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25/07/2013

Scandale autour d’un médicament vedette contre l’hypertension

 

Big Pharma n'avait pas besoin de cela... Un nouveau scandale éclabousse l'industrie pharmaceutique et si, à la différence du scandale du Mediator, cette affaire n'a heureusement pas fait de victime, elle éclaire d'une lumière crue les relations parfois ambiguës qui existent entre les géants du secteur et les scientifiques. Tout tourne autour d'une des molécules les plus utilisées dans le traitement contre l'hypertension artérielle, le valsartan. Ce médicament est commercialisé par Novartis sous le nom de Tareg en France et de Diovan pour des pays comme les Etats-Unis, la Grande-Bretagne ou le Japon. Il est considéré comme un "blockbuster" pharmaceutique, c'est-à-dire un médicament vedette : en 2010, le Diovan a ainsi constitué la meilleure vente de Novartis, avec un chiffre d'affaires mondial de plus de 6 milliards de dollars !

 

Si l'année 2010 a été l'année de tous les records commerciaux pour cette molécule, c'est en partie grâce aux résultats d'une étude japonaise publiée quelques mois plus tôt, le 31 août 2009, par le European Heart Journal. Pendant plus de trois ans, les auteurs de ce travail coordonné par le cardiologue Hiroaki Matsubara, alors professeur à l'Université préfectorale de médecine de Kyoto (KPUM, selon son acronyme anglais), ont suivi quelque trois mille personnes souffrant d'hypertension artérielle et présentant de forts risques de maladies cardiovasculaires. Certains patients prenait du valsartan tandis que les autres avaient un traitement d'un genre différent. Résultat : en plus de son effet antihypertenseur, la molécule de Novartis réduisait de manière si significative les risques d'angine de poitrine et d'accident vasculaire cérébral que les chercheurs décidèrent d'interrompre prématurément l'étude. Ils jugeaient en effet non-éthique de ne pas donner du valsartan à tout le monde étant donné les bénéfices qu'apportait sa prise dans le domaine cardiaque. Evidemment, le géant suisse de la pharmacie ne se priva pas de mettre ce résultat spectaculaire en avant pour la promotion du médicament.

 

Mais la "success story" prend ensuite un curieux tournant. En 2011, des blogueurs signalent des anomalies dans plusieurs articles d'Hiroaki Matsubara. Les revues ayant publié les travaux du cardiologue nippon commencent à les examiner d'un peu plus près. Début 2013, deux de ses études traitant des effets du valsartan sont retirées par le Circulation Journal. Et, quelques jours plus tard, le 1er février, le coup de tonnerre arrive : l'étude du European Heart Journal est à son tour retirée. Cela signifie, concrètement, que ses résultats sont considérés comme nuls et non avenus. Comme c'est souvent le cas en la matière, la notice de rétractation est extrêmement laconique : elle fait juste état de "problèmes cruciaux" dans certaines des données. Quels problèmes exactement ? Alors qu'Hiroaki Matsubara démissionne de son poste à la KPUM, cette dernière lance une enquête dont les conclusions ont été rendues publiques par Toshikazu Yoshikawa, le président de l'université, le 11 juillet.

 

Ces conclusions sont accablantes, pas tant pour Hiroaki Matsubara, dont le degré de responsabilité n'est pas établi, que pour la recherche biomédicale tout court. C'est un cas d'école de la manière dont la science peut être manipulée sous l'influence d'un lobby industriel. L'enquête a en effet révélé que des données sur les participants avaient été falsifiées pour faire apparaître les fameux "bénéfices" concernant les angines de poitrine et les AVC. L'université a épluché les dossiers médicaux de 223 patients de l'étude de Kyoto et s'est aperçue que pour 34 d'entre eux, on avait pris en compte de fausses informations : pour les personnes du groupe recevant du valsartan, on avait minoré les problèmes cardiaques subséquents et, pour les patients du groupe témoin, on avait exagéré lesdits problèmes. C'est de cette manipulation que sont nés les fameux effets positifs de la molécule. La commission d'enquête a refait les calculs : si l'on ne tient pas compte de ces 34 dossiers, ces bénéfices disparaissent (ce qui ne remet en revanche absolument pas en cause l'efficacité du médicament comme antihypertenseur).

 

L'affaire est déjà grave en elle-même mais il y a pire encore. Bien que les enquêteurs n'aient pas pu déterminer qui avait falsifié les données, ils ont découvert qu'une des personnes impliquées dans leur gestion était employée par... Novartis, ce qu'a reconnu la firme suisse dans un communiqué publié le lendemain de la conférence de presse. Ce conflit d'intérêt manifeste n'était évidemment pas signalé dans l'étude. De plus, selon l'agence de presse Kyodo News, l'employé de Novartis en question a participé à des essais sur le valsartan conduits par d'autres universités japonaises, lesquelles vont devoir en vérifier les résultats à la loupe. Dernière information et pas la moindre, dans l'article (payant) qu'elle vient de consacrer à ce scandale, la revue Science souligne que le laboratoire d'Hiroaki Matsubara a reçu, pour ses recherches, environ 1,4 million de dollars de la part de – devinez qui ? – Novartis, encore et toujours.....extraits le monde

 

 

22/07/2013

Canicule : que faire ?

Rafraîchir son habitation

  • Fermez les volets et les rideaux des façades exposées au soleil.
  • Maintenez les fenêtres fermées tant que la température extérieure est supérieure à la température intérieure.
  • Ouvrez les fenêtres tôt le matin, tard le soir et la nuit.
  • Provoquez des courants d’air dans tout le bâtiment dès que la température extérieure est plus basse que la température intérieure.
  • Dans la mesure du possible, baissez ou éteignez les lumières électriques et plus généralement les appareils électriques susceptibles de dégager de la chaleur.

Se rafraîchir

  • Prenez régulièrement dans la journée des douches ou des bains frais, sans vous sécher.
  • Restez à l’intérieur de votre habitat dans les pièces les plus fraîches et au mieux, dans un espace rafraîchi (réglez votre système de rafraîchissement 5°C en dessous de la température ambiante).
  • En l’absence de rafraîchissement, passez au moins 2 ou 3 heures par jour dans un endroit frais : grands magasins, cinémas, lieux publics (listes de ces endroits disponibles auprès du numéro mis en place par la préfecture ou auprès de votre mairie).

Éviter de sortir

  • Évitez de sortir à l’extérieur aux heures les plus chaudes (11h – 21h).
  • Préférez le matin tôt ou le soir tard, restez à l’ombre dans la mesure du possible, ne vous installez pas en plein soleil.
  • Portez un chapeau, des vêtements légers (coton) et amples, de préférence de couleur claire.

Se désaltérer

  • Buvez régulièrement et sans attendre d’avoir soif, au moins 1 litre et demi à 2 litres par jour, sauf en cas de contre-indication médicale.
  • Ne consommez pas d’alcool, qui altère les capacités de lutte contre la chaleur et favorise la déshydratation.
  • Évitez les boissons à forte teneur en caféine (café, thé, colas) ou très sucrées (sodas) car ces liquides augmentent la sécrétion de l’urine.
  • En cas de difficulté à avaler les liquides, prenez de l’eau sous forme solide en consommant des fruits (melons, pastèques, prunes, raisins, agrumes) et des crudités (concombres, tomates, sauf en cas de diarrhées), boire de l’eau gélifiée.
  • Accompagnez la prise de boissons non-alcoolisées d’une alimentation solide, en fractionnant si besoin les repas, pour recharger l’organisme en sels minéraux (pain, soupes, etc.).
  • Évitez les activités extérieures nécessitant des dépenses d’énergie trop importantes (sports, jardinage, bricolage, etc.).

Aider ses proches

  • Aidez les personnes dépendantes (nourrissons et enfants, personnes âgées, personnes handicapées, personnes souffrant de troubles mentaux) en leur proposant régulièrement des boissons, même en l’absence de demande de leur part.
  • Appelez régulièrement vos voisins et/ou vos proches âgés et/ou handicapés pour prendre régulièrement de leurs nouvelles.

Source :
Direction générale de la santé
Département des urgences sanitaires
Cellule communication
Actualisation : mai 2012

La plateforme téléphonique Canicule info service vous informe également au 0 800 06 66 66 (appel gratuit depuis un poste fixe), du lundi au samedi de 08 h à 20 h, du 21 juin au 31 août.

voir aussi le site

http://www.sante.gouv.fr/canicule-et-chaleurs-extremes

16:16 Publié dans consommation, santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : canicule |  Facebook |

CB à l'étranger : mode d'emploi

 

CB à l'étranger : mode d'emploi

Quelques conseils pour bien maîtriser son budget en vacances à l’étranger  et éviter les mauvaises surprises.

En voyage à l’intérieur de la zone euro, les achats et les retraits par carte sont gratuits ou engagent les mêmes frais qu’en France.  

Hors de la zone euro
Hors zone euro, une opération de change est réalisée et des frais sont facturés. Ils sont fixés par chaque établissement et indiqués sur la brochure. Ces frais sont généralement constitués d’une commission fixe (x euros par opération) et/ou d’une commission variable (pourcentage du montant de du retrait ou de l’achat). Des plafonds peuvent aussi être prévus.

Bon à savoir : certaines banques françaises possèdent un réseau de partenaires hors de la zone euro auprès desquels les frais de retrait auprès de la banque partenaire peuvent être réduits, voire nuls.

Conseils utiles en toutes circonstances :
•    Etre en possession d’une carte bancaire de paiement internationale en cours de validité. 
•    Attention  au plafond autorisé de retrait et de paiement. Il dépend du type de carte souscrite, à vérifier avant de partir. Sachez également que vous pouvez demander à votre conseiller de relever temporairement ce plafond en fonction de vos prévisions de dépenses, mais cette opération peut être payante.
•    En dehors de la zone euro, multiplier les retraits de petites sommes peut faire augmenter la facture très vite. Il peut être intéressant de changer 100 à 200€ en France afin d’assurer les frais les plus urgents en début de séjour.
•    Dans certains pays, au lieu de composer un code confidentiel, on demandera de signer une facturette. En toutes hypothèses, il est conseillé de ne jamais quitter sa carte bancaire des yeux.
•    Enfin, en cas de perte ou de vol de votre carte, il s’agit de faire opposition aussitôt que possible auprès de sa banque grâce au service interbancaire d’opposition + 33 442 605 303 depuis l’étranger. source CCA

15/07/2013

Protégez vous de PRISM! « PRISM »: l'énorme scandale d'espionnage d'Internet par le gouvernement des États-Unis dévoilé.

Le Washington Post et le Guardian ont révélé l'existence d'un programme géant de surveillance de l'internet dont le nom de code est « PRISM ». Ils annoncent que la NSA et le FBI ont eu un accès direct au serveurs de neuf fournisseurs d'accès, comprenant Facebook, Microsoft, Google, Apple, Yahoo, YouTube, AOL et Skype, et que ce programme a été lancé depuis au moins sept ans.

 

Ces révélations suscitent un considérable émoi international.

 

Des programmes comme PRISM violent l'intimité de nos communications, brisent la confiance dans nos gouvernements et représentent un danger pour la liberté sur notre liberté sur internet.

 

Protéger l'intimité des communications privées et de défendre les libertés publiques, telle a toujours été la vocation de Ixquick.

POUR AJOUTER CE MOTEUR DE RECHERCHE CLIQUEZ CI-DESSOUS

https://ixquick.com/fra/download-ixquick-plugin.html

 

Aussi, ne vous étonnera-t-il pas que nous soyons des opposants farouches à tous les programmes d'espionnage à grande échelle, tels que PRISM. Dans le passé, même les programmes de surveillance d'internet lancés par des gouvernements avec de bonnes intentions sont devenus des outils débouchant sur des usages abusifs, utilisés par exemple pour la surveillance des mouvements de défense des droits civils ou de mouvements opposés à la guerre.

 

Ixquick et son moteur de recherche jumeau StartPage n'ont, dans leur histoire déjà vieille de 14 ans, jamais fourni un seul bit d'information à aucun gouvernement ou à aucun de ses « services ». Qu'il s'agisse bien sûr de PRISM ou d'aucun autre programme américain. Ni d'aucun autre programme dans le monde.

 

Voici comment et en quoi nous sommes différents :

 

  • Ixquick n'enregistre et ne conserve aucune donnée personnelle de ses utilisateurs. Ceci doit être clair pour tout le monde, y compris les agences gouvernementales concernées. Nous n'enregistrons pas les adresses IP de nos utilisateurs ni n'utilisons des cookies de suivi. Si bien qu'il n'y a littéralement aucune donnée vous concernant accessible sur nos serveurs. Puisque nous ne savons même pas quels sont nos clients, nous ne pouvons informer de quelque manière que ce soit Big Brother. De fait, depuis 14 ans, nous n'avons jamais reçu aucune demande d'aucune autorité gouvernementale réclamant des données sur nos utilisateurs.

  • Ixquick fait appel à des communications cryptées par défaut (HTTPS). Le chiffrage prévient la curiosité. Votre navigation est cryptée de sorte que des tiers ne puissent siphonner votre connexion à internet pour voir quelles recherches vous faites. Cette méthode, conjuguée avec l'absence de stockage de données vous concernant sur nos serveurs, assure la protection de votre vie privée.

  • Notre Société a son siège en Europe, aux Pays-Bas. La législation américaine ne s'y applique pas, du moins pas sans restrictions. Toute demande de fournir des données sur un utilisateur, de quelque gouvernement qu'elle vienne, est, le cas échéant, soumise au crible de l'examen par nos juristes. Et nous n'y donnons pas suite, sauf à ce que la législation à laquelle nous sommes soumis dans notre pays ne nous y oblige sans équivoque. Et même dans cette hypothétique situation , comme indiqué ci-dessus, nous ne détenons aucunes données utilisateurs susceptibles d'être fournies.

  • Jamais nous n'accepterons d'apporter délibérément notre concours à des programmes d'espionnage comme PRISM

  • Ixquick ne peut être obligée à vous espionner. Étant donné la robuste protection de la vie privée qui règne en Europe, les gouvernements européens ne peuvent légalement forcer des fournisseurs d'accès comme nous à participer à un programme d'espionnage de nos utilisateurs. Et si cela devait évoluer, nous le combattrions sans faillir.

 

La protection de la vie privée,
ce n'est pas seulement notre politique,
c'est notre mission!

 

Ixquick.com & StartPage.com
Robert E.G. Beens, Président

SOURCE IXQUICK

04/07/2013

Arnaque au camping-car : fausse petite annonce....D’ailleurs, voitures, téléphones ou même animaux font l’objet de propositions similaires

Les escroqueries à la générosité se portent toujours aussi bien. En ce moment plus que jamais, des annonces proposant de donner des camping-cars font fureur sur le web. Elles peuvent paraître alléchantes, mais sont à fuir absolument.

« Donne camping-car contre bons soins et amour ». À l’approche des vacances, l’annonce parue sur le site Avenuedesannonces.com a de quoi séduire plus d’un visiteur. Surtout que le véhicule est récent (2008), en bon état (photos à l’appui) et « avec tous ses papiers ».

À en croire le « généreux donateur », un simple courriel suffirait à accepter le don. Oui mais voilà, rapidement, votre interlocuteur vous précisera que le camping-car se trouve à l’autre bout de la France ou à l’étranger et que vous devez verser plusieurs centaines d’euros pour l’acheminer à votre domicile. Plus tard, d’autres versements seront nécessaires pour réparer une petite panne, procéder au contrôle technique, ou payer des frais administratifs.

Au final, ce qui devait être un « don » peut revenir très cher. Selon le journal local La Nouvelle République, un habitant du Loir-et-Cher se serait vu déposséder de plus de 9 000 €. Après avoir répondu à une annonce de ce genre, il avait multiplié pendant 3 ans les envois d’argent vers le Bénin, pays où était censé être exilé le donateur. Bien entendu, le fameux camping-car n’est jamais arrivé. La victime a décidé de porter plainte. Malheureusement, celle-ci n’a que très peu de chances d’aboutir. En effet, le service de transfert d’argent Western Union par lequel s’effectuent le plus souvent les versements ne permet ni d’identifier le destinataire ni de récupérer l’argent remis. Qui plus est, souvent installé à l’étranger, le « généreux donateur » ne risque pas grand-chose de la justice française.

Les chiens de race aussi

Mieux vaut fuir ce genre d’annonces trop belles pour être honnêtes. Car une fois le premier versement réalisé, il n’est pas toujours évident d’arrêter les versements et de faire une croix sur l’argent déjà versé. Quant au camping-car promis, il n’existe même pas, l’escroc ayant récupéré sur Internet photos et descriptions.

D’ailleurs, voitures, téléphones ou même animaux font l’objet de propositions similaires. « En ce moment, beaucoup d’annonces proposent de donner des chiens de race, bulldogs anglais ou français, yorkshires ou chihuahuas », met en garde Cédric Gourbault, le patron du site de petites annonces Trefle.com. Dans un premier temps, seuls des frais de transport sont demandés, mais très vite, le destinataire est invité à verser de l’argent pour payer le vétérinaire, le tatouage, l’achat de médicaments, etc. « Grâce à notre système de modération, nous parvenons à bloquer avant parution quasiment toutes les annonces de ce genre, mais nous ne sommes pas à l’abri d’en laisser passer », reconnaît Cédric Gourbault. Sans compter que d’autres sites moins scrupuleux les mettent en ligne sans le moindre contrôle. source ufc que choisir

02/07/2013

arrivée de la Croatie dans l'Union Européenne : La tour de Babal bat son plein sans l'assentiment des Européens !

Pourquoi faire rentrer encore un pays dans une Union Européenne en mal d'existence. Nous n'avons rien contre les Croates mais on est au bor de l'implosion et les décisions à l'unanimité seront de pus plus dures à prendre. D'ailleurs on n'a pas consulté les Européens pour ce nouvel élargissement......