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24/02/2011

Les médecins offrent leurs services sur Internet

Les consultations médicales à distance sont autorisées légalement depuis quelques mois, mais ne sont pas encore effectives. Crédits photo : AFP
Les consultations médicales à distance sont autorisées légalement depuis quelques mois, mais ne sont pas encore effectives. Crédits photo : AFP

Des sociétés se développent pour proposer des conseils médicaux en ligne ou par téléphone. Elles visent d'autres prestations: suivi de maladies chroniques et même consultations à distance. 

Ils s'appellent Medecindirect, Wengo Santé ou encore Docteurclic et proposent des informations et conseils médicaux par téléphone ou Internet, délivrés par des médecins. Si les consultations médicales à distance, autorisées légalement depuis quelques mois, ne sont pas encore effectives, le créneau de la télésanté est en plein essor en France. Avec, selon les opérateurs, des prestations et des coûts variables. Ouvert depuis quelques jours, Wengo Santé offre ainsi de mettre en relation les particuliers avec un médecin «7 jours sur 7 et 24 heures sur 24». Ce service est développé par Wengo, une société spécialisée dans le conseil par téléphone, en partenariat avec H2AD, plate-forme médicalisée de téléassistance et télésurveillance.

La prestation de conseil médical, uniquement téléphonique, est facturée 2,50 euros la minute. «La durée moyenne de l'appel est de 5 à 10 minutes, et nous avons des questions diverses qui vont de que signifie avoir des ganglions à qu'est ce qu'une leucémie à tricholeucocytes», assure le Dr Paul Verdiel, président de H2AD, en insistant sur le fait qu'il s'agit d'informer, pas de se substituer à une consultation médicale. Sa société développe progressivement d'autres services, principalement pour faciliter le suivi de maladies chroniques à domicile, grâce à la transmission de données mesurées par les patients (tension artérielle, glycémie…) aux professionnels de santé.

Créée en 2008, Medecindirect a une approche un peu différente. Pour l'instant, les prestations de conseil sont uniquement accessibles sur Internet, via des plates-formes sécurisées. Des communications par téléphone et webcam sont prévues. Les services sont proposés gratuitement à des adhérents de mutuelles qui ont conclu un partenariat avec Medecindirect.

La société cherche aussi à passer des contrats avec des entreprises, qui en feraient bénéficier leurs salariés. Pour les employeurs, l'intérêt est de diminuer l'absentéisme. Conseils avant un voyage, demande d'informations pour préparer une consultation spécialisée, ou après celle-ci -pour préciser le diagnostic posé ou le traitement prescrit-, les huit praticiens de Medecindirect font face à toutes sortes de questions de médecine générale. «Nous privilégions la qualité, ce qui fait qu'une prestation prend 30 à 40 minutes au médecin, avec plusieurs échanges d'e-mails», précise le Dr Frédéric Dussauze, l'un des fondateurs de Medecindirect, en martelant qu'il ne s'agit pas d'entrer en concurrence avec les médecins traitants mais de les épauler.

 

Code de déontologie

Même s'il n'y a ni consultation ni prescription, les syndicats de médecins sont assez réservés sur ces initiatives. Et le Conseil de l'ordre des médecins veille au grain. «Les prestations de conseil engagent la responsabilité des médecins , ils doivent respecter le code de déontologie et avoir un contrat en responsabilité civile pour ces activités», rappelle son vice-président, le Dr Jacques Lucas, qui s'est manifesté auprès des médecins de Wengo Santé, dont le premier communiqué de presse était «ambigu». Les consultations médicales à distance ne sont, elles, par pour demain, et ne seront sans doute pas généralisées.

«Le décret sur la télémédecine prévoit des conditions extrêmement précises, dans le cadre d'un contrat national ou avec une agence régionale de santé», dit encore le Dr Lucas. Il plaide en tout cas pour une mise en œuvre assez rapide d'un système d'ordonnances électroniques sécurisées, pour la prescription de médicaments ou d'examens biologiques. «C'est un vrai besoin, et ce n'est pas très compliqué», conclut-il.source lefigaro

09/06/2010

Petites annonces : de faux acheteurs, de vrais numéros surtaxés

Les petites annonces de particuliers sont à leur tour la cible d’arnaques au numéro surtaxé. Un certain Sébastien Fernandez a ainsi piégé des dizaines de consommateurs qui proposaient une voiture ou un logement à la vente. Suite à notre intervention, le numéro suspect a été coupé.

Vous avez déposé une petite annonce sur un site Internet pour vendre votre voiture ou un bien immobilier. Un candidat à l’achat vous contacte par mail et vous demande de le rappeler à un numéro commençant par 0 899 : méfiance !

1,35 € la connexion, puis 0,34 € la minute

Nous avons reçu plusieurs témoignages de consommateurs qui se sont fait piéger par ce nouveau type d’arnaque. Pierre raconte : «Je reçois un mail d’un individu de Nice qui demande à visiter mon bien qui se trouve à Carcassonne. Il me demande de le rappeler au 0 899 23 50 15, aux heures de bureau du lundi au samedi de 8 h à 21 h. Je m’exécute : répondeur et… facturation énorme.» Ce numéro est effectivement surtaxé à raison de 1,35 € la connexion, puis 0,34 € la minute à partir d’un téléphone fixe.

Pierre a laissé un message mais n’a évidemment jamais reçu de réponse. Il n’est pas la première victime du 0 899 23 50 15. L’arnaque existe depuis au moins six mois, si l’on en croit les forums, et vise surtout des annonceurs du site leboncoin.fr. Les messages sont tous signés par un certain Sébastien Fernandez, de la société Auto Service Leasing GHMB. Il indique appartenir à l’agence de Nice ou bien, selon les cas, de Nantes, de Lyon, de Dole…

Trois heures après notre appel le numéro était bloqué

Aucune trace de la société Auto Service Leasing. En revanche, le numéro qu’elle utilise a été attribué par Colt Telecommunications France, que nous avons contacté. Réponse d’Emmanuel Tricaud, directeur des affaires réglementaires de la société : «Ce numéro a bien été commercialisé par l’un de nos revendeurs. Nous allons en bloquer l’accès dès aujourd’hui.» L’hébergeur, qui jusqu’ici n’avait pas été alerté de cette fraude, a réagi rapidement puisque trois heures à peine après notre appel, le numéro était désactivé.

«Nous soumettons tous nos clients à notre code de déontologie, explique Emmanuel Tricaud. Mais nous ne sommes pas tenus d’exercer un contrôle en temps réel de tous les numéros que nous hébergeons. Nous procédons à un contrôle a posteriori, dès que l’on nous prévient d’un problème.»

À quand une véritable instance de contrôle ?

Après le phénomène des SMS invitant à rappeler une connaissance et celui des appels en absence (voir nos actus du 12/11/2008 et du 08/02/2010), cette nouvelle affaire montre une fois encore qu’une instance de contrôle indépendante fait réellement défaut. Or le Comité de déontologie des services de communication au public en ligne, annoncé par Luc Chatel le 9 mai 2008, est toujours aux abonnés absents.

Cet organisme devait réunir des représentants des pouvoirs publics, des éditeurs professionnels, des opérateurs et des hébergeurs «afin de discuter des modalités techniques pour parer aux pratiques intrusives et renforcer la protection du consommateur».

En attendant, la vigilance reste de mise avec tous les numéros commençant par 08. Si vous êtes victime ou repérez un numéro surtaxé suspect, vous pouvez alerter directement l’hébergeur, comme nous l’avons fait avec Colt, afin qu’il bloque le numéro litigieux. Pour connaître l’identité et l’adresse de l’hébergeur, il suffit de faire une recherche sur le site de l’Arcep.

source 60millions de consommateurs

16/04/2010

Avec Internet, le patient joue au médecin

Selon une étude, un tiers des internautes français recherchent des informations médicales

Des patients qui arrivent avec " une idée de diagnostic, une quasi-ordonnance, voire un gros dossier apparemment constitué sur Internet " : Marie-Adèle Pré, médecin à Veneux-les-Sablons (Seine-et-Marne), a fini par s'y habituer.

Si tous ne confient pas avoir consulté un site médical, elle le repère surtout au vocabulaire utilisé. L'intrusion d'Internet dans l'intimité de son cabinet ne l'agace pas pour autant. Elle s'en sert plutôt : " Il m'arrive de conseiller des sites dont j'ai vérifié le sérieux, et où je sais que mes patients pourront trouver les outils pour mieux comprendre ce que je leur ai dit ", explique-t-elle.

Alternatives thérapeutiques, maladies, médicaments, nutrition ou forme physique sont les thèmes recherchés sur la Toile dans le domaine de la santé, selon une étude du Groupe d'études et de recherche en marketing de la santé (Germs), de l'université Pierre-et-Marie-Curie, présentée mardi 13 avril. Environ un tiers des 42,1 millions d'internautes français surfent aujourd'hui à la recherche d'informations médicales.

Mais comment s'y retrouver dans la jungle des sites, estimés à plusieurs milliers si l'on ajoute les blogs et les forums de discussion ? Le vrai problème, ce sont " les gens très renseignés, mais à partir de sites peu fiables, témoigne le docteur Pré. Il faudrait leur apprendre à mieux cadrer leurs sources d'information ".

L'idée serait donc d'éduquer les internautes. Pour trouver de l'information, ceux-là vont généralement sur un moteur de recherche, et formulent leurs requêtes à partir de noms de maladies, de médicaments, de maux mineurs (diarrhée, toux, etc.). Rarement ils consultent d'emblée les sites de santé, sauf les plus connus comme Doctissimo.

Le profil type ? " Une jeune femme, souvent anxieuse, qui habite une grande ville, CSP + - catégorie socioprofessionnelle supérieure - , et qui a un vrai intérêt pour la santé, explique Deborah Wallet-Wodka, maître de conférences à l'université Pierre-et-Marie-Curie. Elle effectue parfois une sorte de contre-visite en ligne pour elle, ses enfants ou ses parents... "

Ce type d'information ne jouit pas globalement d'une très forte crédibilité. Seuls 14 % des sondés font " tout à fait confiance ou plutôt confiance " à Internet pour la santé, relève l'étude. " Le problème est que l'habit fait le moine. Plus un site est bien présenté et joli, plus les internautes lui font confiance ", explique Stéphane Korsia-Meffre, directeur du pôle grand public chez Vidal. De fait, 22 % des personnes connaissent l'existence de labels de certification.

Pourtant, depuis fin 2007, la Haute Autorité de santé (HAS) a choisi celui de la fondation Health on the Net (HON), chargée de promouvoir et de mettre à disposition de l'information en ligne sur la santé et la médecine.

Rares sont ceux qui repèrent son logo. " Ce label garantit l'engagement de l'éditeur de site du santé à respecter les règles de transparence (financement du site) et de bonnes pratiques éditoriales (citer les sources, séparer le contenu éditorial de la publicité...) ", souligne la HAS. " La communication sur ce label vers le grand public n'est pas aisée, car les internautes peuvent trouver des informations qui répondent à leurs besoins sur différents types de sites, y compris non certifiés ", souligne Hervé Nabarette, chef du service qualité de l'information médicale à la HAS. Environ 800 sites français sur la santé sont aujourd'hui labélisés HON.

Selon l'étude du Germs, les sondés aiment échanger les données trouvées sur Internet. Mais ils sont 10,4 % à ne jamais les partager avec un professionnel de santé et 35,7 % à le faire parfois. " Le patient craint de faire perdre du temps au médecin, ou pire, de remettre en cause sa légitimité ", explique M. Nabarette.

Mais si les professionnels sont parfois hostiles à un usage excessif d'Internet par leurs patients, au nom du risque que l'absence d'un avis de médecin comporte, ils y voient aussi des avantages. Tout d'abord, Internet permet d'augmenter le degré de connaissance des individus, et peut, ainsi, faciliter le travail des médecins....

 

extraits du Monde plus d'infos en cliquant ici

commentaire  : vérifiez bien l'existence du logo HON sur le site de santé WEB

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La Fondation Health On the Net est l'organisation de référence en matière de promotion et de mise à disposition de l'information en ligne sur la santé et la médecine, ainsi que de son utilisation appropriée et efficace. Créée en 1995, HON est une organisation non gouvernementale,sans but lucratif, accréditée par le conseil économique et social des Nations Unies.
Depuis 12 ans, HON s'est focalisé sur une question essentielle, celle de fournir de l'information de santé aux citoyens, de l'information qui respecte leur code éthique. Pour faire face à la quantité d'information de santé disponible en ligne, le code de conduite HONcode offre un consensus variés sur les normes pour protéger les citoyens de l'information de santé trompeuse. source HAS

15/12/2009

Google veut aussi faire trembler les opérateurs de téléphonie mobile

Le Google Phone arrive. Google redouble d'efforts pour révolutionner le marché de la téléphonie mobile en lançant un appareil entièrement conçu par ses soins. Si les ventes s'annoncent modestes, du fait que le géant de la requête en ligne compte le commercialiser tel quel, c'est-à-dire sans subvention de la part des opérateurs de téléphonie, c'est l'occasion pour Google de promouvoir son propre système.

L'achat d'appareils non subventionnés n'est pas très populaire aux Etats-Unis. Si l'on se fie au prix des autres "smartphones", le téléphone Google pourrait être vendu de 500 à 1 000 dollars. Le consommateur n'aime pas débourser comptant une telle somme, mais il est friand de nouveautés. C'est pourquoi les opérateurs subventionnent traditionnellement l'achat des appareils : l'abonné les paie moins cher, en contrepartie, il s'engage pour plusieurs années.

Changement des habitudes

Pourquoi Google veut-il tenter une telle aventure ? Certains consommateurs peu regardants sur le prix se seraient-ils déjà lassés d'équipements concurrents comme l'iPhone ? D'autres ont-ils fait le calcul et réalisé qu'il était plus économique de payer l'appareil au prix fort ? Google pourrait aussi rendre son offre compétitive en l'assortissant de services gratuits et d'une forme de prime. L'explication la plus vraisemblable, cependant, est que Google cherche à provoquer un changement radical des habitudes. Les opérateurs de téléphonie influencent considérablement la conception des appareils. N'oublions pas qu'ils versent des fortunes aux fabricants d'équipements pour attirer les utilisateurs et les retenir sur leur réseau. Ils n'ont aucun intérêt à mettre en avant les services gratuits de téléphonie et d'envoi de SMS via Internet, qui menaceraient de réduire à néant les bénéfices qu'ils engrangent sur ces prestations qui utilisent peu de bande passante et sont donc très rentables.

Ce n'est pas le cas de Google. Le Google Phone pourrait démontrer que le système Google et sa gamme fournie d'applications procurent performance et confort, tout en évitant d'avoir à en passer par les contraintes imposées par un opérateur......

Google en profiterait à plein, car les besoins en requêtes augmenteraient, et le chiffre d'affaires juteux de la publicité ciblée en fonction de l'endroit où se trouve l'utilisateur monterait en flèche. Ainsi, pour Google, la réussite ne se mesurerait pas au nombre d'appareils vendus. Et c'est cela qui peut donner des sueurs froides aux opérateurs de téléphonie mobile.

(Traduction de Christine Lahuec.) source extraits le monde 16.12.09.

Commentaire : BIG Google pointe son nez pour développer la concurrence...m'enfin des accès gratuits pour lire nos mail et nos SMS au prix de choisir et de payer son portable...!


11/06/2009

Hadopi : le Conseil constitutionnel censure la riposte graduée

LEMONDE.FR | 10.06.09

Le Conseil constitutionnel a censuré, mercredi 10 juin, la partie sanction de la loi Hadopi - la "riposte graduée" - sur les téléchargements illégaux. Considérant qu'"Internet est une composante de la liberté d'expression et de consommation", et qu'"en droit français c'est la présomption d'innocence qui prime", le Conseil rappelle que "c'est à la justice de prononcer une sanction lorsqu'il est établi qu'il y a des téléchargements illégaux". "Le rôle de la Haute autorité (Hadopi) est d'avertir le téléchargeur qu'il a été repéré, mais pas de le sanctionner", conclut le Conseil.
LeMonde.fr

Commentaires

Notons que cette censure lourde s'appuie sur 3 principes forts :
  • la séparation des pouvoir
  • la présomption d'innocence
  • la liberté d'accés à l'internet

détail en cliquant décision Conseil Constitutionnel

00:17 Publié dans Web | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : internet, censure, hadopi |  Facebook |

09/04/2009

L’Assemblée nationale rejette le texte de loi Création et Internet par Astrid Girardeau

« Alléluia ! C’est un miracle parlementaire ! » nous a lancé le député socialiste Christian Paul après le rejet, il y a quelques minutes, par l’Assemblée nationale du texte élaboré par la Commission mixte paritaire (CMP)

Grosse surprise, en effet, dans l’hémicycle. Adopté ce matin par le Sénat, le texte vient d’être rejeté par les députés à 21 voix contre, 15 voix pour. Après près deux heures de discussions — notamment autour une exception d’irrecevabilité déposée par Jean-Marc Ayrault, et une question préalable, déposée par Claude Sandrier, toutes deux rejetées — les groupes Socialistes, Verts et Nouveau Centre ont voté « contre » (ce dernier ne s’est pas abstenu comme jeudi dernier lors du vote du projet de loi), le groupe UMP a voté « pour ». « Cela aurait donc été rejeté, même sans les voix de la majorité qui ont voté contre : celles de Jean Dionis du Séjour et de Nicolas Dupont-Aignan »,a précisé Christian Paul.

« Il y avait un vent de révolte dans le pays, qui s’est engouffré dans l’Assemblée et nous a fait passer de l’opposition à la majorité, explique le député Socialiste, depuis une Salle des quatre colonnes en effervescence. Le gouvernement est maintenant dans les choux. »

Et la suite ? Il y a possibilité pour le gouvernement de demander une seconde lecture, mais depuis douze ans qu’il est député, Christian Paul nous dit n’avoir jamais vu cette « astuce » utilisée. Et donc si elle n’est pas utilisé quelle est la suite ? « La loi Hadopi est rejetée ! », s’enthousiasme le député.

source http://www.ecrans.fr/L-Assemblee-Nationale-rejette-le,691...

Commentaire : restons très vigilants car ce dossier va revenir sur le devant de la scène sans tarder