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28/01/2012

Une vaste escroquerie Le Biocarburant SP95-E10 : est-ce vraiment économique et bon pour l'environnement ?

Alors que les professionnels des biocarburants ou agrocarburants se félicitent de la démocratisation du SP95-E10 et de la recommandation de la cour des comptes quant à la poursuite de sa production, certaines associations y voient un trompe l'œil qui appauvrit les automobilistes et l'environnement.

Selon la filière française du bioéthanol, en 2011, le SP95-E10, carburant contenant jusqu'à 10% de bioéthanol, a poursuivi « sa percée et termine l'année 2011 avec une part de marché des essences de plus de 20% en décembre 2011, en progression de plus de 40% sur 1 an. »

Ainsi, « le SP95-E10 est déjà distribué dans plus de 25 % des stations-service contre 19% en janvier 2011. Sur les 6 derniers mois de 2011, le SP95-E10 a été vendu en moyenne environ 3,5 centimes par litre moins cher que le SP95 dans les circuits de distribution comparables. » Ce qui correspondrait, selon les professionnels du bioéthanol, à une « économie de 0,39 € par litre par rapport au SP95, soit plus de 460 € par an pour un automobiliste parcourant 15 000 km par an. »

Malheureusement, dans les faits, nous constatons que le SPE95-E10 a un rendement significativement moindre que le SP95 (-18% sur une Renault Twingo 2), ce qui oblige donc l'automobiliste à consommer plus et donc à dépenser plus, contrairement à ce qu'indiquent les professionnels de la filière. Un constat partagé par un récent rapport de la Cour des comptes qui indique que les politiques françaises de promotion des agrocarburants ont coûté 3 milliards d'euros aux consommateurs entre 2005 et 2010. Ainsi, les agrocarburants, incorporés aux carburants fossiles, obligent en effet à passer plus souvent à la pompe car ils sont moins efficaces que les carburants fossiles, constate également le Réseau Action Climat - France et ses associations membres......extraits notreplaneteinfo.

Commentaire : une vaste escroquerie

27/01/2012

Nos élus polluent un max ... Transparence des élus : et si on appliquait enfin les sanctions ? TOUS POURRIS LES Français le pensent à 80 % Démonstration

Des déclarations de patrimoine oubliées, des prêts difficiles à contrôler, une justice qui classe tous les dossiers : la Commission pour la transparence financière de la vie politique perd patience. Elle réclame que les élus concernés soient déclarés inéligibles, comme le prévoit la loi.

Qui contrôle quoi ?
  • Elus et dirigeants d'entreprises publiques : ils doivent déclarer leur patrimoine à la Commission pour la transparence financière de la vie politique.
  • Président de la République : il remet sa déclaration au Conseil constitutionnel.
  • Ministres : leurs déclarations de patrimoine et d'intérêts doivent être rendues publiques sur Internet.
  • Parlementaires : ils devront aussi déclarer les éventuels conflits d'intérêts aux déontologues de l'Assemblée nationale et du Sénat.

Cette sanction radicale aurait dû s'appliquer à pas moins de 13% des sénateurs, 9% des conseillers généraux et même 25% des conseillers régionaux, 199 élus au total. Ils étaient censés remettre à la Commission une déclaration de patrimoine au début puis à la fin de leur mandat, dans un délai de deux mois.

Une obligation destinée à repérer les enrichissements douteux, et prise à la légère par une partie des intéressés. La Commission, qui réunit des magistrats de la Cour de cassation, de la Cour des comptes et du Conseil d'Etat, est lassée de devoir réclamer ces documents.

Dans son dernier rapport, publié mercredi au Journal officiel, elle lance donc un avertissement : désormais, elle réclamera « systématiquement » l'application de la loi aux retardataires, c'est-à-dire leur inéligibilité, prévue depuis 1988, et une amende de 15 000 euros, prévue par une loi votée en 2011.

Le rapport, qui ne fournit aucun nom d'élu concerné, met en lumière d'autres pratiques douteuses... mais aussi les pouvoirs limités de la Commission. Celle-ci aimerait ainsi pouvoir se pencher sur les prêts dont bénéficient certains élus :

  • des prêts de l'Assemblée nationale ou du Sénat : chacune des deux assemblées peut accorder des prêts à ses membres, mais la Commission se juge démunie pour vérifier « [leur] objet ou [leurs] conditions d'attribution » ;
  • des prêts personnels  : certaines déclarations de patrimoine font état de prêts sans intérêts et jamais remboursés, et qui, faute d'explications de la part des bénéficiaires, seraient « susceptibles dans certains cas de révéler des infractions pénales, telles que des abus de confiance, des abus de biens sociaux ou des recels ».

La justice a classé tous les dossiers

Lorsque les explications fournies laissent encore planer le doute, la Commission le signale à la justice, pour obtenir l'ouverture d'une enquête. Elle l'a fait douze fois depuis sa création en 1988, sans aucun résultat :

« 100% des saisines du parquet ont donné lieu à de tels classements. S'il est vrai qu'un enrichissement inexpliqué ne constitue pas par lui-même un délit, un tel résultat n'en est pas moins clairement décevant. »

Les magistrats qui composent la Commission ne cachent pas un certain découragement. D'autant qu'ils aimeraient se pencher sur des zones grises jusqu'ici inexplorées :

  • le patrimoine des proches des élus : la Commission veut pouvoir examiner celui des conjoints et des enfants mineurs, pour éviter « les stratégies de contournement » ;
  • les indemnités des parlementaires : ceux-ci bénéficient d'une « indemnité représentative de frais de mandat » – 6 400 euros par mois pour les députés –, mais rien ne les oblige à reverser l'argent qu'il n'aurait pas utilisé ; selon la Commission, cela permet d'empocher, sur la durée d'un mandat, entre 1 400 euros et... 200 000 euros. source RUE 89

21/01/2012

Le sèche-mains électrique, un aérosol à microbes ?

....

Dans les hôpitaux, il n'est aujourd'hui pas plus question de serviettes en papier que de sèche-mains électriques, puisqu'il n'est même plus question de se laver les mains. Dans certains établissements, les points d'eau avec savon et serviettes en papier commencent même à disparaître des chambres, raconte Brigitte Mangin, cadre hygiéniste à l'hôpital Georges-Pompidou. "On ne préconise plus le lavage en milieu hospitalier : la friction avec une solution hydro-alcoolique est bien plus efficace", précise-t-elle. Sans compter qu'elle ne nécessite aucun séchage...

Les citoyens écoresponsables et soucieux de leur hygiène vont néanmoins se trouver face à un dilemme de taille : une étude (lien PDF) commandée par Dyson et réalisée par l'Institut de technologie du Massachusetts a établi que l'essuie-mains à usage unique, qui représente encore 75 % du marché, est le système le moins respectueux de l'environnement et le plus gros émetteur de CO2. extraits lemonde

17/01/2012

Du 18 au 24 janvier 2012 - 3€ la place de cinéma avec le pass Télérama dans les numéros du 11 et 18 janvier 2012 - 15 films sélectionnés par la rédaction cinéma de Télérama et nos lecteurs

 

Festival cinéma Télérama

           

- 214 salles dans toute la France participent au Festival cinéma Télérama : à Paris (20), en banlieue (26), en province (168)

Vous pouvez télécharger : 
 

LES FILMS DU FESTIVAL :

Les Neiges du Kilimandjaro
Une séparation
La piel que habito
L'Exercice de l'Etat
Habemus papam
Le Havre
Il était une fois en Anatolie
Tomboy
Le Gamin au vélo
Incendies
La guerre est déclarée
Essential Killing
Les Bien-aimés
Black Swan
Drive

 

affiche_festival_cinema

16/01/2012

A qui vraiment la faute de l'explosion de notre dette depuis 1974 ?

voir l'article du monde reproduit partiellement

Contre le discours dominant sur la dette publique

 

 

 

 

Il y a deux manières de raconter ce qui se passe en Europe. Selon le storytelling dominant, nous avons trop dépensé. Experts et éditorialistes devisent sur la France qui, comme les autres pays dépensiers, "vit depuis plus de trente ans à crédit". L'enjeu pour la gauche serait seulement de "donner du sens à la rigueur" en attendant de "relancer la croissance".

 

Ce scénario semble aussi évident que l'air que nous respirons. Il est pourtant contraire aux principaux chiffres officiels, et une narration alternative apparaît mieux fondée. Ainsi selon le rapport sur "La dépense publique et son évolution", publié par Bercy, la part des dépenses publiques dans le PIB français est passée de 52,8 % dans les années 1990 à... 52,9 % dans les années 2000.

 

Si les déficits et la dette ont flambé, ce n'est pas du fait d'une envolée des dépenses, mais à cause d'une réduction des recettes. Le manque à gagner annuel dû aux exonérations et baisses d'impôts consenties dans les années 2000 est chiffré par Gilles Carrez, député UMP et rapporteur du budget, à plus de 100 milliards d'euros. Et la crise financière a provoqué une chute brutale des recettes publiques déjà érodées par cette contre-révolution fiscale. Cette dette est celle de la finance et du néolibéralisme, pas des assurés sociaux ni des citoyens.

 

Deux narrations aussi contradictoires de l'histoire de la dette publique déterminent deux réponses antagoniques. Selon l'histoire officielle, une cure sévère d'amaigrissement budgétaire s'impose, sans débat autre que sur les modalités, pour que la France restaure ses finances publiques et que ses entreprises redeviennent compétitives. Dans la narration alternative, à l'inverse, la clé de la situation réside dans une réforme fiscale redistributive, couplée à une cure amaigrissante et une mise sous tutelle... du secteur financier.

 

En outre, la réforme fiscale, qui permet de réduire le déficit courant, n'épongera pas la dette : les intérêts versés en 2011 aux rentiers - ceux-là mêmes qui ont bénéficié des baisses d'impôts - se montent à 50 milliards d'euros, avant même la prochaine perte du triple A et de probables hausses des taux exigées par les marchés.

 

Pour alléger ce fardeau, préserver les services publics et la protection sociale, et enclencher une transition écologique, le débat démocratique devra déterminer si une part de cette dette est illégitime, c'est-à-dire contractée au nom d'arguments infondés et au bénéfice d'intérêts particuliers et, le cas échéant, décider un défaut sur cette partie de la dette. Les Etats devront à l'avenir se financer ailleurs qu'auprès des seuls marchés financiers, comme ils le faisaient jusqu'au début des années 1980 : faute de quoi ils ne pourront plus prétendre à aucune souveraineté.

 

Ils devront également prendre acte que cette crise est aussi celle d'un modèle de croissance insoutenable, et réorienter les investissements publics vers des programmes écologiquement plus sobres et plus riches en emplois, au lieu de grands projets productivistes, coûteux et obsolètes.

 

Mais si la narration critique a pour elle la vraisemblance du diagnostic, elle se heurte aux "évidences" martelées, et la nécessaire radicalité des réponses qu'elle appelle peut inquiéter. C'est pourquoi un appel pour un "audit citoyen de la dette publique" a été lancé mi-octobre 2011 par des personnalités et nombre d'organisations syndicales, associatives et politiques, rejoints depuis par plus de 50 000 citoyens....

 

Des collectifs locaux se créent dans de nombreuses localités pour proposer aux citoyens de s'emparer de ce débat. Ces initiatives n'ont pas encore intéressé les médias, mais veulent susciter dans les profondeurs de la société un débat de la même intensité que celui qui a précédé le référendum sur le traité constitutionnel européen en 2005.

 

Car les questions alors débattues se posent avec une tout autre acuité, à l'heure où le tsunami de l'austérité arrive d'Europe méridionale. Les réformes institutionnelles adoptées depuis un an, et parachevées par le "traité intergouvernemental à Vingt-Six" décidé au sommet européen de décembre, ne font que radicaliser une logique de répression budgétaire et de soumission aux marchés financiers, dont la crise manifeste pourtant l'échec patent. ......

 

Une idée a servi de clé de voûte à l'architecture européenne depuis Maastricht : les marchés sont plus intelligents que les gouvernements et les électeurs. Concurrence fiscale et sociale au sein d'un marché libre et non faussé ; réduction des recettes publiques pour augmenter la compétitivité ; obligation faite aux Etats, en cas de déficits, de se financer sur les marchés ; interdiction faite aux Etats de s'entraider financièrement... : la zone euro a été conçue pour éliminer les politiques économiques volontaristes et placer les Etats sous le pilotage automatique des marchés. La tentative désespérée de sauver cette architecture aux principes obsolètes ne peut qu'échouer, fût-ce avec des eurobonds (des titres communs pour mutualiser la dette des pays de la zone euro) qui resteront soumis au jugement et donc aux critères de "bonne gestion" des marchés.

 

L'échec programmé de ce sauvetage peut déboucher dans les années à venir sur un éclatement de l'euro et un déferlement des courants nationalistes, autoritaires et xénophobes qui travaillent les sociétés européennes. Mais le pire n'est pas certain. .......

 

La nomination d'anciens dirigeants de Goldman Sachs comme chefs de gouvernement en Grèce et en Italie, ministre des finances en Espagne ou président de la Banque centrale européenne, ne passe pas. .... Les citoyens ne veulent plus être "des jouets dans les mains des banques et des politiciens", comme disent les "indignés" espagnols......

 

Face à la surdité des élites, une insurrection démocratique est nécessaire en Europe comme d'ailleurs aux Etats-Unis, dans le monde arabe, en Russie... Il s'agit de refonder la démocratie dans le champ politique, par un recours intense aux mécanismes de la démocratie directe (initiatives citoyennes, référendums révocatoires...) et de la démocratie délibérative (conférences citoyennes, deuxième Chambre tirée au sort...).

 

Il s'agit aussi de l'élargir au champ économique, à commencer par le système bancaire, dont le sauvetage imminent par les deniers publics doit être l'occasion de le placer sous le contrôle non pas des fonctionnaires de Bercy ou de Bruxelles, mais de la société civile. L'horizon semble bouché par leur dette : dégageons-le en réinventant notre démocratie.

Voir les solutions alternatives  en cliquant ICI

11/01/2012

Nos conseils pour un chauffage au bois optimisé en prenant du bois coupé en automne et en hiver : c'est le moins cher, le moins polluant et en pluson donne du travail localement...

sélectionnez des cheminées fermées avec insert avec label flammeverte minimum 4 étoiles pour le meilleur rendement bois brûlé/+de calories rendues !

10/01/2012

Poissons moins chers sur les étals des poissonniers ....mais attention Panga polluée

voir la vidéo

09/01/2012

Consommer modérément les poissons en bout de chaine qui capte toute la pollution comme le bar (loup) ou le thon... Qu'on se le dise

Polluants organiques: la mer boit la tasse

 

 

Le marsouin, sentinelle de l’océan

Il y a quelques années, Krishna Das, Chercheur Qualifié au F.R.S.- FNRS dans le Laboratoire d’Océanologie, s’est penchée sur la santé des marsouins, le cétacé le plus répandu en mer du Nord (environ 300.000 individus). « Le marsouin est aussi au bout de la chaîne alimentaire, explique Krishna Das. C’est une espèce sentinelle. Il constitue un bon indicateur de l’état de propreté de nos océans. » Krishna Das, lors de son séjour post-doctoral au FTZ (Forschung-und Technologie Zentrum) chez le Dr U. Siebert,  a étudié au microscope des thyroïdes prélevées chez des marsouins provenant de l’Atlantique, la mer du Nord et la mer Baltique. « Nous avons montré que les taux de PCB dans la thyroïde varie selon l’origine des marsouins. Ceux de la mer Baltique, qui est plus polluée que la Mer du Nord, sont plus contaminés. Notre étude a également montré que les thyroïdes des marsouins issus de la mer Baltique étaient en moins bon état que les autres. » (1 & 2) Les taux de PCB mesurés sur les marsouins des zones arctiques, beaucoup plus au nord et surtout plus éloignés des sources de pollution, sont dix fois moins élevés que ceux mesurés en mer du Nord. extraits réflexions université de liège

Commentaire : diversifiez votre consommation en mangeant plus de bio si c'est financièrement possible

08/01/2012

Réduction du bruit des véhicules Commission européenne

La Commission européenne a proposé aujourd'hui de réduire le bruit produit par les voitures, les fourgonnettes, les autobus, les autocars, les camionnettes et les poids lourds.Les valeurs limites de bruit seraient abaissées en deux étapes de 2 dB(A) chacune pour les voitures particulières, les fourgonnettes, les autobus et les autocars.Pour les camions, la réduction serait de 1 dB(A) à la première étape et de 2 dB(A) à la seconde.La première étape devrait être mise en œuvre deux ans après la publication du texte, une fois qu'il aura été approuvé par le PE et les États membres, et la seconde trois ans plus tard.Globalement, ces mesures réduiront d'environ 25 % la gêne occasionnée par le bruit des véhicules.La Commission a également l'intention d'introduire une nouvelle méthode d'essai plus fiable pour mesurer les émissions sonores.En outre, il est proposé que les véhicules électriques et électriques hybrides puissent être équipés, en option, de dispositifs de production de son qui  rendraient ces véhicules plus sûrs.Les limites des émissions de bruit n'ont pas changé depuis 1996 en dépit de l'augmentation du trafic.

 

L’Organisation mondiale de la santé a conclu qu’en Europe occidentale, le bruit lié au trafic pourrait coûter chaque année 1 million d’années de vie en bonne santé. La réduction du bruit du trafic est donc essentielle pour améliorer la santé et la qualité de vie des citoyens de l’Europe.

La proposition d'aujourd'hui réduira de manière significative les niveaux du bruit ambiant et, par conséquent, le nombre de personnes qu'il affecte.

Le vice-président Antonio Tajani, en charge des entreprises et de l'entrepreneuriat, a déclaré: «Les émissions de bruit dues au trafic routier, dont souffrent nos citoyens, seront grandement réduites. Notre proposition conduira à des véhicules à moteur plus silencieux sur nos routes et à un environnement plus sain. Notre proposition rendra également les règles internationales plus claires pour l'industrie, ce qui permettra aux constructeurs européens de vendre plus facilement leurs voitures en dehors de l'UE».

Contexte

De nouvelles limites de bruit mesurées au moyen d'une nouvelle méthode

La proposition concernant la réduction du bruit des véhicules concerne les voitures particulières, les fourgonnettes (véhicules utilitaires légers),  les autobus, les camionnettes, les autocars et les poids lourds. Elle assurera que les niveaux de bruit des véhicules neufs soient mesurés au moyen d'une nouvelle méthode d'essai plus fiable.

À cette fin, des dispositions supplémentaires concernant l'émission de bruit (ASEP) seront incluses. Il s'agit de prescriptions préventives qui assureront que les émissions sonores d'un véhicule dans les conditions de la circulation en rue ne diffèrent pas de manière significative de celles qui peuvent être attendues du résultat de l'essai de réception par type pour ce véhicule spécifique.

Véhicules électriques et véhicules hybrides électriques

Des prescriptions relatives à des «systèmes audibles signalant l'approche d'un véhicule» assureront que seuls des dispositifs produisant un son adéquat soient utilisés, ce qui conduira également à une harmonisation de la technologie appliquée.Le montage en tant que tel resterait facultatif pour le constructeur automobile.Cela renforcera la sécurité routière et, sans aucun doute, contribuera à éviter des dommages dus à des accidents de circulation.

Un avantage global

Le fait d'avoir les mêmes règles de base partout dans l'UE permet d'acheter, de vendre et d'utiliser plus facilement des véhicules dans n'importe quel État membre  et assure que les normes en matière de santé, de sécurité et de protection de l'environnement soient les mêmes partout dans l'UE.

Avec cette proposition, les règles de l'UE actuellement applicables aux émissions de bruit des véhicules seront mises à jour et alignées sur les normes internationalement reconnues des Nations unies.Cela devrait permettre d'améliorer l'accès des constructeurs automobiles européens aux marchés de pays tiers qui sont parties contractantes à l'accord de 1958 de la CEE-ONU et donc de renforcer la compétitivité de l'industrie européenne.

La proposition de la Commission européenne doit à présent être soumise aux co-législateurs européens, le Parlement européen et le Conseil.

Pour plus de renseignements:

-       sur les émissions de bruit des véhicules à moteur:

http://ec.europa.eu/enterprise/sectors/automotive/environ...

-       sur la politique de la Commission européenne concernant l'automobile:

http://ec.europa.eu/enterprise/sectors/automotive/index_fr.htm

07/01/2012

Même le bon pain complet est plein de pesticides utilisés en raison des conditions de stockage dans les grands moulins

Achetez des farines Label rouge.... pour l'éviter. Seul un un grand distributeur et les artisans-boulangers s'obligent à utiliser ces farines sans pesticides.

La plupart des pains complets industriels contiennent donc des pesticides en grande quantités... à savoir le PIRIMIPHOS METHYL et le PIPERONYL BUTOXIDE

Quelques conseils utiles pour votre compostage

Alire attentivement et à mettre en oeuvre si c'est possible pour vous

lettre 3 compostage.pdf

02/01/2012

Pièces à conviction-Assiette-tous-risques...

Notre ministre de l'agriculture ne veut pas manger de la viande aux antibio...pas normal car nous on n'a pas les moyens de faire le difficile avec la crise....


voir aussi le document de la faculté de médecine de Rennes TETRACYCLINES (EFFETS INDESIRABLES)