24/01/2015
Vaccin: un nanopatch qui pourrait tout changer
Et si un petit carré de silicone à peine plus grand qu’un cachou pouvait changer la face du monde ? Inventé par un chercheur australien, Mark Kendall, le nanopatch pourrait bientôt reléguer aux oubliettes de l’histoire les seringues utilisées depuis plus d’un siècle pour administrer les vaccins. Hérissé de 20 000 nano-aiguilles enrobées d’antigènes (le principe actif du vaccin), il déclenche une réponse du système immunitaire en sollicitant les cellules de la peau qui sont très sensibles.
Indolore, le nanopatch a aussi le mérite d’être bon marché. Il peut être fabriqué pour moins de 50 centimes de dollars à partir de silicone ou de bicarbonate, et il requiert une dose d’antigène minime (moins de 1 % de la dose utilisée dans les vaccins classiques). Autre atout : il est stable à température ambiante. « S’affranchir de la coûteuse et fragile chaîne du froid changerait tout », s’enthousiasme Seth Berkley, de Gavi Alliance, qui finance des campagnes de vaccinations dans le monde........ extraits le monde
Et en plus cela ne ferait plus mal...Mare des piqûres....
17:42 Publié dans consommation, gestion crise, santé, sécurité, social | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
19/01/2015
cinéma à 3,50 € du 21 au 27 janvier 2015 avec le Festival cinéma Télérama avec BNP Paribas
Pour la 8ème année consécutive, BNP Paribas est partenaire du Festival cinéma Télérama qui aura lieu cette année du 21 au 27 janvier 2015. Une semaine pour voir ou revoir les meilleurs films de l'année, sélectionnés par la rédaction de Télérama.
252 salles en France participent à l'opération, et pour 3,50* euros seulement sur présentation d'un Pass (valable pour 2 personnes) à découper dans les numéros de Télérama des 14 et 21 janvier 2015, les cinéphiles pourront regarder les 16 films sélectionnés.
*Hors majoration pour les films en 3D, en Imax, séances spéciales et prestations complémentaires.
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TRANSPORT L'application mobile d'informations locales sur les transports en commun ... Moovit, le «coyote» des transports en commun
Moovit vient de s’attacher un allié de poids en France. Mercredi, Nir Erez, le fondateur israélien de cette application mobile d’informations locales sur les transports en commun, a annoncé une levée de fonds de 50 millions de dollars auprès d’entreprises privées. Dans le lot figurent le groupe Bernard Arnault, Nokia Growth partners, BMW i Ventures… et, surtout, Keolis.
Le «coyote» des transports en commun
L’entreprise française, qui exploite des réseaux de transports en commun, en France (les métros de Lille et Lyon, les tramways de Bordeaux, Dijon, Brest…) et à l’étranger, ne communique pas sur la somme mise de sa poche dans la levée de fonds. «Il s’agit de donner plus de poids encore à un partenariat qui nous lie depuis un an maintenant et qui s’est traduit par l’expérimentation de Moovit auprès des passagers du réseau de transports de Bordeaux, indique Laurent Kocher, directeur marketing, innovation, services de Keolis.
Moovit a la même visée qu’une application comme celle que propose la RATP à Paris. Gratuite, elle donne à l’utilisateur le plan des réseaux de transport, les horaires de passage des rames, calcule des itinéraires. «Avec un plus tout de même, notre communauté d’usagers, informe Alex Torres, responsable marketing de Moovit. Lors de leurs déplacements, les utilisateurs peuvent envoyer directement des informations aux autres voyageurs. Le taux de remplissage d’un bus, une panne sur une ligne, des retards, la propreté…» extraits 20 minutes
15:54 Publié dans gestion crise, transports doux, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : smartphone, transport, métro | Facebook |
06/01/2015
Alors que la crise financière en Europe bat son plein, Bruxelles pourrait enterrer son projet de réforme bancaire...Un comble
Quand les banques seront à nouveau en faillite comme en 2008, QUI va encore payer ? Toujours nous les CONtribuables Européens et pas les actionnaires des banques qui vont continuer à toucher ...les dividendes et ne pas éponger le passif.
Le lobbying des banquiers auprès de la Commission Junker porte ses fruits...Bis Repetita
voir ci-dessous extrait dossier du Monde : Édifiant
Séparer au sein des banques européennes les activités à risque pour éviter de nouvelles crises : la proposition avait été portée, depuis près d’un an, par Michel Barnier, lorsqu’il était commissaire au marché intérieur et aux services. Ambitieux, ce projet de directive avait suscité de très fortes controverses. Alors qu’une nouvelle Commission est en place depuis début novembre, le projet législatif de réforme bancaire pourrait être définitivement abandonné.
Le nouveau commissaire aux services financiers, le Britannique Jonathan Hill, a fait parvenir, le 18 novembre, à Frans Timmermans, numéro deux de la nouvelle Commission européenne, une lettre dans laquelle il évoque le retrait de la proposition de son prédécesseur comme une option à envisager sérieusement en 2015. « Dans le cas où les Etats membres de l’Union européenne [UE] continueraient à ne pas soutenir [l’initiative] », souligne-t-il.
C’est Philippe Lamberts, un des leaders des Verts au Parlement européen, très au fait du sujet de la régulation bancaire, qui, jeudi 4 décembre, a alerté les médias à propos de cette lettre de M. Hill. « Le signal qu’il envoie aux Etats membres est clair : “Continuez à privilégier une stratégie de pourrissement de ce dossier, et nous nous chargerons l’année prochaine de tuer dans l’œuf la réforme bancaire” », accuse M. Lamberts.
La proposition de M. Barnier ciblait les trente plus gros établissements bancaires de l’UE, dont la faillite déstabiliserait l’économie. Il visait à interdire aux banques, dès 2017, de spéculer pour leur compte propre sur des produits financiers s’échangeant sur les marchés (actions, obligations, etc.) et sur les matières premières. Il proposait aussi que les autoritaires bancaires nationales, au-dessus d’un certain volume réalisé, obligent les banques à filialiser leurs activités à risque.
Les propositions de M. Barnier étaient inspirées de la réforme américaine, dite « réforme Volcker », du nom de l’ancien président de la réserve fédérale américaine (Fed, banque centrale). Elles ont suscité une levée de boucliers immédiate et vigoureuse. Notamment en France. Au sein des banques. Mais pas seulement. Les banquiers français ont reçu l’appui des pouvoirs publics. Ces derniers ont fait savoir à Bruxelles que le projet était « irresponsable » pour reprendre le terme, plutôt fort dans la bouche d’un banquier central, de Christian Noyer, le gouverneur de la Banque de France.
L’argument avancé ? Le projet européen fragiliserait les banques et serait plus contraignant que les réglementations, assez « light », que la France a adoptées pour ses institutions financières après la crise. Ces dernières consistent surtout en un renforcement des organes de contrôle nationaux. Le Royaume-Uni, qui a lui aussi adopté ses propres règles (dites « loi Vickers ») et l’Allemagne militaient également contre ce texte.
« M. Hill ne dit pas du tout dans son courrier qu’il faut se débarrasser de la proposition Barnier. Il se livre juste à l’exercice, imposé par la nouvelle Commission ces dernières semaines, d’évaluation des chantiers encore en cours dans notre institution », argumente une source bruxelloise.
De fait, la Commission Juncker veut se concentrer sur quelques sujets prioritaires (le numérique, l’énergie, la relance de l’économie) et elle a décidé de faire le tri entre tous les projets de textes législatifs portés par ses services et de ne retenir que ceux qu’elle juge prioritaires. Ou ayant une chance d’aboutir. C’est-à-dire d’obtenir un accord au Conseil, la réunion des Vingt-Huit, et/ou au Parlement européen. M. Timmermans est responsable de ce tamisage législatif.
Or, le projet Barnier coche une de ces cases : du point de vue de M. Hill, le texte qui divise risque de ne pas passer la barre du Conseil, en raison de l’opposition forte des trois plus grandes économies de l’Union européenne, la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne.......
18:20 Publié dans démocratie, europe, gestion crise, Politique monétaire européenne | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |