majorité d'Européens sont  contre la culture d'OGM en plein champ. Alors.....

13/09/2010

Un antidiabétique trop bien toléré + Des "nègres" font du marketing médical

La rosiglitazone est un médicament pour lutter contre le diabète : il a été mis sur le marché alors que que des études sur les effets secondaires - comme le risque d'infarctus - faisaient défaut.

Un médicament antidiabétique à grand succès, la rosiglitazone, sur le marché depuis dix ans, est actuellement sur la sellette, aux Etats-Unis comme en Europe : ce blockbuster augmenterait légèrement le risque d'infarctus du myocarde, un effet secondaire qui a été ignoré ou minimisé pendant des années.

Dans son édition du 6 septembre, le British Medical Journal (BMJ) décortique ce qu'il convient de nommer l'"affaire Avandia", le nom sous lequel le médicament a été commercialisé par GlaxoSmithKline (GSK). Les pièces du dossier montrent que le laboratoire pharmaceutique, mais aussi les instances de régulation, les cliniciens et les journaux médicaux ne sont pas exempts de reproches.

Aux Etats-Unis, l'agence chargée de l'autorisation des médicaments, la Food and Drug Administration (FDA), a convoqué en juillet un comité de 33 experts pour décider de l'éventuel retrait du marché de l'antidiabétique. De son côté, le comité sur les médicaments à usage humain de l'Agence européenne du médicament (EMA) a examiné, mercredi 8 septembre, le dossier de la rosiglitazone. Il doit statuer sur le maintien ou non de son autorisation de mise sur le marché, accordée en 2000, lors de sa réunion du 20 au 23 septembre.

Au tournant des années 2006-2007, Avandia rapportait environ 3 milliards de dollars par an à GSK et représentait le deuxième médicament le plus rentable pour le laboratoire. En France, bien que prescrit à 10 % des diabétiques, contre 70 % aux Etats-Unis, il est en valeur le premier antidiabétique vendu.

Dans les articles qu'il consacre à l'affaire, le BMJ se demande "ce qui a cloché" et appelle à une révision des règles d'autorisation de mise sur le marché (AMM) des nouveaux médicaments. La rédactrice en chef du BMJ, Fiona Godlee, estime que la rosiglitazone n'aurait pas dû recevoir de feu vert sur la base des données fournies il y a dix ans. Mme Godlee considère que le médicament devrait être retiré du marché.

La rosiglitazone appartient à la dernière-née des classes d'antidiabétiques, les glitazones. La précédente datait des années 1950. L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé rappelle que, dans le cadre de l'autorisation accordée par l'EMA, "la rosiglitazone est indiquée en France en deuxième intention après échec ou intolérance des autres médicaments antidiabétiques oraux, contrairement aux Etats-Unis où elle peut être prescrite en première intention". Des deux côtés de l'Atlantique, les associations de personnes diabétiques comme beaucoup de diabétologues avaient accueilli avec enthousiasme l'arrivée de ce nouveau produit. "Le médicament était conceptuellement très intéressant, car il permettait au foie et aux muscles de retrouver leur sensibilité à l'action de l'insuline et les débarrassait de leur graisse", raconte le professeur André Grimaldi, qui dirigeait le service de diabétologie à La Pitié-Salpêtrière (Paris). Les Etats-Unis ont autorisé le médicament en 1999 ; l'Europe l'année suivante.

Responsable éditoriale des enquêtes au BMJ, Deborah Cohen a eu accès à des documents confidentiels, obtenus dans le cadre de la loi britannique sur la liberté d'information. Elle oppose, d'une part, la rigueur avec laquelle la FDA a décortiqué les données des essais cliniques mettant en cause la sécurité de la rosiglitazone sur le plan cardiovasculaire et, d'autre part, "le secret entourant les procédures chez le régulateur européen, l'EMA", qui ne dispose pas des mêmes moyens. Elle souligne : "Nous n'avons toujours pas une idée claire des raisons pour lesquelles, après l'avoir initialement rejeté en octobre 1999, l'EMA a donné une AMM à la rosiglitazone en juillet 2000 en l'absence de nouvelles preuves."

D'autant que plusieurs membres de la commission de l'EMA examinant la demande d'autorisation avaient exprimé leurs préoccupations du fait que "le rapport risque/bénéfice à long terme de la rosiglitazone (était) encore inconnu et qu'il y avait plusieurs soucis en matière de sécurité". L'EMA avait demandé à GSK deux études supplémentaires. La première visait à évaluer l'effet du produit sur la structure et la fonction cardiovasculaire des patients ayant un diabète de type 2 et une insuffisance cardiaque chronique ; la seconde, l'étude "Record", examinait sur une durée de six ans la morbidité et la mortalité cardiovasculaires.

L'étude Record a fait l'objet en 2010 d'un très long et très critique rapport d'un responsable de la FDA, Thomas Marciniak, qui a eu accès aux données individuelles de chacun des participants. "Nous n'avons pas examiné le protocole avant la mise en route de l'étude. Si cela avait été le cas, nous l'aurions jugé inacceptable", écrit-il. De plus, l'expert américain signale avoir trouvé, sur 549 dossiers, "70 problèmes sérieux, qui, quatre fois sur cinq favorisaient la rosiglitazone".

Dans un article publié par le BMJ, deux éminents spécialistes britanniques, Richard Lehman et John Yudkin, et un américain, Harlan Krumholz, s'inquiètent sérieusement de ce que "les agences autorisant les médicaments aux Etats-Unis et en Europe refusent toujours de demander des preuves de la sécurité cardiovasculaire avant d'autoriser des médicaments contre le diabète de type 2".

Pour le professeur Grimaldi, "ce qui est en cause dans le cas de la rosiglitazone, ce n'est pas son efficacité, réelle, mais la place qui lui a été accordée dans la stratégie thérapeutique contre le diabète". Pour le diabétologue, c'est une erreur d'avoir voulu inclure ce nouveau médicament dans le traitement précoce, même en association à des antidiabétiques plus anciens.....

Des "nègres" font du marketing médical

Le recours à des "nègres" pour rédiger des articles favorables à des médicaments, que signent ensuite des médecins hospitalo-universitaires, est un phénomène en expansion. Il est difficile à déceler et à quantifier, sauf lorsqu'une procédure judiciaire permet un accès complet à des documents confidentiels. C'est ce qui s'est produit à propos d'un médicament hormonal, le Prempro, utilisé aux Etats-Unis pour traiter les troubles liés à la ménopause. Des faits rapportés, mardi 7 septembre, par la revue PLoS Medicine......

Entre 1997 et 2003, une officine spécialisée, DesignWrite, a ainsi produit de manière occulte pour le compte de Wyeth "plus de 50 articles publiés dans des revues à comité de lecture, plus de 50 articles courts et posters pour des manifestations scientifiques, suppléments à des journaux, documents à usage interne, kits de diapositives et symposiums..."

Une vingtaine d'articles ont été payés 25 000 dollars pièce. DesignWrite était chargé de la gestion des "auteurs", loin d'être tous exigeants sur le contenu du texte.

extrait le monde 110910

12/09/2010

PUB attention l'art de faire rouler

regardez bien la pub da lessive d'Ariel.......

ARIELetlesmath-matiquescapitalistes.pps

Ouvrez l'oeil maintenant et choisissez une lessive écologique que vous ferez vous-même...

11/09/2010

conseil du jour votre lessive écolo pas chère

1 verre de cristaux de soude, 1 verre de bicarbonate de soude, 1 verre de copeaux de savon de marseille, quelques gouttes d'huiles essentielles suivant désir de chacun :

On râpe ce qu'il y a à raper, on mélange et on utilise !

J'allais oublier ! Pour éviter de détruire l'habitat de nos amis les orang-outans, choisissez un savon de marseille sans huile de palme ou prenez du savon d'Alep à l'huile d'olive... Le + écolo étant bien sûr le marseillais à l'huile d'olive, si vous en trouvez...souece lablondeecolo

09/09/2010

OFFRE D'EMPLOI - COORDINATEUR-TRICE GÉNÉRAL-E ADJOINT-E

Le Réseau "Sortir du nucléaire"
http://www.sortirdunucleaire.org/

recrute un ou une :


COORDINATEUR OU COORDINATRICE GÉNÉRAL-E ADJOINT-E

Date limite de réponse : vendredi 24 septembre 2010
Merci de rediffuser cette annonce à toute personne susceptible d'être intéressée


Le Réseau "Sortir du nucléaire", association loi 1901, est une fédération de 880 associations. Le Réseau est administré par un Conseil d’administration bénévole, constitué de 9 titulaires et 9 suppléants élus par son Assemblée générale. Le Réseau emploie 13 salarié-e-s.

L’activité du Réseau se décline en missions nombreuses et variées : organisation d'actions et de campagnes d’information, édition et diffusion d’une revue trimestrielle et de diverses publications, communication en direction des médias et du grand public, veille informationnelle et réaction à l’actualité, lien avec et coordination entre associations et militants, actions en justice, relations avec les associations antinucléaires étrangères, …

Le coordinateur général et le coordinateur général adjoint sont garants de la mise en œuvre des orientations décidées par l’Assemblée générale et le Conseil d’administration. Attachés à développer et promouvoir une vision transversale et prospective de l'action du Réseau, ils veillent à la coordination et à la cohérence de ses différents projets et activités.

Travaillant en collaboration étroite, le coordinateur général et le coordinateur général adjoint se concertent régulièrement pour se répartir missions et responsabilités. Cette collaboration est à envisager explicitement dans la perspective d'une véritable co-direction.

Les missions :

- Aide à la coordination générale du travail et de la vie de la structure (vision globale, suivi quotidien du travail avec le Conseil d’administration, supervision de nombreuses commissions, suivi des projets et du calendrier général, évaluation de la faisabilité des projets, préparation des Assemblées générales…)

- Aide à la direction administrative (organisation et animation de réunions, comptes rendus, dossiers administratifs divers…)

- Préparation de notes, synthèses et analyses aidant le Conseil d'administration et les différentes commissions à prendre des décisions informées (prospective, évaluation de projets, ...) ; participation à la réflexion stratégique

- Aide à la gestion des ressources humaines (organisation et suivi du travail de 13 salariés)

- Gestion et amélioration des outils de travail et amélioration des procédures

- Aide au suivi de la gestion financière (budget annuel de 1,2 million d’euros), recherche de nouveaux financements

- Remplace le coordinateur général dans ses missions lorsqu'il est absent

Le profil recherché :

- Réel intérêt pour la lutte antinucléaire et connaissance du Réseau "Sortir du nucléaire"

- Expérience professionnelle exigée en coordination et gestion d'équipe et de projets

- Expérience bénévole ou professionnelle dans le secteur associatif exigée

- Fortes aptitudes relationnelles et expression orale aisée

- Bonnes capacités d’organisation et de travail en équipe

- Sens des responsabilités, autonomie, fiabilité, rigueur intellectuelle et esprit d'initiative

- Adaptabilité, réactivité, gestion du stress

- Bonnes capacités rédactionnelles

- Familiarité avec les outils informatiques (utilisation quotidienne des mails et d’internet Word, Excel, Power Point... ; utilisation quotidienne et gestion de l’intranet de l’association)

- Connaissance des problématiques du nucléaire et des alternatives énergétiques

- Bonnes capacités de défrichage et d’apprentissage face à des problématiques insuffisamment connues

- Maîtrise de l’anglais (écrit et parlé)

- Des connaissances en droit du travail et en droit des associations seraient un plus.

Le poste est à pourvoir à compter du 2 novembre 2010.

Ce poste à plein temps sera basé au siège de l'association au 9 rue Dumenge, 69004 Lyon.

Durée de travail : 35 h de travail hebdomadaire + forfait cadre.

Travail ponctuel en soirée et week-end dans le cadre d’une collaboration étroite avec les administrateurs bénévoles et des militants.

Salaire : environ 2 200 € brut + avantages sociaux (tickets restaurant, participation à 50 % de votre mutuelle, épargne pour retraite complémentaire, prise en charge de 50 % des frais de transport en commun…)

Envoyez votre candidature (lettre de motivation, CV, photo), uniquement par mail, dans un seul document au format PDF exclusivement, d’ici le 24 septembre 2010 au plus tard, à :
recrutement@sortirdunucleaire.fr

Indiquer impérativement comme sujet de votre mail :
Recrutement coordinateur général adjoint

Merci beaucoup pour votre éventuelle candidature.

Le Réseau "Sortir du nucléaire"
http://www.sortirdunucleaire.org/

08/09/2010

Sortir du ciné avec le film sur sa clé USB

Une excellente initiative.. Vous avez adore un film et vous souhaite le revoir ou le mettre dans votre collection

alors ceci est pour vous

Cela s’appelle Vidéo en poche. Selon Le Post, le cinéma Utopia (Toulouse) offre désormais "la possibilité aux spectateurs de récupérer des films sur clé USB. En échange de 5 euros, le cinéma leur propose donc de disposer d’une copie sans droits d’auteur."

 

Pour plus d"infos cliquez ici