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10/10/2010

La Commission de Bruxelles face à une pétition anti-OGM LEMONDE extraits Le Monde.fr | 08.10.10

C'est une pétition d'un nouveau genre qui promet d'alimenter le débat européen sur les organismes génétiquement modifiés. Plus d'un million de personnes ont signé un appel pour inviter la Commission européenne à geler l'introduction des OGM. L'opération, dévoilée mercredi 6 octobre par l'association Greenpeace et le mouvement Avaaz, cherche à tirer parti d'une des innovations du traité de Lisbonne : l'initiative citoyenne.

Ce dispositif prévoit qu'un million au moins de citoyens européens, résidant dans un nombre significatif d'Etats membres, peut, par voie de pétition, inviter la Commission à faire une proposition législative dans un de ses domaines de compétence.

DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE

Avec l'aide d'Internet, les deux ONG se sont empressées de recourir à cette forme inédite de démocratie participative, consacrant le rôle de la société civile. Première du genre, leur pétition appelle donc José Manuel Barroso, le président de la Commission, à "décréter un moratoire sur l'introduction des plantes génétiquement modifiées en Europe".

Elle vise aussi "à mettre en place un organisme éthique et scientifique indépendant chargé de mener à bien la recherche sur l'impact des OGM et déterminer leur régulation". Deux sujets à l'origine de multiples polémiques.

Consultative, la pétition ne peut déboucher sur un référendum contraignant. La Commission aura quatre mois pour donner, ou pas, suite à la démarche. S'il n'entend pas modifier sa position sur le fond, M. Barroso peut pour l'instant jouer la montre, en faisant valoir que le règlement qui encadre l'initiative citoyenne est toujours en négociation entre le Parlement européen et les Etats. La première initiative citoyenne ne sera donc pas recevable avant la fin de l'année.

COMMENTAIRE : JOUER LA MONTRE POUR LA COMMISSION EUROPEENNE SERAIT UN SIGNE DE FAIBLESSE PROPRE A DONNER RAISON AUX MILLIONS DE CITOYENS EUROPEENS QUI NE SUPPORTENT PLUS CETTE ARROGANCE PILOTEE PAR LES LOBYISTES DES INDUSTRIELS DE LAGRO-ALIMENTAIRE..

09/08/2010

En selle pour 2011

En selle pour 2011

La piste cyclable joignant Strasbourg à Colmar sera bientôt une réalité. Les travaux du maillon manquant, entre Artzenheim et Friesenheim, dans le Bas-Rhin, viennent de démarrer. Pour une mise en circulation en mars 2011.

Aller de Colmar à Strasbourg à vélo en toute sécurité sur une piste cyclable qui longe le canal du Rhône au Rhin : voilà dix ans que le projet patientait dans les cartons des conseils généraux du Haut-Rhin et du Bas-Rhin. « Cette fois, ça y est. Le chantier du dernier tronçon démarre », se réjouit Gérard Simler, conseiller général du canton de Marckolsheim.

Le Haut-Rhin avait pris un peu d'avance

Pas moins de sept études ont été effectuées avant que le projet ne se réalise enfin. « Le terrain est propriété de l'État, cela a fortement compliqué les choses. En plus, le projet de piste cyclable a toujours été associé à la réhabilitation du canal, un dossier complexe », souligne Gérard Simler.
Contournant ces obstacles, le Haut-Rhin avait pris un peu d'avance : les 15 km de piste cyclable qui relient Colmar à Artzenheim ont été mis en circulation au printemps 2009. « Nous avions alors décidé que la piste cyclable suivrait le chemin de halage, et ainsi passerait sous les différents ponts », indique Éric Straumann, conseiller général du canton de Colmar. Il se targue du succès rencontré par l'itinéraire. « La piste est fréquentée, certains jours, par près de 700 personnes. »
Le dernier tronçon, entre Artzenheim et Friesenheim, est long de 25 km, dont 1 km situé sur le département du Haut-Rhin. « On aurait pu commencer les travaux en mars si un arrêté préfectoral ne nous l'avait interdit à cause de la période de nidification des oiseaux », précise Gérard Simler. Les travaux, entamés cette semaine, devraient durer quatre mois, mais l'itinéraire ne sera mis en circulation qu'en mars 2011, après les dernières finitions réalisées à la fin de l'hiver.
Comme la partie haut-rhinoise, recouverte d'un revêtement naturel, le végécol, avec liant végétal, la partie bas-rhinoise bénéficiera d'un revêtement propre. « C'est un nouveau produit issu des hauts fourneaux de Lorraine. Encore plus poreux que le végécol, il empêchera l'eau de pluie de stagner », précise le conseiller général bas-rhinois. Le coût du projet (2,2 millions d'euros) sera pris en charge à hauteur de 1 million par Voies navigables de France (VNF) et 1,2 million par les départements (dont 85 000 € par le Haut-Rhin au prorata du kilométrage).
Pour Éric Straumann, cette future piste en site propre, qui permettra de relier les centres-villes de Colmar et de Strasbourg (*), deviendra le principal atout touristique de la région du Ried. « Le cyclotourisme pourra connaître un vrai développement...extrait dna du 6.08.10

commentaire : bonne initiative pour le coeur et les jambes si pistes cyclables sécurisées

03/08/2010

Un programme sans précédent pour élucider la surmortalité des abeilles LEMONDE | 31.07.10

Quelle est la cause de la surmortalité des abeilles sauvages et domestiques qui, partout dans le monde, menacent la biodiversité et la sécurité alimentaire de l'humanité ? Pour répondre à cette question, les autorités anglaises et écossaises viennent de lancer un programme d'une envergure sans précédent.

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Rassemblés sous l'intitulé "Initiative pour les insectes pollinisateurs", neuf projets de recherche, qui bénéficieront d'un financement de 12 millions d'euros sur trois ans, tenteront d'apporter des réponses. "L'enjeu est à la fois de protéger la biodiversité - de nombreuses espèces sauvages dépendant de la pollinisation -, et les cultures alimentaires, en particulier les fruits et légumes, explique Andrew Watkinson, directeur du partenariat Living with Environmental Change, qui chapeaute les recherches menées par les gouvernements du Royaume-Uni. On voit déjà les conséquences du manque de pollinisateurs en Angleterre : les producteurs de pommes doivent ainsi importer des abeilles."

Un tiers de l'alimentation mondiale dépend de la pollinisation par les insectes. Le programme a été suscité par les parlementaires britanniques, alertés par des apiculteurs. Il est financé par des fonds publics et le Welcome Trust, une fondation privée.

IMPACT DES PESTICIDES

Pour expliquer cette surmortalité, la communauté scientifique parle aujourd'hui de causes "multifactorielles", et d'interactions possibles entre les divers facteurs : maladies, parasites, exposition aux pesticides, raréfaction de la nourriture des insectes due à l'uniformisation des cultures, appauvrissement génétique des reines...extraits

26/06/2010

Les Etats-Unis pourraient autoriser un saumon génétiquement modifié

Face à une demande croissante, la science a réussi à produire des saumons d'élevage. Mais ces poissons ont encore un défaut, ils ne grandissent pas assez vite. Les avancées de la génétique ont permis de créer un saumon qui arriverait à maturité deux fois plus vite que ses congénères ordinaires. Le dossier quasi-complet est sur la table de la Food and drud administration (FDA) américaine qui pourrait autoriser sa commercialisation aux Etats-Unis.

Comme l'explique AquaBounty, la compagnie qui l'a élaboré, "ce poisson serait le premier animal transgénique destiné à l'alimentation humaine qui serait approuvé par la FDA". L'admnistration créerait ainsi un précédent qui servirait les intérêts d'autres firmes ayant mis au point des animaux issus de manipulation génétique – bovins résistants à la maladie de la vache folle, porcs dont on pourrait tirer un bacon meilleur pour la santé...

HORMONE DE CROISSANCE

Cette croissance accélérée du saumon a été obtenue en modifiant le gène qui code pour l'une des hormones de croissance du poisson. Sans modification génétique, le saumon ne la sécrète pas s'il se trouve dans une eau froide. La modification génétique a consisté à faire produire cette hormone tout au long de l'année, quelle que soit la température de l'eau. Ainsi, il atteint la taille à laquelle il devient commercialisable au bout de 16 à 18 mois au lieu de trois ans.

Selon le New York Times, la FDA aurait validé cinq des sept jeux de données scientifiques portés à sa connaissance par AquaBounty. La firme insiste sur l'absence de danger inhérents à ses produits, fruits de "plus de vingt ans de recherche". Les poissons ont été "conçus pour des élevages clos", assure-t-elle avant de préciser qu'il s'agit uniquement "de femelles stériles pour éliminer tout risque de contamination" des saumons ordinaires.

A l'instar des autres OGM, les saumons génétiquement modifiés sont accusés d'être poussés vers le marché sans que toute la lumière n'ait été faite sur ses conséquences sur la santé et l'environnement. Citée par le New York Times, Margaret Mellon de l'Union of concerned scientists où elle est en charge des problèmes d'alimentation et d'environnement dénonce le manque de transparence de la FDA. "Personne n'a accès aux données complètes", déplore-t-elle. Lors d'une audition à la FDA, elle a promis que l'autorisation du saumon d'AquaBounty générerait un "tempête de réactions négatives" des consommateurs et des scientifiques.

source extraits le monde du 26062010

Commentaire : la FDA est un organisme peu transparent dont les lobbys font le siège permanent...

les dernières rèactions

On n'arrête pas l'horreur. Après le lait, les céréales, la viande, maintenant le poisson ... Vite, vite un humain génétiquement modifié conditionné pour bien penser et bien manger ... Pauvre de nous.

AquaBounty, il y a de quoi se révolter. On se souvient que les "Révoltés du Bounty" se sont mutinés pour une question d'alimentation avariée. Il y a des noms qu'il vaudrait mieux éviter.

Et voilà maintenant c'est le saumon - générer plus de bénéfices (on vend les oeufs tous les 18 mois au lieu de 3 ans), il n'y a que des femelles (puisqu'on vend les oeufs pour les fermes aquacoles - oups désolé, pas vu l'erreur, désolés pour les mâles qui one été vendus comme femelles), on dit que c'est pour agir contre la faim dans le monde... Les apprentis sorciers sous la férule du grand maître libre entreprise nous mènent droit dans le mur. Boycott du saumon, c'est tout ce qu il reste.

Décidément, nos amis américains ne reculent devant aucune bêtise ... l'agent orange au vietnam, les munitions à l'uranium endurci en Irak, consommation d'eau aberrante à Las Vegas, dispersants cancérigènes en Louisiane, et maintenant des OGM dans la mer (qui appartient à tout le monde, n'est-il pas ?). Comment écrit on en anglais "principe de précaution" ? Serait-ce un "gros mot" aux USA ?

23/05/2010

27 mai : Journée nationale de dépistage du cancer de la peau



15 mai : Journée nationale de dépistage du cancer de la peauLa Journée nationale de dépistage du cancer de la peau est une opération de santé publique parrainée, depuis sa création en 1998, par le Ministère de la santé, est soutenue également par l’Institut National du Cancer (INCa).

Compte tenu de l’agmentation constante du nombre des cancers cutanés et s’agissant de la 10ème édition de cette journée, 2008 aura un relief particulier avec la mobilisation de plus de
1 000 dermatologues qui interviendronnt à titre bénévole sur l’ensemble du territoire national, avec le soutien des municipalités et des collectivités locales.

Très sensibilisés aux enjeux d’une politique offensive de santé publique, les dermatologues sont impliqués dans les actions d’éducation et de prévention qui figurent au premier plan des programmes gouvernementaux de lutte contre le cancer.

La journée du 27 mai 2010 devrait permettre d’informer le plus grand nombre sur la nécessité d’un contrôle régulier de la peau et du recours à un dermatologue dès qu’apparaît une lésion suspecte.

Vous pouvez retrouver de nombreuses informations sur le cancer de la peau dans le site internet du syndicat des dermatologues de France (voir ci-dessous).
Un site à visiter

07/05/2010

Les chiffres 2010 du cancer disponibles sur le site de l’InVS 5 mai 2010

L’Institut de veille sanitaire (InVS) publie sur son site Internet (www.invs.sante.fr) des projections de l’incidence et de la mortalité par cancer en France pour l’année 2010, données issues d’un partenariat entre l’InVS, le réseau français des registres de cancer, Francim, les Hospices civils de Lyon (HCL, Service de biostatistique) et l'Institut national du cancer (Inca), avec la collaboration du CépiDc-Inserm.

Chez l’homme, en 2010, on estime à 203 100 le nombre de nouveaux diagnostics de cancer (incidence) en France métropolitaine. Ce chiffre est de 154 600 chez les femmes. En 2009, ces résultats étaient respectivement de 197 700 et 149 200 chez les hommes et les femmes. En 2010, le nombre de décès par cancer est estimé à 84 700 chez les hommes et 62 100 chez les femmes, contre 85 300 et 61 900 respectivement en 2009.

Cette année encore, avec 71 600 nouveaux cas, le cancer de la prostate reste de loin le cancer le plus fréquent chez l’homme, avant le cancer du poumon (26 900 cas) et le cancer colorectal (21 100 cas). En termes de mortalité, le cancer de la prostate (8 800 décès) se situe après le cancer du poumon (21 100 décès) et le cancer colorectal (9 200 décès).

Avec 52 600 nouveaux cas en 2010, le cancer du sein est le plus fréquent chez la femme avant le cancer colorectal (18 900 cas) et le cancer du poumon (10 000 cas). Le cancer du sein se situe en tête de la mortalité, avec 11 300 décès en 2010, mais le taux de mortalité diminue en France depuis près de 15 ans. Chez la femme, la situation concernant le cancer du poumon est toujours aussi préoccupante puisque incidence et mortalité sont en constante augmentation (7 700 décès en 2010).

Ces projections sont issues d’une modélisation statistique des données observées dans les registres de cancer jusqu’en 2005 ainsi que des données nationales de mortalité par cancer jusqu’en 2007 ; elles sont basées sur un scénario d’évolution privilégié, pour chaque type de cancer. Ce scénario a été retenu par un groupe d’épidémiologistes parmi trois scenarii possibles, basés sur la poursuite ou non des tendances les plus récemment observées.

Pour le cancer de la prostate, le scénario d’évolution retenu repose sur une hypothèse de stabilisation de l’évolution de l’incidence de ce cancer entre 2005 et 2010 alors que son augmentation était de 8,5 % par an entre 2000 et 2005. Cette augmentation de l’incidence est liée aux pratiques de dépistage par le dosage du PSA (antigène spécifique de la prostate) et l’hypothèse de stabilisation est issue du fait qu’une grande partie des cancers devrait être à présent diagnostiquée. Des résultats internationaux et des données de l’Assurance maladie confirment cette tendance à la stabilisation. L’hypothèse de stabilisation a également été retenue pour le cancer du sein dans l’éventualité d’un effet de la diminution de la prescription des traitements hormonaux substitutifs de la ménopause.

La publication de ces projections illustre la mise en œuvre des mesures du Plan Cancer 2 relatives à l’observation des cancers et au renforcement des registres existants (couvrant actuellement environ 20 % de la population) sans lesquels il serait impossible de publier de tels résultats en France. La France est le seul pays européen à fournir des estimations nationales pour l’année en cours. Les données de mortalité ont été fournies par le CépiDc de l’Inserm.

Projections de l’incidence et de la mortalité par cancers en France en 2010. Dossier disponible sur le site de l’InVS :
http://www.invs.sante.fr/applications/cancers/projections...

source InVS

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21/04/2010

Les Français de plus en plus allergiques

Eternuements, nez qui coule, yeux qui piquent, urticaires... pour des milliers de Français, l'arrivée du printemps n'est pas qu'une bonne nouvelle. Environ 25 % de la population est allergique, contre 4 % il y a quarante ans, soit 18 millions de personnes, dont 12 millions de rhinites allergiques et 3 millions d'asthmatiques. Un Français sur deux pourrait être touché en 2015, selon l'Association de recherche clinique en allergologie et asthmologie (Arcaa). L'allergie, classée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) au quatrième rang des maladies chroniques, a doublé en vingt ans.

Comment expliquer cette hausse ? Principaux facteurs explicatifs, l'environnement extérieur, notamment la pollution atmosphérique, le mode de vie, avec des appartements plus confinés, le tabac, les acariens, les composés organiques volatiles (COV), substances chimiques présentes dans les peintures, meubles, etc.

Les allergies alimentaires progressent elles aussi. Elles touchent 6 % des enfants de moins de 15 ans, entre 2 % et 3 % de la population générale. Les symptômes sont variés : troubles digestifs, cutanés (urticaire, oedème de Quincke, eczéma), respiratoires (rhinites, asthme), jusqu'au choc anaphylactique (qui peut entraîner la mort). "Les formes sévères sont en augmentation", explique le pneumologue Frédéric de Blay, président de la Société française d'allergologie (SFA). Certes, la plupart des allergies sont légères, mais on compte 2 000 morts par asthme tous les ans, rappelle l'allergologue Isabelle Bossé, présidente du Syndicat français des allergologues (Syfal) et de l'Arcaa.

La croissance des allergies alimentaires trouve ses causes dans "la grande diversification des aliments et leur industrialisation qui ont augmenté la présence d'additifs", selon l'allergologue Dominique Château-Waquet, auteur de Et si c'était une allergie (Presses du Châtelet). Certains avancent aussi une diversification trop précoce de l'alimentation des bébés. "Les gens vivent dans un environnement de plus en plus propre et désinfecté. Du coup, on n'a plus de parasitose, c'est une hypothèse", avance Jean-Pol Dumur, allergologue à Aix-en-Provence.

extraits et lire la suite sue le monde

22/03/2010

Et si les corps gras n'étaient pas mauvais ?

C'est la saison des régimes minceur. Nouveauté, le message ne semble plus être à la stigmatisation de certains aliments. Dans sa dernière recommandation publiée mardi 16 mars, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) fait montre de la même mesure ("Ni trop ni trop peu") vis-à-vis des lipides, ces corps gras comme l'huile, le beurre ou la charcuterie longtemps épinglés comme mauvais pour la santé....

Si ces apports en lipides sont globalement respectés par les Français, 31 % des adultes et 33 % des enfants les dépassent, note l'agence. Les acides gras saturés (margarine, beurre...) restent consommés en excès (15 %), même si l'ANC a été relevé de 8 % à 12 % entre la recommandation 2001 et celle de 2010.

Ainsi, trois quarts de ces acides gras, dont l'acide palmitique (la célèbre huile de palme, présente dans de nombreux produits manufacturés), sont consommés en excès. "Si autrefois on disait que tous les acides gras saturés étaient mauvais, certains dits à chaîne courte ou moyenne (que l'on trouve dans le beurre et le fromage) peuvent avoir des effets positifs sur la santé", explique Jean-Luc Volatier, à l'Afssa.

L'agence conseille de consommer et de diversifier les huiles végétales (colza et noix) et de consommer du poisson deux fois par semaine, dont au moins une fois du poisson gras (saumon, sardines ou maquereau), qui contient des acides gras oméga 3 à longue chaîne, bons pour le fonctionnement cérébral.

extrais LE MONDE

voir également l'article sur Réévaluation des ANC en lipides : ni trop, ni trop peu
du  16 mars 2010 dans la rubrique actualités en cliquant sur afssa

01:46 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : corps gras, santé, minceur |  Facebook |

22/02/2010

Trois millions de franciliens exposés à une pollution chronique de l'air

Environ 3 millions de franciliens sont exposés à des niveaux de pollution qui ne respectent par la réglementation, dit l'organisme de mesure de la qualité de l'air en Ile-de-France Airparif dans son bilan 2009 publié jeudi.

"Après une année 2008 remarquablement favorable" compte tenu d'une météo dispersant les polluants, "2009 correspond plutôt à une année normale", confirmant notamment une stabilité des niveaux de pollution chronique, souligne Airparif.

Si les polluants du passé, tels que le plomb, le dioxyde de soufre ou le monoxyde de carbone respectent les limites réglementaires depuis plusieurs années, d'autres polluants posent problème: dioxyde d'azote, particules fines, ozone et benzène.

Le dioxyde d'azote "reste l'enjeu principal en matière de pollution atmosphérique en Ile-de-France", dit Aiparif. Paradoxalement, l'équipement croissant des véhicules diesel en filtres à particules contribue à augmenter les rejets directs en dioxyde d'azote: ce "talon d'achille" de la lutte contre la pollution aux particules a été mis en évidence aussi bien à Paris qu'à Londres....

a pollution, principalement due aux transports en IdF, peut provoquer gêne respiratoire, maux de gorge, maux de tête, irritations des yeux etc... Elle peut déclencher des crises d'asthme, des problèmes cardio-vasculaires (infarctus), voire conduire à des morts prématurées. Des études nord-américaines ont montré un lien entre la pollution chronique et l'augmentation du risque de décès, notamment par cancer du poumon.

accès au site  pour + d'infos Le site d'Airparif

extraits AFP

21/02/2010

Evitez les boules antimites dans les placards !

Pour vous débarrasser des mites dans vos armoires (notamment celles dites « des vêtements », qui raffolent des fibres animales, comme la laine ou la soie), vous avez recours aux boules antimites ? Stop ! Elles sont dangereuses pour la santé ! Préférez les alternatives naturelles.

Evitez les boules antimites dans les placards !

Les mites sont des nuisibles à éloigner de votre habitation... mais pas à n'importe quel prix ! Crédit photo : © jscalev - Fotolia.com

Les boules antimites semées dans les tiroirs et penderies diffusent des vapeurs de naphtaline et du para-dichlorobenzène : des substances très cancérigènes (et inflammables). A proscrire ! Une exposition prolongée et répétée peut provoquer maux de tête, fatigue, nausées, diarrhées, et endommager sérieusement le système nerveux. Ainsi que les poumons. Rien que ça !

Elles sont tellement nocives que Bruxelles envisage même de les interdire.

Pour éviter tout problème, Tournez-vous donc plutôt vers les sachets de lavande ou les copeaux de cèdre pour éloigner ces nuisibles. En plus, l’odeur est bien plus agréable ! Quant au linge fragile auquel vous tenez particulièrement, comme les lainages, rangez-les dans des boîtes hermétiques (ou achetez des vêtements traités contre les mites).

Extraits lire la suite en cliquant ici

commentaire : Cultiver la lavande est tellement  facile et c'est recommandé à nos bronches polluées par les particules fines de nos villes....Marre de la pollution automobile et industrielle

L'essor de l'élevage, une menace pour la planète

L'élevage est responsable, aujourd'hui, de 18 % des émissions totales de gaz à effet de serre, à l'origine de 8 % de la consommation mondiale annuelle d'eau, et occupe près de 80 % de la superficie agricole de la planète.
AFP/JOEL ROBINE
L'élevage est responsable, aujourd'hui, de 18 % des émissions totales de gaz à effet de serre, à l'origine de 8 % de la consommation mondiale annuelle d'eau, et occupe près de 80 % de la superficie agricole de la planète.

La consommation mondiale d'aliments issus de l'élevage (viande, œufs, produits laitiers) progresse à une vitesse vertigineuse. Aujourd'hui, par exemple, un Chinois mange en moyenne 59,5 kg de viande par an, contre 13,7 kg en 1980. Il a aussi multiplié sa consommation de produits laitiers par dix sur la même période, à 23,2kg !

Cette expansion soutenue ne va pas sans poser une multitude de défis, estime le rapport annuel sur "La situation mondiale de l'alimentation et de l'agriculture", publiée, jeudi 18 février, par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) : "La croissance rapide du secteur de l'élevage (…) a engendré des risques systémiques qui pourraient avoir des conséquences catastrophiques pour les moyens de subsistance, ainsi que pour la santé humaine et animale et pour l'environnement."

Commentaire du site : Mais aussi nous sommes trop nombreux sur cette terre....Il faut agir.

L'élevage est un gros facteur de pollution par les gaz à effet de serre. Mais comme le dit un commentateur, le plus gros problème sur cette planète, c'est que la population continue à augmenter à la vitesse grand V. Quand se décidera-t-on à dire qu'il faut recourir partout à contraception et limiter la population pour ne pas tuer la planète?

Si vous réfléchissez, il n'y aura pas besoin de plus de céréales, car moins d'élevage signifie avant tout moins de production agricole pour l'élevage. Pour une Calorie animale produite il faut en moyenne 7 calories végétales. donc moins d'élevage signifie plus de calorie végétales pour l'alimentation humaine à production constante.

Supposons que nous mangions moins de viande, il faudra plus de légumes de céréales etc... d'ou un nouveau risque. Pourquoi ne veut on pas dire la triste vérité nous sommes trop nombreux sur cette terre. Tant que 2 milliards d'hommes (Chine + Inde) mangeaient chichement c'était encore possible.Mais tous à bien manger notre planète est saturée. Est-ce que quelqu'un va le dire clairement!

07/02/2010

On vous l'avait dit Les agriculteurs exposés aux pesticides portent des précurseurs du cancer

Il existe un lien entre l'exposition des agriculteurs aux pesticides et des anomalies du génome pouvant faire se développer un cancer. Lors d'un colloque organisé à Marseille, vendredi 5 février, par la Ligue contre le cancer, Bertrand Nadel (Centre d'immunologie de Marseille-Luminy) a présenté des résultats obtenus lors d'une étude (Agrican) lancée en 2005. Ces travaux pourraient déboucher sur une stratégie de dépistage précoce de cancers du système lymphatique....

ANOMALIE GÉNÉTIQUE

"Nous avons mis en évidence des biomarqueurs qui témoignent d'un lien moléculaire entre l'exposition des agriculteurs aux pesticides, l'anomalie génétique et la prolifération de ces cellules, qui sont des précurseurs de cancer. Cet effet est fonction de la dose et du temps d'exposition", résume Bertrand Nadel......SOURCE LE MONDE

commentaire : marre des pesticides et les consommateurs sont les prochaines victimes

28/01/2010

Gastro-entérites aiguës Situation épidémiologique des gastro-entérites aiguës en France métropolitaine

Pour la semaine n°3 du 18 au 24 janvier 2010, d’après le réseau Sentinelles (http://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb), l’incidence nationale de la diarrhée aiguë ayant conduit à une consultation de médecin généraliste était de 621 cas pour 100 000 habitants, au-dessus du seuil épidémique (283 cas pour 100 000 habitants) pour la quatrième semaine consécutive cette saison. Le réseau Sentinelles estime que 1 300 000 personnes ont consulté pour gastro-entérite en 4 semaines. Le taux d’incidence de 20 régions était au-dessus du seuil national au 24 janvier 2010, avec en particulier la région Nord-Pas-de-Calais qui avait le plus fort taux d’incidence (1 509 cas/100 000 habitants). Seules les régions Aquitaine et Poitou-Charentes étaient en dessous du seuil.

09/12/2009

Manger autant de viande est une aberration pour l'environnement et la santé

Il faut manger moins de viande et préférer celle issue de l'agriculture biologique !

Autrefois l'apanage des pays riches, la consommation de viande ne cesse d'augmenter dans le monde. L'élévation du niveau de vie dans les pays en voie de développement amplifie les effets déjà catastrophiques, mais peu évoqués, d'une surconsommation de viande non soutenable et inutile.

En moyenne, un être humain consomme 100 g de viande par jour. Dans les pays développés, la consommation est supérieure à 200 g par jour alors que dans les pays en développement elle est de 47 g, avec de fortes disparités régionales.

En moyenne, un Français mange 92,5 kg de viande par an, soit plus de 250 g par jour : l'équivalent de 6 tranches de jambon ! Cela représente l'abattage de 1,1 milliard d'animaux par an, rien qu'en France...

Une pression sur la surface agricole disponible

La production mondiale de viande a quintuplé entre 1950 et 2000. Elle était de 229 millions de tonnes en 2001 et pourrait atteindre 465 millions de tonnes en 2050 tandis que la production de lait passerait de 580 millions de tonnes à 1043 millions de tonnes sur la même période au regard de la croissance démographique et de l'évolution des habitudes alimentaires. Or, pour nourrir le bétail, la demande en céréales augmente de manière considérable, les céréales étant de plus en plus l'aliment de base du bétail, au détriment de l'herbe des pâturages.

C'est pourquoi, selon les prévisions de la FAO, il serait nécessaire de doubler la production agricole d'ici à 2050. En effet, pour produire un kilo de viande, il faut 7 kilos de céréales. Pour répondre à cette demande, il est possible d'augmenter la surface des terres cultivées, mais à quel prix ? Déforestation, monocultures intensives, utilisation de pesticides, d'OGM, destruction d'écosystèmes et perte de biodiversité...

L'élevage extensif et le soja exporté comme aliment du bétail sont la première cause de la déforestation selon Alain Karsenty, économiste au Centre de coopération internationale pour le développement et expert auprès de la Banque mondiale. Après une enquête de 3 ans publiée en juin 2009, Greenpeace affirme que l'élevage bovin est responsable à 80% de la destruction de la forêt amazonienne...

L'UE, dont la superficie des forêts augmente, est le 4e importateur de bovins derrière les USA, la Russie, et le Japon. En outre, 80% des importations de bovins de l'UE viennent d'Amérique du Sud. Or, la France est le premier consommateur européen de viande bovine. Ainsi la consommation de viande en Europe et en France est une cause de la déforestation en Amérique du Sud.

Surfaces de sol nécessaires par aliment

Enfin, n'oublions pas de mentionner la concurrence de plus en plus accrue des agrocarburants et bientôt des bioplastiques pour l'utilisation des surfaces agricoles.

Élevage et émissions de gaz à effet de serre

En 2006, un rapport de la FAO soulignait que l'élevage était responsable de 18 % des émissions annuelles de gaz à effet de serre (GES) dans le monde, plus que l'ensemble du secteur des transports... Mais de nouveaux calculs effectués en 2009 par deux experts des questions environnementales auprès de la Banque mondiale démontreraient l'élevage représenterait en réalité plus de la moitié des émissions mondiales de GES !

En France, l'élevage est le deuxième secteur d'émissions anthropiques de gaz à effet de serre(1) (9,2 %), derrière le premier contributeur : le résidentiel (12%). Ce secteur participe donc massivement au réchauffement climatique alors que son impact n'est jamais souligné ni même évoqué par les décideurs...

Le rapport de Foodwatch propose une illustration de l'effet sur le climat de 3 types de régimes alimentaires. Une alimentation sans produits animaux émet de 7 à 15 fois moins de GES qu'une alimentation qui contient de la viande et des produits laitiers.

Effet de serre selon l'alimentation

Les conséquences environnementales de l'élevage intensif

.....lire la suite sur notre-planete.info

Commentaire : Nous devons faire comme  pour les oies. Pour les respecter et pour améliorer notre santé, nous ne devons plus nous gaver...de viande.

25/11/2009

Consommation : un inventaire des produits contenant des nanomatériaux

Le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC), basé à Bruxelles, vient de mettre en ligne sur son site Internet (Beuc.eu) un inventaire des produits de consommation contenant des nanomatériaux - des particules infiniment petites : un nanomètre équivaut à un milliardième de mètre. Cette liste, qui recense 151 articles, concerne des produits de beauté (crèmes solaires, dentifrices blanchissants), des tissus (couvertures, chaussettes ou serviettes antibactéries), des jouets pour enfants (certaines peluches), des compléments alimentaires, des produits d'entretien, etc. Avec l'aide de ses organisations-membres, notamment l'UFC-Que choisir en France, le BEUC a identifié plusieurs marques françaises, comme Babyliss, Chanel, Dior, Chantecaille et G. M. Collin. Les scientifiques ne sont pas en mesure de conclure à l'innocuité des nanomatériaux sur la santé ou l'environnement, toutefois, l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a recommandé, en octobre, "l'application du principe de précaution" à leur égard. Compte tenu de ce manque de données, le Bureau européen des unions de consommateurs réclame une plus grande transparence sur l'étiquetage. Il déplore "l'absence de législation qui rendrait obligatoire cet étiquetage", hormis un règlement européen sur les cosmétiques, dont l'entrée en vigueur est prévu à l'horizon 2013. Le BEUC précise que son inventaire n'est pas "officiel", dans la mesure où il n'a pas réalisé de tests en laboratoire pour vérifier que les produits attestant la présence de nanomatériaux en contiennent réellement. Il n'est pas non plus exhaustif, du fait de "la difficulté à trouver des informations" sur le sujet.

Rafaële Rivais
source lemonde 20/11/09

00:06 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nanomatériaux, santé |  Facebook |

18/11/2009

Une énième étude met en cause le bisphénol A


la molécule de BPA bisphénol A

Depuis 1995, les études se suivent et se ressemblent sur les dangers du bisphénol A (BPA), un monomère entrant dans la fabrication de polymères, en l’occurrence un plastique dur et transparent, le polycarbonate..........

Selon une nouvelle étude portant sur des sujets adultes, le BPA serait également dangereuse pour les adultes qui y seraient exposés. Conduite en Chine sur des ouvriers travaillant dans une usine où le BPA est utilisé en grande quantité, cette étude vient d’être publiée dans la revue Human Reproduction.

Ces ouvriers, expliquent les chercheurs chinois, ont quatre fois plus de risques de souffrir de troubles de l’érection et sept fois plus d’avoir des problèmes d’éjaculation – en comparaison d’ouvriers employés d’une usine n’en utilisant pas.Cette étude serait ainsi la première à faire le lien entre “une exposition au BPA sur le lieu de travail et un dysfonctionnement sexuel chez l’homme”.

Les taux de BPA auxquels étaient exposés les ouvriers étudiés étaient très élevés. ......

Pionnier, le Canada a été le premier pays à bannir, en 2008, les produits contenant du BPA. Quid de la France ? Dans un rapport de 2008, l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation (AFSSA) ne s’est pas inquiétée outre mesure, suscitant les moqueries du Canard. L’Agence ne voit pas de risques pour les bébés :

“Lorsque le contenu des biberons en polycarbonate est chauffé via un traitement au four à micro-ondes en conditions réalistes (durée de chauffage inférieure à 10 minutes), les quantités de Bisphenol A transférable à l’aliment restent très inférieures à la valeur maximale de 50 μg de Bisphenol A par litre retenue par l’AESA pour son calcul d’exposition conservateur.”

L’Agence a toutefois promis de relancer les investigations à ce sujet.

Une proposition de loi visant à proscrire “la fabrication, l’importation, l’offre, la détention en vue de la vente ou de la distribution à titre gratuit, la mise en vente, la vente ou la distribution à titre gratuit de plastiques alimentaires contenant du Bisphénol A” a été déposée au début de l’été au Sénat par le socialiste Yvon Collin, mais n’a pas été, à notre connaissance, soumise au vote.

extraits et cliquer pour + de détails sur sciences.blog.lemonde

22/10/2009

La bicyclette-taxi Bixi enthousiasme les Montréalais

L'un, le Bixi, est tout nouveau, l'autre, Communauto, a déjà quinze ans d'existence mais ils visent le même objectif : inciter les Montréalais à délaisser la voiture individuelle pour adopter des modes de transport plus écologiques, en complément du métro et du bus. Leur succès dépasse les espérances.

Le Bixi, vélo en libre-service, a été lancé en mai, avec 3 000 vélos et 300 stations mais l'accueil fut tel qu'en septembre il a fallu avancer la phase 2 du projet et proposer 100 stations et 2 000 vélos supplémentaires. La Société de vélo en libre-service, qui gère le projet montréalais, a obtenu le mandat, avec le groupe britannique Serco, de concevoir et mettre en place dès 2010 le "London Cycle Hire Scheme", un projet de 6 000 vélos, 400 stations comprenant 10 000 bornes au total. A Boston, le contrat d'implantation d'un système similaire comprend la livraison de 2 500 bicyclettes et 290 stations dans le centre-ville, chiffres qui pourraient doubler avec l'implication de villes limitrophes.

De son côté, le système d'auto-partage Communauto - lancé par une PME privée -, disponible à Montréal mais aussi dans trois autres grandes villes québécoises, dont Québec, a une croissance exponentielle depuis sa création. Fonctionnant avec des forfaits annuels selon les besoins (courtes ou longues distances), il comptait, en 2009, 18 200 abonnés. Sa flotte de 875 véhicules est disponible dans 300 parkings, avec un système d'accès en libre-service qui a fait ses preuves.

Convaincu que bien des gens ne veulent pas se passer d'une auto mais en voudraient bien une à temps partiel, l'initiative a pour principal objectif de "s'inclure dans la chaîne des transports publics" en combinant les offres. Un abonné de Communauto bénéficiait déjà de tarifs à rabais de la Société de transport de Montréal (STM) pour le métro et le bus. Désormais, il peut aussi obtenir une réduction de 50 % sur la location annuelle du nouveau vélo en libre-service.

Le Bixi (bi pour bicyclette, xi pour taxi) est une pure invention québécoise, conçue par le designer industriel Michel Dallaire avec le fabricant Cycles Devinci et la multinationale Rio Tinto Alcan comme partenaire, notamment pour la fourniture d'aluminium. Du vélo aux terminaux, tout est fabriqué au Québec. L'entretien et les réparations sont confiés à Cyclochrome, une entreprise d'économie sociale spécialisée dans la réinsertion de jeunes en rupture de ban.

"Mieux que le Vélib'"

Avec un réseau cyclable de 560 kilomètres, Montréal est une ville où il fait bon pédaler quand le temps le permet, soit de mai à novembre. Le système est facile d'utilisation, avec une Bixi-clé pour ses abonnés (10 500 fin septembre) ou une carte de crédit pour les usagers occasionnels (106 000 depuis mai). A la fine pointe de la technologie, ce vélo des temps modernes, dont les bornes de stationnement fonctionnent à l'énergie solaire, a été récompensé par plusieurs prix.

......

Anne Pélouas (à Montréal)
extrait du monde du 19/10/09

02/09/2009

Des biberons sans bisphénol A dans les crèches

Le numéro 216 du magazine "Dijon Notre Ville" (page 21) informe que les crèches dijonnaise proscrivent les biberons en plastique contenant du Bisphénol A:

"Le bisphénol A est une substance chimique qui sert à la fabrication du plastique et se libère à la chaleur, pouvant entraîner des dysfonctionnements thyroïdiens. C’est pourquoi les crèches municipales proscrivent les biberons en plastique contenant du bisphénol A. Elles utilisent des biberons en verre pour les boissons chaudes et des biberons en plastique sans bisphénol A pour les froides.....
Extraits mardi 1 septembre 2009 lire la suite en cliquant sur dijon-ecolo

 

01/09/2009

Toulouse dans la bonne direction : Des classes vertes de la crèche à la fac

Dans les assiettes ou les bâtiments, la notion de développement durable s'invite au sein des établissements scolaires et universitaires.

G

Du bio dans les cantines L'opération repas bio à la cantine centrale se poursuit et s'amplifie pour 25 000 petits Toulousains. Après avoir remplacé les huiles hydrogénées par des huiles végétales et les traditionnelles portions de fromage emballées par des tomes du cru découpées sur place, et testé le riz au lait « maison », l'objectif est de

proposer « un équivalent repas bio par semaine ». « Une fois l'entrée, une fois le dessert et une autre le plat de résistance », explique Elisabeth Belaubre (Verts), l'adjointe à la Santé, qui s'attaque à un nouveau chantier : « Remplacer les barquettes en plastique par des plats en inox ». A Toulouse, manger bio n'est pas forcément plus cher pour les parents, puisque la gratuité de la restauration scolaire vient d'être étendue à 26 % des familles, contre 5 % auparavant.

Les lycéens seront aussi au régime bio une fois par semaine. La région a décidé de participer au financement d'un repas hebdomadaire sous le label AB ou certifiés d'origine Midi-Pyrénées, soit 115 000 repas. Elle a débloqué une enveloppe de 800 000 euros cette année pour y parvenir, et 2,6 millions d'euros l'an prochain.

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G

Bisphénol A non grata La commune de Saint-Jean a déjà pris un arrêté pour l'interdire dans ses crèches. Le bisphénol A, matière contestée contenue dans le plastique, disparaît progressivement des structures petite enfance. D'ici à février 2010, la ville de Toulouse aura échangé l'ensemble de ses biberons. A Colomiers, les 550 enfants de moins de 3 ans sont déjà au régime sans BPA, et au nom du principe de précaution, le réchauffage au micro-ondes comme la stérilisation à froid ont également été supprimés.

extraits aticle du 01.09.09 lire la suite sur  20 minutes

26/07/2009

grippe A(H1N1) Attention le danger est imminent

Santé Environnement humain

Extraits

La grippe A met à mal les rites de l'Eglise d'Angleterre

LE MONDE | 24.07.09 Virginie Malingre

Jusqu'à aujourd'hui, quels que soient les fléaux qui menaçaient ses fidèles, l'Eglise anglicane n'avait jamais remis en cause la pratique de la communion. Depuis qu'Henri VIII s'est proclamé "chef suprême de l'Eglise et du clergé d'Angleterre", en 1531, le cérémonial est resté immuable : le pasteur propose aux fidèles, en plus de l'hostie, de boire une gorgée de vin à même le calice, qui passe ainsi de bouche en bouche. Mais la grippe A(H1N1) a eu raison de la tradition. Jeudi 23 juillet, les archevêques de Canterbury et de York ont recommandé aux 16 000 paroisses anglaises de "suspendre l'usage du calice lors de la communion".

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Car entre-temps, la panique a gagné les îles de Sa Majesté. On compte déjà 30 décès (26 en Angleterre, 4 en Ecosse) liées à la grippe A(H1N1) en Grande-Bretagne, le pays européen le plus touché par la pandémie. Pour la seule Angleterre, 840 personnes sont hospitalisées, dont 63 en soins intensifs, a annoncé le ministère de la santé jeudi 23 juillet. Et sur les sept derniers jours, 100 000 nouvelles personnes ont présenté les symptômes de la maladie. Soit presque deux fois plus que la semaine précédente qui avait également vu ce chiffre doubler. Au total, donc, ils sont à ce jour plus de 200 000 Anglais susceptibles d'avoir contracté la maladie - mais qui n'ont pas encore été officiellement diagnostiqués comme atteints par le virus.

A ce rythme, prédit Andy Burnham, le ministre de la santé, "nous pourrions voir plus de 100 000 cas par jour d'ici à la fin août"

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Conseils personnels et mesures à prendre immédiatement : évitez les lieux où il y a foule, ne serrez plus les mains et ..n'embrassez plus personne ....au risque de choquer...

00:49 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : h1n1, grippe a, santé, danger |  Facebook |