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30/05/2010

Bisphénol A : l’Afssa préconise un étiquetage systématique

Mardi 27 avril, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) a fait un pas de plus vers la limitation de l'utilisation des récipients alimentaires et des biberons contenant du Bisphénol A. L'agence préconise un étiquetage systématique sur les récipients et ustensiles ménagers

extraits  developpementdurable

29/05/2010

Le suremballage d'un produit ne fait l'objet d'aucune régulation

Ce pourrait être chose faite au niveau européen, si Frédéric Crépin, militaire français du Tarn, parvient à rassembler un million de signatures. Explications...

Combien de couches de plastiques, cartons et autres films transparents avez-vous dû  retirer (puis jeter) avant d'accéder à votre produit ? Deux ? Trois ? Quatre ? Le suremballage, s'il n'est pas clairement quantifié, peut être appréhendé par chaque consommateur. A ce jour, aucune loi ne réglemente l'emballage des produits.

Pourtant, « Une pétition dépassant le million de signatures provenant de citoyens de l'Union européenne peut faire l'objet d'une saisie du Parlement européen. » Cette phrase, entendue au JT de 20h par Frédéric Crépin, militaire du sud-ouest de la France, n'est pas entrée dans l'oreille d'un sourd. Ce citoyen français, sensible à l'écologie, souhaite passer à l'action. Il créé, fin décembre 2009, un groupe Facebook (130 000 membres) sur lequel il exprime son projet : monter une pétition à l'échelle européenne, avec l'espoir de déboucher sur une loi communautaire réglementant l'emballage des produits. « Le suremballage se pose en problème à la fois écologique et économique, et peut faire l'objet de mesures concrètes », estime Frédéric Crépin.

Sa cause est entendue auprès d'Eric Farman, webmaster, de Me Pierre-François Morin, avocat spécialiste du droit de l'environnement, et de plusieurs dizaines de traducteurs partout en Europe. Une pétition est rédigée en huit langues, et mise en ligne depuis une semaine sur www.overpacking.eu. Près de 7 000 signatures récoltées à ce jour. « Ma démarche est avant tout citoyenne, explique Frédéric Crépin, qui ne se revendique d'aucune association écologique ni d'aucun parti politique. Tout citoyen européen est invité à signer cette pétition. » Reste encore 99 300 000 signatures : alors à vos clics !

source notre planete info

27/05/2010

En Chine, un coton transgénique provoque une infestation imprévue de punaises

Le constat est pour le moins paradoxal : la mise en culture d'un OGM insecticide peut accroître considérablement les populations de certains ravageurs. Dans six provinces de Chine septentrionale, des agronomes chinois documentent, pour la première fois à grande échelle, ce type de réaction d'un agro-écosystème au remplacement d'une culture conventionnelle par une culture transgénique.aradoxaux à première vue, ces résultats, publiés vendredi 14 mai dans la revue Science, ne sont pourtant pas totalement surprenants. Le coton Bt - modifié pour produire la toxine Bt (Bacillus thuringiensis) - est en effet si efficace sur son principal parasite local, une petite noctuelle (Helicoverpa armigera), qu'il en réduit considérablement les populations et permet à une niche écologique de se libérer. "Or, quand on libère une niche écologique, il est attendu qu'elle soit réoccupée, explique Denis Bourguet, chercheur (INRA) au Centre de biologie et de gestion des populations (CBGP). La nature, en somme, a horreur du vide."

Or, dans les six provinces chinoises surveillées par Kongming Wu (Institut pour la protection des plantes, Pékin) et ses collègues, les taux d'infestation par des miridés - des insectes hétéroptères de la famille des punaises - ont progressé à mesure que l'OGM gagnait du terrain. Les observations, menées tout au long de la dernière décennie, montrent un lien univoque entre les surfaces plantées en coton Bt et les taux d'infestation par les miridés. Le coton Bt lui-même en est victime, mais aussi et surtout les autres cultures pratiquées alentour (raisin, pomme, poire, pêche, etc.). Les changements de pratiques agricoles sur les quelque 3 millions d'hectares de coton (désormais à 95 % OGM) ont donc un impact sur les 26 millions d'hectares des autres exploitations....

extraits du monde

commentaire : apprenti-sorcier, Monsanto sera bientôt débusqué et devra payer...

26/05/2010

Aucun pays n'a réussi à enrayer l'érosion de la biodiversité

La troisième édition des "Perspectives mondiales de la biodiversité", publiée lundi 10 mai par les Nations unies, confirme, chiffres à l'appui, que la communauté internationale a échoué à freiner l'érosion de la biodiversité, comme elle s'y était engagée en 2002. Aucun des 110 pays qui ont remis un rapport à l'ONU - document devant faire état des progrès réalisés - n'est au rendez-vous de 2010. "Les écosystèmes sur lesquels reposent l'économie, l'agriculture, la vie (...) sont menacés d'une rapide dégradation, voire de disparition, si aucune action radicale n'est engagée pour les préserver", écrivent les auteurs du rapport.

La superficie et l'état des habitats naturels dans la majorité des parties du monde continuent de diminuer. Trois "points de basculement" sont identifiés : les lacs d'eau douce gagnés par les algues et l'asphyxie, "l'effondrement de plusieurs écosystèmes de massifs coralliens" et "le dépérissement de vastes zones de forêt amazonienne".

Tous les indicateurs servant à décrire l'état de nature et les risques d'extinction des espèces sont au rouge. Ce rapport va alimenter les discussions engagées par les Nations unies pour se fixer de nouveaux objectifs après le rendez-vous manqué de 2010. La communauté internationale se retrouvera en octobre à Nagoya (Japon) pour arrêter sa décision.

Laurence Caramel source le monde 12.05.10.

commentaires

Tant que la communauté internationale refusera d'aborder la question de la prolifération de notre propre espèce, la situation continuera inexorablement à se dégrader. La vanité des uns et l'indifférence des autres nous conduira au bord du gouffre et ce n'est qu'à cette dernière limite que nous nous réveillerons, peut-être. Que de temps perdu! Cette planète aurait pu être un paradis...

On ne peut pas sauver une nature que l'on n'aime pas pour elle-même mais seulement pour notre jouissance et notre intérêt humain. L'humanocentrisme qui nous sert de pensée unique ne peut que ravager la nature, les animaux et pour finir l'homme lui-même.

23/05/2010

27 mai : Journée nationale de dépistage du cancer de la peau



15 mai : Journée nationale de dépistage du cancer de la peauLa Journée nationale de dépistage du cancer de la peau est une opération de santé publique parrainée, depuis sa création en 1998, par le Ministère de la santé, est soutenue également par l’Institut National du Cancer (INCa).

Compte tenu de l’agmentation constante du nombre des cancers cutanés et s’agissant de la 10ème édition de cette journée, 2008 aura un relief particulier avec la mobilisation de plus de
1 000 dermatologues qui interviendronnt à titre bénévole sur l’ensemble du territoire national, avec le soutien des municipalités et des collectivités locales.

Très sensibilisés aux enjeux d’une politique offensive de santé publique, les dermatologues sont impliqués dans les actions d’éducation et de prévention qui figurent au premier plan des programmes gouvernementaux de lutte contre le cancer.

La journée du 27 mai 2010 devrait permettre d’informer le plus grand nombre sur la nécessité d’un contrôle régulier de la peau et du recours à un dermatologue dès qu’apparaît une lésion suspecte.

Vous pouvez retrouver de nombreuses informations sur le cancer de la peau dans le site internet du syndicat des dermatologues de France (voir ci-dessous).
Un site à visiter

22/05/2010

e vin alsacien génétiquement manipulé ?

– Alors que les agriculteurs et vignerons d’Alsace et de toute la région du Rhin supérieur s’orientent de plus en plus vers une production biologique approuvée par les consommateurs, le ministère de l’Agriculture vient de signer un arrêté autorisant un essai en plein champ de vignes transgéniques. Mauvaise nouvelle pour l’Alsace et toute la région, orientée vers des solutions durables. L’image de marque de l’Alsace, ainsi que le craint l’eurodéputée Sandrine Bélier (Europe Ecologie, photo) pourrait souffrir : «Alors que le gouvernement français ne cesse de communiquer sur la nécessaire préservation de la biodiversité, la signature de cet arrêté apparaît comme une nouvelle évidence du double langage politique. Pour une région qui a fait de la production du vin biologique une priorité et un axe important de développement économique, cette décision risque de surcroît de fragiliser toute une filière et de dénaturer l’image des vins d’Alsace. Nous demandons le retrait de cette autorisation techniquement inutile et contraire à l’intérêt public».

Cette prise de position recueille sans doute le soutien des vignerons de part et d’autre du Rhin. L’image d’une production viticole aux gènes modifiés ne correspond en rien aux grandes orientations de la région du Rhin supérieur, ni même au Grenelle de l’environnement lancé par le président Sarkozy. L’arrêté ministériel est d’autant plus surprenant que le Tribunal administratif de Strasbourg avait déjà annulé en 2009 une première autorisation d’effectuer des tests en plein champ avec des ceps de vigne génétiquement modifiés.

On peut légitimement poser la question à qui profite le crime : aux multinationales telles que Monsanto ? A la concurrence d’autres régions viticoles ? S’agit-il d’augmenter la productivité ? Les tests concernent l’éradication des nématodes véhiculant le virus du «court-noué», qui obligent à prendre la décision radicale d’arracher la parcelle de vignoble infectée. Cependant, ainsi que le soulignent Sandrine Bélier et son collègue eurodéputé Jose Bové, vice-président de la commission de l’environnement du Parlement européen, des recherches effectuées au mois de novembre 2008 avaient déjà démontré que ces modifications génétiques n’étaient aucunement efficaces contre ces nématodes. Par conséquent, on ne comprend pas pourquoi la même expérience aurait dorénavant une efficacité supérieure. Il semble ainsi parfaitement inutile d’infester le piémont des Vosges d’organismes génétiquement modifiés.

Pour Jose Bové, «Le court-noué est un problème agronomique et sanitaire qui doit être pris au sérieux. La recherche dans ce domaine doit être orientée vers des alternatives multiples, issues des savoir-faire paysans et de leurs capacités d’organisation. Malheureusement, la modernisation ne prend pas en compte les besoins fondamentaux de l’avenir de l’agriculture en général et de la vigne dans ce cas particulier».

Sachant que Sandrine Bélier autant que Jose Bové savent utiliser les médias à merveille, l’espoir subsiste que leur démarche aboutisse et que la vigne alsacienne ne devienne un succédané de vin californien ou australien. Un patrimoine et une tradition authentique de plusieurs siècles demandent à être protégés de cette pseudo-modernité !

source2ufer

20/05/2010

Les biberons au Bisphénol A sont finalement interdits en France

Fin janvier 2010, l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) rendait un avis mitigé sur les effets toxiques du Bisphénol A, un composant que l'on retrouve notamment dans la majorité des biberons en plastique. Finalement, l'interdiction de commercialiser des biberons au bisphénol A a été définitivement adoptée par l'Assemblée nationale.

extrait source notre-planete.info

19/05/2010

Qu’est-ce qu’Ecosia ? Ecosia est un moteur de recherche écologique

Qu’est-ce qu’Ecosia ?

Ecosia est un moteur de recherche écologique partenaire de Yahoo, Bing et du WWF (World Wide Fund For Nature). Ecosia fonctionne comme n’importe quel autre moteur de recherche à la différence près qu’Ecosia reverse 80% de ses revenus publicitaires à un projet WWF de protection de la forêt amazonienne.

Grâce à cela, les internautes utilisant Ecosia peuvent sauver environ 2 m² de forêt amazonienne à chaque recherche, et ce sans débourser un seul centime. De plus, l’ensemble des serveurs Ecosia est alimenté par de l’électricité verte et ne rejette pas de Co2. Avec Ecosia, vous utilisez un moteur de recherche respectueux de l’environnement.

Comment Ecosia génère-t-il des revenus ?

Yahoo et Bing ne nous aident pas seulement à proposer d’excellents résultats de recherche ; ils fournissent également les liens sponsorisés synonymes de recettes publicitaires. Un lien sponsorisé est un petit encart publicitaire pertinent inséré par une entreprise offrant un produit ou un service aux utilisateurs du moteur de recherche. Ces entreprises reversent au moteur de recherche quelques centimes pour chaque clic sur ces liens sponsorisés.

Près de 2% des recherches via Ecosia sont associées à un clic sur un lien sponsorisé. A partir de calculs tenant compte des clics effectués sur des liens de recherche classique et de ceux sur des liens sponsorisés, chaque recherche génère en moyenne 13 centimes d’euro. Ecosia reverse au minimum 80% de ces revenus au WWF. Grâce à ces dons, vous pouvez sauver environ 2 m² de forêt amazonienne à chaque recherche.

Comment Ecosia peut-il sauver la forêt amazonienne ?

Ecosia ne sauve pas lui-même la forêt amazonienne, mais soutient financièrement un programme de protection des forêts tropicales mené par le WWF. Le projet WWF que nous soutenons actuellement est implanté dans le Parc national Juruena (région amazonienne du Brésil). Cliquez ici pour en apprendre davantage sur ce projet de protection de la forêt amazonienne.

Pourquoi utiliser Ecosia ?

Chaque année, une superficie de forêt amazonienne plus grande que celle du Royaume-Uni est brûlée ou abattue. De plus, la déforestation de la forêt amazonienne est la plus importante source d’émissions de Co2 au monde (20% des émissions mondiales de Co2).

Chaque recherche effectuée via Ecosia permet de sauver une petite parcelle de forêt amazonienne. En choisissant Ecosia comme moteur de recherche, vous pouvez protéger l’environnement clic après clic. Grâce à Ecosia, un internaute peut en moyenne sauver 2000 m² de forêt amazonienne, soit l’équivalent de la superficie d’un terrain de hockey. En utilisant Ecosia comme moteur de recherche par défaut vous optez pour un moteur de recherche écologique, réduisez votre empreinte carbone et faites un geste pour la planète. Vos recherches Internet n’émettent plus de Co2 et vous pouvez participer à la lutte contre les changements climatiques puisque vos recherches contribuent à sauver les forêts tropicales menacées.

En matière de protection de la vie privée, Ecosia est également la solution idéale. Certains moteurs de recherche enregistrent vos recherches allant jusqu’à créer votre profile. Vos données personnelles sont même parfois revendues à d’autres entreprises. Ecosia, en revanche, efface toutes vos données personnelles au plus tard après 48 heures.

Comment faire d’Ecosia mon moteur de recherche ?

Pour effectuer une recherche sur Internet avec Ecosia, vous pouvez tout simplement aller sur la page d’accueil Ecosia, rentrer votre recherche puis cliquer sur le bouton de recherche (loupe).

Il existe toutefois une méthode plus pratique. Cliquez sur le lien installer situé en bas de la page d’accueil Ecosia et la barre de recherche Ecosia sera ajoutée à votre navigateur. Vous pouvez ensuite entrer simplement votre recherche dans le champ prévu à cet effet sans avoir à aller à chaque recherche sur la page d’accueil Ecosia. Une fois Ecosia installé, vous pourrez voir combien de mètres carrés vous avez déjà sauvegardés.

Parlez-en autour de vous !

Si vous aimez Ecosia, nous vous serions très reconnaissants de parler d’Ecosia autour de vous. Puisque nous reversons la grande majorité de nos recettes au WWF, nous ne pouvons nous permettre de grandes dépenses publicitaires. Le bouche à oreille est indispensable ! Cliquez sur le lien « partager » pour savoir comment nous aider à diffuser les convictions d’Ecosia. N’oubliez pas qu’un nouvel utilisateur d’Ecosia, c’est environ 2000 m² de plus sauvés chaque année.

Si seulement 1% de tous les internautes utilisaient Ecosia comme moteur de recherche, il serait possible de sauver chaque année une superficie de forêt amazonienne aussi grande que la Suisse. Ensemble, nous pouvons vraiment faire la différence !


Si vous avez encore des questions concernant Ecosia, n’hésitez pas à consulter notre section FAQ.

16/05/2010

RDV TV: Lundi 17 mai 2010 à 20h35 sur France 3 Du poison dans l’eau du robinet film de Sophie Le Gallmard iUn documentaire qui laisse présager la future arrivée de la thématique de la qualité de l'eau de boisson sur la scène médiatique

RDV TV: Lundi 17 mai 2010 à 20h35 sur France 3
Du poison dans l’eau du robinetUn film de Sophie Le Gallmardi 27 avril 2010
> par David Naulin
L’eau du robinet est-elle potable? Sans le savoir, des millions de Français boivent une eau trop chargée en aluminium, nitrates, pesticides, médicaments et en radioactivité. Dans certains cas, l’eau est même non-conforme aux normes de précautions sanitaires. Ce danger invisible menace les foyers et la santé des Français, des plus jeunes aux plus âgés. Munie d’une valise multimédia équipée d’éprouvettes, Sophie Le Gall, la réalisatrice de ce documentaire d’investigation a parcouru la France pour recueillir les preuves de la contamination et interpeller les autorités.Résultats de son enquête?Dans le Centre et en Ile-de-France, l’eau du robinet regorge de pesticides ou de nitrates, ces traitements chimiques qui sont soupçonnés d’être à l’origine de cancers. Les autorités le savent mais elles délivrent régulièrement des dérogations qui permettent de distribuer une eau qui dépasse les normes pesticides ou nitrates.Dans des villages d’Auvergne ou à Saint Etienne, les habitants boivent une eau blanchie avec de la poudre d’aluminium qui pourrait déclencher la maladie d’Alzheimer. Les doses dépassent largement le seuil de risque fixé par certains scientifiques mais les autorités ignorent les dangers de ce neurotoxique.La réglementation fait par ailleurs l’impasse sur le radon, ce gaz hautement radioactif, présent dans l’eau potable de plusieurs villages du Limousin. Résultat, des habitants boivent une eau chargée en radon sans en être informés.Depuis quelques années, des citoyens et des scientifiques isolés tirent la sonnette d’alarme sur ces toxiques qui coulent de nos robinets. Partout en France, l’eau potable charrie désormais des résidus médicamenteux: antiépileptiques, aspirine, antidiabétique. Nul ne connait l’impact sur la santé des populations exposées. Pour décontaminer l’eau potable des Français, il faudrait bâtir des usines pour éliminer nitrates et pesticides, investir pour filtrer les molécules de médicaments, protéger les réserves d’eau des pollutions… Mais les communes et les grandes compagnies de distribution de l’eau ne souhaitent pas que de nouvelles règles viennent compromettre leurs affaires. En tant pis si les Français trinquent à leur santé.Le documentaire sera suivi d’un post-scriptum présenté par Marie Drucker. Cette partie est un prolongement du film, un lieu de discussions avec auteur, réalisateur, témoin ou expert, pour que les téléspectateurs puissent se forger leur propre opinion.Du poison dans l’eau du robinet - Un film de Sophie Le Gall - Produit par Ligne de Mire avec la participation de France Télévisions - Durée: 90’ - Diffusion: Lundi 17 mai 2010 à 20h35 sur France 3

15/05/2010

Kaysersguet : le « lieu d'Europe » ?

Klaus Schumann, ancien directeur général des affaires politiques au Conseil de l'Europe, entre à son tour dans le débat sur le devenir de la villa Kaysersguet et de l'implantation d'un « lieu d'Europe ».

Les Robertsauviens s'inquiètent du devenir du Kaysersguet, belle maison de maître du début du XIXe siècle, propriété municipale à l'angle de la rue Boecklin et de l'allée Kastner.
En mai 2009, lors d'une visite dans le quartier, le maire promet une large concertation en vue d'un projet permettant une utilisation régulière de la villa par les habitants de la Robertsau. Le collectif « Kartier Nord » avait en effet souhaité un projet alliant culture et convivialité pour les quelque 26 000 habitants du quartier qui - selon leurs dires - ne disposeraient pas d'équipement culturel digne de la Robertsau. On a alors évoqué un café avec un théâtre, ou des locaux pour l'école de musique qui doit quitter le collège.
Parallèlement, et depuis de nombreuses années, des associations, des élus, des citoyens souhaitent la création d'une véritable vitrine de l'Europe à Strasbourg, ouverte aux millions de visiteurs annuels de la capitale alsacienne. Strasbourg est devenue capitale européenne grâce à la présence et l'action des multiples institutions européennes.
En référence au projet « Eurodom » porté, il y a une dizaine d'années déjà, par « Strasbourg- Promotion-Evénements », un comité de soutien « Pour un lieu d'Europe à Strasbourg » s'est engagé en faveur de la création d'un lieu d'accueil, de mémoire, de connaissance et d'émergence d'une identité européenne. Ce serait en effet un point d'attraction pour Strasbourg et la région créant ainsi une nouvelle dynamique économique et touristique.

L'Europe « de » et « à » Strasbourg

Le comité de soutien a fait des nombreuses enquêtes auprès des citoyens quant au contenu, au nom et à la localisation du futur lieu d'Europe.
Au conseil municipal du 26 avril 2010 le maire a présenté une communication écrite sur les orientations stratégiques européennes et internationales de Strasbourg. Cette communication souligne la forte dimension européenne de la ville qui mérite d'être plus solidement inscrite dans son paysage urbain. Ceci nécessite un lieu de découverte de l'Europe qui présentera son histoire et qui fera connaître l'action européenne en associant les citoyens et les institutions européennes, le Pôle universitaire et le Pôle européen d'administration publique. La communication parle d'une « Maison de l'Europe » qui a pour mission de doter Strasbourg d'un espace permettant aux citoyens strasbourgeois, touristes et visiteurs de découvrir l'Europe « de » et « à » Strasbourg.
La veille de la réunion du conseil municipal, les DNA annoncent que le maire a décidé que le Kaysersguet deviendra la Maison de l'Europe et que cette décision sur sa localisation est ferme et définitive.
Le lundi suivant, au conseil municipal, l'ensemble des élus accueille très favorablement le principe et la nécessité de créer à Strasbourg un lieu fédérateur qui donnerait visibilité et crédibilité à son statut de capitale européenne. Mais il n'y a pas unanimité sur la localisation et de la dimension nécessaire d'un tel site qui doit être un véritable pôle d'attraction pour des centaines de milliers de visiteurs annuels de la ville.

Le danger d'une « maisonnette de l'Europe »

Il est évident que le Kaysersguet ne répond pas aux exigences symboliques et spatiales d'un lieu d'Europe pour Strasbourg. Il est aussi évident que les Robertsauviens souhaitent que cette villa trouve une affectation au service des citoyens et des visiteurs du quartier européen. Des propositions dans ce sens ont été faites lors du débat au conseil municipal notamment par Robert Grossmann (reprise dans les DNA du 4 mai). Un tel centre pourrait s'ouvrir régulièrement à des manifestations littéraires pour l'ensemble des pays membres du Conseil de l'Europe. Au lieu de vouloir opposer Kaysersguet - lieu d'Europe, il faut prendre en considération leur complémentarité.
Le danger est de faire du Kaysersguet une « Maisonnette de l'Europe », qui ne répondrait pas aux exigences d'une véritable stratégie européenne et internationale pour Strasbourg
, surtout si on tient compte de la remarque du maire : « Ce que l'on dépense ici, on ne pourra pas le dépenser ailleurs », disait-il en 2009.
Mais les budgets à mobiliser sont aussi une fonction des ambitions et des buts qu'on souhaite d'atteindre. Et la création d'un lieu d'attraction dédié à l'Europe n'a rien de budgétairement irréaliste. Avec la création du « Vaisseau », le conseil général a prouvé qu'un lieu de découverte des sciences et des techniques pouvait connaître un véritable succès populaire attirant des centaines de milliers de visiteurs, bien au-delà de la région et des frontières. Strasbourg mérite un « Vaisseau européen », et c'est un projet dont les études sont financées par le contrat triennal 2009-2012 « Strasbourg Capitale Européenne » dont les partenaires sont la Ville, la CUS, le conseil général, la Région et l'État.
La question n'est pas de trouver « à tout prix » une solution pour le Kaysersguet, mais de rendre le rayonnement européen de Strasbourg plus lisible, attirant et accessible au plus grand nombre possible de citoyens européens.

source dna du 15.05.10

La tour en spirale (« The Spiral Tower » en anglais), un concept d’eco construction conçu par Philipp von Bock pour Berlin … un projet de tour résidentielle durable et écologique !

Ce projet d’eco construction à pour objectif de réduire l’empreinte écologique d’une petite famille résidant en ville, et de leurs permettre de disposer d’avantage d’espace vert (ce qui va dans le sens du 1er objectif).


 

Réduire l’empreinte écologique de ses habitants en permettant à cette construction ecolo de s’auto-alimenter en énergie renouvelable … La tour est en effet prévu pour accueillir des panneaux solaires, des éoliennes et un système de récupération de l’eau de pluie, ainsi qu’un système de purification (afin que cette eau soit utilisable par les habitants).

 

L’architecture de la tour, va aussi permettre à chaque appartements de disposer d’une terrasse et d’espaces verts. Les appartements empilés dans des directions opposées, chaque niveau à la forme d’un X, permet de disposer de suffisamment d’espace libre pour accueillir de grands espaces ouverts pour les terrasses et jardins.

 


Un concept séduisant, alliant énergie renouvelable et espaces verts, qui prône le développement de villes plus écologiques et plus vertes !

source .horizon-durable

13/05/2010

Quand les piétons éclaireront les rues des villes

Ce n'était pas un poisson d'avril. La ville de Toulouse a très officiellement installé sous le porche d'une annexe de la mairie une sorte de rampe alimentant des ampoules grâce à l'énergie des passants qui l'empruntaient. L'expérience, lancée le 1er avril, s'est prolongée durant une quinzaine de jours à l'occasion de la semaine du développement durable. Elle est jugée « encourageante » par Alexandre Marciel, le jeune adjoint au maire qui a présenté l'initiative comme « unique au monde ».

Pour Alexandre Martiel, cette courte attraction locale a fait la démonstration qu'un piéton pouvait, sans effort particulier, allumer des lampes sur son passage. Un candélabre urbain de 30 watts et quatre rangées d'ampoules LED de 7 watts sont alimentés par des dalles munies de capteurs récupérant l'énergie cinétique des marcheurs. Si l'on ajoute les 10 watts nécessaires à l'alimentation du système, c'est une puissance totale de presque 70 watts qui est récupérée par la rampe, longue de 10 mètres. Le procédé, mis au point par une société néerlandaise, a déjà été installé, en 2006, dans une boîte de nuit de Rotterdam pour éclairer une piste de danse. Les marcheurs toulousains ont dégagé proportionnellement quatre fois moins d'énergie que des danseurs qui se trémoussent frénétiquement, mais les services techniques de la ville ont calculé qu'un piéton produit tout de même 5 watts en moyenne à chaque pas.

Stockage de l'électricité

« Il y a encore des améliorations à apporter », reconnaît Alexandre Marciel, qui a noté que le passage sur les dalles provoquait « un léger grincement ». L'élu espère que la sensibilité des dalles pourra être encore améliorée. Il envisage d'installer ce dispositif en complément de réverbères déjà testés à Toulouse, qui, par souci d'économie d'énergie, ne s'allument que lorsqu'ils détectent un mouvement dans la rue. Capter plus massivement l'énergie des piétons des villes pour la restituer la nuit, quand les rues sont moins fréquentées mais nécessitent d'être éclairées, pose la redoutable question du stockage de l'électricité. Sans parler du coût. Le démonstrateur installé à Toulouse aura coûté 15 000 euros pour deux semaines de test.

source lemonde

11/05/2010

L’énergie propre et la voiture à air comprimé

Dans les Alpes-Maritimes, la voiture low-cost écologique se dessine ! Le lancement 2009 de la " OneFlowAIR " a pour objectif de développer des moteurs non polluant à l’international. Fondateur de la société MDI (1991), Guy Nègre et son équipe d’ingénieurs sont sur le point de commercialiser une voiture à air comprimé pour fin 2010. La technique du moteur à air comprimé va-t-elle offrir un nouveau souffle sur le marché des véhicules propres de demain ?

 

 

nice-port

Le port de Nice (crédit photo : Isabelle Barthe - Fotolia.com).

 

  • L’énergie propre avec la voiture à air comprimé


Guy Nègre planche depuis une décennie sur la technologie du rendement des moteurs propres. C’est en tout cas le challenge que s’est fixé cet Ingénieur en aéronautique via son bureau d'étude MDI. Développer à l’international les licences de la voiture à air comprimé. " OneFlowAIR ", c’est le nom à consonance anglo-saxon choisi par MDI pour exporter la gamme des moteurs MDI mono-énergie. La technologie de la voiture à air comprimé vise une plus grande autonomie comparé aux véhicules propres. Et ceci, en faisant le pari du modèle bi-énergie. Traduction scientifique : à l'aide d’un adjuvant énergétique (essence, gazole, huiles, alcools ou gaz) brûlé dans une chambre de combustion continue externe, le résultat à l'arrivée confirme un gain environnemental. Les consommations et les rejets de gaz toxiques sont limités.

 

 

  • Guerre économique sur la technologie durable …

Prendre le contre-pied de la crise du pétrole ! Moins de 2 litres au cent kilomètres (à 90 km/h sur une MiniFlowAIR), 3 à 4000 fois moins d’hydrocarbures imbrûlés et 3 fois moins d’émissions de CO2 dégagés qu’un moteur conventionnel de même puissance. Voilà pour les performances de la voiture air comprimé alimentée par des bornes à air comprimée. Sur le plan de la bataille économique, c’est le géant industriel TATA qui remporte la licence pour la commercialisation en Inde. Tout un symbole économique avec en toile de fond : la mondialisation. Le développement de la technique du cycle à combustion froide est à mettre au crédit du français Guy Nègre via MDI situé à Nice, pour une commercialisation dans les usines à l’étranger.

Sans essence, ni gaz, la voiture à air comprimé ne manque pas d'air ! Elle se place sous le signe écologique et économique avec un design très urbain. Le prix se veut compétitif (à partir de 3500 euros) pour concurrencer le marché des hybrides et des électriques en ces temps moroses du " travailler plus, pour gagner plus ".

source et extraits durable

08/05/2010

12 000 pingouins de Humboldt, une espèce menacée.

 Sur la côte pacifique au nord du Chili, grouillent encore environ 12 000 pingouins de Humboldt, une espèce menacée. Mais la construction prévue de trois centrales à charbon menace de détruire leur milieu de vie. Les mines de cuivre andines devraient être approvisionnées avec l’électricité produite. 

Le projet ne serait pas seulement catastrophique pour les pingouins : les fondements de vie de la population locale sont également menacés. Le mouvement citoyen MODEMA résiste efficacement contre ce projet depuis des années. Mais avec le nouveau président Sebastián Piñera, ces réussites sont fortement menacées.

S’il vous plait, signez notre lettre de protestation ici :

www.sauvonslaforet.org

Un grand merci

Briller de mille feux à vélo

Pour éblouir la galerie avec son vélo, on peut équiper celui-ci d'un Monkey Light, un système d'éclairage composé d'ampoules LED de couleur qui se fixe sur les rayons et crée des jeux de lumière kaléidoscopique dès que la bicyclette roule à 15 km/heure. Il est conseillé d'en mettre trois par roue pour faire son effet (59,95 euros l'unité).

Monkeylight205d2d6805615755db95f1ed20fd60d9.jpg

On peut aussi faire clignoter son casque en l'équipant de quatre LED flashantes (Top Fire, 11,95 euros). Autre idée lumineuse : fixer sur l'axe de la selle un boîtier comprenant feu rouge central et clignotants (Linearity Electronics, 69,95 euros) pour signaler ses arrêts et ses changements de direction. Le chic se remarquant aux détails, on peut enfin équiper les valves des chambres à air de bouchons fluorescents et clignotants en forme de tête d'Alien (Messinschlager, 6,95 euros).

Rafaële Rivais source le monde

07/05/2010

Les chiffres 2010 du cancer disponibles sur le site de l’InVS 5 mai 2010

L’Institut de veille sanitaire (InVS) publie sur son site Internet (www.invs.sante.fr) des projections de l’incidence et de la mortalité par cancer en France pour l’année 2010, données issues d’un partenariat entre l’InVS, le réseau français des registres de cancer, Francim, les Hospices civils de Lyon (HCL, Service de biostatistique) et l'Institut national du cancer (Inca), avec la collaboration du CépiDc-Inserm.

Chez l’homme, en 2010, on estime à 203 100 le nombre de nouveaux diagnostics de cancer (incidence) en France métropolitaine. Ce chiffre est de 154 600 chez les femmes. En 2009, ces résultats étaient respectivement de 197 700 et 149 200 chez les hommes et les femmes. En 2010, le nombre de décès par cancer est estimé à 84 700 chez les hommes et 62 100 chez les femmes, contre 85 300 et 61 900 respectivement en 2009.

Cette année encore, avec 71 600 nouveaux cas, le cancer de la prostate reste de loin le cancer le plus fréquent chez l’homme, avant le cancer du poumon (26 900 cas) et le cancer colorectal (21 100 cas). En termes de mortalité, le cancer de la prostate (8 800 décès) se situe après le cancer du poumon (21 100 décès) et le cancer colorectal (9 200 décès).

Avec 52 600 nouveaux cas en 2010, le cancer du sein est le plus fréquent chez la femme avant le cancer colorectal (18 900 cas) et le cancer du poumon (10 000 cas). Le cancer du sein se situe en tête de la mortalité, avec 11 300 décès en 2010, mais le taux de mortalité diminue en France depuis près de 15 ans. Chez la femme, la situation concernant le cancer du poumon est toujours aussi préoccupante puisque incidence et mortalité sont en constante augmentation (7 700 décès en 2010).

Ces projections sont issues d’une modélisation statistique des données observées dans les registres de cancer jusqu’en 2005 ainsi que des données nationales de mortalité par cancer jusqu’en 2007 ; elles sont basées sur un scénario d’évolution privilégié, pour chaque type de cancer. Ce scénario a été retenu par un groupe d’épidémiologistes parmi trois scenarii possibles, basés sur la poursuite ou non des tendances les plus récemment observées.

Pour le cancer de la prostate, le scénario d’évolution retenu repose sur une hypothèse de stabilisation de l’évolution de l’incidence de ce cancer entre 2005 et 2010 alors que son augmentation était de 8,5 % par an entre 2000 et 2005. Cette augmentation de l’incidence est liée aux pratiques de dépistage par le dosage du PSA (antigène spécifique de la prostate) et l’hypothèse de stabilisation est issue du fait qu’une grande partie des cancers devrait être à présent diagnostiquée. Des résultats internationaux et des données de l’Assurance maladie confirment cette tendance à la stabilisation. L’hypothèse de stabilisation a également été retenue pour le cancer du sein dans l’éventualité d’un effet de la diminution de la prescription des traitements hormonaux substitutifs de la ménopause.

La publication de ces projections illustre la mise en œuvre des mesures du Plan Cancer 2 relatives à l’observation des cancers et au renforcement des registres existants (couvrant actuellement environ 20 % de la population) sans lesquels il serait impossible de publier de tels résultats en France. La France est le seul pays européen à fournir des estimations nationales pour l’année en cours. Les données de mortalité ont été fournies par le CépiDc de l’Inserm.

Projections de l’incidence et de la mortalité par cancers en France en 2010. Dossier disponible sur le site de l’InVS :
http://www.invs.sante.fr/applications/cancers/projections...

source InVS

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06/05/2010

L’éco-gestion des jardins et parcs publics

Des jardins écolos à Paris ! Et non, vous ne rêvez pas. 9 grandes villes françaises s'associent pour la création d'un label de gestion écologique des espaces verts. Le but : développer la pratique de l’éco-gestion des parcs et jardins de nos municipalités. Un nouveau label durable qui verra le jour à l’horizon 2011...

jardin-ecolo

 

  • Des parcs et jardins municipaux

Démarche développement durable pour une action collective. Paris, Besançon, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Orléans, et Rennes se sont fixées pour objectif de créer un label écologique à l’horizon 2011.Sous l’impulsion des chartes régionales de la biodiversité et de l’agenda 21 " local ", les collectivités se mettent à la page des " jardins écolos ". Éliminer l'utilisation des produits phytosanitaires chimiques sur les plates-bandes des parcs publics, former les équipes de jardiniers à la culture biologique du jardin. En bref, l’art et la manière de combattre les limaces et pucerons en utilisant des prédateurs. Je veux parler des larves de coccinelle et de cochenille : les meilleures ennemies des parasites.

  • Boîte à idée de la culture biologique

On connait la chanson me direz-vous ! Création d’un nouveau label, effet d’annonce et festival de belles promesses écologiques en perspective. Mais l’idée....

lire la suite et source en cliquant ici

05/05/2010

Énergies vertes, l’envers du décor -

Un reportage de Michel Guetienne et Frédéric Bohn diffusé dans ENVOYÉ SPÉCIAL, une émission présentée par Françoise Joly et Guilaine Chenu (jeudi 29 avril 2010).

Panneaux solaires, pompes à chaleur, géothermie ou mini-éoliennes : des dizaines de milliers de Français s’équipent chaque année, avec l’espoir de voir baisser leur facture énergétique tout en faisant un geste écologique. Ces nouvelles technologies sont-elles réellement maîtrisées ? Les rendements sont-ils aussi prometteurs que les installateurs l’affirment ?

02/05/2010

Fuite de naphta près de Manosque sur un site classé Seveso

Une fuite de naphta, un hydrocarbure très volatil et potentiellement explosif, est intervenue, samedi soir 1er mai, chez Géosel, un site de stockage souterrain d'hydrocarbures classé Seveso, près de Manosque dans les Alpes-de-Haute-Provence.

"Tout risque d'explosion est écarté", assure le Préfet, Pierre N'Gahane, précisant que le produit en cause s'est avéré être du naphta, moins dangereux que le naphtalène (ou naphtaline) évoqué initialement par ses services mais également très volatil. Il faudra des analyses complémentaires pour connaître l'impact sur l'environnement, a-t-il ajouté.

extraits du monde de ce jour

Cpmmentaire : tout peut arriver...les catastrophes s'enchainent (marée noire aux USA qui est déclarée catastrophe ..nationale) et la terre est devenue une vraie passoire à pollution....

Troc au jardin Le principe est simple : échanger gratuitement ses propres plantes contre celles d'un autre jardinier amateur

Chacun peut ainsi apporter vivaces, arbustes, rhizomes, bulbes, boutures ou graines dimanche entre 9 h 30 et 12 h 30 avant d'en choisir d'autres à partir de 14 h via un système de tickets.

Mieux vaut arriver avec ses pots étiquetés avec le nom de la plante. Les organisateurs se chargent ensuite de faire le tri et de classer les plantes par catégories pour faciliter le troc de l'après-midi.

Cette opération rassemble de plus en plus d'adeptes au fil des éditions dans les somptueux jardins de la villa Burrus, à Sainte-Croix-aux-Mines. L'occasion de les découvrir, mais aussi de profiter des animations prévues par les trois associations organisatrices, à savoir «Un Jardin passionnément» (qui a notamment créé sur place des fameux carrés de verdure patchwork), Val Avenir et Alsace Nature Lièpvrette.
Les visiteurs pourront participer aux ateliers (taille d'arbres fruitiers, fabrication d'un nichoir à oiseau, créations plastiques), s'intéresser à une exposition de la Ligue de protection des oiseaux. Sur place également : animation musicale, petit marché artisanal, repas chauds, salon de thé. Le tout, au naturel.

 

A. M.

Dimanche 2 mai, sixième bourse aux plantes dans le parc de la villa Burrus,Sainte-Croix-aux-Mines / Bourse aux plantes renseignements Tél: 06 81 00 39 17. Accès libre. source DNA 30/04/2010
Commentaire : une très belle initiative d'échanges gratuits entre amateurs de jardins qui favorise la biodiversité