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14/05/2011

OGM : de la toxine Bt retrouvée dans le sang de femmes enceintes et de leurs fœtus au Québec

Une étude indépendante réalisée à Sherbrooke auprès de femmes enceintes, de leurs fœtus et de femmes non enceintes révèle la présence de résidus de pesticides issus d’aliments transgéniques dans le sang de chacun de ces groupes. Des résidus de glyphosate et de glufosinate (herbicides couramment utilisés lors de la culture de certaines plantes génétiquement modifiées) ont également été retrouvés.

Une étude scientifique publiée en avril par des chercheurs de l’Université de Sherbrooke au Canada, fait état de résultats inédits jusqu’ici.
Les auteurs concluent à la nécessité de poursuivre les analyses d’impact des organismes génétiquement modifiés (OGM) sur les humains. Professeur-chercheur au département de gynécologie-obstétrique de la faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke, Aziz Aris s’intéresse particulièrement à la toxicité d’origine environnementale sur les fœtus et les mères. Or, dit-il, l’impact des OGM a été abondamment testé sur les animaux, mais jamais sur les humains. C’est la première fois que la présence de résidus de pesticides d’OGM dans le sang des femmes est démontrée. Ces femmes et leur conjoint, étant citadins et n’ayant jamais travaillé au contact de pesticides, ces résultats résulteraient donc principalement de leur alimentation.

Les résultats de l’étude, financée par un fonds québécois de recherche en santé, seront publiés dans la revue scientifique américaine Reproductive Toxicology.
Environ 70% du maïs au Québec est génétiquement modifié (OGM) et inclut la toxine Bt.

Cette étude scientifique indépendante confirme les pires craintes de Greenpeace sur le manque de rigueur, d’indépendance et de transparence des études menées par les entreprises de biotechnologies. extraits Greenpeace

01/03/2011

L’aspartame : dangereux ? (Etude)

L’étude Halldorsson a démontré qu’abuser des sodas sucrés aux édulcorants augmente le risque d’accoucher prématurément. Mais selon l’Efsa, « aucune preuve disponible dans l'étude Halldorsson ne permettait d'affirmer qu'il existait un lien de causalité entre la consommation de boissons non alcoolisées contenant des édulcorants artificiels et l'accouchement prématuré ».

L’autre étude, Soffritti, insite sur le potentiel carcinogène de l’aspartame. Mais toujours selon l’Efsa qui collabore sur ce cas avec l'Agence nationale française de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anes), « les résultats de l'étude Soffritti (sur le potentiel carcinogène) ne fournissent pas suffisamment de preuves scientifiques qui justifieraient de revoir les évaluations précédentes de l'Efsa. source voie de la russie

 

 L’EFSA a noté que les souris suisses (utilisées dans cette étude) sont connues pour présenter une incidence élevée de tumeurs hépatiques et pulmonaires spontanées et que l’incidence accrue des tumeurs signalées dans l’étude reste dans la fourchette de contrôle historique du laboratoire pour ces tumeurs chez ces souris source EFSA

Commentaire : Pour ne pas destabiliser les sociétés qui produisent plus de 6 000 produits de consommatiomncourante, l'EFSA se veut rassurante. Pour nous, supprimmez L’aspartame de vos achats en cunsultant en détail les compositions de produits alimentaires Prenez moins de sucre, voir consommez plus de le stevia