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28/08/2008

3 mesures économiques contre la pollution automobile

1/ Possibilité de réduire les encombrements et d'augmenter la fluidité des feux.
A l'occasion de mon séjour en Hollande où la circulation dans les villes est très dense, j'ai pu observer un passage des feux du rouge vers le vert à l'approche de la plupart des feux (gestion électronique efficace des feux).

2/De plus, tout en conservant la priorité au transport en commun et au tram, il serait possible d'allonger soit la durée du passage du feu au vert, soit comme Hollande (en mettant un oeil électronique sur ce feux) surtout sur les voies qui ne croisent pas le tram (ex : à strasbourg place de Bordeaux feux place de bordeaux en direction du Wacken en parallèle du tram)

3/Enfin, sous réserve de demande dérogatoire auprès du Ministère des trransports, la possibilité de TOURNER A DROITE quand le feux est rouge et qu'il n'y a pas de véhicule au carrefour. Ce mode de déplacement existe déjà dans un certain nombre de pays nordiques et aux USA.

Ces mesures faciles à mettre en oeuvre et peu couteuses sont de nature :

  • à réduire le volume de pollution dans les villes et la campagne
  • à fluidifier davantage la circulation urbaine et péri-urbaine
  • à alléger la charge des carburants des automobilistes

20/08/2008

Mourir pour Kaboul

La France accentue depuis un an son alignement militaire français sur les U.S:A. qui n"aboutira au mieux qu'au statut quo militaire, économique et politique de l'Afghanistan.

Cette embuscade démontre encore une fois que nos soldats patrouillent en terrain extrêmement dangereux sans aucune protection AERIENNE, la France ne disposant que de 2 hélicoptères Caracal et d'aucun drones de surveillamce.

Globalement, l'héroisme de nos soldats ne peut plus cacher le sous-équipememt endémique et structurel de nos forces, notammemt aériennes et navales (rappel de l'affaire de la libération des otages français du Ponant ce printemps avec les pannes à répétition des forces armées françaises en mer rouge)

Les pays engagés sur ce théâtre d'opérations devraient coordonner et accentuer leurs aides civiles et économiques aux Afghans tout en se concentrant militairement leurs forces sur la zone tribale du Pakistan afin d'extirper tous les islamistes internationaux. Puis ensuite, il s'agit de filtrer les arrivées d'étrangers dans ce pays de manière préventive pour éviter la présence d'islamistes étrangers à ce pays.

Voir l'article ci-dessous :

"Dix soldats français sont morts lundi en Afghanistan au cours d’un affrontement avec les talibans. La plus lourde perte subie par l’armée française depuis vingt-cinq ans. Depuis 2001, la situation afghane semble incontrôlable et ressemble à une impasse sécuritaire. Tous les experts s’accordent à reconnaître qu’il s’agit d’une guerre ingagnable, d’un conflit sans fin. Les motifs même de l’engagement français apparaissent peu lisibles, hormis une volonté revendiquée d’apparaître comme un allié fidèle des Américains.

Neuf morts et dix-huit blessés. Les autorités françaises évoquent une simple embuscade. La presse internationale retient le terme de « bataille » en soulignant qu’il aura fallu un important soutien aérien français et américain pour éviter un bilan plus lourd. En tout état de cause, les terres afghanes sont toujours l’un des points les plus chauds de la planète. Son relief montagneux se prête à merveille à ce que l’on rebaptise aujourd’hui en « guerre asymétrique », autrement dit la vieille tactique de la guérilla. Ce que le candidat Sarkozy avait résumé par la formule « aucune armée étrangère n’a réussi dans un pays qui n’est pas le sien ». L’Armée rouge qui avait imprudemment envahi le pays en 1979 y aura laissé sa réputation d’armée invincible et avait dû repartir par la petite porte. « La coalition », terme on ne peut plus vague, qui recouvre les forces armées américaines et ses alliés de l’Otan, semble aujourd’hui sur la même pente. Ce que les services de renseignements occidentaux considèrent comme une impasse militaire totale et durable.

Si la solution n’est pas militaire, elle ne peut être que politique. Plus sûrement un mélange des deux."

suite voir le site

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=43426

10/08/2008

Enfin du nouveau à la Robertsau

Voilà enfin la mise en route effective de ce que nous demandons depuis plus de 2 ans....

Merci à celles et à ceux  qui ont soutenu notre démarche en signant la pétition (180 signatures) et nos actions rpétées auprès de l'Adjoint au Maire ainsi qu'au niveau du Conseil de quartier.

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01/08/2008

VIEILLESSE CONSTRUCTION D'UN LIEU DE VIE AUTOGÉRÉ


Les séniors prennent enfin leur destin en main pour ne terminer dans des maisons de retraite qui ne sont souvent des hospices avec des conditions de vie dégradantes....
Des femmes du Périgord préfèrent la coopérative d'habitants à la maison de retraite
Article paru dans l'édition du Monde 27.07.08

 

Parce qu'elles refusent la maison de retraite, des femmes du Périgord, âgées de 55 à 80 ans, ont décidé de construire un lieu de vie autogéré, sous la forme d'une coopérative d'habitants. Le projet prend tournure depuis que la petite commune de Saint-Julien-de-Lampon (Dordogne) s'est dite prête à leur vendre un terrain de deux hectares pour une somme symbolique, et même de financer deux logements sur les quinze prévus.

L'association Lo Paratge (le partage, en occitan), composée de 16 personnes et préfigurant la coopérative en cours de constitution, travaille déjà sur les devis de deux cabinets d'architectes intéressés par ce projet alternatif.

« Notre but est de vieillir autrement. Nous ne voulons pas des maisons de retraite, à la fois pour des raisons économiques - ce sera de plus en plus cher - mais aussi pour être responsables de notre destin plutôt qu'être prisonnières de structures souvent infantilisantes ou contraignantes », résume la présidente, Cécile Dalrymple.

Les doyennes entendent que soit élaboré un habitat le plus écologique possible, mais aussi adapté au style de fin de vie qu'elles ont choisi et qui se présente comme un « nouvel équilibre » entre vie privée et vie de groupe. Un bâtiment en U est envisagé, composé d'une vingtaine d'unités de vie comprenant les quinze appartements individuels des sociétaires, des salles communes, et d'autres pour les invités de passage.

290 EUROS PAR MOIS

Le prix de revient est évalué à 70 000 euros par logement. L'investissement total est de 1 million et demi d'euros. Le capital de la coopérative sera constitué de 15 parts sociales d'un montant de 8 000 ou 10 000 euros chacune, et les travaux doivent être financés par un emprunt remboursable sur vingt-cinq ans.

Le loyer de base de chaque personne s'élèverait dans ce cas à 290 euros par mois. Afin de convaincre les banquiers de prêter cette somme à des personnes âgées, la coopérative est en train de solliciter des garanties d'emprunt publiques auprès des collectivités locales.

Les sociétaires ont rédigé une charte des principes et de la manière dont elles comptent vieillir et partager l'espace. Les hommes et les couples ne sont pas exclus dans ce collectif dont les membres entendent se coopter. Un système mutuel est prévu pour ne pas exclure ceux dont les revenus sont les plus faibles.

Les habitants sont censés rester dans ce lieu de vie « jusqu'au bout », sauf problème de santé majeur. Les aides extérieures aux repas, à l'entretien des lieux et aux soins, tout comme l'entraide, devraient, expliquent les initiatrices du projet, répondre à la perte d'autonomie qui va souvent de pair avec le vieillissement.

A ce jour, aucune coopérative d'habitants comme celle qui est projetée en Dordogne n'est encore créée en France. Les pionnières périgourdines s'inspirent donc d'expériences menées en Suisse, au Canada et en Allemagne.

Elles sont aussi en relation avec l'association Habicoop, qui veut encourager et fédérer d'autres projets en gestation. Ils sont au nombre d'une trentaine en France, parmi lesquels un lieu de vie pour femmes vieillissantes à Montreuil (Seine-Saint-Denis), ou l'organisation associative de cohabitations à Paris et dans le Vaucluse, à destination des seniors, contre la solitude.

Michel Labussière

16:27 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

Eurodistrict : des interrogations et des satisfactions

DNA 300708


Yveline Moeglen et Bernd Hatesuer, porte-parole du « Bürger-Forum-Citoyen Eurodistrict », livrent, dans une lettre ouverte à Roland Ries, maire de Strasbourg, et Wolfgang G. Müller, maire de Lahr, leurs interrogations et satisfactions sur la poursuite actuelle de la construction de l'Eurodistrict. Si le forum citoyen « apprécie » que les élus « tiennent compte du quotidien de ceux qui vivent déjà "l'Europe au quotidien" », il s'inquiète de la recherche d'un « statut juridique et fiscal particulier ». Les deux porte-paroles craignent l'identification aux « zones de non-droit » des « quartiers en difficulté », ou, au contraire, la transformation de l'Alsace et de l'Ortenau en « une petite Suisse ». Interrogations aussi autour d'un référendum : « avec quelle question ? », « avec quel contenu ? ». Questions enfin autour d'éventuels transferts de compétences, donc de personnel, et concernant la « participation citoyenne ». Il ne s'agit pas seulement, enfin, de « soutenir les institutions européennes à Strasbourg », mais de « faciliter la vie quotidienne des habitants des zones-frontières ». Le forum soutient toutefois « totalement » la démarche des élus des deux pays.