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30/12/2012

Le combat des apiculteurs contre les pesticides continue

A défaut de faire figure de bonne année pour les abeilles – toujours aussi menacées –, 2012 s'achève au moins sur deux raisons d'espérer pour les apiculteurs français : le classement de leur ennemi, le frelon asiatique, au rang des espèces envahissantes et nuisibles. Vespa velutina est un redoutable prédateur des colonies d'abeilles. Le classement promis par le gouvernement à l'occasion du congrès de l'Union nationale de l'apiculture française (UNAF), à Agen, en octobre, devrait être effectif début 2013. Comme le nouveau "plan abeilles", élaboré par le ministère de l'agriculture.

Ses contours demeurent encore flous. Il est toutefois peu probable qu'il décrète un branle-bas de combat général contre les pesticides, dont les apiculteurs n'ont pourtant de cesse de démontrer les ravages. Le 6 décembre, ils ont remporté une nouvelle manche contre le Cruiser OSR de Syngenta, un insecticide de la famille des néonicotinoïdes, dont la substance active, le thiaméthoxam, est accusée, même à faible dose, de faire perdre le nord aux butineuses qui s'égarent et ne retrouvent plus leurs ruches. Le Conseil d'Etat a alors rejeté le pourvoi de Syngenta sur l'interdiction définitive du pesticide, annoncée en juin par le gouvernement.

"10 800 FOIS PLUS TOXIQUE LE DDT"

Si le Cruiser est interdit sur le colza, il continue cependant d'être autorisé sur les immenses superficies de maïs. De même, le Gaucho, un autre insecticide, n'est plus en usage pour le tournesol et le maïs, mais est toujours de mise pour le blé et la betterave, alors qu'il est "7 297 fois plus toxique pour les abeilles que le DDT", assure le président de l'UNAF, Oliver Belval. Quant à la deltaméthrine, une substance active "10 800 fois plus toxique le DDT", on la retrouve dans trente-cinq pesticides différents (notamment le Proteus de Bayer), dont une bonne dizaine est destinée au colza.......extraits lemonde

29/12/2012

Retrait de 400 000 éthylotests par la Direction de la Concurrence et report de la date d'application de sanction en cas de non-dispostion par les automobilistes en cliquant ci-dessous

cp_ethylotests211212.pdf

23/12/2012

Le changement climatique est déjà visible dans toute l'Europe

Comme le montre le rapport intitulé «Climate change, impacts and vulnerability in Europe 2012en» (Changement climatique, impacts et vulnérabilité en Europe), on a observé en Europe des températures moyennes plus élevées, ainsi qu'une diminution des précipitations dans les régions méridionales et une augmentation de ces dernières en Europe du Nord. La calotte glaciaire du Groenland fond, de même que les glaces de l’Océan Arctique et de nombreux glaciers en Europe. Le manteau neigeux a diminué et une grande partie du permafrost s’est réchauffée.

Ces dernières années, des évènements climatiques extrêmes tels que vagues de chaleur, inondations et sécheresses ont entraîné des dommages de plus en plus coûteux en Europe. Il convient certes de disposer de davantage de preuves pour déterminer la part du changement climatique dans cette tendance, mais l'augmentation des activités humaines dans les zones à risque a été un facteur clé. L'évolution future du climat devrait augmenter cette vulnérabilité, car les évènements extrêmes devraient devenir plus intenses et plus fréquents. Si les sociétés européennes ne s'adaptent pas, le coût des dommages devrait, selon le rapport, s'accentuer.

Le rapport souligne que certaines régions seront moins à même de pouvoir s'adapter au changement climatique que d'autres, en partie à cause des disparités économiques en Europe. Les effets du changement climatique pourraient renforcer ces inégalités.

Comme Mme Jacqueline McGlade, directrice exécutive de l'AEE, l’a déclaré: «le changement climatique est une réalité à l’échelle mondiale, son étendue et sa rapidité deviennent sans cesse plus évidents. Ceci signifie que tous les acteurs de l'économie, y compris les ménages, doivent s'adapter ainsi que réduire leurs émissions.»

Observation du changement climatique et projections - quelques résultats clés

La dernière décennie (2002–2011) a été la plus chaude jamais enregistrée en Europe, avec des températures du sol supérieures de 1,3°C à la moyenne de l’ère préindustrielle. Diverses projections modélisées montrent que la température moyenne de l'Europe pourrait être de 2,5 à 4°C plus élevée dans la seconde moitié de ce siècle par rapport à la moyenne enregistrée de 1961 à 1990.

Les vagues de chaleur sont plus fréquentes et plus longues, et ont causé des dizaines de milliers de décès au cours de la dernière décennie. Le rapport souligne que l'augmentation prévue de ces vagues de chaleur pourrait accroître le nombre de décès qui en découlent dans les prochaines décennies, à moins que les sociétés ne s'adaptent. En revanche, le nombre de décès causés par le froid devrait diminuer dans de nombreux pays.

Si les précipitations diminuent dans les régions méridionales, il est établi dans le rapport qu'elles augmentent en Europe septentrionale. Ces tendances devraient se poursuivre. Le changement climatique devrait augmenter la fréquence des débordements des cours d’eau et rivières, surtout dans le nord de l'Europe, car l'augmentation des températures intensifie le cycle de l'eau. Il est cependant difficile de discerner l'influence du changement climatique dans les données historiques concernant les inondations dans le passé.

L'assèchement des cours d’eau et rivières semble être devenu plus sévère et fréquent en Europe méridionale. Le débit minimal devrait diminuer notablement en été en Europe du Sud, mais aussi dans d'autres régions de l'Europe, à divers degrés.

L'Arctique se réchauffe plus vite que les autres régions. En 2007, 2011 et 2012, on a enregistré une diminution très importante des glaces de l’Océan Arctique, environ la moitié de l'étendue minimale constatée dans les années 1980. La fonte de la calotte glaciaire du Groenland a doublé depuis les années 1990, avec une perte annuelle moyenne de 250 milliards de tonnes de 2005 à 2009. Les glaciers des Alpes ont perdu environ les deux tiers de leur volume depuis 1850 et cette tendance devrait se poursuivre.

Le niveau des mers s'élève, ce qui augmente le risque d'inondations côtières lors de tempêtes. Le niveau moyen des mers a augmenté de 1,7mm par an au cours du XXe siècle, et de 3mm par an au cours des dernières décennies. Les projections varient énormément, mais il est probable que la montée du niveau des mers au cours du XXIe siècle dépassera celle du siècle précédent. .....

Il est souligné dans le rapport qu'outre les impacts résultant de la chaleur, d'autres effets sur la santé humaine sont également importants. Le changement climatique intervient dans la propagation de certaines maladies, il permet par exemple à la tique Ixodes ricinus de se développer plus au nord, et le réchauffement pourrait aider certains moustiques et phlébotomes vecteurs de maladies infectieuses à mieux s'adapter à certaines régions d'Europe. La saison des pollens est plus longue et commence 10 jours plus tôt qu'il y a 50 ans, ce qui affecte également la santé humaine.

De nombreuses études ont constaté d'importants changements dans les caractéristiques des végétaux et des animaux. Par exemple, la floraison des plantes survient plus tôt dans l'année, tout comme le développement du phytoplancton et du zooplancton dans les eaux douces. D'autres animaux et végétaux migrent vers le nord ou en altitude car leur habitat se réchauffe. Mais la vitesse de migration de bien des espèces est insuffisante par rapport à celle du changement climatique, ce qui pourrait conduire à leur disparition.

Si l'Europe du Sud devrait disposer de moins d'eau pour l'agriculture, les conditions pourraient s'améliorer dans d'autres régions. Pour certaines cultures, la saison de croissance s'est allongée en Europe et cette évolution devrait se poursuivre, selon les projections,  parallèlement à l'expansion de cultures de saison chaude sous les latitudes plus septentrionales. Cependant, les rendements devraient diminuer pour certaines cultures en raison des vagues de chaleur et des sécheresses en Europe centrale et du Sud.

Avec l'augmentation des températures, la demande de chauffage  a également diminué, ce qui permet des économies d'énergie. Cependant, ce facteur doit être comparé avec l'augmentation de la demande d’énergie pour la climatisation durant les étés plus chauds.......extraits eea.europa

18/12/2012

A voir ce soir mardi 18 Décembre à 20 H 50 sur ARTE : jouets toxiques

Phtalates, métaux lourds, colorants azoïques : les cadeaux de Noël ont souvent un arrière-goût chimique. Alors que les cancers infantiles, les allergies et les problèmes de fertilité ne cessent de progresser, des experts et des représentants d'associations de consommateurs livrent des clés de compréhension. Sur quelles expérimentations et quelles observations in vivo les législateurs se fondent-ils pour fixer les seuils de tolérance ? Evolution des connaissances scientifiques, différences réglementaires selon les pays, nouvelles normes européennes : la complexité juridique entretient l'incertitude et laisse une marge de manoeuvre aux fabricants indélicats.

voir la vidéo sur le site arte en cliquant ICI

15/12/2012

Quel est le sapin de Noël le plus respectueux de l'environnement ?

La présence d'un sapin de Noël dans la maison est un élément essentiel de la fête, et une tradition bien ancrée. Toutefois, cette tradition donne lieu à quelques interrogations concernant le respect de l'environnement. 

En 2011, 19,3% des foyers français ont fait l'acquisition d'un sapin naturel (ce qui représente 5,5 millions de sapins) et 3,6% ont opté pour un sapin artificiel. 84,6% des acheteurs préfèrent donc le sapin naturel, qui se vend en moyenne 24,70 euros. Le marché du sapin de Noël naturel a enregistré, en 2011, un chiffre d'affaires de 137 millions d'euros (+ 11 % par rapport à 2010).

Le sapin naturel est-il vraiment respectueux de l'environnement ? 

Le cycle de vie d'un sapin de Noël de taille moyenne est de 7 à 10 ans, alors qu'il n'est utilisé que quelques semaines. Il est du coup légitime de se demander si la tradition peut vraiment justifier cette pratique. Quels sont les impacts environnementaux du sapin de Noël ? 

L'Association Française du Sapin de Noël Naturel (AFSNN) promeut l'achat de sapins naturels français, issus d'une production agricole « raisonnée et contrôlée ». En effet, contrairement aux idées reçues, le sapin de Noël naturel n'est plus arraché sauvagement dans la nature. La grande majorité des sapins est cultivée sur une vaste superficie (environ 5000 ha en France) qui s'étend essentiellement dans le Morvan (Bourgogne) et en Franche-Comté.
En ce qui concerne l'utilisation des sols, ceux destinés à la plantation des épicéas sont à l'origine inadéquats pour l'agriculture, car acides. La plantation de sapins permet donc de revaloriser certains sites délaissés, des friches non exploitables. Ainsi, le sapin de Noël n'entraîne pas de déforestation, puisqu'il est cultivé spécialement pour l'occasion.
Toutefois, l'épicéa perd quasiment toutes ses aiguilles au bout de deux semaines, c'est pourquoi cette espèce a perdu beaucoup de terrain face au sapin de Nordmann, "l'espèce la plus achetée par les Français en raison de son beau vert luisant, de ses aiguilles souples qui ne piquent pas et surtout qui restent longtemps sur l'arbre" (AFSNN). Malheureusement, le sapin de Nordmann n'est pas toujours cultivé en France et provient des pays de l'Est et du Danemark : la vigilance s'impose lors de l'achat.

D'ailleurs, la nouvelle présidence de la République a commandé un sapin de Nordmann de 10 mètres de haut, qui a été cultivé dans la Nièvre (Morvan). Il sera dressé dans la cour d'honneur de l'Élysée et illuminé le 14 décembre par la première dame, Madame Valérie Trierweiler.

Toutefois, la monoculture a l'inconvénient d'être très pauvre en biodiversité, et les plantations polluent les nappes phréatiques à cause de l'emploi de produits phytosanitaires. Sur ce point, les producteurs ont fait des efforts significatifs, puisqu'ils utilisent cinq fois moins de pesticides qu'il y a 10 ans. Une convention a été signée en 2003 entre l'AFSNN et le Parc naturel régional du Morvan pour le développement environnemental de la filière. Malgré tout, de nombreux producteurs, dans un souci de rentabilité, continuent d'employer une quantité importante de pesticides (herbicides, insecticides...) Le diazinon, l'un des pesticides utilisés, constituent un poison parfois mortel pour les oiseaux, les poissons mais aussi les êtres humains. En cas de pluie, il s'infiltre dans le sol et contamine la nappe phréatique.

L'AFSNN souligne des aspects évidemment plus positifs pour l'environnement : d'une part, le sapin séquestre les émissions de gaz à effet de serre, puisque l'arbre a besoin de CO2 lors de sa croissance. D'autre part, il peut être recyclé de manière relativement écologique : biodégradable, il peut être transformé en copeaux de bois ou composté. Bien sûr, la collecte de déchets comme l'exploitation du compost nécessitent un transport motorisé. D'où l'importance de privilégier les circuits de distribution courts, à toutes les étapes de la vie du sapin, faute de quoi son bilan carbone en serait impacté significativement.

Enfin, la culture de sapins améliore la stabilité des sols grâce à son système racinaire qui rend le sol moins lisse et donc plus perméable, limitant le ruissellement et donc les glissements de terrain et les inondations. Ce sont d'une manière générale les effets positifs d'un couvert forestier sur les sols.

La filière du sapin de Noël génère 1000 emplois permanents mais aussi 5000 emplois saisonniers : elle concourt ainsi à la création d'emplois.

En résumé, la culture du sapin de Noël présente des avantages comme des inconvénients pour l'environnement. Le sapin naturel pourrait devenir une solution plus écologique avec le développement de solutions alternatives pour changer les pratiques culturales et les rendre plus respectueuses de l'environnement.

Faut-il préférer le sapin artificiel ?

Le sapin artificiel (qui imite le sapin naturel dans sa texture et ses couleurs) dure certes plus longtemps que le sapin naturel, mais pas suffisamment pour présenter un avantage sur le plan environnemental, puisque les français le changent en moyenne tous les trois ans (et produisent ainsi beaucoup de déchets !). Il ne s'agit donc pas d'une solution plus écologique.

De plus, un sapin artificiel est fabriqué avec des matières premières non renouvelables, comme le plastique, produit à partir du pétrole. Il n'est pas biodégradable et son incinération en fin de vie dégage des vapeurs nocives pour l'environnement et l'être humain. Enfin, son transport nécessite une grande quantité de ressources puisqu'il vient souvent de pays asiatiques. 

Si vraiment vous optez pour un sapin artificiel, prenez le de bonne qualité afin de le conserver le plus longtemps possible, vous réduirez ainsi votre production de déchets ! 

Que faire de son sapin après les fêtes ?

Pour ceux qui souhaitent replanter leur sapin, c'est possible, à condition d'en choisir un avec des racines intactes. Pour maximiser ses chances de reprise, il est important de prendre quelques précautions. Dans la maison, le sapin ne doit pas être placé trop près de sources de chaleur ni dans une pièce chauffée à plus de 17°C, et les aiguilles doivent être régulièrement brumisées pour ne pas se dessécher. Avant d'être intégré dans le jardin, il doit être placé quelques jours dans une pièce non chauffée. Pour le replanter, il faut éviter un jour de gel, imbiber la motte pendant un quart d'heure, ajouter du terreau et de la terre de bruyère dans le trou creusé et arroser copieusement la base du sapin une fois qu'il est replanté. 

Pour les autres, deux solutions : le compostage (si le sapin n'a pas reçu de produits nocifs tels que la neige artificielle) ou la conversion du sapin en bois de chauffe (à condition de le faire sécher au préalable). 

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Faire son sapin soi-même : quelques idées 

Pour les créatifs, il existe mille façons de concevoir soi-même son sapin de Noël sans causer de dommages à l'environnement. Ainsi, Déconome ou l'agence My Home Design proposent de très nombreuses astuces sur leurs blogs pour créer un sapin avec les moyens du bord : en collant des enveloppes au mur ; en dessinant un sapin avec du masking tape, ce fameux ruban autocollant, uni ou à motifs, qui se décolle et se recolle à l'infini. Vous pouvez également le dessiner avec des punaises et une longue guirlande électrique, des photos agencées pour former un sapin, des ficelles, du carton peint, du bois, des livres, coller un sapin adhésif au mur... extraits planeteinfo

Le bisphénol A définitivement interdit dans les récipients alimentaires

l'interdiction du bisphénol A dans les contenants alimentaires, jeudi 13 décembre. Cette molécule est déjà interdite en France dans les biberons en plastique depuis juin 2010

A partir du 1er juillet 2015, vous ne trouverez plus de bisphénol A dans les récipients, les boîtes hermétiques et les barquettes contenant de la nourriture et vendus dans le commerce. Le Parlement a voté définitivement.

Début octobre, le Sénat a adopté le texte à l'unanimité. Les sénateurs ont sensiblement modifié le texte voté il y a un an par les députés. Ils ont notamment ajouté l'interdiction de l'ensemble des substances cancérogènes et des perturbateurs endocriniens dans les dispositifs médicaux destinés aux nourrissons, aux jeunes enfants et aux femmes enceintes. 

Il s'agit par exemple des tubulures, ces fins tuyaux qui relient poches de liquide et aiguilles de perfusions. Cette proposition était portée par l'ancienne ministre UMP, Chantal Jouanno.

De son côté, Marisol Touraine, ministre de la Santé, a fait part de son "très grand scepticisme à donner un contenu autre que déclaratoire" à ces dispositions. Et de rappeler qu'il n'existe "pas de dispositifs de substitution" pouvant être stérilisés. source Francetv info

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13/12/2012

Détecter les cancers dans l'haleine

Des tumeurs malignes pourront-elles un jour être dépistées par un système de nez électronique ? Des chercheurs italiens ont mis au point un test non invasif, fondé sur l'analyse de composés organiques volatils dans l'air expiré. Ils ont d'abord établi le profil de ces composés organiques volatils dans l'haleine de patients atteints de cancers colorectaux, comparativement à des témoins. La fiabilité du test, vérifiée ensuite chez 25 personnes (dont 10 avec un cancer du côlon), s'élève à 75 %, un résultat encourageant, mais qui doit être vérifié et amélioré avant d'envisager de remplacer les examens actuels de dépistage dans les selles. Une équipe autrichienne a, de son côté, obtenu des performances comparables pour la détection de cancers du poumon par des chiens renifleurs d'haleine. Une étude portant sur 1 200 individus va être lancée source lemonde

15:34 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

06/12/2012

Bien calculer le coût de déplacement en covoiturage

Voici le site qu'il vous faut et ceci pour tous les pays

http://www.vadrouille-covoiturage.com/prix-covoiturage.html

01/12/2012

Une consommation élevée de fructose favoriserait le diabète

Les pays où l'on consomme beaucoup de boissons et d'aliments contenant du sirop de maïs à haute teneur en fructose sont aussi ceux où la prévalence du diabète de type deux est la plus élevée. Les Etats-Unis et le Canada, mais aussi la Belgique ou le Japon, sont parmi les premiers concernés, tandis que la France utilise le fructose en très faibles quantités.

Des chercheurs de l'Université de Californie du Sud et de l'Université d'Oxford ont analysé les données de 43 pays. Ils ont ainsi mis en évidence le fait que les pays utilisant fortement ce sucre présentent un taux d'atteinte par cette forme de diabète, souvent associée à l'obésité, de 20 % supérieur à celui observé dans les pays qui n'y ont pas ou peu recours. Une association qui n'est cependant pas la démonstration d'une relation de cause à effet........ extraits lemonde de ce jour