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27/07/2014

LA 1ère bonne nouvelle pour 2014

Des places de train A 1 €...... Ce n'est pas un poisson de Juillet... par exemple entre Perpignan-Montpellier, et Pour en savoir plus cliquer ci-dessous

des places des train A 1 EUROS

20/07/2014

Le photovoltaïque: on vous l'avait bien dit dans ces colonnes ....une belle arnaque

Vous trouverez un extraits commenté du monde ci-dessous des turpitudes de sociétés qui ont excroqué plus d'un propriétaire...

L'heure de rendre des comptes a sonné, pour nombre d'aigrefins de l'énergie solaire. Les installateurs de panneaux photovoltaïques aux méthodes commerciales agressives, promettant des rendements mirifiques, mais incapables de faire marcher leurs ouvrages, sont peu à peu traduits en justice. Abdel Madoui, qui dirigeait la société Couverture énergie solaire photovoltaïque (CESP), a ainsi été condamné à un an de prison par le tribunal correctionnel d'Avignon, mardi 15 juillet. Il a été jugé coupable de pratiques commerciales trompeuses. Sa société avait fait l'objet de 156 plaintes pénales entre 2008 et 2011, date de sa mise en liquidation.

 

Chaouki Bouskaya, qui dirigeait une autre entreprise avignonnaise, BSP, fait également l'objet de poursuites. Cet ancien boxeur amateur, ancien portier de boîte de nuit, et exploitant de machines à sous, est fiché au grand banditisme. Il a été acquitté du meurtre d'un truand, après cinq ans de prison. Il s'est reconverti dans le solaire en 2006 : une affaire qui ne pouvait que rapporter, les particuliers étant séduits par les crédits d'impôts, les aides régionales aux énergies renouvelables et le tarif avantageux de rachat de l'électricité par EDF.

 

Lui et son directeur commercial, Yannic Squivée, ont mené grand train, grâce à l'argent de la clientèle. BSP a été liquidée en 2010, laissant derrière elle 350 contentieux et un passif de 32 millions d'euros. On ignore si Chaouki Bouskaya sera présent à son procès, car il a disparu, le 4 avril, après avoir indiqué à sa compagne qu'il allait acheter du pain.

 

En mars, Willy Bernard, le PDG de Next Generation et ancien président du club de football d'Angers, a été condamné à deux ans de prison ferme pour fraude fiscale par le tribunal correctionnel du Mans. Il a fait appel.

 

Au procès Madoui, l'enquête diligentée par la direction générale de la concurrence, de consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a mis en évidence une stratégie bien huilée, que les treize avocats des parties civiles ont confirmée : les commerciaux de CESP persuadaient des propriétaires de maison individuelle d'installer des panneaux photovoltaïques sur leur toit, en surestimant les rendements attendus. Ils garantissaient un autofinancement, grâce à un emprunt différé, fourni par une société de crédit – Sofemo, en l'occurrence. Le client ne commencerait à rembourser sa dette que plusieurs mois après la souscription du contrat, lorsque les aides publiques tomberaient et que l'installation tournerait à plein rendement : une opération blanche.

 

Les commerciaux faisaient signer un bon de commande, ainsi qu'un contrat de crédit associé. CESP, pressée d'encaisser l'argent de l'emprunt, n'attendait ni le délai de rétractation légal de sept jours ni l'autorisation de la mairie pour livrer les panneaux. Ses installateurs ne prenaient pas le temps de les poser correctement et de les raccorder à l'onduleur devant les faire fonctionner. Ils faisaient pression sur les clients pour qu'ils signent le bon de livraison permettant de transférer les fonds de Sofemo vers leur entreprise.

 

Arnaques en série

 

Après encaissement, CESP ne s'occupait plus de ses clients. Lorsque ces derniers devaient commencer à rembourser leur crédit (de 20 000 à 35 000 euros), sans disposer des recettes correspondantes, ils se trouvaient plongés dans une situation dramatique.

 

A l'audience, les avocats des parties civiles ont dénoncé non seulement les pratiques de CESP, mais aussi celles de Sofemo, qui, à leur grand regret, n'était ni citée ni représentée : ils ont signalé que cette filiale du Crédit mutuel débloquait les crédits sans attendre que l'installation fonctionne réellement.

 

Abdel Madoui a prétendu le contraire, ce qui lui a valu les dénégations de l'assistance. Interrogé par l'une des avocates, Me Agnès Barré, il a d'ailleurs indiqué que CESP percevait une commission de 2 % sur chaque emprunt contracté auprès de Sofemo. Me Elisabeth Hanocq a accusé Sofemo de " complicité " avec CESP.

 

Une thèse que partage le magazine Que choisir, dans un article de mai intitulé " L'incompréhensible cécité des sociétés de crédit " : Sofemo, Solfea et autres Sygma ont cautionné les méthodes d'entreprises qui faisaient pourtant l'objet de sévères critiques sur les forums ; elles ont en effet évité de relever les irrégularités des bons de commande, des factures ou des bons de livraison.

 

Aujourd'hui, elles refusent d'en payer le prix. Lorsque des consommateurs obtiennent des tribunaux, en première instance, l'annulation de leur contrat, en raison de ses irrégularités, et, par voie de conséquence, celle de leur crédit, elles les poursuivent impitoyablement en appel et en cassation, leur imposant de redoutables dépenses. Pour elles aussi, l'heure des comptes ne devrait-elle pas sonner ?

D'autres acteurs, enfin, ont été remarquablement silencieux, face à ces arnaques en série. Il s'agit des assurances des sociétés d'installation photovoltaïque. Pour la première fois, le 13 juin, une compagnie d'assurances, Groupama, a été condamnée, par le tribunal de grande instance de Toulon, à rembourser la différence entre le rendement promis par l'installateur, Néo Solaire (qui a été liquidé depuis),...extraits le monde

17/07/2014

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16/07/2014

Informations Sécurité INTERNET : protégez-vous facilement en suivant ces recommandations impérativement

Protégez vos informations personnelles et votre ordinateu


Faux remboursements

Des mails sont envoyés vous incitant à rentrer vos coordonnées personnelles dont votre numéro de carte bancaire. Ceci afin que l'on puisse, soit disant, vous verser une somme qui vous est due. Ce genre de mail est une arnaque, il ne faut pas cliquer sur le lien fourni qui vous redirige vers un site malveillant.

Voici des exemples de mails envoyés:

 

Notification d'impôt - Remboursement
Après les derniers calculs annuels de l'exercice de votre activité, nous avons déterminé que vous êtes admissible à recevoir un remboursement d'impôt de XXX €.
S'il vous plaît soumettre la demande de remboursement d'impôt et nous permettre de 10 jours ouvrables pour le traitement.
Pour accéder au formulaire pour votre remboursement d'impôt, cliquez ici
Un remboursement peut être retardé pour diverses raisons. Par exemple la soumission des dossiers non valides ou inscrivez après la date limite.
Le Conciliateur fiscal adjoint

Notification de droits et paiements.
Nous avons étudié vos droits.
Il apparait après cumul que pour la période du XX.XX.XXXX au XX.XX.XXXX,
vous n'avez rien reçu alors que vous avez droit à XXX,XX €.

Escroquerie à l’appel surtaxé

 

Un SMS est actuellement envoyé :  
cela fait 30 jours que vos chéquiers sont en attente à l'agence pour retrait.
Merci de nous contacter avant le 5/11/08 au 0X XX XX XX XX pour retrait.
MRCS XXX XXX XXX
Ce message n’est pas
émis par le Crédit Mutuel
Il s'agit d’une escroquerie visant à vous faire appeler inutilement un numéro surtaxé.
Le 0899 est un numéro surtaxé à 1,35 € par appel + 0,34 €/mn.
Les escrocs perçoivent les reversements de votre opérateur téléphonique sur le montant qui vous est facturé.
Les arnaqueurs jouent sur le fait qu'il n'y a pas de dépôt de plainte pour des montants si faibles.

Escroquerie au SMS surtaxé

 

Vous recevez par exemple le SMS :  
tu as reçu à 14h 1 message de quelqu'un ki tente de te joindr.
Pour le lire envoi par sms CONTACT au XXXXX ou par tel:0XXXXXXXXX.(0.35€/sms ou 1.35€/appel+0.34€/min).
Il s'agit d’une escroquerie visant à vous faire envoyer inutilement un SMS surtaxé.
Le 0899 est un numéro surtaxé à 1,35 € par appel + 0,34 €/mn.
Les escrocs perçoivent les reversements de votre opérateur téléphonique sur le montant qui vous est facturé.
Les arnaqueurs jouent sur le fait qu'il n'y a pas de dépôt de plainte pour des montants si faibles.

Fraudes aux chèques de banque sur Internet

Une fraude aux faux chèques de banque sévit sur Internet et concerne les internautes ayant mis en vente des biens sur des sites de ventes en ligne entre particuliers. Le temps que la banque du vendeur identifie la fraude, la victime aura soit perdu l'objet en vente, soit effectué un virement sur le compte de l'escroc suite à un montant indiqué sur le faux chèque de banque supérieur au prix initial fixé.
Prudence donc, et privilégiez le virement pour le règlement de ces transactions entre particuliers. source banque CIC

14/07/2014

Covoiturage : Blablacar lève 100 millions de dollars mais aussi de la location de voitures entre particuliers sécurisée avec drivy...

Le leader du covoiturage en France a levé 100 millions de dollars auprès de plusieurs fonds d’investissement. Un record pour une start-up européenne. L’objectif ? Poursuivre son développement à l’international. Déjà présente dans 12 pays, la start-up apparaît comme un concurrent sérieux du train en France, et va bientôt s’attaquer au marché des trajets courts.

8 millions de membres dans 12 pays européens, près de 1 million de passagers par mois, "soit autant qu’Eurostar en 12 mois", aime répéter Frédéric Mazzella, co-fondateur de Blablacar (ex-covoiturage.fr). Pour financer son développement à l’international, le leader sur ce marché en France, a levé 100 millions de dollars (73 millions d’euros) auprès du fonds d’investissement Index Ventures, et de fonds déjà associés - Accel Partners, ISAI et Lead Edge Capital. Un signe que le covoiturage est considéré comme une affaire rentable et un mode de transport qui s’exporte. Blablacar entend s’implanter dans les pays qui disposent à la fois d’un réseau routier développé et d’un usage répandu des smartphones. La start-up est déjà présente en Angleterre, Espagne, Portugal, Italie, Bénélux, Allemagne, Pologne, Ukraine, et en Russie depuis le début de l’année 2014.

......

Merci la grève !

"Pic historique sur Blablacar pendant la grève SNCF", indiquait un tweet de la start-up, le dimanche 15 juin 2014. Les arrêts de travail à la SNCF ont relancé l’idée que les trajets domicile-travail pourraient représenter un levier de croissance pour ce marché. En effet, tous les sites de covoiturages ont vu leur nombre d’inscrits grimper. Une "progression de 100% par rapport à un jour normal", selon une porte-parole de Blablacar, citée par Le Figaro. Le site a, ainsi, recensé 1900 trajets entre 16 heures et minuit le 15 juin. "D’habitude, nous avons 1500 voyages sur toute la journée de dimanche", ajoute-t-elle. Reste à savoir si cet afflux de clients d’un jour va se transformer en une habitude voire un mode de vie.

Un concurrent sérieux pour la SNCF

Aujourd’hui, le prix apparaît, comme la première motivation à utiliser le covoiturage, selon l’enquête menée par Vinci Autoroutes en 2013. En France, le tarif d’un trajet en covoiturage, revient deux à trois fois moins cher qu’un billet de train sur les longues distances, selon Frédéric Mazzella, sachant que le trajet moyen chez Blablacar est de 350 kilomètres. Ce mode de transport se positionne, ainsi, clairement comme un concurrent de la SNCF. Ce dernier a d’ailleurs racheté, en juillet 2013, le site de covoiturage 123envoiture.com afin d’être présent sur ce marché et de compléter son offre de transport. La SNCF mène déjà la bataille du porte-à-porte ou du dernier kilomètre avec plusieurs services de réservation de taxis et de voitures avec chauffeur, mais aussi de location de voitures. Depuis le 19 juin 2014, l’entreprise propose même une offre d’autopartage dans certaines gares via la start-up Wattmobile

Un modèle vertueux

Fondé en 2006, Blablacar revendique concentrer 95% des annonces en France. La start-up semble avoir trouvé la formule gagnante en ayant réussi à lever les principaux freins au covoiturage côté conducteurs comme passagers : en 2011, le site met en place le pré-paiement en ligne. La somme est, ensuite, réglée au conducteur par virement sur son compte, la commission de 10% de Blablacar déduite. Ce modèle vertueux a permis de réduire le taux de désistement de 35% à moins de 4%. En outre, le système de notation des conducteurs comme des passagers, a permis de générer la confiance indispensable avant de voyager avec des inconnus. Un modèle que Blablacar entend dupliquer à l’étranger. extraits mobilites

De plus la location entre particuliers sur le mode drivy.fr permet aussi de concurrence à l'arrivée les loueurs de voitures classiques avec des prix plus bas de 20 à 30 % tout en assurant des transactions sécurisées...

 

Qu'on se le dise.... la mobilité augmente et les prix deviennent plus concurrentiels avec l'arrivée de nouveaux acteurs qui se servent de la souplesse et des sécurité nouvelles sur le net.

01/07/2014

TEL MOBILE : La disparition des frais d'itinérance Mardi 1er juillet 2014 | 09h20 A partir de ce jour, utiliser votre téléphone mobile n'importe où en Europe va coûter moins cher

À partir de ce 1er juillet 2014, les opérateurs de téléphonie mobile en Europe doivent offrir à leurs abonnés la possibilité de souscrire un contrat spécial d’itinérance avant leur départ et, dans la mesure du possible, leur permettre de choisir un opérateur de téléphonie mobile dans le pays visité pour des services tels que la messagerie électronique, la consultation des actualités en ligne, le téléchargement de photos.

Le Parlement européen a voté le 3 avril 2014 un ensemble de directives régulant le secteur des télécommunications. L’Europe veut supprimer totalement à partir du 15 décembre 2015 les frais d’itinérance ("roaming") pour les appels, SMS, MMS et l’usage d’internet dans un autre pays de l’Union européenne.

Téléphoner, surfer sur Internet depuis son mobile ou envoyer des SMS depuis un autre pays de l’Union européenne ne devra donc pas coûter plus cher qu’une communication nationale. Les opérateurs pourront toutefois facturer (selon les plafonds de l'Eurotarif) les services d’itinérance utilisés de manière "abusive".

Retrouvez d'autres informations utiles sur le site du Centre Européen des Consommateurs France.

source ealsace