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29/01/2011

A l'occasion de l'Année internationalz des forêts, rendez-vous sur le site ci-dessous à compter du 2 Février 2011

2011 a été proclamée Année internationale des forêts par l'Assemblée générale des Nations Unies : « il faut des efforts concertés de sensibilisation à tous les niveaux pour renforcer la gestion durable, la conservation et le développement viable de tous les types de forêts, dans l’intérêt des générations présentes et futures »....

La forêt est l'affaire de tous, des espèces qui y vivent et des hommes qui l'exploitent ou s’y promènent. Réserve de nourriture, d’énergie, de matériaux, sa préservation est essentielle au maintien de la biodiversité. Pour mieux la gérer, il faut mieux la connaître.

Les rendez-vous « Forêts » au Muséum

Un week-end de sensibilisation tous publics du 10 au 13 février, en partenariat avec le Ministère de l'Ecologie, sur le thème couplé : forêts et chauves-souris, avec notamment un spectacle, des projections de films, des débats avec des chercheurs ;

Des parcours « arbres » :
- à l'Arboretum de Chèvreloup du 1er avril au 15 novembre : des parcours balisés (3 parcours différents de 1 à 3 heures de marche) permettent aux visiteurs d’admirer 40 arbres remarquables.
- dans les allées du Jardin des Plantes et dans les Grandes Serres du 15 avril au 30 octobre : un circuit ponctué de totems mène de la Grande Serre pour l’évocation des forêts de Guyane, des Antilles ou de la Réunion, à la Serre de Nouvelle-Calédonie pour les forêts endémiques, et enfin à la Serre de l’Histoire des plantes pour découvrir les forêts qui ont disparu. Le parcours serpente dans les allées du Jardin, dans le labyrinthe où depuis le XVIIIe de nombreuses espèces méditerranéennes ont été plantées ; il passe par le Jardin écologique, représentatif des forêts d’Île-de-France. L'allée Cuvier accueille les informations sur les forêts des montagnes de France, en surplomb du Jardin alpin. Enfin, dans l'axe de la perspective, un bosquet d’arbres et d’arbustes présente quelques-unes des espèces ligneuses des forêts d'Île-de-France.

Un cycle de conférences « La forêt : son rôle, son état, vie et moeurs de ses habitants », le lundi à 18 h
28 février : Les forêts française...

extraits du site du Muséum national d'histoire naturelle à consulter ICI

17/01/2011

Essais OGM « Un intérêt public certain » selon la cour d’appel

Un policier effectuant des relevés après le fauchage de 70 plants de vignes OGM, en août dernier à Colmar. Archives Jean François Frey

zoom

 

La cour administrative d’appel de Nancy a annulé le jugement du tribunal administratif de Strasbourg saisi par Alsace Nature et France Nature Environnement. En 2009, il avait considéré que l’autorisation accordée à l’Institut national de la recherche agronomique de Colmar pour cultiver des vignes génétiquement modifiées n’était pas légale.

Pour Jean Masson, président de l’Inra de Colmar, « ce n’est pas une victoire ; cette décision replace la vérité où elle mérite de l’être ». Dès 2005, le tribunal administratif avait été saisi par Alsace Nature et France Nature Environnement qui estimaient illégale l’autorisation du ministère de l’Agriculture donnée à l’Inra pour mener à bien un programme de recherche portant sur une maladie virale touchant les vignobles, le court-noué, en utilisant des porte-greffes génétiquement modifiés.

France Nature Environnement considérait, notamment, que le ministre de l’Agriculture n’était pas compétent pour délivrer une telle autorisation, que le principe de précaution n’avait pas été respecté et que l’avis de la commission biomoléculaire n’était pas régulier. La cour d’appel de Nancy en a jugé autrement ; le ministre de l’Agriculture « était bien compétent pour signer seule la décision litigieuse ». Elle juge que « l ’absence de consultation du comité de biovigilance est inopérant », compte tenu de l’absence de réglementation en la matière, qu’aucune étude d’impact préalable n’était nécessaire et que l’information du public a bien été respectée. La Cour conclut ainsi que « l’expérimentation qui a pour objectif la préservation d’une ressource naturelle et l’amélioration de la compétitivité de la filière agricole présente un intérêt public certain » et que « l’expérimentation ne présente pas de risque pour l’environnement ». France Nature Environnement devra verser 2000€ à l’Inra.....extraits l'alsace

article de l'Agence France presse sur le même sujet :


La culture expérimentale de vignes OGM en Alsace, menée de 2005 jusqu'à leur destruction par des militants en 2009-2010, était légale, vient d'estimer la Cour administrative d'appel de Nancy, infirmant ainsi un jugement préalable, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
L'Institut national de recherche agronomique (Inra) avait planté en 2005, en plein air sur un terrain jouxtant son centre de recherche de Colmar, des porte-greffes de vigne génétiquement modifiés pour résister à la maladie du court-noué.
Des associations écologistes, France Nature Environnement et Alsace Nature, avaient saisi la justice pour faire interdire cette expérimentation.
Le tribunal administratif de Strasbourg leur avait donné raison en septembre 2009: il avait estimé que l'expérience méconnaissait les règles européennes, notamment en ce qu'elle ne prévoyait pas la transmission des résultats aux autorités compétentes.

Mais la Cour d'appel de Nancy a intégralement rejeté cette analyse, considérant que l'Inra avait respecté l'ensemble des obligations nationales et européennes ainsi que le principe de précaution.
Lors de l'audience, le 29 novembre dernier, Jean Masson, le directeur de l'Inra de Colmar, avait précisé que ses recherches étaient menées «sans but commercial» et qu'elles étaient destinées à fournir des informations à la science.
Ces péripéties judiciaires surviennent alors que les plants de vignes controversés n'existent plus: ils ont été détruits, d'abord partiellement en septembre 2009 par un militant anti-OGM, Pierre Azelvandre, puis totalement en août 2010 par 62 faucheurs volontaires.

La Cour d'appel de Colmar doit rendre lundi sa décision dans la première affaire d'arrachage: une peine de prison avec sursis a été requise contre M. Azelvandre, qui n'avait écopé que d'une simple amende de 2.000 euros en première instance.

Commentaire : légale ou pas, on ne veut pas de ces éssais EN PLEIN CHAMPS

09/10/2010

Le concept d’Agro-quartier-autogéré

VERS L’AUTOGESTION

Pour assurer la cohésion et la rencontre des habitants, mais aussi pour faire que les projets émanent des besoins de la population, le quartier fonctionnerait sur le mode participatif, et ce, dans tous les domaines autant que possible :

- Participation à l’agriculture.
- Favoriser la création de coopératives de logement
- Accueil d’associations dans les champs pour qu’elles puissent y développer des projets en lien avec l’agriculture.
- L’autogestion de ces espaces favorise ainsi la participation et la cohésion sociale, pour créer un véritable lieu de vie convivial où chacun à la possibilité de créer quelque chose.

VERS L’AUTONOMIE ENERGETIQUE

Grâce à l’agriculture de proximité, il est possible de vivre en réduisant efficacement notre consommation en énergie : pour être écologique un quartier doit chercher à être capable de nourrir sa population. Réduction des déplacements : proximité du travail, des infrastructures, des loisirs et de l’alimentation. Le quartier serait aménagé de façon à réduire l’impact énergétique : par exemple en favorisant le faible impact énergétique des bâtiments (chauffage solaire, etc) et de l’agriculture (agriculture non industrielle). Pour les habitants, un mode de vie écologique serait facilité : beaucoup d’activités proposées seraient proches et peu gourmandes en énergies : marche, vélo, équitation, chant, danse, théâtre et autres activités.

VERS LA SOLIDARITE :

Promouvoir la réinsertion, l’intégration, l’éducation, à travers la participation à l’agriculture locale ou à des projets dans cet espace ouvert. Revaloriser l’apport du monde agricole et de ses travailleurs, en rencontrant les agriculteurs, en partageant leur activité et leur savoir, et en les payant mieux grâce à la vente directe. Offrir des espaces à l’économie sociale et solidaire (ESS). Promouvoir les sports non compétitifs, en harmonie avec les valeurs de solidarité et de cohésion sociale dont le quartier jouirait.

VERS L’INNOVATION :

En bénéficiant du foisonnement d’idées et de l’esprit de participation, l’Agro Quartier Autogéré serait un lieu d’innovation. En Suisse et dans le monde, il serait pionnier dans la recherche de solutions de vie collective et urbaine, ainsi que dans la recherche en agriculture. Une telle coopération, intégrant l’alimentation dans le concept social et énergétique, serait un exemple de quartier pilote pour le canton de Genève. A l’instar de Bedzed et de Vauban, cette réalisation serait un exemple prometteur de plus. Sans oublier l’amélioration concrète de la qualité de vie à Genève et donc de son image, faisant d’elle un modèle d’agglomération du futur.

source agroquartier

02/10/2010

Produire des aliments dans des villes plus vertes :L’horticulture urbaine offre des aliments frais, crée des emplois, recycle les déchets.

Photo: ©FAO/Giulio Napolitano
Des villes plus vertes, synonymes de choix, d'opportunités et d'espoir
28 september 2010, Rome - D'ici 2025, plus de la moitié de la population du monde en développement, estimée à 3,5 milliards d'habitants, vivra dans les villes. Pour les décideurs et les urbanistes des pays pauvres, des villes plus vertes pourraient être le moyen de garantir une alimentation sûre et nutritive, des moyens d'existence durables et des communautés en bonne santé.

Le concept de villes vertes est souvent associé à l'urbanisme dans les pays les plus avancés. Il est toutefois appliqué de manière spécifique, et sa portée sociale et économique est très différente, dans les pays en développement à faible revenu.

A mesure que les villes s'étendent, les précieuses terres arables disparaissent pour faire place aux logements, à l'industrie et aux infrastructures, et les cultures maraîchères sont reléguées de plus en plus loin dans les zones rurales. Les coûts de transport, conditionnement et réfrigération, le mauvais état des routes de campagne et les fortes pertes dues au transport aggravent la pénurie et renchérissent le prix des fruits et légumes sur les marchés urbains.

La nouvelle bombe population

"Les villes ont toujours été des lieux d'opportunités, d'emplois et de niveaux de vie améliorés", explique Shivaji Pandey, Directeur de la Division de la production végétale et de la protection des plantes de la FAO. "Mais dans de nombreux pays en développement, la croissance de la population urbaine n'est pas due à l'essor économique mais aux taux élevés de natalité et à l'afflux massif de ruraux cherchant à échapper à la faim, à la pauvreté et à l'insécurité".

D'ici 2020, le pourcentage de population urbaine vivant dans la pauvreté pourrait atteindre 45 pour cent, soit 1,4 milliard d'êtres humains. D'ici là, 85 pour cent des pauvres d'Amérique latine et près de la moitié de ceux d'Afrique et d'Asie seront concentrés dans les villes et les mégapoles.

Ce phénomène, dénommé la nouvelle bombe population est un cauchemar pour la gouvernance: des villes tentaculaires, dégradées et appauvries abritant des taux élevés de groupes vulnérables, exclus de la société, jeunes et sans emploi.

Réinventer le pré communal

L'enjeu consiste à détourner l'urbanisation actuelle de son chemin non durable au profit de villes plus vertes qui soient synonymes pour leurs habitants de choix, d'opportunités et d'espoir. Une solution: l'horticulture urbaine et périurbaine, selon la FAO.

Pratiquer l'agriculture dans les villes et alentour n'a rien de nouveau. La cité Inca du Machu Picchu au Pérou comprenait une zone réservée aux habitations et une zone de terrasses aménagées pour une agriculture intensive.

La FAO estime que 130 millions de citadins en Afrique et 230 millions en Amérique latine pratiquent l'agriculture, et principalement l'horticulture, pour nourrir leurs familles ou pour tirer des revenus de la vente de leurs produits.

"L'horticulture urbaine offre un moyen de sortir de la pauvreté", affirme M. Pandey, citant ses frais de démarrage faibles, ses cycles de production courts et ses rendements élevés par rapport au temps de travail, à la superficie et aux besoins d'arrosage.

Les régimes urbains riches en graisses et en sucres bon marché sont responsables de l'augmentation de l'obésité, de l'excès de poids et des maladies chroniques liées à l'alimentation, comme le diabète.

Cultiver des fruits et des légumes, les sources naturelles les plus riches en micronutriments, dans et autour des villes permet d'approvisionner les citadins pauvres en produits frais et nutritifs et améliore leur accès économique à la nourriture.

Aider les jardiniers urbains

Au cours des dix dernières années, les gouvernements de vingt pays ont sollicité l'assistance de la FAO pour vaincre les réticences et fournir des incitations, des intrants et une formation aux jardiniers urbains à faible revenu. La FAO a également livré des outils, des semences et une formation dans plus de 30 pays pour créer des milliers de potagers scolaires, un moyen sûr de promouvoir la nutrition infantile...... extraits source FAO

08/08/2010

Jardin, balconnières : combattez naturellement les insectes !

En agriculture, l’utilisation abusive et systématique des traitements chimiques a fini par appauvrir les sols et développer des résistances chez les nuisibles. Ainsi, depuis les années 1950, le nombre d’espèces d’insectes capables de survivre aux insecticides est passé d’une dizaine à environ 450 ! Pour le jardinage, préférez donc la lutte biologique.

Combattez naturellement les insectes !
Introduire des coccinelles dans votre potager, c'est le protéger contre les pucerons sans porter atteinte à l'environnement ! Crédit photo : © NeptuneTech - Fotolia.com

Alternative écologique aux traitements chimiques, la lutte biologique consiste à introduire un prédateur pour qu’il dévore les nuisibles. La coccinelle se régalera par exemple des pucerons. Attention tout de même à l’espèce que vous choisissez, histoire de ne pas déstabiliser le milieu naturel. Longtemps, l’espèce vendue fut d’origine asiatique, et cette dernière menace aujourd’hui la coccinelle européenne.

De la même façon, ne cherchez pas à faire fuir les hérissons, les oiseaux, les musaraignes, ou les reptiles. Certes, ils mangeront un peu de vos plantations. Mais ils vous débarrasseront aussi des insectes, des larves ou des limaces. Vous pouvez même favorisez leur venue grâce à de petits aménagements simples : nichoirs, petite marre, tas de branchage,… Ou en plantant des fleurs riches en pollen et en nectar dont certains insectes prédateurs (coccinelles, carapes, punaises,…) raffolent.

source développement durable

Commentaire : en + vous faites des économies et vous favorisez la biodiversité sous réserve de bien prendre des éspèces indigènes

02/05/2010

Troc au jardin Le principe est simple : échanger gratuitement ses propres plantes contre celles d'un autre jardinier amateur

Chacun peut ainsi apporter vivaces, arbustes, rhizomes, bulbes, boutures ou graines dimanche entre 9 h 30 et 12 h 30 avant d'en choisir d'autres à partir de 14 h via un système de tickets.

Mieux vaut arriver avec ses pots étiquetés avec le nom de la plante. Les organisateurs se chargent ensuite de faire le tri et de classer les plantes par catégories pour faciliter le troc de l'après-midi.

Cette opération rassemble de plus en plus d'adeptes au fil des éditions dans les somptueux jardins de la villa Burrus, à Sainte-Croix-aux-Mines. L'occasion de les découvrir, mais aussi de profiter des animations prévues par les trois associations organisatrices, à savoir «Un Jardin passionnément» (qui a notamment créé sur place des fameux carrés de verdure patchwork), Val Avenir et Alsace Nature Lièpvrette.
Les visiteurs pourront participer aux ateliers (taille d'arbres fruitiers, fabrication d'un nichoir à oiseau, créations plastiques), s'intéresser à une exposition de la Ligue de protection des oiseaux. Sur place également : animation musicale, petit marché artisanal, repas chauds, salon de thé. Le tout, au naturel.

 

A. M.

Dimanche 2 mai, sixième bourse aux plantes dans le parc de la villa Burrus,Sainte-Croix-aux-Mines / Bourse aux plantes renseignements Tél: 06 81 00 39 17. Accès libre. source DNA 30/04/2010
Commentaire : une très belle initiative d'échanges gratuits entre amateurs de jardins qui favorise la biodiversité

03/03/2010

Comment faire un lombricomposteur et Comment utiliser un lombricomposteur

Le +pratique, c'est de suivre d'abord les conseils de cette vidéo puis, celle ci-dessous

30/01/2010

au cinéma l’Odyssée à Strasbourg le mardi 2 février 2010, à 18h Entrée gratuite: conférence-projection « les milieux aquatiques d'Alsace

A l’occasion de la journée mondiale des zones humides, la Région Alsace, la Ville de Strasbourg, la DREAL Alsace et Alsace Nature vous invitent à

une conférence-projection au cinéma l’Odyssée à Strasbourg
le mardi 2 février 2010, à 18h.

Serge Dumont, plongeur et naturaliste alsacien, commentera en direct ses images tournées dans les milieux aquatiques d’Alsace.
En immersion totale, découvrez la plaine d’Alsace comme vous ne l’avez jamais vue !

Venez nombreux assister à la conférence-projection
« les milieux aquatiques d'Alsace : une biodiversité à découvrir ! ».

La conférence-projection est tout public : pour petits et grands, pour novices et initiés !
Entrée gratuite.