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12/12/2014

Mise en garde : Attention aux faux e-mails au nom du service-public.fr

Attention aux faux e-mails au nom du service-public.fr Le site internet officiel de l'administration française service-public.fr met en garde contre l’envoi de courriels frauduleux, destinés à inciter les internautes à communiquer leurs coordonnées bancaires. Il s’agit de hameçonnage (également appelée phishing), c’est-à-dire une usurpation de l’identité du site d’origine. De manière générale, le site service-public.fr ne demande pas d'argent, n'en rembourse pas et ne cherche jamais à recueillir des coordonnées bancaires. En cas de doute, ne jamais cliquer sur les liens contenus dans le mail et le supprimer. Vous pouvez effectuer un signalement sur le site internet-signalement.gouv.fr pour toute forme d’escroquerie en ligne. source CCA

10/12/2014

Enquête : les nouvelles mobilités, apanage des citadins

4 décembre 2014 | par Florence Guernalec

La meilleure formule de déplacement reste la possession de sa voiture pour 81% des répondants. © DR
La meilleure formule de déplacement reste la possession de sa voiture pour 81% des répondants. © DR

L’Observatoire des mobilités émergentes réalisé par l’Obsoco en partenariat avec Chronos, met en lumière une nette différence dans les déplacements entre les habitants des grandes agglomérations et le reste du territoire. D’un côté, des populations qui profitent à plein des nouvelles mobilités ; de l’autre, celles pour qui la voiture individuelle demeure le seul véritable moyen de transport.

Autopartage, covoiturage, VTC, vélo, marche à pied… Ces mobilités émergentes sont l’apanage des habitants de Paris et des agglomérations de plus de 100 000 habitants. Dans le périurbain et les zones moins denses, l’automobile patrimoniale demeure au cœur des mobilités. 96% des répondants utilisent la voiture dont 63% tous les jours ou presque. Ce sont les principaux enseignements de la première édition de l’Observatoire des mobilités émergentes (1) réalisé par l’Obsoco en partenariat avec Chronos avec le soutien de l’Ademe, PSA Peugeot Citroën et la SNCF. 

Le mythe de la fin de l’auto

Au-delà des profils, les résultats de l’observatoire font apparaître que le mode de déplacement utilisé est le plus souvent contraint. Globalement, un tiers des répondants seulement disent avoir le choix de leur mode de transport. Et ce chiffre tombe à 16% en zone rurale quand il est de 64% à Paris. Les plus contraints sont les CSP- et les habitants de la grande couronne.

Dès lors, il n’est pas étonnant que l’usage de la voiture a encore progressé ces 3-4 dernières années dans les villes isolées et dans la couronne périurbaine de Paris quand il a régressé au cœur des grandes agglomérations. Dans l’idéal, la meilleure formule de déplacement reste la possession de sa voiture pour 81% des répondants, mais 40% des Parisiens.

Ainsi, les transports en commun se retrouvent à l’avant-dernière place du classement de satisfaction de toutes les formes de mobilité. Les meilleures notes reviennent au covoiturage (7,8/7,9 selon que l’on est conducteur ou covoitureur), à la voiture individuelle (7,6), au deux-roues (7,4) et au VTC (7,3) qui dame le pion aux taxis (6), dernier du classement.

Et demain ?

Les mobilités émergentes répondent à la tendance de la consommation collaborative et de l’économie de l’usage. "Nous allons vers une intensification de l’usage des biens", explique Bruno Marzloff. Selon l'Observatoire, les services de covoiturage feraient monter le taux d’occupation moyen d’une voiture de 1,2 à 3,5.  "Les modes de déplacement comme le covoiturage connaissent des rendements croissants. L’attractivité du service augmente avec le nombre d’utilisateurs", précise Philippe Moati, co-fondateur de l’Obsoco.

L’heure est, aussi, à l’aménagement des horaires de travail pour réduire la congestion et désaturer les transports en commun. Aujourd’hui, seulement 33% des actifs disposent d’une marge de manœuvre sur leurs horaires de déplacement. Mi-novembre 2014, s’est mis en place la commission 3T (trajets, trafics et temporalités) qui réunit sous la houlette de l’association Plaine commune Promotion, SNCF Transilien et de grandes entreprises installées en Seine-Saint-Denis.  Depuis le 1er décembre 2014, une quinzaine d’entreprises testent, ainsi, les horaires décalés. La SNCF, qui a son siège dans le département, pourrait participer à cette expérimentation.

Une expérience du même type a été conduite à Rennes en 2012. En décalant d'un quart d'heure l'entrée en cours des étudiants en master de l'Université Rennes 2, le trafic du métro en hyper-pointe a été réduit de 5%. Avec cette initiative l'agglomération a pu retarder de quelques années l'achat de nouvelles rames sur une ligne qui était proche de la saturation.

Moins de mobilité

L’idée de la "démobilité" est, également, en train d'émerger, car le développement des transports en commun n’apportera pas la seule réponse aux besoins de l’économie. "Nous sommes toujours dans une conception fordiste du travail", souligne Bruno Marzloff.

En mars 2014, la filiale de la SNCF, Gares & Connexions, a lancé un appel à manifestation d’intérêt à l’intention des promoteurs et investisseurs immobiliers intéressés par la réalisation de tiers-lieux à proximité immédiate des gares de deuxième couronne en Ile-de-France… là où s’arrête le Grand Paris des transports, le télétravail serait, ainsi, amené se développer.

L’Observatoire des mobilités émergentes fait apparaître une France coupée en deux, avec ceux qui ont tous les moyens de transport à portée de main pour se déplacer, et ceux qui ont essentiellement leur propre voiture. Ceux qui annonçaient la fin de l’auto, devront encore attendre.

Florence Guernalec

(1) Méthodologie
Enquête en ligne réalisée par OpinionWay du 8 au 27 octobre 2014 auprès d’un échantillon de 4011 personnes représentatif de la population française de 18 et 70 ans.source mobilicities

08/12/2014

Les bus gratuits sur toute la ligne durant les week-ends de décembre à Ajaccio

UNE BELLE INITIATIVE...ON AIMERAIT ÊTRE CORSE........

Les bus gratuits sur toute la ligne durant le - 27598135.jpg

Renouvelée pour la troisième année consécutive par la Capa et les TCA, l’opération «Les bus de Noël» met en place la gratuité des transports en commun du réseau tous les samedis et dimanches du mois

Course aux cadeaux, animations et sorties plus nombreuses… L'affluence liée aux fêtes de fin d'année va souvent de pair avec une augmentation du trafic et des difficultés de stationnement : un moment idéal pour emprunter les transports en commun.

Menée dans un esprit à la fois économique et écologique, l'opération « Les bus de Noël » tombe donc à point nommé. Pour la troisième année consécutive, la Communauté d'agglomération du pays ajaccien (Capa) et les Transports en commun ajacciens (TCA) renouvellent en effet ce dispositif axé sur la gratuité de tous les bus du réseau durant les week-ends du mois de décembre.

« Cette opération vise à faciliter la circulation et l'accès au centre-ville en cette période particulière de l'année, mais elle permet aussi de développer une campagne de promotion du réseau, afin de faire découvrir le dynamisme des bus ajacciens et d'y attirer de nouveaux usagers »,explique Adrien Castanier, le directeur des transports de la Capa.

Demain et après-demain, puis les week-ends des 13 et 14, 20 et 21, 27 et 28 décembre, les habitants pourront en ce sens emprunter gratuitement les itinéraires des onze lignes du réseau, qui restent identiques pour l'occasion. Un bon moyen de se libérer des contraintes liées à la voiture, ou tout simplement de se déplacer autrement, sans débourser un centime.

Les navettes Aiaccina aussi le dimanche

Une fois en centre-ville, les usagers pourront également profiter des navettes Aiaccina de 8 heures à 19 h 30 non-stop, y compris le dimanche après-midi jusqu'à fin décembre. « Ces véhicules électriques proposent un service supplémentaire et gratuit aux habitants, qui souhaitent circuler facilement entre la rue Fesch, la gare, la place Foch et la rue Bonaparte », ajoute le directeur des transports.

Lancées l'an passé, ces navettes d'une capacité de six places assises, respectueuses de l'environnement et accessibles aux personnes en situation de handicap, incarnent avec succès le principe de l'« éco-mobilité » ou « mobilité douce ». source  Corse matin

27/08/2014

La pollution domestique et automobile accroît la tension artérielle

Les polluants émis dans l'air par les pots d’échappement et par la combustion domestique de bois ou de charbon augmentent la pression artérielle, selon une récente étude internationale menée en Chine et publiée dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) du 25 août.

En Chine, près de la moitié des foyers brûlent du bois ou du charbon pour cuisiner, et le nombre de véhicules à moteur sur les routes s'accroît fortement, entraînant une augmentation des émanations de noir de carbone (ou carbone-suie) dans l'air, a relevé une équipe de chercheurs, menée par Jill Baumgartner de l'Institut de santé et de politique sociale de l'université McGill à Montréal (Canada), qui a mesuré les conséquences de l'exposition quotidienne à cette pollution de 280 femmes vivant dans la province rurale du Yunnan, dans le sud-ouest du pays......

En effet, brûler du bois ou du charbon pour cuisiner, tout en vivant à proximité d’un axe routier fréquenté accroît d’autant plus la pression artérielle.  « On parle d’effet cocktail car l’effet sur la santé de plusieurs polluants respirés en même temps, insiste Gilles Aymoz, est plus fort que la somme des effets de chaque polluant. » extraits lemonde

23/08/2014

Les produits électroniques usagés désormais repris sans obligation d'achat

Les distributeurs de produits électroniques et électriques sont désormais obligés de reprendre « gratuitement et sans obligation d'achat » les équipements usagés des consommateurs, selon un décret publié vendredi 22 août au Journal officiel.

 

Gros et petits appareils électroménagers, équipements informatiques, outils électriques et électroniques, télévisions, tablettes, téléphones portables, jouets et équipements de sport... : tous les équipements fonctionnant à l'électricité ou avec des piles sont concernés.

 

Selon ce décret, qui modifie le code de l'environnement en transposant une directive européenne de 2012, l’obligation de reprise concerne « les magasins disposant d'une surface de plus de 400 m2 dédiée à la vente d'équipements électriques et électroniques », soit les magasins spécialisés et certaines enseignes de la grande distribution. Les conditions dans lesquelles se fera cette reprise gratuite seront précisées ultérieurement par un arrêté.

 

AMÉLIORER LE RECYCLAGE

Globalement, le décret vise à mieux encadrer la gestion des déchets électriques et électroniques, et à en améliorer le traitement et le recyclage.....extraits lemonde

20/07/2014

Le photovoltaïque: on vous l'avait bien dit dans ces colonnes ....une belle arnaque

Vous trouverez un extraits commenté du monde ci-dessous des turpitudes de sociétés qui ont excroqué plus d'un propriétaire...

L'heure de rendre des comptes a sonné, pour nombre d'aigrefins de l'énergie solaire. Les installateurs de panneaux photovoltaïques aux méthodes commerciales agressives, promettant des rendements mirifiques, mais incapables de faire marcher leurs ouvrages, sont peu à peu traduits en justice. Abdel Madoui, qui dirigeait la société Couverture énergie solaire photovoltaïque (CESP), a ainsi été condamné à un an de prison par le tribunal correctionnel d'Avignon, mardi 15 juillet. Il a été jugé coupable de pratiques commerciales trompeuses. Sa société avait fait l'objet de 156 plaintes pénales entre 2008 et 2011, date de sa mise en liquidation.

 

Chaouki Bouskaya, qui dirigeait une autre entreprise avignonnaise, BSP, fait également l'objet de poursuites. Cet ancien boxeur amateur, ancien portier de boîte de nuit, et exploitant de machines à sous, est fiché au grand banditisme. Il a été acquitté du meurtre d'un truand, après cinq ans de prison. Il s'est reconverti dans le solaire en 2006 : une affaire qui ne pouvait que rapporter, les particuliers étant séduits par les crédits d'impôts, les aides régionales aux énergies renouvelables et le tarif avantageux de rachat de l'électricité par EDF.

 

Lui et son directeur commercial, Yannic Squivée, ont mené grand train, grâce à l'argent de la clientèle. BSP a été liquidée en 2010, laissant derrière elle 350 contentieux et un passif de 32 millions d'euros. On ignore si Chaouki Bouskaya sera présent à son procès, car il a disparu, le 4 avril, après avoir indiqué à sa compagne qu'il allait acheter du pain.

 

En mars, Willy Bernard, le PDG de Next Generation et ancien président du club de football d'Angers, a été condamné à deux ans de prison ferme pour fraude fiscale par le tribunal correctionnel du Mans. Il a fait appel.

 

Au procès Madoui, l'enquête diligentée par la direction générale de la concurrence, de consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a mis en évidence une stratégie bien huilée, que les treize avocats des parties civiles ont confirmée : les commerciaux de CESP persuadaient des propriétaires de maison individuelle d'installer des panneaux photovoltaïques sur leur toit, en surestimant les rendements attendus. Ils garantissaient un autofinancement, grâce à un emprunt différé, fourni par une société de crédit – Sofemo, en l'occurrence. Le client ne commencerait à rembourser sa dette que plusieurs mois après la souscription du contrat, lorsque les aides publiques tomberaient et que l'installation tournerait à plein rendement : une opération blanche.

 

Les commerciaux faisaient signer un bon de commande, ainsi qu'un contrat de crédit associé. CESP, pressée d'encaisser l'argent de l'emprunt, n'attendait ni le délai de rétractation légal de sept jours ni l'autorisation de la mairie pour livrer les panneaux. Ses installateurs ne prenaient pas le temps de les poser correctement et de les raccorder à l'onduleur devant les faire fonctionner. Ils faisaient pression sur les clients pour qu'ils signent le bon de livraison permettant de transférer les fonds de Sofemo vers leur entreprise.

 

Arnaques en série

 

Après encaissement, CESP ne s'occupait plus de ses clients. Lorsque ces derniers devaient commencer à rembourser leur crédit (de 20 000 à 35 000 euros), sans disposer des recettes correspondantes, ils se trouvaient plongés dans une situation dramatique.

 

A l'audience, les avocats des parties civiles ont dénoncé non seulement les pratiques de CESP, mais aussi celles de Sofemo, qui, à leur grand regret, n'était ni citée ni représentée : ils ont signalé que cette filiale du Crédit mutuel débloquait les crédits sans attendre que l'installation fonctionne réellement.

 

Abdel Madoui a prétendu le contraire, ce qui lui a valu les dénégations de l'assistance. Interrogé par l'une des avocates, Me Agnès Barré, il a d'ailleurs indiqué que CESP percevait une commission de 2 % sur chaque emprunt contracté auprès de Sofemo. Me Elisabeth Hanocq a accusé Sofemo de " complicité " avec CESP.

 

Une thèse que partage le magazine Que choisir, dans un article de mai intitulé " L'incompréhensible cécité des sociétés de crédit " : Sofemo, Solfea et autres Sygma ont cautionné les méthodes d'entreprises qui faisaient pourtant l'objet de sévères critiques sur les forums ; elles ont en effet évité de relever les irrégularités des bons de commande, des factures ou des bons de livraison.

 

Aujourd'hui, elles refusent d'en payer le prix. Lorsque des consommateurs obtiennent des tribunaux, en première instance, l'annulation de leur contrat, en raison de ses irrégularités, et, par voie de conséquence, celle de leur crédit, elles les poursuivent impitoyablement en appel et en cassation, leur imposant de redoutables dépenses. Pour elles aussi, l'heure des comptes ne devrait-elle pas sonner ?

D'autres acteurs, enfin, ont été remarquablement silencieux, face à ces arnaques en série. Il s'agit des assurances des sociétés d'installation photovoltaïque. Pour la première fois, le 13 juin, une compagnie d'assurances, Groupama, a été condamnée, par le tribunal de grande instance de Toulon, à rembourser la différence entre le rendement promis par l'installateur, Néo Solaire (qui a été liquidé depuis),...extraits le monde

17/07/2014

VOUS VOULEZ SAVOIR SI VOUS POUVEZ ACCEDER AU TRES HAUT DEBIT : la solution avec carte est accessible

Il suffit d'indiquer la commune en cliquant sur le lien ci-dessous :

TRES HAUT DEBIT

16/07/2014

Informations Sécurité INTERNET : protégez-vous facilement en suivant ces recommandations impérativement

Protégez vos informations personnelles et votre ordinateu


Faux remboursements

Des mails sont envoyés vous incitant à rentrer vos coordonnées personnelles dont votre numéro de carte bancaire. Ceci afin que l'on puisse, soit disant, vous verser une somme qui vous est due. Ce genre de mail est une arnaque, il ne faut pas cliquer sur le lien fourni qui vous redirige vers un site malveillant.

Voici des exemples de mails envoyés:

 

Notification d'impôt - Remboursement
Après les derniers calculs annuels de l'exercice de votre activité, nous avons déterminé que vous êtes admissible à recevoir un remboursement d'impôt de XXX €.
S'il vous plaît soumettre la demande de remboursement d'impôt et nous permettre de 10 jours ouvrables pour le traitement.
Pour accéder au formulaire pour votre remboursement d'impôt, cliquez ici
Un remboursement peut être retardé pour diverses raisons. Par exemple la soumission des dossiers non valides ou inscrivez après la date limite.
Le Conciliateur fiscal adjoint

Notification de droits et paiements.
Nous avons étudié vos droits.
Il apparait après cumul que pour la période du XX.XX.XXXX au XX.XX.XXXX,
vous n'avez rien reçu alors que vous avez droit à XXX,XX €.

Escroquerie à l’appel surtaxé

 

Un SMS est actuellement envoyé :  
cela fait 30 jours que vos chéquiers sont en attente à l'agence pour retrait.
Merci de nous contacter avant le 5/11/08 au 0X XX XX XX XX pour retrait.
MRCS XXX XXX XXX
Ce message n’est pas
émis par le Crédit Mutuel
Il s'agit d’une escroquerie visant à vous faire appeler inutilement un numéro surtaxé.
Le 0899 est un numéro surtaxé à 1,35 € par appel + 0,34 €/mn.
Les escrocs perçoivent les reversements de votre opérateur téléphonique sur le montant qui vous est facturé.
Les arnaqueurs jouent sur le fait qu'il n'y a pas de dépôt de plainte pour des montants si faibles.

Escroquerie au SMS surtaxé

 

Vous recevez par exemple le SMS :  
tu as reçu à 14h 1 message de quelqu'un ki tente de te joindr.
Pour le lire envoi par sms CONTACT au XXXXX ou par tel:0XXXXXXXXX.(0.35€/sms ou 1.35€/appel+0.34€/min).
Il s'agit d’une escroquerie visant à vous faire envoyer inutilement un SMS surtaxé.
Le 0899 est un numéro surtaxé à 1,35 € par appel + 0,34 €/mn.
Les escrocs perçoivent les reversements de votre opérateur téléphonique sur le montant qui vous est facturé.
Les arnaqueurs jouent sur le fait qu'il n'y a pas de dépôt de plainte pour des montants si faibles.

Fraudes aux chèques de banque sur Internet

Une fraude aux faux chèques de banque sévit sur Internet et concerne les internautes ayant mis en vente des biens sur des sites de ventes en ligne entre particuliers. Le temps que la banque du vendeur identifie la fraude, la victime aura soit perdu l'objet en vente, soit effectué un virement sur le compte de l'escroc suite à un montant indiqué sur le faux chèque de banque supérieur au prix initial fixé.
Prudence donc, et privilégiez le virement pour le règlement de ces transactions entre particuliers. source banque CIC

14/07/2014

Covoiturage : Blablacar lève 100 millions de dollars mais aussi de la location de voitures entre particuliers sécurisée avec drivy...

Le leader du covoiturage en France a levé 100 millions de dollars auprès de plusieurs fonds d’investissement. Un record pour une start-up européenne. L’objectif ? Poursuivre son développement à l’international. Déjà présente dans 12 pays, la start-up apparaît comme un concurrent sérieux du train en France, et va bientôt s’attaquer au marché des trajets courts.

8 millions de membres dans 12 pays européens, près de 1 million de passagers par mois, "soit autant qu’Eurostar en 12 mois", aime répéter Frédéric Mazzella, co-fondateur de Blablacar (ex-covoiturage.fr). Pour financer son développement à l’international, le leader sur ce marché en France, a levé 100 millions de dollars (73 millions d’euros) auprès du fonds d’investissement Index Ventures, et de fonds déjà associés - Accel Partners, ISAI et Lead Edge Capital. Un signe que le covoiturage est considéré comme une affaire rentable et un mode de transport qui s’exporte. Blablacar entend s’implanter dans les pays qui disposent à la fois d’un réseau routier développé et d’un usage répandu des smartphones. La start-up est déjà présente en Angleterre, Espagne, Portugal, Italie, Bénélux, Allemagne, Pologne, Ukraine, et en Russie depuis le début de l’année 2014.

......

Merci la grève !

"Pic historique sur Blablacar pendant la grève SNCF", indiquait un tweet de la start-up, le dimanche 15 juin 2014. Les arrêts de travail à la SNCF ont relancé l’idée que les trajets domicile-travail pourraient représenter un levier de croissance pour ce marché. En effet, tous les sites de covoiturages ont vu leur nombre d’inscrits grimper. Une "progression de 100% par rapport à un jour normal", selon une porte-parole de Blablacar, citée par Le Figaro. Le site a, ainsi, recensé 1900 trajets entre 16 heures et minuit le 15 juin. "D’habitude, nous avons 1500 voyages sur toute la journée de dimanche", ajoute-t-elle. Reste à savoir si cet afflux de clients d’un jour va se transformer en une habitude voire un mode de vie.

Un concurrent sérieux pour la SNCF

Aujourd’hui, le prix apparaît, comme la première motivation à utiliser le covoiturage, selon l’enquête menée par Vinci Autoroutes en 2013. En France, le tarif d’un trajet en covoiturage, revient deux à trois fois moins cher qu’un billet de train sur les longues distances, selon Frédéric Mazzella, sachant que le trajet moyen chez Blablacar est de 350 kilomètres. Ce mode de transport se positionne, ainsi, clairement comme un concurrent de la SNCF. Ce dernier a d’ailleurs racheté, en juillet 2013, le site de covoiturage 123envoiture.com afin d’être présent sur ce marché et de compléter son offre de transport. La SNCF mène déjà la bataille du porte-à-porte ou du dernier kilomètre avec plusieurs services de réservation de taxis et de voitures avec chauffeur, mais aussi de location de voitures. Depuis le 19 juin 2014, l’entreprise propose même une offre d’autopartage dans certaines gares via la start-up Wattmobile

Un modèle vertueux

Fondé en 2006, Blablacar revendique concentrer 95% des annonces en France. La start-up semble avoir trouvé la formule gagnante en ayant réussi à lever les principaux freins au covoiturage côté conducteurs comme passagers : en 2011, le site met en place le pré-paiement en ligne. La somme est, ensuite, réglée au conducteur par virement sur son compte, la commission de 10% de Blablacar déduite. Ce modèle vertueux a permis de réduire le taux de désistement de 35% à moins de 4%. En outre, le système de notation des conducteurs comme des passagers, a permis de générer la confiance indispensable avant de voyager avec des inconnus. Un modèle que Blablacar entend dupliquer à l’étranger. extraits mobilites

De plus la location entre particuliers sur le mode drivy.fr permet aussi de concurrence à l'arrivée les loueurs de voitures classiques avec des prix plus bas de 20 à 30 % tout en assurant des transactions sécurisées...

 

Qu'on se le dise.... la mobilité augmente et les prix deviennent plus concurrentiels avec l'arrivée de nouveaux acteurs qui se servent de la souplesse et des sécurité nouvelles sur le net.

01/07/2014

TEL MOBILE : La disparition des frais d'itinérance Mardi 1er juillet 2014 | 09h20 A partir de ce jour, utiliser votre téléphone mobile n'importe où en Europe va coûter moins cher

À partir de ce 1er juillet 2014, les opérateurs de téléphonie mobile en Europe doivent offrir à leurs abonnés la possibilité de souscrire un contrat spécial d’itinérance avant leur départ et, dans la mesure du possible, leur permettre de choisir un opérateur de téléphonie mobile dans le pays visité pour des services tels que la messagerie électronique, la consultation des actualités en ligne, le téléchargement de photos.

Le Parlement européen a voté le 3 avril 2014 un ensemble de directives régulant le secteur des télécommunications. L’Europe veut supprimer totalement à partir du 15 décembre 2015 les frais d’itinérance ("roaming") pour les appels, SMS, MMS et l’usage d’internet dans un autre pays de l’Union européenne.

Téléphoner, surfer sur Internet depuis son mobile ou envoyer des SMS depuis un autre pays de l’Union européenne ne devra donc pas coûter plus cher qu’une communication nationale. Les opérateurs pourront toutefois facturer (selon les plafonds de l'Eurotarif) les services d’itinérance utilisés de manière "abusive".

Retrouvez d'autres informations utiles sur le site du Centre Européen des Consommateurs France.

source ealsace

29/06/2014

La voiture électrique n'est pas « écologique »

La voiture électrique ne peut pas être considérée comme « écologique » ni « propre ». Telle est la conclusion de trois avis publiés par le jury de déontologie publicitaire (JDP), jeudi 26 juin, concernant des publicités pour deux véhicules en libre-service du groupe Bolloré, Autolib' à Paris et Bluely à Lyon, ainsi que la voiture électrique Zoé de Renault.

 

Le JDP, une instance de l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP), avait été saisi le 15 avril par l'association Observatoire du nucléaire contre plusieurs pages du site Internet d'Autolib' qui la qualifient « d'écologique » et de « propre » et contre un encart publicitaire présentant Bluely comme « très pratique, écologique et économique ».

 

La Fédération nationale des associations d'usagers des transports (Fnaut) avait de son côté déposé une plainte, le 18 mars, contre une publicité pour la Zoé titrée « Pour lutter contre la pollution, roulez en voiture », qui précisait « Renault Zoé : 100 % électrique, 0 % d'émissions. »

 

« ÉLÉMENT DE RELATIVISATION OU DE COMPARAISON »

 

« Le jury constate que la publicité litigieuse fait état du caractère écologique du service promu, sans le moindre élément de relativisation ou de comparaison, indiquent les avis concernant les deux voitures en libre-service. Or, l'utilisation de ce service induit nécessairement certains effets négatifs sur l'environnement, notamment les pièces d'usure des véhicules utilisés et l'électricité nécessaire à leur rechargement, dont il n'est pas établi qu'elle serait intégralement issue de sources renouvelables. »

 

L'avis du JDP sur la Zoé de Renault est, lui, plus modéré : il estime que « la publicité n'induit nullement l'idée que les véhicules électriques n'auraient aucun impact négatif sur l'environnement » puisqu'il est précisé – toutefois en petits caractères après l'astérisque – que l'absence de CO2 se réfère à l'utilisation du véhicule (hors usure) et non à l'ensemble de son cycle de vie ou à la production de l'électricité nécessaire à son rechargement.

 

Le JDP regrette toutefois que « la supériorité alléguée des véhicules électriques sur les véhicules à moteur thermique en termes d'incidence environnementale est formulée dans des termes très généraux et ne s'accompagne d'aucune précision ». Et d'ajouter : « La publicité en cause incite explicitement les consommateurs à rouler en voiture électrique pour réduire la pollution atmosphérique, alors qu'il existe de nombreux autres moyens de locomotion dont il est communément admis qu'ils sont moins nocifs pour l'environnement, comme les transports collectifs ou le vélo. »

 

« TOUT VÉHICULE A UN IMPACT SUR L'ENVIRONNEMENT »

 

« Ces publicités doivent être pondérées, relativisées, selon Stéphane Martin, directeur général de l'ARPP, appliquant la Recommandation développement durable de son Autorité. Tout véhicule a un impact sur l'environnement, lors de sa construction comme de son cycle de vie. On ne peut pas qualifier la voiture électrique de propre mais on peut avancer qu'elle contribue au développement durable ou qu'elle est plus propre que les voitures thermiques, à condition d'en apporter la preuve. »

L'Observatoire du nucléaire pointe tout particulièrement l'électricité d'origine nucléaire (à 75 % en France) qui sert à recharger les batteries,...extraits lemonde

22/06/2014

Le coût de l’exposition aux perturbateurs endocriniens se chiffre en milliards

L'exposition de la population aux perturbateurs endocriniens (PE) coûterait environ 4 milliards d'euros par an au système de santé français (31 milliards d'euros au niveau européen). C'est l'une des conclusions d'un rapport préparé par deux économistes et rendu public mercredi 18 juin par l'Alliance pour la santé et l'environnement (Health and Environment Alliance, HEAL), une organisation non gouvernementale européenne qui rassemble une soixantaine d'associations de la société civile, de syndicats de soignants ou de mutuelles.

.....

Les perturbateurs endocriniens sont des substances ou mélanges de substances qui peuvent perturber une ou plusieurs fonctions du système hormonal et ainsi accroître le risque de problèmes de santé. Les plus célèbres d'entre eux sont le bisphénol A (BPA), certains phtalates, certaines dioxines, le célèbre insecticide DDT, les polychlorobiphényles (PCB), ou encore le pesticide chlordécone – utilisé dans les Antilles françaises jusque dans les années 1990. Au total, plusieurs centaines de molécules de synthèse en circulation – dans les matériaux d'emballage, les pesticides, les cosmétiques et de nombreux produits d'usage courant – sont considérées comme perturbateurs endocriniens avérés ou suspectés..... Extraits le monde

24/05/2014

Acheter et vendre en toute tranquillité sur Internet

Le Net est devenu un terrain de chasse idéal pour les arnaqueurs sans scrupule. Mais comment faire pour repérer ces truands des temps modernes qui se cachent derrière leurs écrans ?

 


 

Cédric Gourbault, fondateur d’Explorimo.com, FlashVisit.com, Quelproduitchoisir.com, est un multi-entrepreneur du Web depuis plus de 15 ans. .....

 

Il signe "Guide anti-arnaque - Acheter et vendre en toute tranquillité sur Internet" aux Editions Eyrolles. Ce manuel décrypte les dangers d’Internet et résume de manière simple les points essentiels à retenir pour que vous surfiez en toute tranquillité.

Voici, en avant-première de la parution du livre, les 20 conseils pour éviter les arnaques sur Internet

    1.    Les arnaqueurs sont des menteurs professionnels. Quelle que soit votre connaissance du Web et de l’informatique, ne vous croyez pas à l’abri d’une arnaque.

    2.    La valorisation endort la méfiance. Méfiez-vous des beaux parleurs qui vous disent ce que vous avez toujours voulu entendre !

    3.    Beaucoup d’arnaques sont menées depuis le continent africain. Lors de vos échanges marchands ou sentimentaux sur Internet, cessez tout contact dès lors que la personne se trouve en Afrique.

    4.    Aucune autorité judiciaire ne possède d’adresse mail gratuite de type Hotmail, Yahoo, Gmail... N’hésitez pas à vous rendre physiquement dans une gendarmerie, un commissariat ou votre mairie, ils sauront vous indiquer si le courrier que vous avez reçu provient d’une réelle institution publique. En cas de problème, ils vous orienteront vers les autorités compétentes.

    5.    Ne communiquez jamais d’informations compromettantes sur Internet. Ne communiquez pas non plus vos vidéos et/ ou photos. Ces informations peuvent être exploitées par des personnes malintentionnées. Ne leur livrez aucun élément de chantage.

    6.    Ne divulguez pas d’informations personnelles sur Internet, prenez le temps de sécuriser vos comptes ainsi que ceux de vos enfants. Ne rendez pas visibles vos contacts sur Facebook

    7.    Partez toujours de l’adresse https:// officielle et habituelle pour vous connecter à votre compte bancaire, à votre messa- gerie ou autres réseaux sociaux.

    8.    Ne donnez jamais vos codes secrets, mots de passe et autres identifiants par mail. Sous aucun prétexte. Aucun organisme financier ou autre ne demande à ses clients leurs codes confidentiels.

    9.    Lors d’un échange sur Internet avec une personne inconnue, saisissez son nom dans les moteurs de recherche afin de vous assurer qu’il ne figure pas dans un listing d’escrocs.

    10.    Pensez à vérifier l’adresse IP de votre interlocuteur. Si ce dernier vous ment au sujet de sa localisation, vous avez affaire à un escroc, surtout s’il se trouve à l’étranger.

    11.    Ne versez jamais d’argent par Mandat Cash ou Western Union à une personne que vous ne connaissez pas, que vous n’avez jamais rencontrée physiquement.

    12.    Votre souris d’ordinateur n’est pas une baguette magique ! Elle n’a pas le pouvoir de transformer un bien de valeur en un bien bon marché. Méfiez-vous des trop bonnes affaires.

    13.    Lors d’une transaction marchande entre particuliers, ne versez jamais d’argent en gage de votre bonne foi ! Ne payez que lorsque vous avez l’objet entre les mains.

    14.    Pour tout achat via Internet, privilégiez les transactions sur des sites protégés comme Paypal.

    15.    Ignorez les petites annonces qui vous demandent d’appeler un numéro commençant par 08. Il s’agit de numéros surtaxés.

    16.    Ne cédez jamais à la précipitation, surtout si votre interlo- cuteur prétexte un départ imminent à l’étranger.

    17.    Les « arnacœurs » ont quelques points en commun, ils se disent en France mais ont un accent étranger, ont une très belle situation financière, vous accaparent de manière immodérée, voyagent beaucoup, sont actifs dans des organismes humanitaires. N’ouvrez pas les portes de votre cœur à des inconnus trop rapidement, restez en alerte.

    18.    Le grand amour ne se nourrit pas d’argent. Ne donnez jamais d’argent à une personne avec qui vous entretenez une relation sentimentale virtuelle.

    19.    La meilleure arme contre le chantage est l’indifférence. Coupez tout contact avec votre maître chanteur dès la première menace. Ne payez jamais ce qu’il vous demande. Supprimez vos comptes de réseaux sociaux.

    20.    Ne vous rendez jamais à l’étranger pour effectuer une transaction financière d’argent liquide. extraits e-alsace.net

22/05/2014

Prêts pour le dernier volet de la (R)évolution de colibris : l'Energie ! Samedi 24 mai, organisons partout en France des événements et montrons que nous pouvons vivre aussi bien en consommant moitié

Bonjour ! Prêts pour le dernier volet de la (R)évolution de colibris : l'Energie ! Samedi 24 mai, organisons partout en France des événements et montrons que nous pouvons vivre aussi bien en consommant moitié moins ! Colibris vous propose d'investir l'espace public, sous le signe de la sobriété énergétique et heureuse. Ateliers de réparation de vélo, auto-construction d’éoliennes ou de panneaux solaires, recyclage, troc, pique-nique locavore, cuisine végétarienne, construction passive, disco soupe, concert acoustique… Alors, samedi 24 mai, on réduit, on réutilise, on répare, on recycle, on relocalise ! Avis aux organisateurs ! Vous voulez organiser une journée "Débranche tout !" près de chez vous ? Colibris met à votre disposition une fiche pratique et des supports de communication : flyers, affiches, communiqué de presse. Contactez-nous ! revolution@colibris-lemouvement.org COMMUNICATION INTERNAUTES

06/05/2014

Enfin de la musique gratuite sans limite.... et en toute légalité

Le site web de toutes les musiques

Lundi 5 mai 2014 | 23h58

RF8 veut réaliser la synthèse entre les possibilités infinies offertes par les nouveaux usages numériques de la musique et le savoir-faire historique de Radio France.


Depuis 50 ans, Radio France propose de découvrir toutes les musiques sur les sept chaînes du groupe. A l’heure de l’essor du streaming et des radios en ligne, le service public entend, avec le lancement de son huitième réseau, en cliquant sur RF8, assumer son rôle de défricheur et de prescripteur dans le champ numérique.
 
Grâce à RF8, les auditeurs ont accès gratuitement à la musique sélectionnée par une cinquantaine de contributeurs issus de toutes les antennes du groupe Radio France : programmateurs, producteurs, chroniqueurs, journalistes, experts de la discothèque.

Une offre de playlists

Chaque semaine, une trentaine de nouvelles playlists sont mises en ligne sur le site. Elles sont écoutables sur les principales plateformes musicales du marché : YouTube, Spotify et bientôt Deezer, iTunes, Qobuz, etc.

Chaque playlist est enrichie et contextualisée par des reportages, des programmes et des archives des différentes antennes.

Les utilisateurs peuvent mettre en favori les playlists, les programmateurs, les artistes et les genres qu’ils préfèrent afin de disposer progressivement d'une expérience de plus en plus personnalisée. source e-alsace.net

11/04/2014

Les oeufs bio le sont-ils vraiment ?

Face au boom des œufs bio, les éleveurs doivent importer des grains à la certification parfois douteuse.
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Après les lasagnes de cheval et latarte Ikea aux matières fécales, voici venus les œufs bio pas vraiment bio. Car face au boom de la consommation d'œufs bio (+ 16% par an sur cinq ans selon l'Institut technique de l'aviculture), les producteurs, ont du mal à trouver des grains bio pour nourrir leurs poules pondeuses. "Une poule mange des grains, mais on n'en produit pas assez", explique l'agronome et industriel Pierre Weill, auteur de "Mangez, on s'occupe du reste" (Plon).

Pour que les œufs soient certifiés bio, il faut que l'alimentation des poules pondeuses soit à 95% biologique. Les 5% restants peuvent être composés de grains non bio, à condition qu'ils soient sans OGM. "Qu'il s'agisse de productions nationales ou d'importations, la traçabilité doit être assurée", précise Elisabeth Mercier, directrice de l'Agence Bio, chargée de la promotion de l'agriculture biologique.

Graines importées d'Ukraine et de Roumanie

Or ce n'est pas toujours le cas. Dans l'hexagone, la production de céréales certifiées bio est en hausse, mais elle n'est pas seulement destinée aux volailles. Pour répondre à la demande, les éleveurs sont donc obligés d'importer des graines, censées être bio. Sauf que le maïs d'Ukraine et de Roumanie, ou le soja d'Argentine, sont souvent difficiles à tracer. Malgré leur estampille "bio", ces grains peuvent en fait avoir poussé sous les pesticides, voire être OGM.

Pierre Weill lui-même raconte avoir été victime d'une fraude aux graines de lin censées provenir d'Italie et être bio :

On est passé par un courtier suisse sérieux et elles sont arrivées certifiées... Et puis récemment j'ai reçu un courrier du ministère italien de l'agriculture annonçant, navré, qu'après enquête il s'agissait en fait de lin de Moldavie, pas bio du tout."

Un business pour les producteurs industriels

Des fraudes qui seraient légion, mais sans lesquelles les producteurs n'auraient pas moyen d'approvisionner les rayons bio des supermarchés, où l'œuf est le produit le plus vendu après le lait et les légumes. Les grands producteurs industriels, qui dominent largement le marché, profiteraient aussi de contrôles "plutôt moins nombreux que ceux en Label rouge ......

Bien loin des petits producteurs bio traditionnels, les industriels se sont invité sur ce segment de marché récemment : la certification leur permet de vendre leurs œufs plus chers - pas loin du double comparé aux œufs de batterie. Même si les poules bio doivent avoir un accès obligatoire au plein air, elles sont élevées à l'intérieur et nourries aux grains, comme les poules non bio, et ne coûtent pas forcément plus cher à élever.

C'est justement pour en finir avec ces petits arrangements que le commissaire européen à l'Agriculture, Dacian Ciolos, veut revoir la certification bio au sein de l'UE. ........ extraits  Le Nouvel Observateur

08/04/2014

un scandale en soi : le viticulteur bio de Côte-d'Or coupable d'avoir dit non aux pesticides...

Le viticulteur bio Emmanuel Giboulot a finalement été reconnu coupable. Lundi 7 avril, le tribunal correctionnel de Dijon a condamné à 1 000 euros d'amende, dont 500 avec sursis, ce vigneron de Côte-d'Or pour avoir refusé de traiter chimiquement, comme le prévoit le code rural, ses 10 hectares de chardonnay et de pinot noir contre une grave maladie de la vigne, la flavescence dorée. M. Giboulot a décidé de faire appel du jugement.

Le tribunal a suivi les réquisitions de la procureure, Jeanne Delatronchette, qui avait requis, lors du procès le 24 février, cette peine légère alors qu'elle aurait pu pousser jusqu'à six mois d'emprisonnement et 30 000 euros. Le jugement était très attendu, tant l'affaire, largement médiatisée, a divisé militants écologistes et profession viticole.

« Je ne me sens pas du tout coupable, c'est intolérable aujourd'hui d'être obligé de se masquer, d'être dans la peur quand on assume une position », a déclaré à la presse Emmanuel Giboulot à l'issue du délibéré. Quelque 120 personnes étaient venues lui apporter leur soutien devant le tribunal........extraits lemonde

06/04/2014

Pollution en Ile de France : les mesures proposées par la Fédération des Usagers des Transports Publics (FNAUT)

Rappel de nos demandes à Madame la maire de Paris :

contre la pollution, de vraies mesures, pas des gadgets

Le récent pic de pollution l'a encore montré : protéger la santé des parisiens et améliorer leur qualité

de vie rendent indispensables de favoriser l'usage des modes de déplacement les mieux adaptés à la

ville et les plus à même de réduire la pollution : marche, bicyclette et transports collectifs.

Il faut mettre en place de vraies mesures :

• Assurer une priorité aux bus tout le long de leur parcours et notamment aux carrefours.

• "Sanctuariser" les couloirs réservés comme les trottoirs par une police de la circulation qui fasse

respecter partout les règles d'usage de la voirie.

• Boucler le tramway sur les boulevards des Maréchaux.

• Réutiliser la Petite ceinture ferroviaire pour le service voyageurs et le fret.

• Imposer le 30 km/h comme règle générale (50 km/h uniquement sur les grands axes).

• Améliorer la visibilité et l'accessibilité des taxis.

• Multiplier les espaces piétons. Réhabiliter les places (Concorde, Bastille, Étoile, Denfert,

18 juin...) et réaménager les abords des gares.

• Généraliser les aménagements cyclables et les parcs à vélo dans tous les quartiers.

• Sécuriser les cheminements autour des écoles (parcours piétons-cyclistes, îlotiers…).

Ne pas se tromper :

• Multiplier les possibilités de stationnement des voitures particulières comme des motos ne fera

qu'encourager ces modes et donc la pollution et les embouteillages.

• Prétendre "fluidifier leur circulation" est également illusoire. Il faut au contraire limiter les

possibilités de transit des modes individuels motorisés à travers la capitale.

• Remettre en cause des couloirs de bus protégés qui ont montré leur efficacité serait une

aberration.

• Autoriser les couloirs de bus aux véhicules électriques, consommateurs d’espace, est également

une erreur, préjudiciable au bon fonctionnement du réseau de transports publics.

• Exiger la "dédiéselisation" immédiate des bus engagerait une dépense faramineuse au détriment

d'autres investissements plus prioritaires. Les bus ne sont responsables que de moins de trois

pour cent de la pollution.

• Couvrir intégralement le périphérique est une mesure ruineuse et impossible en de nombreux

• Créer une piste cyclable sur la petite ceinture n'est pas une revendication prioritaire pour les

cyclistes qui utilisent le vélo quotidiennement. source Fnaut Ile de France Avril 2014

20/03/2014

Du Plan Vélo au PAMA

Le ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, avait installé en juin 2013 un groupe de travail pour préparer un Plan d’Action Mobilités Actives (PAMA). Ce groupe rassemblait des représentants des ministères, des parlementaires, des élus locaux, des techniciens, des usagers (Droits du Piéton, FUB, AF3V, FNAUT).  Les thèmes suivants ont  été étudiés :


- l'intermodalité marche et vélo-transport collectif ;

- le partage de l'espace public et la  sécurité des piétons et cyclistes ;

- les incitations financières à l’usage quotidien du vélo ;

- l'articulation des mobilités actives avec l'urbanisme et le logement ; 

- le tourisme à vélo ;

- la communication sur les bienfaits du vélo sur la santé.

 

Le PAMA, une grosse machine qui repart de zéro avec les mêmes acteurs, remplace le Plan National Vélo, qui avait été préparé pendant un an (la FUB, représentée par Geneviève Laferrère et Annick de Montgolfier, avait participé à toutes les réunions ) et adopté en janvier 2012.


Le 5 mars, le ministre a annoncé l'adoption de ce Plan d' Actions Mobilités Actives (PAMA). Il comprend 25 mesures, notamment:


MESURES CONCERNANT LA SNCF / INTERMODALITE :
- possibilité d'embarquer systématiquement des vélos , sur toutes les lignes TET  ( à défaut, prévoir 2 circulation par jour dans chaque sens)

- intégration des réservations en ligne de vélos à bord de tous les trains acceptant des vélos.

- amélioration, à l'horizon 2020, du stationnement sécurisé des vélos dans les gares, et continuité de la signalisation urbaine jusqu'aux quais.

- intégration des itinéraires marche et vélos dans tous les calculateurs d'itinéraires existants.

 

BOITE A OUTILS POUR LES COMMUNES :

- modification du Code de la route, pour permettre aux communes de fixer la vitesse des véhicules à 50, 30, 20 Km/h , ou à l'allure du pas, en cohérence avec la configuration et les usages des voies.

- généralisation du double-sens cyclable, dans toutes les rues où la vitesse est limitée à 30 km/h (et plus seulement dans les zones 30)

- requalification en  "stationnement très gênant" d'infractions telles que le stationnement de véhicules sur trottoir, sur passages piétons, sur bande ou piste cyclables  : les décrets seraient publiés à l'automne 2014.
- publication de l'arrêté concernant l'obligation de mettre en place, le 1er janvier 2015, des parcs de stationnement vélos dans les immeubles de bureaux bénéficiant de places de stationnement autos ( à la suite de l'article 57 de la Loi grenelle 2 et du décret d'application du 25 juillet 2011)

MESURES D' ORDRE GÉNÉRAL :
- permettre le chevauchement d'une ligne continue, pour le dépassement d'un cycliste si la visibilité le permet (décrets prévus à l'automne 2014)
- expérimenter en 2014 de L' INDEMNITE KILOMETRIQUE VELO (mesure demandée par de nombreuses associations) auprès d'entreprises VOLONTAIRES, qui auraient mis en place un PDE. (Plan Déplacement Entreprises)
Le remboursement serait de l'ordre de 25 centimes/km parcouru. C'est seulement après cette expérimentation, à monter de toutes pièces, que seraient mises en place les exonérations sociales et fiscales.

Pour la FUB (Fédération Usagers Bicyclettes), ce plan, qui  "ne formalise ni budget, ni échéancier", pourra se réaliser  "au prix de l'élaboration d'un plan stratégique complet décliné en plans d'actions".

 source Astus

14/03/2014

3,50 euros la séance de cinéma dimanche 16, lundi 17 et mardi 18 mars 2014 inclus

 

Le Printemps du Cinéma 15ème édition !

3 jours pour tout voir les dimanche 16, lundi 17 et mardi 18 mars 2014 inclus dans toute la France.

Le principe de cet événement national très attendu du public est toujours aussi simple : pendant ces trois jours, les salles de cinéma participantes pratiquent un tarif exceptionnel à l’ensemble des spectateurs : 3,50 euros la séance (hors majoration pour les films en 3D et séances spéciales). Une belle occasion de profiter pleinement de toute la richesse de la programmation durant la manifestation puisque tous les films sont concernés par cet avantage tarifaire, qu’il s’agisse de l’ensemble des nouveautés ou des films encore à l’affiche. Un événement fortement plébiscité puisque 2,5 millions de spectateurs le fréquentent chaque année en moyenne.

Le Printemps du Cinéma est organisé par la Fédération Nationale des Cinémas Français avec BNP Paribas, le partenaire exclusif des opérations nationales du cinéma en salles, qui prolongera cette opération du 19 au 25 mars 2014 inclus, en offrant plus de 300 000 contremarques à ses clients et prospects. Les détenteurs de contremarques BNP Paribas pourront bénéficier pendant 7 jours supplémentaires d’un tarif unique de 3,50 euros la séance (dans les cinémas participants, hors majoration pour les films en 3D et séances spéciales). A partir du 12 février 2014, 100 000 contremarques sont à gagner sur le web sur www.bnpparibas.net/cinema et sur la page Facebook BNP PARIBAS NET (dans la limite des stocks disponibles). Les détenteurs de la Carte We Love Cinema (www.welovecinema.fr) se verront offrir 100 000 contremarques et le réseau d'agences BNP Paribas offrira 130 000 contremarques à ses clients et prospects à travers toute la France.