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29/10/2016

Vaccins : un médecin généraliste sur dix a des réticences Une étude publiée jeudi 29 septembre montre aussi qu’un quart des praticiens n’insistent pas face à un patient opposé à la vaccination.

Si 90 % des médecins généralistes sont convaincus des bienfaits de la vaccination, un sur dix évoque des réticences, particulièrement liées à certains types de vaccin. C’est ce que révèle l’enquête menée en ligne auprès de 1 069 praticiens par la Société française de médecine générale (SFMG) et dévoilée jeudi 29 septembre. Présence d’adjuvant, innocuité et utilité du vaccin HPV contre les papillomavirus, vaccins combinés, etc. : sans surprise, les « freins » à la vaccination identifiés chez les médecins sont les mêmes que ceux que l’on retrouve dans le débat public et qui avaient déjà été pointés par une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) en mars 2015.

Signe que la défiance n’épargne pas les professionnels de santé, un médecin interrogé par la SFMG sur quatre (24 %) dit avoir un avis défavorable sur la présence d’adjuvant (essentiellement des sels d’aluminium) dans les vaccins.

Si certains suscitent une adhésion presque totale (à 95 % pour le tétanos), d’autres cristallisent les doutes. Près d’un praticien sur trois ne voit pas le bénéfice pour la collectivité de recourir au vaccin HPV, contre les papillomavirus, qui vise notamment à prévenir les cancers du col de l’utérus. Un répondant sur trois (35 %) juge également que « le temps nécessaire pour suivre, aborder et expliquer » ce vaccin n’incite pas à le proposer...extraits du monde

Vacciner oui mais pas pour n'importe quoi surtout si les effets sont aussi dangereux que les pathologies à vacciner. La vigilance s'impose.

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