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15/07/2013

Protégez vous de PRISM! « PRISM »: l'énorme scandale d'espionnage d'Internet par le gouvernement des États-Unis dévoilé.

Le Washington Post et le Guardian ont révélé l'existence d'un programme géant de surveillance de l'internet dont le nom de code est « PRISM ». Ils annoncent que la NSA et le FBI ont eu un accès direct au serveurs de neuf fournisseurs d'accès, comprenant Facebook, Microsoft, Google, Apple, Yahoo, YouTube, AOL et Skype, et que ce programme a été lancé depuis au moins sept ans.

 

Ces révélations suscitent un considérable émoi international.

 

Des programmes comme PRISM violent l'intimité de nos communications, brisent la confiance dans nos gouvernements et représentent un danger pour la liberté sur notre liberté sur internet.

 

Protéger l'intimité des communications privées et de défendre les libertés publiques, telle a toujours été la vocation de Ixquick.

POUR AJOUTER CE MOTEUR DE RECHERCHE CLIQUEZ CI-DESSOUS

https://ixquick.com/fra/download-ixquick-plugin.html

 

Aussi, ne vous étonnera-t-il pas que nous soyons des opposants farouches à tous les programmes d'espionnage à grande échelle, tels que PRISM. Dans le passé, même les programmes de surveillance d'internet lancés par des gouvernements avec de bonnes intentions sont devenus des outils débouchant sur des usages abusifs, utilisés par exemple pour la surveillance des mouvements de défense des droits civils ou de mouvements opposés à la guerre.

 

Ixquick et son moteur de recherche jumeau StartPage n'ont, dans leur histoire déjà vieille de 14 ans, jamais fourni un seul bit d'information à aucun gouvernement ou à aucun de ses « services ». Qu'il s'agisse bien sûr de PRISM ou d'aucun autre programme américain. Ni d'aucun autre programme dans le monde.

 

Voici comment et en quoi nous sommes différents :

 

  • Ixquick n'enregistre et ne conserve aucune donnée personnelle de ses utilisateurs. Ceci doit être clair pour tout le monde, y compris les agences gouvernementales concernées. Nous n'enregistrons pas les adresses IP de nos utilisateurs ni n'utilisons des cookies de suivi. Si bien qu'il n'y a littéralement aucune donnée vous concernant accessible sur nos serveurs. Puisque nous ne savons même pas quels sont nos clients, nous ne pouvons informer de quelque manière que ce soit Big Brother. De fait, depuis 14 ans, nous n'avons jamais reçu aucune demande d'aucune autorité gouvernementale réclamant des données sur nos utilisateurs.

  • Ixquick fait appel à des communications cryptées par défaut (HTTPS). Le chiffrage prévient la curiosité. Votre navigation est cryptée de sorte que des tiers ne puissent siphonner votre connexion à internet pour voir quelles recherches vous faites. Cette méthode, conjuguée avec l'absence de stockage de données vous concernant sur nos serveurs, assure la protection de votre vie privée.

  • Notre Société a son siège en Europe, aux Pays-Bas. La législation américaine ne s'y applique pas, du moins pas sans restrictions. Toute demande de fournir des données sur un utilisateur, de quelque gouvernement qu'elle vienne, est, le cas échéant, soumise au crible de l'examen par nos juristes. Et nous n'y donnons pas suite, sauf à ce que la législation à laquelle nous sommes soumis dans notre pays ne nous y oblige sans équivoque. Et même dans cette hypothétique situation , comme indiqué ci-dessus, nous ne détenons aucunes données utilisateurs susceptibles d'être fournies.

  • Jamais nous n'accepterons d'apporter délibérément notre concours à des programmes d'espionnage comme PRISM

  • Ixquick ne peut être obligée à vous espionner. Étant donné la robuste protection de la vie privée qui règne en Europe, les gouvernements européens ne peuvent légalement forcer des fournisseurs d'accès comme nous à participer à un programme d'espionnage de nos utilisateurs. Et si cela devait évoluer, nous le combattrions sans faillir.

 

La protection de la vie privée,
ce n'est pas seulement notre politique,
c'est notre mission!

 

Ixquick.com & StartPage.com
Robert E.G. Beens, Président

SOURCE IXQUICK

04/07/2013

Arnaque au camping-car : fausse petite annonce....D’ailleurs, voitures, téléphones ou même animaux font l’objet de propositions similaires

Les escroqueries à la générosité se portent toujours aussi bien. En ce moment plus que jamais, des annonces proposant de donner des camping-cars font fureur sur le web. Elles peuvent paraître alléchantes, mais sont à fuir absolument.

« Donne camping-car contre bons soins et amour ». À l’approche des vacances, l’annonce parue sur le site Avenuedesannonces.com a de quoi séduire plus d’un visiteur. Surtout que le véhicule est récent (2008), en bon état (photos à l’appui) et « avec tous ses papiers ».

À en croire le « généreux donateur », un simple courriel suffirait à accepter le don. Oui mais voilà, rapidement, votre interlocuteur vous précisera que le camping-car se trouve à l’autre bout de la France ou à l’étranger et que vous devez verser plusieurs centaines d’euros pour l’acheminer à votre domicile. Plus tard, d’autres versements seront nécessaires pour réparer une petite panne, procéder au contrôle technique, ou payer des frais administratifs.

Au final, ce qui devait être un « don » peut revenir très cher. Selon le journal local La Nouvelle République, un habitant du Loir-et-Cher se serait vu déposséder de plus de 9 000 €. Après avoir répondu à une annonce de ce genre, il avait multiplié pendant 3 ans les envois d’argent vers le Bénin, pays où était censé être exilé le donateur. Bien entendu, le fameux camping-car n’est jamais arrivé. La victime a décidé de porter plainte. Malheureusement, celle-ci n’a que très peu de chances d’aboutir. En effet, le service de transfert d’argent Western Union par lequel s’effectuent le plus souvent les versements ne permet ni d’identifier le destinataire ni de récupérer l’argent remis. Qui plus est, souvent installé à l’étranger, le « généreux donateur » ne risque pas grand-chose de la justice française.

Les chiens de race aussi

Mieux vaut fuir ce genre d’annonces trop belles pour être honnêtes. Car une fois le premier versement réalisé, il n’est pas toujours évident d’arrêter les versements et de faire une croix sur l’argent déjà versé. Quant au camping-car promis, il n’existe même pas, l’escroc ayant récupéré sur Internet photos et descriptions.

D’ailleurs, voitures, téléphones ou même animaux font l’objet de propositions similaires. « En ce moment, beaucoup d’annonces proposent de donner des chiens de race, bulldogs anglais ou français, yorkshires ou chihuahuas », met en garde Cédric Gourbault, le patron du site de petites annonces Trefle.com. Dans un premier temps, seuls des frais de transport sont demandés, mais très vite, le destinataire est invité à verser de l’argent pour payer le vétérinaire, le tatouage, l’achat de médicaments, etc. « Grâce à notre système de modération, nous parvenons à bloquer avant parution quasiment toutes les annonces de ce genre, mais nous ne sommes pas à l’abri d’en laisser passer », reconnaît Cédric Gourbault. Sans compter que d’autres sites moins scrupuleux les mettent en ligne sans le moindre contrôle. source ufc que choisir

04/05/2013

Abeilles et pesticides: la Commission reste déterminée à mieux protéger les abeilles.....

Commission européenne

Communiqué de presse

Bruxelles, le 29 avril 2013

Les États membres ne sont pas parvenus à une majorité qualifiée pour ou contre la proposition de la Commission de restreindre l'utilisation de trois insecticides néonicotinoïdes qu’examinait aujourd’hui le comité d'appel1.

Le commissaire européen à la santé et à la politique des consommateurs, M. Tonio Borg, a déclaré: «Bien qu'une majorité d'États membres soutienne à présent notre proposition, la majorité qualifiée requise n'a pas été atteinte. Il revient maintenant à la Commission de prendre une décision. Étant donné que notre proposition se justifie par un certain nombre de risques pour la santé des abeilles recensés par l'Autorité européenne de sécurité des aliments, la Commission maintiendra son texte dans les prochaines semaines.» Et de conclure: «Je m'engage à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que soit assurée la protection de nos abeilles, qui sont vitales pour notre écosystème et dont la contribution à l'agriculture européenne dépasse les 22 milliards d'euros chaque année.»

Quinze États membres se sont exprimés en faveur des restrictions, huit États membres ont voté contre et quatre se sont abstenus lors du vote en comité d'appel.

Éléments principaux de la proposition

La proposition limite l'utilisation de trois néonicotinoïdes (clothianidine, imidaclopride et thiaméthoxame) pour le traitement des semences, le traitement des sols (granulés) et les applications foliaires sur les plantes et les céréales attirant les abeilles.

Les autres utilisations autorisées sont réservées aux professionnels

Le traitement des cultures attirant les abeilles sera exceptionnellement possible pour les cultures sous serre et les cultures de plein champ après la floraison.

Les restrictions s'appliqueront à compter du 1er décembre 2013.

Dès que de nouvelles informations seront disponibles, et dans deux ans au plus tard, la Commission réexaminera les conditions d'approbation des trois néonicotinoïdes concernés afin de tenir compte des avancées scientifiques et techniques pertinentes.

Prochaines étapes

En l'absence d'accord entre les États membres, il appartient à la Commission de décider de l'adoption des restrictions proposées.

Contexte

Faisant suite à la demande de la Commission européenne, l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a publié, le 16 janvier, ses conclusions scientifiques sur les risques que fait courir à la santé des abeilles l'utilisation de trois pesticides appartenant à la famille des néonicotinoïdes. Sur la base de cet avis, la Commission a soumis aux États membres une proposition visant à restreindre l'utilisation de ces trois pesticides.

Le 15 mars, des experts représentant l'UE-27 se sont réunis au sein du comité permanent de la chaîne alimentaire et de la santé animale, mais ils ne sont pas parvenus à une majorité qualifiée pour ou contre cette proposition. Treize États membres se sont exprimés en faveur des restrictions, neuf États membres ont voté contre et cinq se sont abstenus. La proposition a alors été soumise au comité d'appel le 29 avril.

Pour en savoir plus:

http://ec.europa.eu/food/animal/liveanimals/bees/neonicot...

Site internet de l'EFSA:

http://www.efsa.europa.eu/fr/topics/topic/beehealth.htm?wtrl=01

source commission Européenne

05/04/2013

De nombreux perturbateurs hormonaux identifiés dans des produits de beauté

Crèmes, gels douche, shampooings, dentifrices, savons, vernis, poudres de maquillage, etc. : les cosmétiques contiennent des concentrations élevées de perturbateurs endocriniens, ces molécules susceptibles de bloquer ou de modifier le système hormonal humain et d'augmenter les pathologies lourdes comme les cancers hormonodépendants, l'infertilité ou le diabète.

L'association de consommateurs UFC-Que Choisir a publié, mardi 2 avril, les conclusions de tests portant sur 66 produits. Une vingtaine de molécules ont été trouvées, des perturbateurs endocriniens utilisés sous forme de conservateurs, d'antibactériens, de filtres solaires, d'adoucissants, d'émollients. Le propylparaben, un conservateur, a été retrouvé dans 28 produits. Un seul des produits analysés ne comportait pas les molécules chimiques recherchées.

L'étude attire l'attention sur plusieurs cosmétiques de la marque Nivea, un déodorant et un gel douche. Dans le Nivea Water Mily & Oil, 2,68 g/kg de propylparaben ont été mesurés, alors que le Comité scientifique pour la sécurité des consommateurs (CSSC) fixe la teneur à ne pas dépasser à 2,48 g/kg. Le stick déodorant Dry Confort 48 h contient 180 g/kg de cyclopentasiloxane et 7,7 g/kg en cyclotetrasiloxane, des dérivés du silicone. Un dentifrice Colgate Total renferme 2,09 g/kg de triclosan, un antibactérien qui pourrait avoir des effets sur la thyroïde. Les experts de l'UFC-Que Choisir considèrent que ce produit, s'il est combiné par exemple avec un déodorant contenant aussi du triclosan, présente « un risque significatif ».

Effets à long terme

Ce que craignent les toxicologues, c'est l'effet « cocktail » : l'addition au cours d'une journée de tous ces produits, crème, protection solaire, cumulée à l'exposition à un environnement lui-même pollué par les perturbateurs endocriniens. On retrouve en effet ces molécules dans les vernis, les emballages alimentaires, les parquets, le mobilier, etc. L'un de ces perturbateurs hormonaux, le bisphénol A, est présent dans les bouteilles en plastique, les conserves, la vaisselle.

« Les doses présentes dans les cosmétiques sont le plus souvent en dessous du seuil de risque. Mais il faut rappeler que les perturbateurs endocriniens agissent à faible dose et sur le long terme. Par ailleurs, ce sont les effets cumulatifs qui peuvent être nocifs. Le problème, c'est que la toxicologie classique considère la nocivité de chaque molécule isolément sans prendre en compte les risques liés à l'exposition à un mélange de substances », explique Olivier Andrault, chargé de mission à l'UFC-Que Choisir.

L'association de défense des consommateurs demande donc une adaptation de la réglementation. Elle réclame à la Commission européenne la mise en place d'un programme de recherche indépendant sur les effets à long terme de ces perturbateurs endocriniens et l'obligation pour les fabricants d'afficher des étiquetages complets et précis. Les tests ont montré que la liste des ingrédients affichés par les fabricants sur leurs produits n'était pas toujours fiable. Les produits comportaient des substances non indiquées.

....extraits lemonde du 4 avril 2013

21/02/2013

Mais au fait, c’est quoi le minerai de viande ?

La crise des surgelés pur bœuf farcis au cheval nous aura fait tomber sur un os : la viande n’est pas toujours de la viande, mais une drôle de matière première carnée qui… À lire avant le repas !

« Minerai ». Ce mot qu’on croyait faire partie du lexique de l’extraction du charbon ou du cuivre vient de faire une entrée fracassante au rayon boucherie. Par la grâce de la viande de cheval qui s’est frauduleusement glissée dans la farce des lasagnes Findus et Picard, aucun Français normalement informé ne peut plus ignorer que le « minerai de viande », conditionné sous forme de pains, a non seulement la particularité d’entrer dans la fabrication des plats préparés, mais en outre celle de voyager à travers l’Europe, de Chypre au Luxembourg en passant par le Pays Basque et les Pays-Bas.

Concrètement, que se cache-t-il donc dans ces pains de viande bas de gamme que personne n’ose appeler « morceaux », « pièce » et encore moins « quartiers » ? « C’est tout ce qui reste une fois la viande découpée et qui, malgré son aspect, est propre à la consommation, explique Gilbert Mouthon, ancien professeur à l’école vétérinaire d’Alfort et expert auprès des tribunaux. En clair, tout ce qui, une fois haché, ressemblera de toute façon à de la viande. » À condition de ne pas y regarder de près.

Une réglementation (n°B1-12-03 du 28 janvier 2003) précise la composition du minerai : « Des ensembles de muscles striés et de leurs affranchis, y compris les tissus graisseux y attenant provenant de viandes fraîches. » Les affranchis ? Quésaco ? Une note de bas de page nous affranchit, justement : « Les morceaux de viande produits exclusivement lors de la découpe débarrassés des aponévroses [les membranes, NDLR] et des glandes. » Bon appétit…

En théorie, le minerai pourrait résulter d’une démarche écologique consistant à ne pas perdre de bonnes protéines animales pas très présentables dans les rayons d’une boucherie. Sauf que. « Il faut voir ce qui se passe dans les ateliers de découpe avant l’arrivée des vétérinaires, entre 4 h et 6 h du matin, raconte Gilbert Mouthon. J’ai le souvenir d’avoir accompagné un juge d’instruction au cours d’une perquisition dès potron-minet dans un atelier dont je tairai le nom puisque l’affaire est toujours en cours. Tout ce qui traînait sur le sol après la découpe partait au minerai, après avoir séjourné dans le sang et toutes sortes de déjections. » Vous reprendrez bien un peu de lasagnes ?....extraits marianne

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conclusion : ne consommez plus de produits usrgelés tout prêts. On vous vend de la merde bien emballé... J'attends plus maintenat qu'un scandal nous vienne du fromage. Ce sera le bouquet. Manger Local et vérifiez ce que vous mangez y compris au restaurant (regardez dans les poubelles , c'est édifiant...)

11/02/2013

Soldes : la dernière ligne droite pour profiter des meilleurs tarifs se termine demain 12 Février 2013 au soir....

Même si le choix est plus limité, il reste de belles opportunités....à saisir

27/01/2013

Positif : Un béton végétalisable promet un renouveau esthétique et écologique

 Un nouveau béton biologique a été mis au point par des chercheurs de l'Université Polytechnique de Catalogne. Le nouveau composé est adapté à la croissance de mousses, algues et lichens. Les avantages de ce béton sont à la fois environnementaux, thermiques et esthétiques.

Les murs végétaux de Patrick Blanc comme celui du Quai Branly à Paris ou du Caixa Forum de Madrid ont fait des émules. Les chercheurs du groupe de Technologie des Structures de l'UPC ont ainsi développé un nouveau béton multicouches qui supporte la croissance d'organismes vivants. La première couche qui supporte les autres est imperméable, protégeant ainsi la structure qu'elle entoure.

La seconde couche est celle qui permet la croissance des organismes. Sa microstructure permet de capter et retenir l'eau de pluie, favorisant ainsi le développement des micro-organismes comme les algues, les mousses et les lichens. Celle-ci est recouverte d'une troisième couche discontinue faisant office d'imperméabilisation inverse. La surface de l'ensemble est pensée pour faciliter la croissance des végétaux.

Le développement des végétaux permet de contribuer à l'absorption du CO2 atmosphérique. Par ailleurs, le matériau capte plus de radiation solaire, améliorant la conductivité thermique à l'intérieur du bâtiment. Enfin, il permet d'offrir une alternative ornementale dans la ville. En fonction des espèces vivantes qui peuvent y proliférer, il peut proposer différentes tonalités de couleur au cours de l'année. L'idée est alors de créer une sorte de "peinture vivante". Sur cette partie des travaux, les chercheurs coopèrent actuellement avec des collègues belges afin de déterminer les conditions optimales de croissance des végétaux.

A la différence d'un mur végétal, le béton végétal présente une solution intégrée dans le matériau. Nul besoin de construire des structures complexes permettant le maintien, l'irrigation et la croissance des plantes puisque tous les paramètres sont inclus dans le matériau. Les chercheurs ont déjà breveté leur découverte. Le "béton vert" pourrait ainsi faire son apparition sur des nouveaux bâtiments ou lors de la rénovation de bâtiments anciens dans les prochaines années.source bulletins-electroniques

25/01/2013

enfin on s'en doutait depuis un long moment ...l'Europe admet les failles de sa sécurité sanitaire

L'Agence européenne de l'environnement publie un rapport choc sur la prise en compte tardive des alertes. C'est un rapport saisissant que publie, mercredi 23 janvier, l'Agence européenne de l'environnement (AEE). Intitulé Signaux précoces et leçons tardives : science, précaution, innovation, il pointe tout au long de ses quelque 700 pages, les failles béantes du système de régulation sanitaire et environnementale en vigueur, en Europe comme ailleurs. De l'essence plombée au bisphénol A, en passant par les insecticides systémiques (Gaucho, Cruiser, etc.

voir aussi le papport détaillé ci après  Late lessons from early warnings II - Flyer(1).pdf

19/01/2013

Viande rouge : à consommer avec modération pour réduire le risque de cancer et d'autres pathologies et économiser vos finances, c'est le résultat de cette étude en anglais

Study urges moderation in red meat intake

A study linking red meat and mortality lit up the media in more ways than one. Hundreds of media outlets carried reports about the study. Headline writers had a field day, with entries like “Red meat death study,” “Will red meat kill you?” and “Singing the blues about red meat.”

The warning from the study, done by researchers at the Harvard School of Public Health, sounded ominous. Every extra daily serving of unprocessed red meat (steak, hamburger, pork, etc.) increased the risk of dying prematurely by 13%. Processed red meat (hot dogs, sausage, bacon, and the like) upped the risk by 20%. The results were published in the Archives of Internal Medicine.

The study included more than 121,000 men and women followed for an average of 24 years. All submitted information about their diets every four years. Over the course of the study, almost 24,000 of the participants died. Death rates among those who ate the most red meat were higher than among those who ate the least.

Because this was the largest, longest study to date on the connection between eating red meat and survival, the findings are worth paying attention to. But they aren’t the last word on the topic, and the numbers need to be put into perspective.

A month ago, a Japanese study of more than 51,000 men and women followed for 16 years found no connection between moderate meat consumption (up to three ounces a day) and premature death. Last year, a study by different researchers from the Harvard School of Public Health found no connection between eating unprocessed red meat and the development of heart disease and diabetes, though there was a strong connection with eating processed red meat.

Now for the numbers. Upping your risk of dying by 13% or 20% may nudge you toward becoming a vegetarian—but those are relative risks, comparing death rates in the group eating the least meat with those eating the most. The absolute risks (see them for unprocessed red meat in the table below) sometimes help tell the story a bit more clearly. These numbers are somewhat less scary.

 

Deaths per 1,000 people per year

 

1 serving unprocessed meat a week

2 servings unprocessed meat a day

Women

7.0

8.5

 

3 servings unprocessed meat a week

2 servings unprocessed meat a day

Men

12.3

13.0

The authors of the Archives paper suggest that the increased risk from red meat may come from the saturated fat, cholesterol, and iron it delivers. Potentially cancer-causing compounds generated when cooking red meat at high could also contribute. Sodium, particularly in processed foods, may also play a role. It’s also possible that red-meat eaters may be more likely to have other risk factors for serious, life-shortening diseases.

Try a Mediterranean approach

Given how hard it is to study the effect of food on long-term health, there probably won’t ever be a definitive study of red meat and mortality. The evidence that’s accumulating has me believing that less meat is probably better for health.

One way to cut back on red meat is to follow a Mediterranean-style diet. It is rich in plant-based foods, and doesn’t emphasize meat.

Keep in mind that there’s no such thing as the Mediterranean diet. Instead, there are many ways to go Mediterranean. Here are the basics:

  • Eat fruits, vegetables, whole grains, beans, nuts, and seeds every day; they should make up the lion’s share of foods.
  • Fat, much of it from olive oil, may account for up to 40% of daily calories.
  • Small portions of cheese or yogurt are usually eaten each day, along with a serving of fish, poultry, or eggs.
  • Red meat makes an appearance now and then.
  • Small amounts of red wine are typically taken with meals.

Cutting back on meat can also help the health of the planet. According to an eye-opening book from the Union of Concerned Scientists called The Consumer’s Guide to Effective Environmental Choices, meat consumption is the second most environmentally expensive consumer activity, behind how we transport ourselves from place to place. Making one pound of beef for the table creates 17 times more water pollution and 20 times more habitat alteration than making its caloric equivalent in pasta.

That makes eating less meat an excellent two-fer.

11/01/2013

Le portable, dangereux pour la santé? Le débat est encore relancé

SANTE - Plusieurs scientifiques internationaux ont rendu un rapport alarmiste lundi sur les impacts sanitaires liés à l'usage massif du mobile et des technologies sans fil...

Nouvelle alerte contre les ondes. Le Parisien rapporte ce mardi une étude alarmiste menée par plusieurs scientifiques de différents pays. Ces médecins ont analysé 1.800 études réalisées ces cinq dernières années sur les effets des champs électromagnétiques. Leur conclusion? Il «existe un risque accru de développer un gliome (une tumeur cérébrale maligne) avec l’usage du portable».  Dans leur rapport commun, baptisé «Bio Initiative», ces scientifiques vont même jusqu’à établir un lien entre radiofréquences et accroissement du risque de symptômes autistiques. Pour eux, il devient «urgent d’abaisser les seuils d’exposition aux ondes et aux technologies sans fil pour les personnes atteintes d’autisme, les enfants, les futurs parents et pendant la grossesse».

Les mêmes scientifiques avaient publié un premier rapport en 2007 pointant les dangers du portable, des antennes-relais et des connexions Wi-Fi. Un rapport vivement critiqué par l’Agence française de sécurité sanitaire qui dénonçait un «registre militant» et «pas du tout objectif», souligne Le Parisien.  Celle-ci avait toutefois recommandé en 2009 de «réduire l’exposition du public» aux ondes. 

Le 31 janvier, une proposition de loi visant à réduire les risques liés aux ondes électromagnétiques, déposée par le groupe écologiste, doit être étudiée à l’Assemblée nationale......extraits 20 minutes

01/12/2012

Une consommation élevée de fructose favoriserait le diabète

Les pays où l'on consomme beaucoup de boissons et d'aliments contenant du sirop de maïs à haute teneur en fructose sont aussi ceux où la prévalence du diabète de type deux est la plus élevée. Les Etats-Unis et le Canada, mais aussi la Belgique ou le Japon, sont parmi les premiers concernés, tandis que la France utilise le fructose en très faibles quantités.

Des chercheurs de l'Université de Californie du Sud et de l'Université d'Oxford ont analysé les données de 43 pays. Ils ont ainsi mis en évidence le fait que les pays utilisant fortement ce sucre présentent un taux d'atteinte par cette forme de diabète, souvent associée à l'obésité, de 20 % supérieur à celui observé dans les pays qui n'y ont pas ou peu recours. Une association qui n'est cependant pas la démonstration d'une relation de cause à effet........ extraits lemonde de ce jour

18/11/2012

Une nouvelle étiquette pour bien choisir ses pneus

Depuis le 1er novembre 2012, les pneus vendus en France doivent afficher leurs niveaux de performance, dont celui de l'efficacité énergétique.

Pour harmoniser la réglementation française sur les pneumatiques avec la réglementation européenne, les pneumatiques devront désormais obligatoirement afficher un étiquetage de leurs performances. A l'image des appareils ménagers, l'étiquette fournit aux consommateurs des informations en matière d'efficacité énergétique, d'adhérence sur route mouillée et de bruit extérieur.

Économie d'énergie et réduction des émissions de CO2

L'adoption de cette mesure constitue un des aspects du plan d'action pour l'efficacité énergétique et contribuera à atteindre l'objectif consistant à réduire de 20 % la consommation énergétique totale de l'Union européenne d'ici à 2020.

A cette échéance, cette mesure devrait permettre une économie de 2,4 à 6,6 millions de tep (tonnes équivalent pétrole). Les réductions d'émissions de CO2 de tous les types de véhicules devraient se situer entre 1,4 et 4,0 millions de tonnes par an, selon la vitesse d'évolution du marché en faveur des pneumatiques les plus efficaces en carburant.

documentation technique promotionnelle ainsi que sur les sites Internet des fournisseurs.

etiquette pneu

Trois indicateurs de performance

L'étiquette donne les 3 informations suivantes :

  • la classe d'efficacité en carburant sur la colonne de gauche (sur une échelle de A à G),
  • la classe d'adhérence sur sol mouillé sur la colonne de droite (sur une échelle de A à G),
  • le niveau sonore extérieur, selon 3 niveaux et en décibels (dB), dans la partie basse de l'étiquette.


Pour ce qui concerne l'efficacité en carburant, l'échelle de A à G classe les pneumatiques selon leur résistance au roulement, la lettre A indiquant les produits à plus faible résistance au roulement et donc les plus économes en énergie. extraits notre planete info

13/10/2012

Un jeune Français sur cinq est en surpoids ou obèse

Près d'un jeune Français sur cinq âgé de 15 à 25 ans (19 %) est en surpoids ou obèse, selon une enquête Ipsos rendue publique jeudi 11 octobre. Parmi eux, trois sur dix n'en ont pas conscience puisqu'ils s'estiment minces ou de corpulence normale. Par ailleurs, plus d'un jeune Français sur deux (61 %) mange ses repas devant un écran au moins une fois sur deux, selon l'enquête.

 

Grignotage, repas sautés ou avalés à toute vitesse, budget réduit consacré à l'alimentation font partie de mauvaises habitudes relevées par l'enquête. L'alimentation n'est en effet pas un poste de dépense prioritaire pour les neuf millions de jeunes concernés : plus d'un sur quatre est prêt à sacrifier la qualité et la quantité de son alimentation au profit de son habillement (31 %) ou de la téléphonie mobile (25 %).

 

UN JEUNE SUR TROIS GRIGNOTE QUAND IL EST STRESSÉ

La sédentarité aggrave également les risques de surpoids et d'obésité : plus d'un jeune sur trois déclare ne pas faire de sport (38 %). Une proportion qui est presque d'un jeune sur deux dans les foyers les plus modestes (44 % contre 27 % pour les jeunes les plus aisés)....extraits lemonde

Observation : Ce n'est pas enétant devant l'ordinateur ou à envoyer des sms avec son téléphone portable qu'on maigrit. Des repas équilibrés pris à heure fixe et sans sauter le petit déjeuner avec une pratique sportive régulière sont la solution à ce fléau.

02/10/2012

Tribune Le bio, meilleur pour la santé Article paru dans l'édition du 29.09.12 L'interprétation d'une récente étude sur l'alimentation laissait à désirer, selon Claude Aubert et Laurent Chevallier

Une nouvelle étude sur les produits bio, publiée le 4 septembre par la réputée revue américaine Annals of Internal Medicine, a jeté le trouble dans les esprits. Selon le compte rendu que l'agence Reuters a fourni, les produits bio ne seraient pas meilleurs pour la santé que ceux dits conventionnels, c'est-à-dire pour lesquels des pesticides de synthèse ont été utilisés.

 

Qui a pris soin de lire l'étude elle-même ? Et par qui a-t-elle été financée ? A cette dernière question, on s'aperçoit que, si elle a été réalisée par l'université Standford, cette dernière compte parmi les financeurs de son programme alimentaire un des géants de l'industrie agroalimentaire (à hauteur de 5 millions de dollars sur cinq ans) !

 

Malgré cette source de financement, les auteurs, à y regarder de près, sont extrêmement nuancés quant à leurs conclusions. D'une grande prudence, ils ne jettent pas du tout l'opprobre sur le bio, mais, timorés, ils affirment : « Il est possible que la consommation de produits bio réduise [the consumption of organic foods may reduce...] l'exposition aux pesticides et aux bactéries résistantes aux antibiotiques. » Une réduction tout de même bien démontrée depuis longtemps, en tout cas pour les pesticides !

 

Si on se donne la peine de lire l'étude dans son intégralité, les surprises ne manquent pas, qui contredisent largement l'interprétation qui a pu parfois en être faite.

 

En matière nutritionnelle, les auteurs confirment que les produits laitiers et la viande de poulet bio sont plus riches en oméga 3 que les conventionnels, une différence désormais admise même par les biosceptiques loyaux ; ils confirment aussi que, selon la majorité des études, les aliments biologiques contiennent davantage de polyphénols, de puissants antioxydants, que les conventionnels, une différence mise en évidence par toutes les autres études comparatives, même si une carotte reste une carotte, qu'elle soit bio ou non.

 

En matière de pesticides, les auteurs arrivent à la conclusion que seulement 7 % des aliments bio contiennent des résidus, contre 38 % des conventionnels... tout en laissant aussi entendre que les résidus dans les aliments conventionnels ne posent pas de problèmes pour la santé puisque les limites légales sont rarement dépassées. Soulignons que ces limites légales, compte tenu de l'effet cocktail et du fait que certains pesticides sont des perturbateurs endocriniens pouvant agir à des doses infimes, n'ont plus aucune crédibilité.

 

Quant au fait que les quelques études réalisées sur l'homme n'aient pas montré de différence entre consommateurs bio et conventionnels sur la santé des consommateurs, il ne prouve rien, car elles portaient sur trop peu de personnes et étaient de trop courte durée.

 

Par ailleurs, en ce qui concerne les contaminations par les micro-organismes (bactéries, moisissures...), la conclusion est la même que celles d'études précédentes : pas de risque de contamination plus élevé en bio qu'en conventionnel, mais un risque plus faible d'être exposé à des bactéries résistantes aux antibiotiques, ce qui n'est pas négligeable tout de même !

 

En conclusion, consommer bio permet de moins être exposé aux produits chimiques de synthèse et assure une meilleure densité en certains nutriments. Etre favorable au bio relève du simple bon sens et d'une interprétation non partisane des études.

Claude Aubert, Laurent Chevallier source lemonde

21/09/2012

OGM un grave danger pour notre santé sous couvert de productivisme et de chercher à nourrir les habitants de la terre entière en les rendant dépendant des multinationales agroalimentaires...

Commentaire : Une seconde étude dans la durée (minimum 1 an et à faire également sur les porcs) est indispensable pour vérifier la nocivité des OGM, tout en trouvant des experts INDEPENDANTS des multinationales de l'agroalimentaire. C'est pas gagné.... Gardons une vigilance citoyenne sur le sujet, sachant que le nombre de millions d'hectares cultivés en OGM augmente rapidement dans le monde....et que l'organisme de contrôle des aliments au niveau européen  (EFSA et surtout le point critique sur wikipédia ) a été dirigée jusqu'à peu par une directrice générale aux ordres de ces multinationales....voir l'extrait du monde du 10 mai 2012 relevant du conflit d'intérêts...ci-dessous

Le Parlement européen a voté, jeudi 10 mai en séance plénière, le report des "décharges budgétaires" de trois agences de l'Union : l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), l'Agence européenne du médicament (EMA) et l'Agence européenne de l'environnement (EEA).

 

Cette décision revient à ne pas leur donner quitus de leur gestion, pour l'exercice 2010. Elle constitue un cuisant camouflet, en particulier pour l'EFSA et l'EMA, épinglées pour une gestion contestable des conflits d'intérêts.

 

Ce vote intervient au lendemain de la publication d'un communiqué de l'EFSA annonçant le départ de sa présidente, Diana Banati, pour "prendre un poste à l'International Life Science Institute [ILSI]", poste "non compatible avec son rôle de membre et de présidente du conseil d'administration de l'EFSA". Mme Banati devient en effet directrice exécutive pour l'Europe de l'ILSI.

Cette organisation regroupe les principaux industriels de la pharmacie, de la chimie, de l'agroalimentaire et de la cosmétique...... extraits lemonde

Semences, une histoire nationale é& septembre 2012

 

Les images de rats de laboratoire déformés par des tumeurs après avoir ingéré du maïs transgénique NK603 de Monsanto, ou l'herbicide Roundup auquel cet OGM est tolérant, vont faire le tour du monde. Elles sont tirées de la seule étude à ce jour qui ait analysé l'impact à long terme (au-delà des quatre-vingt-dix jours réglementaires) de ces aliments génétiquement modifiés sur des rongeurs.

 

 

Nul doute que le protocole mis en place en grand secret par Gilles-Eric Séralini (université de Caen) et ses collègues sera scruté à la loupe par ses contradicteurs au sein des organismes de recherche: le chercheur franc-tireur en a l'habitude. Mais il a cette fois pour lui l'honorabilité de la revue –Food and Chemical Toxicology –, qui a accueilli et publié ses résultats, dans son dernier numéro.

 

Les historiens du futur diront si cette étude aura marqué un tournant dans l'appréciation portée sur les OGM, par l'opinion et les pouvoirs publics, les organismes de contrôle, le monde agricole et celui de la recherche en amélioration des plantes. Pour Christophe Bonneuil et Frédéric Thomas, historiens des sciences respectivement au CNRS et à l'IRD, l'épisode actuel serait de nature à nourrir une prochaine édition de leur passionnant ouvrage "Semences: une histoire politique".

 

Les deux auteurs ne cachent pas leur souhait d'une réorientation des recherches vers une agriculture «nourricière, durable et de qualité qui ne soit pas le jouet de quelques géants semenciers et agroalimentaires». Mais ils dépassent le manichéisme souvent de mise sur ces questions controversées, offrant une analyse en profondeur sur les mutations qu'ont subies l'amélioration des plantes et le monde agricole tout entier depuis un siècle en France – même s'ils se concentrent plus particulièrement sur l'après-seconde guerre mondiale.... extraits le monde

16/09/2012

Nouvel iPhone 5 : Apple dégrade l'environnement en poussant à la surconsommation

Depuis quelques jours l'iPhone 5 d'Apple est disponible... Mais à quel prix ? Sous prétexte de nouveautés technologiques très discutables et futiles, Apple poursuit sa politique du business et du gâchis au détriment des Hommes, des ressources naturelles, de l'environnement et du porte-monnaie.

En commercialisant l'iPhone 5, Apple met non seulement en vente un gadget dernier cri mais impose aussi à ses clients, partenaires et aux producteurs de produits dérivés, une nouvelle donne. Car si l'iPhone 5 prétend marquer une rupture avec les modèles précédents, la connectique est, elle aussi, différente : le nouveau chargeur de l'iPhone 5 sera donc incompatible avec les 183 millions d'iPhone, 73 millions d'iPad et 275 millions d'iPod vendus dans le monde.... Il en sera de même pour les stations d'accueil et autres chaînes hi-fi. Cette absence de rétrocompatibilité est une incitation à renouveler ses équipements, à acheter la connectique dernier cri et donc à jeter et à gâcher, au prix fort...

Malheureusement, les ressources naturelles s'épuisent et Apple, la plus grande capitalisation boursière de l'histoire des Etats-Unis..., se permet une nouvelle fois de les gaspiller pour vendre plus et rendre le consommateur toujours plus dépendant de son système commercial.

La date de sortie de l'iPhone 5 (12 septembre 2012) n'est en réalité pour Apple qu'un nouveau chapitre de sa longue saga sur le thème de l'obsolescence programmée.... extraits notre planete info

09/09/2012

Dès le 10 septembre 2012, une offre téléphone mobile vraiment alléchante pour qui téléphone peu !

C'est la bonne nouvelle de la rentrée dans le domaine de la téléphonie, un opérateur mobile en ligne, filiale de Bouygues Télécom propose une carte prépayée très intéressante, dans la mesure où elle n'a pas de limite de validité.

 

Cela fait bien longtemps que j'étais à la recherche de ce type de carte, qui correspond tout à fait à mes besoins d'utilisation de mobile. J'avais déjà fait le tour de tous les opérateurs sur le marché, mais à chaque fois on me proposait des cartes prépayées comportant une limite de validité, plus ou moins longue en fonction du crédit acheté.

 Mais mes besoins dans ce domaine sont tels, qu'à chaque fois, je me retrouvais avec un crédit reportée de trois mois en trois mois, avec la contrainte de racheter à chaque fois une carte à chaque échéance.

Je sais bien que cela correspond à une politique commerciale bien rodée, mais je supportais très mal cette contrainte et je ne suis peut être pas la seule dans ce cas.

L'opérateur de mobile B&You, la filiale low-cost de Bouygues Télécom, propose cette nouvelle offre à partir du 10 septembre prochain à des tarifs défiants toute concurrence. 

Bien sûr certaines conditions sont à respecter, mais cela n'a rien à voir avec ce qui existe actuellement.

La première c'est d'acheter pour 4,99 € une carte SIM exclusivement sur le site de l'opérateur, et avec une recharge disponible dans différents points de vente en France, qui variera  entre 10 et 25 €, vous aurez la possibilité de téléphoner au tarif de 10 centimes la minute, d'envoyer des SMS pour 5 centimes ou naviguer sur Internet pour 5 centimes le mégaoctet.

L'autre contrainte c'est d'activer au moins une fois par an cette carte prépayée soit pour téléphoner ou envoyer des SMS.

Plus d'infos en cliquant ICI

Cette offre a pour but de relancer cette part de marché des offres prépayées qui était quelque peu en perte  de vitesse avec un peu plus de 18 millions d'utilisateurs qui ne veulent pas d'engagement  précis et veulent conserver une entière liberté dans la maîtrise de leur consommation de téléphonie mobile.source come4news

08/09/2012

Le Vélib' et ses avatars n'ont pas détrôné l'auto

..... Quelque 350 villes sont équipées en Europe, parmi lesquelles 35 en France où 41 000 cycles sont mis à disposition des abonnés, dont plus de la moitié - 22 000 - à Paris.

Le succès est au rendez-vous. Les réseaux Vélib', à Paris, et Vélov', à Lyon, publient régulièrement des communiqués triomphants pour annoncer une augmentation du nombre de trajets - 31 millions en 2011 pour la seule capitale. La plupart des élus y trouvent leur compte. "Grâce aux Vélov', en très peu de temps, on a doublé le trafic cycliste à Lyon. En outre, pour la première fois, on partage un mode de transport individuel, ce qui est de nature à encourager le partage de la voiture et le covoiturage", estime Gilles Vesco, élu (PS) chargé des "déplacements doux" au Grand Lyon.

 

......

"Le système a permis de relancer la pratique du vélo et d'améliorer l'image de ce moyen de déplacement", tranche Dominique Lebrun dit "M. Vélo", coordonnateur interministériel pour le développement de l'usage de la bicyclette.

 

UN SERVICE QUI COÛTE CHER

 

Malgré tout, certains élus s'interrogent. Mardi 11 septembre se tiendra à Strasbourg le premier "colloque du vélo partagé", sur le thème : "Où en est-on ?". Pour Alain Jund, adjoint (EELV) au maire chargé de l'urbanisme de la capitale alsacienne, "le vélo partagé ne permet pas de développer la pratique du vélo autant qu'on l'a prétendu. Il est temps d'en discuter".

 

Le service coûte cher. "Entre 2 500 euros et 4 000 euros par an et par vélo", avance Olivier Richard, du Centre d'études techniques de l'équipement de Lyon, un organisme qui dépend du ministère de l'écologie. Une somme que l'on peut rapprocher des 5 000 euros annuels dépensés chaque année par le propriétaire d'une voiture, si l'on se fie aux calculs de l'Automobile Club.

 

......

 

Pour M. Héran [économiste qui enseigne à l'université de Lille] , "le vélo partagé n'est qu'une étape. Dans les années 1990, on a développé le réseau cyclable ; dans les années 2000, on a généralisé le vélo partagé. Dans cinq ans, on aura apaisé la ville, limité la vitesse des voitures à 30 km/h, amélioré le stationnement des vélos et lancé de vraies opérations de promotion". extraits lemonde

03/09/2012

Le trajet en TER à 1 € : Une bonne nouvelle !

voir le lien en cliquant ICI

25/08/2012

"Il faut une taxe climat aux frontières de l'Europe"

Le comité de direction du Fonds vert pour le climat se réunit à Genève, en Suisse, à partir du 23 août. Depuis sa création officielle en 2011, à la conférence de Durban (Afrique du Sud), il vise à rassembler des sources de financement - 100 milliards de dollars (80,6 milliards d'euros) par an attendus à partir de 2020 - afin d'aider les pays en développement à mettre en oeuvre leur transition énergétique et leur adaptation au réchauffement.

Il vient s'ajouter à d'autres fonds existants, dont le principal est le Fonds pour l'environnement mondial, créé en 1991. Monique Barbut en a été la présidente de 2006 jusqu'au 1er août 2012. Experte avisée des négociations sur le climat, elle porte un diagnostic sévère sur leur évolution.

Où en sont les négociations mondiales sur le climat ?

Le résultat de la conférence de Durban, fin 2011, a été de dire qu'en 2015, on discuterait d'engagements pour 2020... Mais que va-t-on faire entre 2012 et 2020 ? On n'en sait rien. En fait, depuis Copenhague en 2009, la négociation ne porte plus sur les engagements de réduction quantitative des émissions de gaz à effet de serre, alors que c'est ce qui compte. On ne discute que sur des sujets accessoires, tels que les modalités du Fonds vert pour le climat. Le problème, c'est que dans quinze ans, nous disent les scientifiques, il n'y aura plus rien à faire pour empêcher le changement climatique, il sera trop tard.

Comment pourrait-on débloquer la situation ?

Cette négociation ne peut reprendre que si les Européens décident d'adopter des positions volontaristes. Mais pas volontaristes vis-à-vis de l'Europe, parce que les Européens ont assez donné - ils sont les seuls à avoir pris de vrais engagements et à s'y tenir - mais vis-à-vis des autres.

Que recommandez-vous ?

Une taxe climatique aux frontières, un protectionnisme environnemental. Les Européens devraient rappeler qu'ils ont décidé de réduire leurs émissions, mais qu'ils ne peuvent pas laisser dépérir leurs industries au seul profit des autres grands pays. Dès lors, ils pourraient imposer à l'entrée de l'Europe une taxe sur les produits qui, par leur processus de fabrication, contiennent plus de CO2 que ce qui est autorisé pour les produits fabriqués en Europe. On pourrait exempter de ces taxes les pays les plus pauvres, et dire par ailleurs qu'on affectera une partie des recettes à l'aide aux pays les plus pauvres ou au Fonds vert pour le climat. Mais la taxe climatique devrait être clairement posée.....extraits le monde

Commentaire : une évidence....